7. Démanteler le piège de l'entité arachnoïde - par Yakout et Fred

 

Dans notre texte précédent, j’évoquais avec Fred la manipulation d’une entité psychique, probablement une araignée humanoïde de 4D SDS, qui m’avait petit à petit insufflé des idées de séparation d’avec Fred. Sous son emprise, j’étais prête à divorcer (5. Intelligence Artificielle et Insécurité Affective - par Yakout et Fred).

 

Depuis notre arrivée dans l’Aude pour rejoindre le groupe des LEO en 2019, je parvenais de moins en moins à contenir ma colère face à Fred, car je voyais qu’il n’accomplissait pas son travail intérieur. Celui-ci se faisait le reflet de ma propre difficulté à retourner le miroir vers moi. D’autant qu’il était/est tout autant sous l’emprise psychique de sa propre entité qui le maintenait/maintient dans l’arrogance, l’orgueil, la rétention d’information et la non communication, le tout en miroir avec moi.

 

Parallèlement, je subissais chaque soir, pendant des heures, un harcèlement psychique au travers de scénarios haineux, orientés le plus souvent envers lui et qui tournaient en boucle. M’écroulant souvent d’épuisement, je n’avais plus l’énergie nécessaire pour dire : « NON, STOP ! », ou pour effectuer mes récapitulations quotidiennes. À d’autres moments, j’en venais à valider des pensées très négatives qui pouvaient être dirigées vers d’autres, même si je ne les leur exprimais pas.

Autrement dit, les intervalles d’accalmie étaient très courts. Pensant libérer cet émotionnel en pleurant, je ne faisais finalement que nourrir une entité psychique, ce qui me maintenait inévitablement dans de basses fréquences.

 

Contrairement à d’autres situations, il ne s’agissait pas là de transmuter de l’émotionnel ou de libérer des mémoires. Dans ce cas précis, ma leçon était d’apprendre à mettre une « barrière mentale », à « couper » avec ces intrusions de pensées négatives qui polluaient ma psyché.

 

À plusieurs reprises, Fred m’avait dit : « Je ne te demande pas de faire à ma place, fais juste pleinement ton travail et cela m’aidera ». À quelle part de moi s’adressait-il et à quel travail faisait-il alors allusion ?

 

Finalement, un jour je compris que l’entité arachnoïde de 4e densité SDS que j’avais identifiée, m’empêchait de recontacter pleinement ma part Amasutum. Cette arachnoïde entravait par conséquent, la mission que nous devions effectuer Fred et moi.

Épuisée et frustrée parce que les choses ne s’arrangeaient toujours pas entre nous, alors que je pensais faire mon « job », j’exprimais à plusieurs reprises des demandes d’aide à mon Soi supérieur afin d’identifier l’origine de ce noeud. C’est par mes rêves que je reçus d’autres informations.

 

 

Premier rêve dans un laboratoire-cuisine

 

Je suis dans une sorte d’entreprise où je fais de la cuisine seule dans un box vitré, qui me semble être un laboratoire. Du matériel de chimie et de biochimie se trouve sur la table. Un homme me suit dans tous mes déplacements. Je profite de son absence pour prendre rapidement un sachet en plastique afin de subtiliser de la poudre de tomate, que je glisse ensuite dans la poche de ma blouse verte. Lorsque je sors du box, une collègue m’interpelle. Elle m’apprend qu’une autre société souhaite m’embaucher et que ceux-ci vont probablement prendre contact avec moi bientôt.

Puis je me dirige vers les vestiaires et arrive au 4e étage, où tout est transparent (murs, sols, plafonds, etc.), je me sens totalement à découvert. Mon badge d’accès ne fonctionne plus pour franchir les portes de ce bâtiment en forme de cube. Je me dirige donc vers un autre bâtiment où je me déshabille et en profite pour goûter la poudre de tomate que j’avais volé. Son goût infect me sortit aussitôt de mon sommeil.

