16ᵉ part-âge : Un grenier où se retrouver Soi - par Damien

 

Sortez de votre drame personnel et réalisez que tout ceci est symbolique. Voyez-vous vous-mêmes comme une entité femelle à la recherche de son identité et remarquez comment une identité mâle semble constamment s'opposer à vous. Il vous faut découvrir par quel moyen vous pouvez en arriver à réunir ces identités à l'intérieur de vous. Lorsque cette unification se produit à l'intérieur de vous, elle se poursuit automatiquement à l'extérieur de vous. Ce que vous êtes venu corriger entre autres durant votre séjour sur cette planète, c'est la domination du mâle sur la femelle. Vous n'avez pas à vous sentir personnellement visé ou à porter cela comme un fardeau personnel, comme si ça ne concernait que vous seul. Vous n'êtes pas seul concerné; c'est universel.

Extrait de : Les messagers de l’Aube de Barbara Marciniak.

 

Le deuxième confinement venait d’être instauré quand Margi et moi débutions la rénovation du grenier. Durant ces travaux, dans cet « obscur décor » se manifestèrent différentes parts de moi, en lien avec la domination d’un certain masculin sur le féminin. Je vécus ainsi des expériences qui me firent progressivement remonter aux origines de ce mâle.

 

 

Edmond/René ou aide mon René.

 

Edmond, aujourd’hui décédé, était la personne qui autrefois habitait notre maison. Il s’était manifesté, au moment de la rénovation du toit, pour être entendu. Voir à ce propos les partages suivants : Chapitre 22 d’Eli, Chronique n°3 de Sand et Jenaël et notre partage n°14.

 

Un jour dans la cuisine, je sentis une présence assise à table (à la place que j’occupe habituellement) et perçus furtivement Edmond flanqué d’une casquette sur la tête. L’ambiance était très particulière, je lui demandai alors : que me vaut ta venue ?

À ce moment-là, je vis Edmond se transformer en René, mon grand-père décédé en 2009. Lorsqu’il prononça le prénom de Jean-Claude, son fils mort de la maladie du bébé bleu peu après sa naissance, je fus parcouru d’un grand frisson. Il semblait m’interpeller au sujet de sa paternité, me laissant comprendre qu’il aurait souhaité que cet enfant ne voit pas le jour. Je fus soudain pris d’une énorme émotion qui me bouleversa, coupant net la communication. Ne comprenant pas ce que je pouvais faire de ces informations, mon attention se focalisa sur la rénovation du grenier jusqu’à en oublier complètement cet épisode.

 

Je commençais alors peu à peu à développer des symptômes de dissociation, manifestés par mon teint qui devenait de plus en plus pâle et par mon obsession grandissante à finir rapidement les travaux. Hélène m’en fit part lors d’une visite au grenier et je dois dire que je ne le percevais pas, jusqu’à ce que Sand me montrât clairement l’entité qui m’habitait. Son visage se déforma, ses yeux s’assombrirent et elle m’exprima que j’étais rempli d’arrogance. Je tremblais de tout mon être et compris à quel point l’entité m’habitait. Cette secousse me remit sur les rails de ma propre vie et je pus progressivement m’extirper de ce rôle que j’avais endossé sans m’en rendre compte.

 

Quelque temps plus tard, une voix se fit entendre : « Vous n’avez rien compris » disait-elle en moi. Je repensais alors à Jean-Claude et compris qu’il restait visiblement quelque chose à contacter, contre laquelle je luttais inconsciemment.

 

Acceptez le fait que des problèmes d'ordre émotionnels font surface pour une raison ou l'autre. Beaucoup parmi vous aimeraient enterrer leurs problèmes personnels et les jeter à la poubelle comme s'il s'agissait de quelque chose d'affreux n'ayant rien à voir avec ce que vous êtes. Ces problèmes personnels se retrouvent dans la partie obscure de votre identité avec laquelle vous n'aimez pas avoir affaire ou que vous ne pouvez accepter. Nous comprenons qu'à l'occasion, lorsque quelque chose survient, vous l'étiquetez et dites: «Je déteste cette partie de moi-même. Tout ce que je veux c'est en finir au plus tôt, balayer ça sous le tapis et l'oublier. J'en ai assez de toutes ces histoires.» Devinez quoi. Toutes ces "histoires" comme vous dites — vos problèmes — sont les trésors de votre vie. C'est grâce à eux que vous apprenez.

