24 - Confidences sur la 2ème partie de la vidéo à Graulhet - par François

 (PDF disponible en bas de page)

20 juillet 2018

Bonjour les Léo,

 

Les vidéos des rencontres avec l’équipe Léo sont un complément utile parce qu’elles sont interactives, vivantes et permettent de mieux assimiler certains points par les questions/réponses de chacun. Elles sont, pour ma part, porteuses de nouvelles compréhensions et la rencontre à Graulhet avec Yakout, Fred, Ysis-Marie, Eliane, Nicole (Amatsunico), Gégé et l’équipe Léo a une fois de plus conforté mes ressentis et ma détermination.

 

Je me suis beaucoup retrouvé dans les témoignages de Yakout et j’avais évoqué un peu des attitudes similaires dans le message « Faut-il fuir notre entourage SDS ? » C’est Christelle qui m’a parlé de la suffisance et je trouve que ce terme reflète parfaitement bien ce que je décris dans le message cité ci-dessus et dans le partage de Yakout dans la vidéo. Mais l’état de suffisance, on le retrouve absolument partout.

 

 

A – Pourquoi les échanges d’informations de la 3D ne me nourrissent pas :

 

J’ai toujours trouvé ennuyeuses mes relations avec la famille et le relationnel dans ma bulle de perception. Mais j’étais bien incapable de dire pourquoi. Je faisais partie moi aussi des gros dormeurs mais je me suis toujours senti très mal à l’aise dans ce monde. J’avais d’énormes difficultés pour m’y adapter malgré tous mes efforts mais je sens que ce que je vous raconte est une banalité sur ce site parce que sinon, vous n’y seriez pas.

Maintenant, j’ai compris pourquoi j’avais ce malaise et cette compréhension m’a permis d’avoir confiance en moi, de sortir de ma dévalorisation.

 

Ce que je vais dire est un constat et non un jugement. Je ressens de plus en plus dans mes relations cette suffisance. Les dormeurs qui se limitent dans l’acquisition du savoir ne s’intéressent qu’à ce qui les touche de très près. Le loto et ses gains, les repas organisés, les fêtes locales, les rencontres sportives, les cérémonies locales, les critiques sur le voisinage ou la famille, les louanges sur leurs enfants, leurs soucis, leurs problèmes de santé, leurs acquisitions matérielles, leurs corps de souffrance, leur potager, le temps qu’il va faire, j’ai bien observé, tout cela tourne invariablement autour de ces sujets.

 

Il y a quelques dormeurs qui ont un peu plus de savoirs mais c’est devenu tout aussi ennuyeux pour moi. Je faisais partie de cette catégorie. Ils s’informent avec leurs journaux, télévision prenant pour argent comptant ces informations et parlent de politique, d’économie, de ce qu’il faudrait faire ou ne pas faire, se lancent dans des débats intellectuels ou politiques qui n’ont ni queue, ni tête et qui font transparaître leurs profondes illusions. Ils parlent de leurs pertes de repères et de leurs traditions qui s’évanouissent, de l’insécurité, de leur mal vivre etc...

 

Que puis-je faire ou plutôt Être dans ces conditions ? Cette nature d’information ne me nourrit plus, me pèse et me maintient dans la matrice de l’illusion.

Je ne participe plus à toute cette mascarade. Je ne peux plus faire semblant de m’intéresser à ce qui ne me nourrit plus et lorsque je dois y participer, c’est rare mais cela arrive, j’accepte ce moment qui m’enseigne cependant sur la prédation sans entrer émotionnellement dans des débats passionnels.

 

Ce monde ne s’ouvre pas à la Connaissance, il reste reclus dans la matrice de l’illusion et pourtant, je sais, au fond de moi, qu’il existe des personnes de par le monde qui veulent sortir de cette prison psychique et je les retrouve sur le réseau Léo.

Il est très clair pour moi que tant que nous n’aurons pas pris conscience de l’emprise psychique de la prédation sur chacun de nous, nous serons toujours pilotés comme des robots et nous ne ferons que jouer dans un bac à sable sous le contrôle des entités transdimensionnelles SDS.

 

Je dirais que cette prise de conscience est le point de départ obligatoire pour s’émanciper de la matrice SDS. Notre prédateur personnel nous empêche d’acquérir la Connaissance en nous induisant des doutes, des peurs et des demandes de preuves. C’est bien pour cela que très peu de personnes accèdent à la Connaissance mais intègrent cependant une partie de la Connaissance dans leurs expériences de Vie. Il se trouve que le réseau Léo prend à bras le corps ce point essentiel de l’emprise psychique de la prédation. Et de plus, cet enseignement nous est généreusement offert, il est gratuit. Certains auteurs et livres ont parlé de la prédation auparavant et sont abondamment cités sur le réseau Léo.

 

On comprend mieux maintenant pourquoi très peu de personnes s’ouvrent à la quête de la Connaissance qui est le passage vers la voie SDA.

 

 

B – Les regroupements qui nous font vibrer :

 

Jenaël dit ceci à la 57’ de la vidéo : […] Regarde maintenant, on est en groupe, Est-ce que ça ne te fait pas vibrer ? […].