 

Ressentant que ce rêve était important, sans pour autant en saisir toutes les subtilités, je décidai de le partager au groupe. Ceci me permit de mettre en évidence certains éléments saillants :

 

La blouse verte que je portais et le fait de me sentir à décou-vert, faisaient probablement référence à une reptilienne à la peau verte, travaillant dans un laboratoire sur un autre plan : une part Amasutum généticienne. Par ailleurs, l’analogie entre le 4e étage et la 4D était pour moi une évidence et le cube une allusion à la matrice duelle 3D. Cette autre société ne représenterait-elle pas des consciences plus évoluées d’un autre monde, cherchant à entrer en contact avec moi ?

Pour finir, la poudre de tomate « infecte » dérobée dans ce laboratoire était probablement un indice important, puisqu’à mon réveil, je sus que je venais d’observer une personne faisant un travail bien spécifique sur le séquençage de l’ADN, mais lequel ? Je n’en savais pas plus pour le moment.

 

D’autres éléments venaient petit à petit compléter ce début d’enquête. Le lendemain matin j’avais passé une commande groupée auprès de la société KERAMIS, dont le nom m’interpellait, ainsi que le montant de la facture s’élevant à 999 €. Ces éléments m’incitèrent donc à enquêter.

 

KER - AMIS, en langage des oisons signifie les Amis du Cœur.

« KERAMIS est un mot grec qui désigne une amphore de terre cuite… C’est un symbole de la qualité des relations que nous avons nouées ensemble. Cette amphore est la parfaite illustration de l’alliance de la nature et de la main de l’homme : elle résiste au fil du temps… et prend de jour en jour de la valeur, une valeur partagée ». Source KERAMIS L’Art du sourcing - 1991 -

 

J’avais une nouvelle information : celle d’une amie de cœur, avec qui j’avais noué une alli-an-ce - une alliée en Soi. Effectivement, j’avais à réintégrer ma part Amasutum et à continuer à m’extraire de ma voie SDS pour aller vers le Service d’Autrui. Mais avant tout, je comprenais qu’en réintégrant l’extension de cette part généticienne, pouvait se faire à travers moi Yakout, un travail bien spécifique sur la génétique.

De plus, sur leur site apparaissait une partie intitulée «NOTRE ADN» dans la section « NOTRE MÉTIER ».

 

 

 

Le terme ADN me renvoyait à la laborantine de mon rêve et venait compléter les indices que j’avais déjà perçus. Il devenait de plus en plus clair pour moi que cette reptilienne de couleur verte, cette Amasutum généticienne, se manifestait à moi pour que je la reconnaisse et la réintègre.

 

J’étais également face à un nombre très symbolique, le 999.

« Le nombre 999… exprime la vibration de l’Equilibre énergétique retrouvé et il confirme le retour à la lumière… le Christ… il semble que le temps soit venu d’accoucher de soi-même ». Source L’Arche de Gloire

 

Ainsi je compris qu’il était temps pour moi d’intégrer une part de moi-même. En reconnaissant cette Amasutum généticienne, commencerait à se réactiver en moi le gène de la compassion, c’est-à-dire le Kiristos. Grâce à lui je pourrai poursuivre mon travail d’accueil d’autres parties sombres de mon âme, avec de moins en moins de jugement et donc plus de facilité.

 

… Le Christ (Kiristos ou Kiristi) est une sorte de codage génétique présent dans l’ADN humain provenant du génome mitochondrial (ADNmt) légué par les planificatrices (Amasutum, Abgal…) au Service d’Autrui. Ce codage exprime la part « lumière informative » qui résonne avec les Lois universelles de l’Évolution provenant de la Source créatrice. (À l’inverse du SDS qui représente la part sombre/involutive/entropique de la même source).

Environ la moitié des humains sont porteurs de cette génétique christique, mais très peu parmi eux ont été capables de la réveiller, de la réactiver ».