Extrait de : Les messagers de l’aube de Barbara Marciniak.

 

J’avais mis de côté les informations que mon grand-père René m’avait transmises craignant de découvrir une terrible vérité. En agissant ainsi je me déresponsabilisais et ne m’autorisais pas à me délester d’un poids transgénérationnel.

 

En récapitulant, je réalisais que son message était clair : Jean-Claude aurait probablement été le fruit d’un adultère, ce qui aurait engendré chez René beaucoup de colère et de rancœur envers sa femme Yvonne. Il aurait peut-être même souhaité que Jean-Claude ne voit pas le jour, et se serait donc senti coupable au moment de la mort de ce bébé.

 

Il y avait de la violence chez René. Enfant, je me souvins qu’il entrait dans des colères soudaines envers sa femme et moi-même, me poursuivant même avec son bâton. Ne comprenant pas pourquoi il se mettait dans des états pareils, je me contentais de fuir.

À bien y réfléchir, je crois qu’il s’énervait non seulement parce que je ne comprenais pas ce qu’il tentait de me dire (René ayant la particularité de manger ses mots) mais aussi parce que je transportais probablement les énergies de Jean-Claude dont j’avais à mon tour hérité, réveillant en lui l’émotionnel du traumatisme de sa disparition.

 

Le « vous n’avez rien compris » semblait me signifier que je déniais la puissance de ce programme de rancœur et ce qu’il aurait engendré en termes de violence et de domination sur le féminin. Transportant ce programme dans ma génétique, il m’était donc offert, au travers de la reconnaissance de cette mémoire transgénérationnelle, de m’en libérer.

 

Je ressentais alors le besoin d’approfondir mon introspection et récapitulais ainsi mon parcours de vie avec le féminin. Ce programme de domination y serait vraisemblablement lié et découlerait de mes propres blessures d’abandon/trahison.

 

 

La mère et son rejeton

 

Le masculin devient donc le rejeton de la mère primordiale, autrement dit le fils de Dieu dans les traditions. Cette séparation-rejet perçue comme telle par l'inconscient humain, est expérimentée sous toutes les formes "d'émanations négatives" (peur, manque, colère, rejet, possession, jalousie, pouvoir, tabou, domination-soumission…) qui, si elles ne sont pas conscientisées puis libérées par l'émotionnel, restent profondément refoulées et ancrées dans les mémoires/programmes. Au fur et à mesure du cheminement de l'individu, elles se transforment alors en maladies ou en processus de vieillissement, pour aboutir finalement à la mort du corps (ou libération de l'âme du monde de densité). Cela sous-entend aussi que par la libération des programmes ou mémoires cellulaires cristallisées, le ralentissement du processus de vieillissement puis la régénération cellulaire, redeviennent une possibilité légitime de l'entité humaine que vous êtes.

Extrait du Dialogue avec notre Ange n°10 de Sand et Jenaël.

 

Je suis né en 1984 au pied des Pyrénées, en Ariège, et ma mère me confiera plus tard qu’à peine arrivé dans ce monde, je passais de bras d’infirmière en bras d’infirmière, ayant très peu de contact avec elle. En bas âge, je fus confié à ma grand-mère durant deux mois, à l’issue desquels je ne reconnus plus ma mère au moment où elle vint me récupérer. J’avais donc vécu une double séparation, une première avec ma mère biologique et une deuxième avec ma grand-mère.

 

Durant cette période, mes parents étaient au chevet de ma sœur de dix mois mon aîné. À sa naissance, elle avait fait plusieurs arrêts cardiaques avant de parvenir à se raccrocher à la vie ; gardant toutefois des séquelles qui lui valurent de nombreux séjours à l’hôpital durant son enfance. Cette attention plus que justifiée, avait probablement participé à nourrir dans mon inconscient la rancœur envers le féminin, qui prenait alors toute la place.