Je ressens également par moment cette vibration qui me porte, ce qui se dit m’intéresse au plus haut point sans être physiquement présent alors que mes rencontres dans ma bulle de perception où se déroule des rencontres où l’on est physiquement présents ne me font pas vibrer du tout !

On peut vibrer en étant séparé physiquement par X kilomètres puisque que c’est l’information portée par l’énergie qui nous fait vibrer.

 

 

C – Vigilance à l’égard des prises énergétiques :

 

A la 57’48’’ Jénaël dit ceci :

« […] On est tout seul dans la vie et Hélène précise : Ben, sur ce chemin-là, spécialement, on est forcément confronté à ça du fait que, en fait, la question que tu poses : Est-ce que je dois continuer à côtoyer ces personnes ?

Don Juan et Castanéda ciblent bien, avec force, le fait que c’est notre énergie qui est extrêmement importante et donc, en fait, si on veut cheminer sur ce chemin SDA, eh bien, on est forcément à l’écoute de quand il y a une prise énergétique et du coup, si on a la volonté de s’aligner avec ça, forcément, ça veut dire que l’on se sépare de certaines personnes, de certaines conditions puisqu’il y a prise énergétique et qu’on sait qu’il en va de la survie.[…] ».

 

J’ai rompu mes relations avec Chantal et Lucien évoquées dans le message « Faut-il fuir notre entourage SDS ? ».

Eh bien, depuis Janvier 2018, plus de nouvelle. Ils ne me manquent absolument pas. Ils sont sortis de ma bulle de perception et j’ai ressenti comme un grand soulagement. Ils me prenaient beaucoup d’énergie et c’est en coupant toute culpabilité que j’ai pu rompre et j’ai ressenti ce soulagement, cette libération. C’est après la rupture que j’ai pu mesurer l’ampleur de cette prise énergétique. Cette prise énergétique opérait à cause de ma culpabilité que j’avais de passer pour un sauvage auprès des autres parce que je n’avais pas d’attachement vis-à-vis de Chantal et de Lucien. Et la question qui me vient à l’esprit est celle-ci : Pourquoi avoir attendu sept ans pour rompre ? J’ai maintenant toutes les réponses à cette question mais j’en parlerais dans un autre message.

 

 

D – Une nouvelle famille :

 

C’est une transcription brute à la 58’31’’ de la vidéo : 

« […] Ca va encore plus loin dit Jenaël, nous tous, nous habitons chacun un coin du monde et chacun est dans son milieu, on est entouré de gens comme ça, de portails organiques ou des gens qui n’ont pas envie d’évoluer etc… mais on est en train de se retrouver, tous les gens qui viennent d’ailleurs, d’un coup dans cette pièce. Ça, c’est l’énergie de la Nouvelle Terre ! C’est juste l’énergie, pour l’instant, il n’y a encore rien de construit, tu comprends ? En fait, forcément, un jour ou l’autre, tu vas prendre ton groupe de chant et merci ciao j'ai fini, j'ai fini d’apprendre avec vous. Toi, tu vas faire avec ton groupe de danse : j'ai finis d'apprendre avec vous. Tout le monde va prendre le milieu dans lequel il vit, il évolue jusqu'à maintenant pour dire : au revoir, c'est fini ! Eh ce "au revoir", ça veut dire que c’est seulement à ce moment-là qu’on peut se retrouver entre nous avec des nouvelles personnes, une nouvelle famille. […] ».

 

 

E – Intégration ou stagnation :

 

A la 59’50’’, voici un partage de Sandrine que j’ai trouvé très important à transcrire.

Sandrine dit ceci :

« |…]. C’est la polarité SDS qui est en nous qui culpabilise de rompre avec ces miroirs SDS. C’est vrai que c’est très difficile parce que on a l’impression que l’on se coupe du monde, mais oui !, on se coupe du monde, pas pour se couper du monde pour se faire plaisir, mais c’est se couper de ce monde qui ne correspond plus au monde qui est en train de naître. Nous, quand on travaille les cahiers, on va chercher les infos très loin, d’abord Jenaël, après moi, je rentre dedans, je vais dans ce monde-là, quand je redescends dans mon corps, que je redescends dans ce monde et que je communique avec l’environnement, les voisins, pour un mot, une phrase, n’importe quoi, là, je suis hallucinée parce que je ne comprends pas le fonctionnement de ces gens-là.

 

Je fonctionnais exactement pareil autrefois, et il arrive un moment où quand on s’est plongé, que l’on a fait cette pause sur le réseau Léo, il fallait qu’on retourne à l’intérieur, parce qu'il fallait qu’on aille chercher des infos et qu’on les fasse descendre à l’intérieur de soi, il est arrivé un moment où... c’est comme si d’aller rechercher cet Être, c’est-à-dire, notre Soi futur, de se mettre en connexion avec cet Être, donc, pour nous apprendre à Être pour ensuite faire, quand j’avais cette connexion et que je revenais dans ce monde superficiel où les gens font les choses de façon mécanique, eh bien là, il y a un truc qui s’aligne à l’intérieur de moi, et je sors de toute culpabilité. Et ça fait peur. Même moi, quand je sors de la culpabilité, je me fais peur. Vraiment, parce que la partie de moi qui a peur, c’est justement la polarité SDS qui m’habite, qui accepte de se transformer et qui à la fois est hallucinant de couper, couper, couper.[…]. »