Réponse de l’équipe LEO dans la Question 45 - La légende de Jésus

 

… Le Kiristos est effectivement de l'ADN qui a voyagé dans le temps, mais jamais par une quelconque technologie.

Il est le résultat de milliard d'années d'évolution de la conscience globale, car beaucoup d'espèces vivantes dans la galaxie ont évolué lentement et naturellement en respectant les lois de l'univers. Le Kiristos est donc une sorte de programme développé par la conscience globale des êtres et entités qui ont appris à comprendre, accepter, puis à reproduire ce que nous pourrions appeler l'amour véritable, compassionnel, non attachant, non sélectif. En d'autres mots, il est le résultat du respect des lois de l'univers et des cycles d'évolution du vivant, profondément gravé dans la génétique du futur.

Source Réseau LEO, Cahier 9 - Miroir mon beau miroir, dis-moi pourquoi ? & Montauk et le cube d’Orion

 

Comme pour souligner un peu plus ces premiers signes, quelques jours après mon rêve, Fred, surpris, me fît remarquer que les boîtes de tomates, que nous avions prévu d’acheter lors des dernières courses, avaient été oubliées. À ce moment-là, je ressentis un sentiment d’agacement venu d’ailleurs.

Je fus frappée par la synchronicité entre son annonce et l’information contenue dans mon premier rêve : l’absence des boîtes de tomates venait mettre en exergue le sachet de poudre de tomates, qui correspondrait symboliquement à du matériel génétique volé dans ce laboratoire.

Que devais-je comprendre concernant cette « poudre de tomate au goût infect » ?

 

C’est alors qu’un autre rêve vint bousculer ma psyché.

 

Je rentre dans un magasin où je vais choisir une grande enceinte de ma taille en forme de cercueil. Lorsque je paye, le caissier me donne un sac à dos spécial pour la protéger, puisque me dit-il : « il s’agit d’un article unique ». Ensuite, ce sac sur le dos, je me retrouve en ville avec une de mes sœurs, qui dans le rêve a le visage de Sand et un chat noir que j’appelle spontanément Mami, arrive.

Puis me dirigeant seule vers un bâtiment, je suis poursuivie par un homme qui veut m’abattre. Je rentre précipitamment dans un ascenseur tout en appuyant frénétiquement pour fermer les portes. Mon agresseur, derrière la paroi, tire des projectiles qui transpercent la cloison et arrivent dans ma direction au ralenti. Me baissant rapidement, j’ai très peur qu’une des balles n’abîme l’enceinte. La porte opposée s’ouvre enfin et je sors précipitamment, ce qui me réveille brusquement.

 

Dans un premier temps, voici comment je décryptai ce second rêve : l’enceinte que je portais m’évoquait une grossesse, ce qui me confirmait, cette reconnexion à mon Amasutum. La symbolique autour du cercueil représentait probablement un sarcophage la transportant. J’affirmais aussi que le nom du chat, Mami, était à l’évidence celui de Mamitu-Nammu (cf. les travaux d’Anton Parks), Faiseuse de vie, dont j’étais persuadée être l’incarnation en personne.

 

Toutefois « secouée » par Fred lors d’un échange avec lui, je reçus l’information que l’enceinte pouvait plutôt symboliser un cercueil, dans lequel l’entité arachnoïde voulait nous enfermer, ma part Amasutum et moi. Les tirs de cet homme représenteraient les efforts du corpus SDS pour m’empêcher de réintégrer celle-ci.

 

Grâce à une discussion avec le groupe, je pus comprendre que mon interprétation de ce rêve reposait sur une lecture SDS et était donc erronée. Conscientisant difficilement que j’avais été l’objet d’une manipulation psychique de la part de l’entité arachnoïde de 4e densité, cette information restait purement mentale.

En effet, le plan de cette entité arachnoïde était de se faire passer pour l’Amasutum et pour cela, elle venait flatter mon ego en me faisant croire que j’étais l’incarnation même de Mamitu-Nammu ! Alors qu’il me fallait surtout revenir à moi, Yakout !