 

Ma mère avait semble-t-il placé en moi une forme d’admiration, qui prendrait manifestement racine à ma naissance, où tout c’était bien passé ; représentant probablement à ses yeux une compensation. Elle nourrissait alors de grandes ambitions pour moi, cependant je n’avais pas la même vision qu’elle. À 18 ans, partant expérimenter la vie, je connus la désillusion sur tous les plans : rupture amoureuse suivie d’une perte d’emploi, puis victime d’une escroquerie dans le domaine professionnel engendrant des difficultés financières.

Il s’ensuivit une remise en question et à l’âge de vingt-cinq ans, je décidai de revenir vivre chez mes parents, afin de trouver des réponses à mes questions existentielles.

 

Je travaillais alors dans l’entreprise familiale. Un jour, confrontés à un apprenti qui sabotait le travail et provoquait sans cesse, mes parents décidèrent de convoquer son père pour en discuter.

Ma mère tentait d’expliquer la situation alors que mon père gardait le silence. Je pris alors la parole et exposais la problématique. Ma mère voyant le visage déconfit du père, intervint et faisant volte-face lui confia que me connaissant : il se pourrait bien que je sois à l’origine du problème !

À ce moment-là, je ressentis une haute trahison, de l’injustice et de l’humiliation. Stupéfait, je ne pus expulser toute la colère réprimée que quelques années plus tard, lorsque je décidai de commencer un travail d’introspection.

 

Je rencontrais ensuite Margi et c’est en sa compagnie que ce travail pris une toute autre ampleur, remontant alors progressivement à la racine de mes conflits intérieurs avec le féminin et plus précisément avec la mère.

Récemment, atteinte de différents maux dont les significations renvoyaient toutes à la mère, notamment un abcès à la dent et une ptose utérine, Margi décida de demander un soin énergétique au groupe. C’est dans ce contexte qu’un de mes alter fut mis en lumière.

 

 

Un soin révélateur

 

Dans les jours qui précédèrent le soin, je perçus que quelque chose n’allait pas en moi, sans comprendre ce qu’il en était au juste. Et quand Margi me nomma opérateur principal, Jenaël, Eli et Sand opérateurs secondaires, un malaise se fit sentir ; Jenaël étant en effet le plus compétent et expérimenté pour opérer ce soin énergétique. Ma joie d’y participer laissa place à la crainte de ne pas être à la hauteur de la tâche qui m’était confiée.

 

Lorsque le moment fut venu de me concentrer sur les demandes de Margi, je cherchai alors à agir comme Jenaël, par peur de mal faire. C’est à ce moment-là que je laissais la place à une entité qui profita de cette faille. Ce n’est que lors d’un partage de groupe, Sand exprimant ce qu’elle avait vécu lors de ce soin et les signes qu’elle avait relevés, que mon alter fut révélé et nommé « charlatan » !

 

La simple évocation du mot « charlatan » déclencha les phénomènes biologiques caractéristiques d’une dissociation. Me sentant humilié, revivant une trahison en public, je fis plus tard le lien avec les escroqueries que j’avais vécues dans ma vie et l’événement avec ma mère où je m’étais senti dupé et trahi.

 

J’endossais à l’époque le rôle de victime, qui selon la loi universelle de cause à effet, serait la conséquence logique des actions du charlatan que je suis sur une autre ligne temporelle. Je pouvais alors prendre conscience de cet émotionnel de souffrance, fruit de ce karma non résolu et ainsi commencer à rembourser cette dette.

 

Cette part sombre, qui avait choisi de dominer en profitant de la crédulité d’autrui, se manifestait au grand jour me donnant l’occasion de la voir telle qu’elle est. Après qu’ait jailli un puissant émotionnel, je compris que l’occasion m’était offerte de me réunir. J’appris alors à ne pas juger cette part de moi bourreau, et à l’accepter. Je dois dire que ce fut un long et très éprouvant processus.