 

C’est bien la partie SDS qui culpabilise à cause de l’attachement ou de la culpabilité. On se coupe d’un monde qui ne nous correspond plus et qui devient trop dense pour rejoindre un autre monde en devenir, un monde moins dense qui correspond mieux aux désirs de l’âme. Sandrine passe d’une densité à l’autre, fait du yoyo et je comprends que cela puisse être éprouvant, déstabilisant. Cela m’arrive quelquefois quand je suis comme en état modifié de conscience et que le téléphone sonne ou qu’on m’appelle subitement pour aller faire des courses. J’ai du mal à redescendre si brusquement dans cette densité. Quand Sandrine est alignée avec son Être intérieur, avec cette fréquence, même si elle redescend brusquement, elle reste imprégnée, alignée un moment avec la fréquence de son soi intérieur et son comportement est aligné à son Être intérieur. Elle n’est plus en adéquation avec ce que le voisinage attend d’elle. C’est-à-dire un comportement SDS.

 

Sandrine raconte à 1 h 02’11’’ :

« […] L’autrefois, on a eu une visite impromptu à la maison, de quelqu’un avec qui on avait eu des échanges... qui n’habite pas dans le village mais qui est de temps en temps de passage, qui est venu toquer [.?.] la chanteuse, la rousse, et donc elle vient se faire une joie de venir nous rendre visite, moi, qui avant était toujours, toujours toute ma vie, le sourire, accueillante, ben oui, parce que tous mes potes prédateurs que je captais à travers les uns, les autres, eh bien, c’était des copains, quoi, il ne fallait pas qu’on soit en froid ou qu’on se froisse, donc on fait toujours des courbettes, des pirouettes, voilà quoi, et on arrondit toujours les angles.

Et ce jour-là, j’étais en plein dans un cahier, je descends pour nous faire à manger, c’est en plein après-midi, c’est à peu près vers les 3 heures, et elle toque et elle, toute : Ah salut, nana..., mais très... c’était extrapolé, c’était moi avant ! Ah mais vraiment, j’ai vu. Mais en fait, j’étais tellement en connexion avec ma guidance, ma supraconscience, je n’ai pas réagi, c’est-à-dire, je n’ai pas répondu par réflexe au retour qu’elle attendait. Et donc, j’ai ouvert la porte et je regardais comme ça, j’ai dit "ben salut", j’avais mon fenouil à la main. Et elle dit : je passais juste quelques instants pour vous faire un coucou, je suis tellement contente de vous voir.

Ok, d’accord, je suis restée complètement neutre et donc elle commence à nous raconter pleins de choses qu’il lui arrivait dans sa vie, des péripéties incroyables mais très très rapidement. J’ai dit : ouais et alors, t’en fait quoi de tout ça ? Mais j’étais vraiment comme ça. En fait, j’ai été odieuse ou horrible. J’étais horrible Elle me regardait, j’ai dit : Mais qu’est-ce que tu as fait depuis la dernière fois que l’on a discuté et qu’on a mis le doigt sur des choses ? Eh ben, rien, je continue à travailler. J’ai dit, mais tu travailles quoi, concrètement ? Et j’étais vraiment comme ça et là, je me fais très peur parce que je suis sans limite.

Et en fait, elle s’est prise une remuée (Gégé rigole), ah, j’ai dit : Tu vois. Ah mais c’était incroyable, parce que moi, j’étais comme ça et je ne pouvais pas être autrement, en fait je n’étais plus la mensonge. Je n’étais plus du tout dans le mensonge. Et elle qui cherchait un miroir, j’étais dans l’opposé de ce qu’elle cherchait, parce qu’elle cherchait à se refléter, à voir en fait ce qu’elle dégage, et là, j’étais complètement à l’opposé. Et donc, elle me dit : Mais oui, tu te rends compte, il y a une fuite à la maison, je suis venue réparer parce que la maison du grand père et nanani, nanana. Je dis, ouais, OK, quand est-ce que tu t’occupes de toi au lieu de t'occuper des autres ? 

Et elle était là, Oh, là, là. Ben oui, j’ai dit, tu es venu cinq minutes mais tu ne seras pas venu cinq minutes pour rien, parce que la prochaine fois que tu reviendras toquer, tu sauras pourquoi tu viens toquer. Parce que si tu ne fais rien… La dernière fois, on a passé un temps à échanger. J’ai dit : Qu’est-ce qui s’est passé depuis ? Rien. La preuve, tout ce que tu me racontes… Elle me dit oui mais quand même, moi ça fait quand même trente ans que je chemine… Ah beh j’ai dit : Il serait peut-être temps que tu commences. Ah non, mais j’ai été horrible, je sais que…. Eh bien dis donc ! Ben, j’ai dit ben oui, au moins, tu sauras quand tu viens cinq minutes chez les gens il faut que tu saches qui tu vas voir et pourquoi tu vas voir ces gens-là. Moi, si tu viens me voir, c’est pour un échange constructif, si c’est pour faire du vent, ça ne sert à rien, si c’est pour chanter à ma porte, ça ne m’intéresse pas.