 

 

Les ruses de l’arachnoïde et son hypnose redoutable

 

Toujours sous l’emprise de cette entité, je recherchais diverses informations qui alimenteraient, sans que je n’en ai conscience, un scénario de division vis-à-vis de Fred.

Comme mon premier rêve faisait allusion à de l’ADN infecté (représenté par le goût de tomate infect), je me mis à me documenter sur le génome humain. Ainsi je réunis plusieurs textes autour d’humains dépourvus de la capacité d’empathie, focalisant toute mon attention sur une lignée pré-adamique, soit psychopathique. Au plus je réunissais ces extraits, et au plus je pensais qu’ils décrivaient tout ce que j’observais chez Fred. Je finis même par croire qu’il était un portail organique incapable de comprendre les miroirs quantiques.

 

Les portails organiques - L’ « autre » race 1ère partie, et 2ème partie, source quantumfuture.net

 

D’autre part, l’arachnoïde manipulait mon ego pour me faire rejeter tous les miroirs quantiques qui se présentaient à moi.

Cette répulsion m’amenait à fuir du regard, voire physiquement, ceux chez qui je percevais en miroir cette « noirceur » que j’associais à la psychopathie, me faisant oublier la part d’humanité en eux.

 

Je ne comprenais pas immédiatement qu’il s’agissait d’opportunités mises en place par mon Soi supérieur pour accepter cette « noirceur », vis-à-vis de laquelle je n’étais pas impartiale.

 

Comment s’y prenait-elle pour me duper à ce point ?

Et bien, elle jouait sur le fait que j’oubliais que ces pensées n’étaient pas les miennes. C’est pourquoi le groupe tentait de me rappeler que nous avions pourtant débuté ce travail en binôme (Fred et moi), en donnant chacun l’impulsion nécessaire dans le domaine qui nous était le plus familier. Moi, sur la partie spirituelle, en m’intéressant au Réseau LEO et en comprenant finalement qu’il était primordial que nous les rejoignions dans l’Aude. Fred, sur la partie matérielle, en soutenant le projet et facilitant la concrétisation de l’ÉCOLEO lors de l’achat de la bâtisse.

Sur un autre plan, Fred était probablement une progéniture des Amasutum. Alors, dans son incarnation actuelle, travaillant chez Groupama, n’était-il pas naturel qu’il contribue à l’acquisition du lieu prétexte à la réunion du Groupe des Amas (sutum), des Mères ?!

 

En jouant sur cette amnésie, l’entité arachnoïde comptait nous détourner de notre contrat d’âmes, en entretenant le schéma de couple prédominé par la dualité (rejet, séparation, conflits).

Durant les interactions conflictuelles avec Fred, je devais reprendre ma responsabilité, puisque je génère ma réalité !

Sortir à chaque fois de l’identification à cette entité psychique « psychopathique » était une première grande étape. La seconde étape était de ramener ce miroir extérieur détestable, parce que jugé, à l’intérieur de moi, faute de quoi je restais dans le rejet d’une part de moi-même, ce qui me maintenait dans la dualité, la division avec l’autre.

 

Lorsque je luttais contre ce miroir, privée de l’échange d’informations avec autrui, cela permettait à l’entité de se nourrir continuellement de mes émotions, par exemple de la colère.

Or c’est précisément par ces jeux de miroir, que Fred m’aidait à me libérer de l’emprise de cette entité arachnoïde.

 

Effectivement, sans le travail de binôme et de groupe, il m’aurait été impossible de m’extraire seule au quotidien des croyances auxquelles j’avais adhéré. En pleurs, c’est ce que je compris en visionnant la Capsule intuitive n°10, dans laquelle je relatais le processus de reconnaissance d’une araignée de 2e densité, que j’avais vécu plusieurs mois auparavant.

 

À cette époque, j’avais la conviction que l’entité psychique arachnoïde de 4e densité, avait besoin de mon aide pour accéder au changement de cette fin de cycle. Alors qu’en fait, cette croyance était probablement issue d’une manipulation de sa part.