 

Cet événement mettait en évidence une rancœur mais aussi une forte rivalité avec le Féminin, dont l’origine remontait vraisemblablement au-delà de la troisième densité. Le prédateur s’était, en effet, immiscé dans ce soin, soutirant de l’énergie au groupe et plus particulièrement celle de Margi, la Mère. Il s’agissait probablement d’une entité hyperdimensionnelle que je suis sur un autre plan, et qui est en conflit avec l’Amasutum représentée ici par Margi.

C’est en lisant le dialogue avec notre Ange n°44 que je découvris ce qui se produisait en moi.

 

[Sand s’exprime : ] Ma Supraconscience me montra alors que le prédateur et moi étions telle une seule et même feuille de papier qui, lors de la chute pour expérimenter les mondes duels, avait dû être déchirée en deuxdeux polarités mâle/femelle, masculin/féminin – pour que nous puissions expérimenter LA SÉPARATION ! […] Je pleurais à chaudes larmes ! Ce prédateur, mon allié, mon frère, mon enseignant, mon masculin..., se manifestait dans ma vie sous toutes les formes possibles pour que je puisse enfin le reconnaître et que je cesse de le rejeter ! Je pouvais enfin l'accueillir en moi sans crainte, car ce dernier, au travers du rôle qu'il jouait dans mon Univers – dans ma bulle de perception – ne recherchait que ma reconnaissance. Il appelait à la rédemption de son âme !

 

À la lecture de ce passage, je me mis à pleurer, envahi par une profonde tristesse. Je réalisai que ce mâle prédateur manipulait ma psyché depuis le début des travaux, il se manifestait ainsi à moi pour que je le reconnaisse. En effet, j’avais toujours peur de lui et de tout ce qu’il représente : le mal/mâle.

 

 

L’Amasutum, l’Adam et le Kingû

 

Désormais conscient de ma peur, c’est apaisé que je partageais mes compréhensions à Margi qui à son tour, me fit part des siennes. Lors de ses recherches, elle venait de faire le lien entre nos régions de naissance, le Couserans (09) et la Saintonge (17), au travers d’un personnage nommé Arn-Wulf,(l’aigle-loup) un Goth-sage. Elle y vit un signe clair qu’il existait une corrélation entre nos origines (voir le lien ci-dessus).

 

Cela résonna en moi et je décidai de creuser cette piste, m’intéressant alors à Arn-Wulf ou Aigle-Loup en français. « Aigle » me renvoyait à l’emblème des Kingû et « loup » me ramenait à « LU » signifiant l’ « homme » ou encore « mouton » en sumérien. De plus, en faisant des recherches sur Arn je tombais directement sur l’ARN messager (acide ribonucléique), il était donc question de génétique !

 

Ainsi, l’expérience du soin m’a permis de comprendre que cette entité hyperdimensionnelle serait un Kingû. Puis, faisant le lien avec l’Ama’argi, l’homme mouton (l’homme animal) me semblait être l’Adam, qui fut créé sous l’injonction des Kingû par les Amasutum Ama’argi, pour être un bon esclave.

 

[Nammu s’exprime]"Les Ama'argi ont fabriqué, sous l'injonction des Usum (dragons), un nouveau prototype Ugubi, des Adam (animaux) intelligents qu'elles ont introduit dans la réserve de Kankala (l'Afrique).[...] S'il est ramassé par les rouges, il pourra servir ses maîtres avec discipline. Je déteste ces cuisines génétiques qui transforment la science en art involutif. Ces pratiques ne servent qu'à former des domestiques encore plus habiles et non à améliorer une espèce […]"

Extrait d’Adam Génésis d’Anton Parks P 66-67.

 

Aussi, plusieurs signes m’ont alors permis d’identifier l’Adam qui est en moi : d’abord mon prénom Dam’s, qui devient « à Dam’s » (Adams) et il y a aussi la dent (l’Adam) de Margi (voir partage n°15 Être Mère).