J’ai dit, tu peux aller nourrir ton public. Mais vraiment ! Et elle est partie... Ecoute, à un moment, j’étais liquide en moi-même, pas parce qu’elle m’a pris de l’énergie, c’est parce que je me suis alignée. Et là, je me suis dit : wahou je me suis respectée dans ce que je suis, quoi, arrêter de se faire bouffer par l’autre parce que l’autre, il attend qu’on réponde à tel schéma, à tel comportement. Et ça, ça demande un alignement tout le temps, et c’est pour ça que je disais à Jénaël, ce qui pour moi est important, c’est de me mettre dans ce qui nous porte, et nous, ce qui nous porte, c’est les dialogues, le réseau Léo et le réseau Léo, c’est pareil, il y a un gros tri qui s’est fait et il y a des choses que l’on ne publie plus. Parce que, on arrive à un moment, ben, il faut avancer, faut monter, et ça demande tout le temps de sortir de la culpabilité et après, ben, ceux qui sont prêts à se dénuder et à y aller, coûte que coûte, parce que c’est cela en fait, c’est coûte que coûte, et bien là, on trouve sa place, on fait sa place.

Et c’est vraiment ça. Gégé dit : Ça me fait penser sur le fou. Oui (4 fois). Exactement, la voie du fou. Sandrine dit : Mais tu vois, la voie du fou, on l’a fait à plein de moments. C’est-à-dire que je vois bien, souvent quand je suis dans le village, j’endosse un costume pour pouvoir avoir un échange avec ce monde qui m’apporte des informations, je ne le rejette pas, ni je, comment dire, je ne le critique pas, il est ce qu’il est, ce monde, et je prends ce monde comme un monde d’enseignement.

 

Jénaël dit : Et ce monde, on ne peut pas le changer ! Mais nous, on peut créer notre monde. Continue toi, s’adressant à Sandrine, La voie du fou, parce qu’en fait, c’est important de voir ça. Sandrine reprend : Et en fait, c’est se vêtir à moitié parce qu’on sait, que pour ce monde-là, on est fou, on est des fous mais on s’habille à moitié, comme ça, on peut circuler dans ce monde qui nous apporte des informations, pour accroitre notre conscience. Et donc, à partir du moment où l’on comprend et l’on accepte que ce monde-là, il est fait de pleins de consciences différentes, de niveaux de consciences, de mensonges ok, mais il y a du service de soi à plusieurs degrés, ben, il y a des moments où je m'aligne quand je donne mon énergie à quelqu’un, s’il n’y a rien qui a été fait après, je suis virulente. Je sors de toute culpabilité..., ce n’est pas mon problème ! […] »

 

L’attitude de Sandrine ne me fait pas peur du tout, bien au contraire, elle me rassure énormément.

Pourquoi ? Parce qu’elle est alignée à son soi supérieur. La transparence, la franchise, l’intégrité, la rigueur qui transparaît en elle sont absolument nécessaires si l’on veut avancer vers cette voie SDA. Cette voie n’est pas faîte pour les tièdes, les indécis et les dormeurs, elle demande une remise en question permanente. Elle demande une intégration continuelle de ce que l’on a compris intellectuellement. Cela se traduit par un changement dans nos pensées, langages, habitudes et comportements. Cela me rassure de savoir que l’équipe Léo est déterminée à avancer vers cette voie SDA, coûte que coûte sans se laisser rattraper ou submerger par la prédation. Il faut absolument progresser parce que la transition, c’est maintenant. C’est pour cela que le réseau Léo met la barre toujours un peu plus haute et ne publie plus certains messages. Je peux moi aussi ne plus être publié mais je demanderais toujours pourquoi et surtout, j’essayerais de comprendre pourquoi. C’est parce que je me serais trop fait rattraper par mon prédateur, que je me serais trop rendormi et cela se ressentira dans l’énergie de mes messages. J’accepte que cette barre soit toujours mise un peu plus haut. Je comprends tout à fait la réaction de Sandrine vis-à-vis de la chanteuse qui est venue toquer à sa porte. Il est nécessaire de recevoir, si besoin, quelques coups de pieds dans le derrière pour avancer surtout si cela fait trente ans que l’on chemine et même en être reconnaissant. Parce que cet avancement concerne notre évolution vers des densités plus élevées et j’ai envie de dire : C’est pour notre plus grand bien !

 

Il est essentiel de préserver notre énergie vitale et de l’accroître de plus en plus parce que l’on va en avoir besoin, plus que jamais. Il faut être vigilant face à toute déperdition d’énergie, être plus ferme, déterminé, se respecter et le cas échéant rompre si l’on se fait abusivement pomper notre énergie vitale.

 

 

F– Prendre conscience de nos prises énergétiques :

 

Voici un passage important de Sandrine sur nos prises énergétiques :

« […] Moi, au début, je voyais comment on me soutirait de l’énergie, et à un moment donné, j’ai inversé le miroir et je me suis dit ok, t’as capté comment on te soutire de l’énergie, mais toi, comment tu en prends de l’énergie ? Et alors là, j’ai changé ma paire de lunettes et je me suis dit : Ouah, OK, il y a plein de choses dans mon comportement quotidien que j’ai modifié, mais d’autres choses, des subtilités …. »

 

Nous prenons tous de l’énergie aux autres et c’est important de le conscientiser. Je vais donner quelques exemples : Si j’habite au second et que je dois descendre au rez-de-chaussée, j’en profite pour descendre les poubelles en même temps au lieu de compter sur ma compagne pour qu’elle s’acquitte de cette tâche. Ou alors, je sais que l’infirmier doit passer, je ne vais pas partir faire une course à ce moment-là au risque de le faire venir pour rien. Ou encore, ce même infirmier ne se garera pas n’importe comment obstruant le passage et attendant que quelqu’un vienne lui dire qu’il ne peut pas passer avec sa voiture.

 

Il y a longtemps, j’étais magasinier et je vendais des composants électroniques mais je devais remplacer ma collègue de temps en temps qui s’occupait de l’électro-ménager. Je me souviens que des femmes clientes, à tour de rôle, me faisaient déballer des stocks de couvertures chauffantes. Ça n’allait jamais, soit la couleur, la taille, la forme ou tout autre chose, ça ne convenait jamais et elles repartaient quelquefois sans rien acheter. Je devais à chaque fois remballer, restocker. Je n’ai pas tenu longtemps comme vendeur, le soir, j’étais complètement vidé. Ou encore, demander qu’une information nous soit servie sur un plateau alors qu’il suffit d’utiliser le moteur de recherche pour se la procurer. Hélène a pris conscience de cela en ne faisant pas venir John, le garagiste pour rien puisqu’elle venait de démarrer. Sandrine n’a pas pris d’énergie à son opticien. Quand l’on veut se rassurer, on prend encore de l’énergie aux autres etc…

 

Nous passons notre temps à pomper de l’énergie aux autres et conscientiser cet aspect permet de se responsabiliser. Alors, j’ai constaté que lorsque l’on prend conscience de nos prises énergétiques sur les autres, l’on devient du coup plus sensible à la prise énergétique des autres sur nous. Ce processus de responsabilisation, de conscientisation de notre prise énergétique sur les autres et le changement de comportement qui en découle, c’est cela aussi, l’intégration de la Connaissance. C’est un petit exemple indiquant comment nous pouvons nous défaire de certains programmes SDS bien ancrés en nous et renforcés continuellement dans la danse des habitudes.

 

 

G – Savoir et Connaissance.

 

Je vais essayer d’exprimer mon ressenti entre le savoir et la Connaissance sachant que je ne détiens pas la vérité. J’en ai déjà une bonne définition grâce au réseau Léo mais j’ai envie d’exprimer ma compréhension et je vais vous en faire part.

 

On a souvent tendance dans le monde à ne pas faire la différence entre le savoir et la connaissance ou a même inverser ces deux termes. Dans quelques cas, on attribue le savoir à la sagesse. Ou bien on compare savoir et connaissance en les mettant au même niveau. J’ai survolé quelques définitions sur internet qui m’ont embrouillé plus qu’autre chose et pour ma part, je m’aligne complètement à la définition du Léo Dico sur la Connaissance.

 

Je n’ai même pas du tout envie de comparer le savoir à la Connaissance car cela n’a plus beaucoup de sens pour moi.

La Connaissance, c’est bien plus que le savoir qui n’est qu’une composante de la Connaissance.

Tous deux ont cependant un point commun, l’information.

 

La quête du savoir relève du mental humain, de l’intellect, il reste théorique mais aussi pratique (Savoir-faire). Il relève de la raison, de l’énergie masculine. Le savoir opère dans une sphère limitée, j’ai envie de dire, dans la sphère de la matrice SDS. Le savoir constitue une somme d’informations, de données que l’on ingurgite pour l’obtention d’un diplôme par exemple. Ma fille qui a quarante ans passe un bac de logistique en ce moment. Au début, j’ai fait quelques exercices et lu quelques supports de cours et je me suis rendu compte de la masse importante d’informations à ingurgiter en six mois. (Législation, gestion de stock, optimisation de stocks, calcul des déplacements des magasiniers chiffrés en minutes etc…).

 

Bref, j’ai vite compris que ce savoir était accès sur la rentabilité, l’optimisation, les aptitudes pour susciter un comportement robotique. Ceux qui passent ce diplôme ne s’amuseront pas à contester cet enseignement au risque d’être recalé à l’oral. Cet enseignement ou savoir est ingurgité sans état d’âme, sans discernement, sans aucune contestation. Ce n’est pas un jugement mais un constat. J’ai fait de même plus jeune. Je me rends bien compte que le monde se dirige vers la robotisation des esprits plus que jamais dans tous les domaines. Je me suis encore dispersé mais c’était un exemple pour montrer la limitation du savoir dans la bulle de la matrice SDS.