Je me retrouvai donc également dans l’Adam que les Ama’argi avaient créé lorsqu’elles étaient elles-mêmes soumises aux Kingû, en échange de quoi elles n’étaient plus enlevées ni mangées. Brimés génétiquement afin qu’ils puissent être manipulables et dociles, certains de ces Adams sont même devenus handicapés. Je conscientisais alors la « dent » que j’avais envers l’Ama’argi SDS de Margi et aussi envers le Kingû. Accepter l’Adam (la dent) serait donc vraisemblablement la clé me permettant de m’extraire de ce karma originel.

 

Cependant, certains spécimens [ukubi Adam (homo-erectus)] souffrent encore aujourd'hui de troubles neurologiques importants. Ils sont frappés d'automatismes épileptiques qui occasionnent parfois des états végétatifs persistants.[...]

Puis-je en vouloir aux Ama'argi ? N'ont-elles pas suffisamment souffert ? Cette association crapuleuse leur garantit une assurance pour la vie. Les Ama 'argi ne vivent plus dans la peur d'être offertes ou dévorées par les Usum [Kingû]. Qu 'ils soient verts, rouges ou blancs, ce sont les mêmes, tous étant en dehors des principes universels de la Source.

Extrait du livre Adam Génisis d’Anton Parks p 70-71

 

 

Résolution pour une nouvelle dynamique

 

Au tout début des travaux de rénovation du grenier, j’eus un rendez-vous téléphonique avec Pôle Emploi qui représente pour moi le patriarcat (Kingû). Il concernait mon passage à l’ASS ; je découvris alors que j’étais enregistré dans les dossiers d’une référente spécialisée dans la RQTH, Reconnaissance de la Qualité du Travailleur Handicapé. Ce jour-là, je reçus un véritable choc mais en minimisais l’impact. Dans notre système d’indice, l’ASS correspond à « l’assurance pour la vie » qu’ont obtenue les Ama’argi en créant l’Adam pour satisfaire les Kingû. L’autorité patriarcale (Kingû) m’indiquait bien là que je portais cette mémoire d’Adam handicapé.

 

Quelques semaines après, un autre rendez-vous avec un conseiller dont le nom signifie « Ange », m’offrit l’occasion de dépasser mes peurs, d’assumer mes choix de vie. M’exprimant en mon âme et conscience, j’allais au-delà de mes limites, des barrières conventionnelles et sentis se libérer, dans mon for intérieur, toute la pression issue d’un chantage ancestral et transdimensionnel. Je réalise maintenant que cet acte marquait le début de la remontée de cette mémoire adamique.

 

Et neuf mois plus tard, alors que la rénovation du grenier touchait à sa fin, un contrôle de Pôle Emploi entraîna ma radiation de la liste des demandeurs d’emplois. La conseillère m’expliqua avoir compris ma décision, mon choix de vie, mais que Pôle Emploi ne pouvait plus continuer de m’accompagner sur cette voie. Margi fut aussi radiée quelques jours plus tard et c’est à partir de ce moment, après avoir traversé la sanction, qu’une nouvelle voie s’ouvrit à nous.

 

Je décidai de me laisser guider dans mes démarches qui entraînèrent un incroyable concours de circonstances au sein de l’administration du RSA. Je ne pouvais pas souscrire aux demandes de prestation, il fallait d’abord que Margi m’ouvre l’accès. La symbolique était plutôt parlante, le féminin, la mère Ama'argi libérait son masculin pour accéder ensemble à une nouvelle voie. Notre demande de RSA fut alors acceptée sans délai, nous confirmant que nous sortions de « l’assurance pour la vie » (ASS). C’était la magie ! (l’âme qui agit).

 

Lors de cette longue rénovation du grenier, j’ai pu remonter aux origines de mon conflit intérieur avec le féminin, la séparation avec la mère primordiale, et reconnaître les multiples facettes qui découlaient de mon programme de domination/soumission. En prenant conscience que j’avais en moi cette triangulaire entropique (Amasutum SDS, Kingû et Adam handicapé), je pouvais mettre un terme à ces schémas du passé qui entretenaient la discorde. Margi et moi avons alors pu nous retrouver dans une entraide naturelle et acter notre libération de cette mémoire karmique originelle.

 

« Sans fin est l’école de la vie. » Thomas Gatabazi.

 

Damien et Margi (Da'Margi)

 

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