 

La quête de la Connaissance requière la mise en œuvre de notre partie SDA et la conscientisation de notre partie SDS. J’ai besoin de connaître le savoir pour en découvrir ses limites. J’ai besoin de conscientiser la prédation pour ne plus fonctionner comme un robot et pour qu’elle puisse m’enseigner. Et pour que les énergies SDS dans lesquelles je suis immergé puissent m’enseigner, je dois faire appel à ma partie SDA incarnée qui possède l’intelligence SDA ou du cœur. Cette partie possède la réflexion, l’objectivité, la Sagesse, le discernement, le pôle féminin/masculin, la lucidité, l’intuition qui permettent de reconnaître et de conscientiser les pensées qui nous parasitent, les émotions qui nous plombent, les divers ressentis, les mensonges et la vérité dans ce monde SDS.

 

Je dirai que l’intuition de l’Ange, du soi supérieur ne me donne pas la Connaissance telle quelle comme par exemple : Il ne faut pas se goinfrer de sucre parce que ce n’est pas bien pour ma santé. Le soi supérieur dispose d’une Connaissance incroyable mais il va simplement me donner des indices, des flashs d’informations, des signes, des symboles, des intuitions que je dois apprendre à décoder, à reconnaître, à écouter dans mon environnement, dans mon corps et si je m’obstine à ne pas écouter mon soi supérieur, ma guidance, je m’oriente vers l’involution puisque je reste l’otage inconscient de la prédation.

 

La quête de la Connaissance se réalise sur le terrain de la troisième densité, dans cette incarnation, dans cette matrice SDS parce que tout est requis pour en retirer un super enseignement, une super connaissance.

 

Alors oui, le savoir, les mensonges, nos souffrances, la corruption, la manipulation à outrance, nos expériences de Vie nous enseignent à condition de se poser les bonnes questions, d’écouter notre guidance et de mettre en pratique notre partie SDA. Et pour cela, il faut être en connexion avec notre Ange, notre soi supérieur qui s’évertue à nous donner des signes sous forme d’intuition pour apprendre à aiguiser notre discernement, pour retrouver notre lucidité et pour nous conduire vers l’évolution de conscience.

 

La quête de la Connaissance requiert l’écoute, l’observation et la compréhension de nos rôles karmiques qui se rejouent dans la matière mais aussi de notre fonctionnement SDS et de ce monde SDS. En gros, notre plus grand enseignant est bien la prédation. Oui, le bien nous enseigne en nous montrant par exemple qu’il n’existe pas que le mal mais le mal nous enseigne aussi si nous apprenons à le reconnaître et à accepter son rôle dans l'équilibre de la Création. Le mal en moi, mes dépressions m’ont fait avancer à coup de pieds dans le derrière et m’ont appris à avoir du discernement, de la lucidité.

 

Cette quête vers la Connaissance peut ne jamais vraiment commencer ou peut être interrompue ou limitée parce que notre prédateur attitré, la prédation ambiante et la prédation qui gère la matrice SDS feront tout pour nous dissuader d’aller à la quête de cette Connaissance. C’est leur rôle. Cependant, je pense que tout humain possède en lui une partie de la Connaissance et intègre malgré tout un peu de cette Connaissance au travers de ses expérimentations mais il a tendance à l’occulter, à ne pas écouter son intuition, ses ressentis et cela sera ainsi tant qu’il n’aura pas conscientisé les énergies prédatrices qui le manipulent au travers de l’ego. Je fais souvent cette remarque qu’iKam a relevé : « Merci de bien vouloir rectifier si je me trompe » Bien sûr, je peux me tromper comme tout le monde et je suis sujet moi aussi à mon prédateur attitré comme les autres. Il peut me parasiter dans mes écrits, dans mon énergie et je compte sur vous tous et pas seulement sur l’équipe Léo pour donner votre avis, votre éclairage, votre point de vue sur la question avec votre partie SDA, bien sûr, qui est exempte de jugements mais qui recèle Sagesse et Connaissance. Nous formons tous une équipe pour amener notre Connaissance sur le réseau Léo. C’est bien cela qui est passionnant, grandir ensemble en conscience et co-créer ce monde en devenir. La pensée peut tout créer. Cette Connaissance, il faut bien évidemment l’intégrer dans nos pensées, paroles et comportements. Je fais la distinction entre la Connaissance qui est pour moi indispensable pour emprunter la voie SDA et le savoir en général.

 

Le savoir se divise pour moi en deux catégories :

 

Il y a un savoir au service du mensonge qui nous emprisonne dans la matrice SDS et qui est abondamment diffusé et il y a un savoir au service de la vérité. Ces deux savoirs contribuent au cheminement SDA. Le savoir au service de la vérité est abondamment critiqué, occulté, voire condamné par l’élite dirigeante. Je pense que tout le monde a remarqué cela. C’est pour cela que mon attention est toujours attirée par des articles qui sont décriés et qui dévoilent souvent des vérités.

 

Le savoir relève du mental humain, de l’intellect. Le savoir provient de l’extérieur de nous et la Connaissance provient de l’intérieur de nous. J’ai acquis un savoir officiel depuis l’école et dans ma bulle de perception pour commencer, comme tout le monde, mais comme il ne me convenait jamais, j’ai cherché un autre savoir, une autre version des choses et j’ai acquis ce savoir en me servant de l’intuition et en grattant dans des sites alternatifs. C’est là que j’ai compris qu’il y avait deux sortes de savoirs parce qu’ils ne disaient pas la même chose, ils se contredisaient dans X domaines. L’intuition, le ressenti, le discernement, l’instinct nous permettent de deviner ou se trouve la vérité. J’en ai déduit qu’il y avait un autre savoir qui était au service de la vérité. Les deux savoirs, vrais ou faux sont cependant nécessaires dans la quête de la Connaissance après réflexion.

 

J’ai maintenant arrêté d’investir toute mon énergie dans le savoir puisque l’intuition a largement pris le relais mais je ne rejette pas ce savoir. Exemple :

Le savoir au service de la vérité nous révèle le danger du sucre par quelques chercheurs de vérité. Mais c’est l’Ange en Jenaël et en Sandrine qui les ont aiguillés et amenés par toute sorte d’indices, de déductions et de symboles à prendre en considération le danger du sucre et à entamer un régime cétogène. (Dialogue N° 39) Ils ont donc intégrés cette Connaissance de l’Ange en eux.

Ce savoir du danger du sucre révélé par quelques chercheurs de vérité existait bien avant leurs prises de conscience mais il n’était pas pris en considération. Il est donc essentiel d’accéder à la Connaissance. Le savoir quel qu’il soit ne suffit pas pour cheminer en voie SDA.

 

Ce savoir au service de la vérité, celui qui est validé par notre intuition, confirme la Connaissance acquise mais il ne substitue pas à la Connaissance, il ne remplace pas la Connaissance. Exemples de savoirs : (Danger du sucre, de l’aluminium, du mercure, du fluor, des ondes nocives etc…)

Ce savoir contribue à prendre conscience des pièges qui nous enferment dans la matrice SDS. Seule la Connaissance peut nous conduire vers le cheminement SDA.

 

Il existe une multitude de savoirs dans les différentes disciplines comme les sciences, l’histoire, la géopolitique, la médecine, les techniques, la biologie, l’archéologie et je rajoute la logistique en gestion de stock que je viens de découvrir etc… Je respecte autant ceux qui ont acquis du savoir par leurs efforts, leurs aptitudes que ceux qui n’ont pas beaucoup de savoirs.

 

Il est impossible de tout connaître et de toute façon, il est utile de comprendre que la presque totalité du savoir est au service de la matrice SDS. Il faut donc rester très vigilant, très critique, très intuitif par rapport à ce savoir et ne jamais le prendre pour argent comptant.

 

La plupart des gens se contentent d’un savoir basique, d’autres acquièrent plus de savoirs au travers des diplômes, du parcours professionnel ou en étant autodidacte. Quel que soit l’étendue de ce savoir, il ne pourra pas nous conduire vers le cheminement SDA puisqu’il relève de la matrice SDS et que ce savoir, aussi vaste soit-il, est volontairement limité par le consortium SDS. Mais quelque chose me dit qu’il ne faut pas rejeter le savoir ou l’opposer à la Connaissance, il y a une complémentarité. Le savoir est une base utile pour la quête de la Connaissance ne serait-ce que pour apprendre à avoir du discernement mais il est à relativiser, nous devons toujours douter de ce savoir lorsqu’il diffère de notre intuition, il doit être évalué ou validé par cette dernière.

 

 

H – La connexion à l’Ange doit être motrice dans la recherche d’information :

 

Je viens de prendre conscience, à l’instant, en écrivant, de quelque chose d’important. C’est une intuition qui me parvient, qui me surprend, et qui me dit que je fonctionne à l’envers.

 

Cette intuition me dit qu’il faut commencer par me mettre en connexion avec l’Ange en moi et non commencer par explorer le savoir au service de la vérité, tous azimuts, pour m’occuper et faire des prises de conscience. Mais pour moi, la connexion à l’Ange, c’est l’écoute des informations de l’Ange ou de mon soi supérieur. J’ai l’impression que c’est ce qui se passe en ce moment. C’est l’intuition qui me dit que je ne procède pas de manière optimale pour mon cheminement. Cette intuition qui me parvient, c’est de l’information qui me dit que je dois commencer par l’écoute de l’Ange en moi. Le savoir au service de la vérité est comme subsidiaire, facultatif mais cela entre dans la Connaissance.

 

Je repense à l’intuition de Sandrine et Jenaël à propos de la nocivité du sucre. Je peux me tromper, mais l’élément qui a été déclencheur chez eux sur la nocivité du sucre, c’est l’écoute de l’Ange en eux et non pas le savoir sur le danger du sucre puisqu’ils étaient végétariens juste avant. Mais le danger du sucre suscité par les indices de l’Ange ont amenés par la suite Sandrine et Jenaël à faire le régime paléo-cétogène (Intégration) et ensuite à rechercher et nous fournir des textes de chercheurs de vérité sur le site (ou savoir au service de la vérité) pour nous confirmer du danger du sucre. Pourquoi ? Parce que nous fonctionnons encore avec des preuves et pas suffisamment avec l’intuition. Moi le premier en tout cas. J’ai pris l’habitude de parcourir en premier des sites de savoirs au service de la vérité (Sites alternatifs) et mon intuition me confirme si les informations que je lis sont correctes. Autrement dit, je fonctionne à l’envers, je me sers de l’intuition pour valider mes informations alors que je devrais en premier faire appel à l’intuition et éventuellement valider mon intuition par le savoir au service de la vérité.

 

Je prends conscience maintenant que je n’aurais jamais à ma connaissance tout le savoir au service de la vérité puisque ma consultation des sites est limitée, sélective et je ne lis pratiquement pas de livres. C’est l’intuition, la connexion à mon soi supérieur que je dois privilégier parce que l’Ange en moi sait mieux que quiconque ce que je dois savoir et comprendre pour mon cheminement. Cette entrée-là est optimale et extrêmement fiable alors que l’autre entrée est restrictive et bien moins fiable.

 

Quoi qu’il en soit, j’ai définitivement rompu depuis quelques mois toute recherche intense de savoirs au service de la vérité et je ne fais plus que survoler rapidement et de moins en moins des sites alternatifs avec beaucoup de vigilance. Je l’ai fait pour une autre raison que celle que je viens d’exposer, je l’ai fait parce que je me suis rendu compte que ces sites alternatifs me maintenaient en réaction, dans un état de révolte, de colère intérieure, de frustration et de dualité. J’entretenais de la frustration car je ne pouvais communiquer ces informations à quiconque parce que trop déstabilisante pour les autres. J’ai même été agressif verbalement vis-à-vis de ma compagne qui gobait sans discernement l’actualité et donnait son avis conditionné par les médias sur de récents évènements sombres dans notre pays.

 

Cependant, ces sites alternatifs m’ont fait comprendre l’immense manipulation en tous genres qui existait sur ce monde et m’ont permis de me dégager d’un grand nombre de croyances/illusions. Le danger, c’est de m’y investir, d’y investir mon énergie émotionnelle parce cela me maintient dans la dualité, dans une absence de paix et de joie. J’ai pris conscience de cela mais la prise de conscience ne suffit pas, il faut intégrer dans nos pensées, paroles et habitudes cette prise de conscience. Les informations en géopolitiques ne m’intéressent désormais pas plus que ça comme il est dit dans le cahier n°13 parce que j’ai compris globalement les enjeux qui se déroulaient sur ce monde, je sais à quoi m’en tenir sur ce monde que je ne peux pas changer. Je n’attends plus rien de ce monde SDS.

 

Je me détache progressivement de ces sites alternatifs mais je fonctionne encore par habitude. L’intégration est en cours et lorsque j’aurais changé mon comportement, mes habitudes, je pourrais dire que j’ai intégré les informations de l’Ange en moi qui me sont parvenues sous forme d’intuition et qui m’ont fait prendre conscience. Je pourrais dire que j’ai intégré la Connaissance.

 

 

I - La dispersion sur divers sites spirituels.

 

Je me souviens avoir entendu parler du danger de la dispersion sur un site New-Age mais c’était, à mon avis maintenant, pour dissuader les internautes de s’aventurer sur d’autres sites que le leur. J’ai remarqué que le réseau Léo ne parle pas de ce problème de dispersion, je pense que c’est parce qu’ils respectent le libre arbitre de chacun. Pourtant, il y a quelque chose de vrai dans ce problème de dispersion et je vais simplement parler de mon expérience personnelle.

 

Cela fait quelques mois que je ne consulte plus divers sites en matière de spiritualité. Je ne peux plus, c’est comme un repoussoir. Je ne perds plus mon temps à écouter ces sites qui ne parlent jamais de l’emprise psychique de la prédation sur l’homme. Ce sont pour beaucoup des sites New-Age. Donc, je m’attache toujours pour évaluer un site à repérer ce dont ils ne parlent pas. Je ne me positionne plus maintenant que sur un seul site, le réseau Léo qui abonde de suffisamment d’informations essentielles pour mon avancement.

 

La dispersion sur plusieurs sites avait tendance à m’embrouiller lorsqu’il s’agissait de sites « Dits spirituels ». Les sites « Amour et Lumière » ont chacun comme une énergie particulière. On arrive à les reconnaître rien qu’en lisant un texte. Quand je survolais différents sites, je finissais par mélanger les énergies et je m’étais rendu compte que je finissais par m’embrouiller, par perdre le discernement. C’est un peu comme respirer plusieurs parfums différents à la fois, on finit par ne plus reconnaître l’essence du parfum d’origine. Ce n’est que ma constatation, rien de plus, chacun est libre de faire comme il lui convient, bien sûr !

 

Disons que c’est encore l’intuition qui devrait déterminer un choix. En fait, je pense qu’on reconnaît l’énergie d’un site ou d’un enseignement et qu’il est préférable de s’y tenir un moment si cet enseignement entre en résonance avec soi et cela, quel que soit le site. Alors qu’est-ce qui m’a poussé à rompre avec ce site New-Age début 2011 où j’étais solidement accroché ? C’est mon intuition qui m’a fait comprendre que quelque chose ne collait pas, je m’étais complètement coupé de la quête de la Connaissance. Je me suis plongé ensuite dans ce savoir alternatif à la recherche de la vérité. C’est à l’évidence, la guidance de mon soi supérieur qui m’a guidé vers le site du réseau Léo il y a presque trois ans.

 

Autrement dit, c’est la guidance de notre Ange que l’on doit écouter.

 

François Y. (Inscrit au cénacle - dépt 09)

 

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