 

Dans la même idée de sauvetage, j’avais également été convaincue qu’une araignée terrestre de 2e densité, voulait elle aussi surfer sur l’onde pour transiter en 3e densité. J’avais alors dû dépasser le jugement que je portais sur cette 2e densité qualifiée d’inférieure, ainsi que ma révulsion et ma peur à l’idée de « descendre » dans la 2e densité, afin d’aller au contact de cet arthropode.

 

À ce moment-là, je ne voyais absolument pas le programme de sauveur qui s’était activé en moi et encore moins le scénario mental farfelu de bon samaritain dans lequel je m’étais embarquée.

 

J’avais associé cette araignée à un alter alors qu’elle représentait une de mes essences animales de 2e densité. L’araignée de 2e densité avait donc servit de support de manipulation pour celle de 4e densité SDS.

Ma leçon était de conscientiser entre autres, ce jugement envers cet animal afin de le reconnaître simplement comme faisant partie de mon essence, de mon ADN. Avec le recul, je constatais que je n’avais pas vu le piège de l’entité arachnoïde de 4e densité, qui par mon consentement à ce scénario, m’avait maintenu sous son emprise psychique.

 

Grâce à cette Capsule intuitive, je découvris aussi qu’une autre part de moi restait convaincue que cette entité était bienveillante. Comme pour certains peuples amérindiens (notamment les Navajos), indiens, sibériens, japonais etc, cette illusion est fortement ancrée dans la culture musulmane, dans laquelle j’ai grandi. Ainsi, je me remémorai les paroles prononcées par mes parents lorsque je leur signalais la présence d’une araignée dans la maison : « Laisse-la, c’est « haram » de la tuer. Quand il y a une araignée dans la maison, ça porte bonheur ». (Ici Haram signifie l’interdiction, l’illégalité).

 

Cette croyance trouve son origine dans certains textes religieux et notamment l’histoire du prophète Mahomet et la légende du rocher araignée :

« … Cette histoire… raconte que Mahomet et abou Bakr, son plus proche compagnon, se réfugièrent dans une grotte pour échapper à leurs poursuivants Qoraïchites. Une fois qu’ils furent à l’intérieur, une araignée tissa sa toile à l’entrée de la grotte et une colombe pondit ses œufs sur une branche qui barrait cette même entrée. Lorsque les soldats arrivèrent, ils crurent que personne n’avait pu y pénétrer sans déchirer la toile d’araignée ni faire fuir la colombe et ils rebroussèrent chemin ».

Source L’araignée salvatrice, la religion, la littérature, le cinéma et la bande-dessinée et Al Rissalah - Le Message (histoire de l’araignée qui a sauvé Mahomet que l’on retrouve dans ce film à 1 h 08).

 

Étant d’origine algérienne, je réalisai que ce mythe, prônant le rôle protecteur de l’araignée, avait laissé une empreinte tenace dans l’ADN de ma lignée et ce jusqu’à moi. Cela pouvait expliquer la facilité avec laquelle elle parvenait à me manipuler.

Mes compréhensions successives sur l’entité arachnoïde de 4D, détruisirent à jamais l’image idyllique que mes ancêtres s’en étaient faits. Ressentant leur désarroi, je pleurais toute leur colère en intégrant cette information.

 

J’ai vécu également une autre expérience qui allait m’apporter davantage d’informations quant à sa manière d’opérer dans ma psyché et me confirmer la façon dont elle s’y prenait pour me duper. En effet, il y a plusieurs mois de cela, je partageai aux LEO mon ressenti d’avoir « deux reptiliennes en moi ». Information que j’avais complètement oubliée, bien que l’ayant pourtant relatée dans un texte précédent (2 - Se défaire de l’emprise de nos « corbeaux » et faire grandir notre partie SDS+)

 

Lorsque certains membres du groupe me rappelèrent cet épisode, je restais interdite devant cet oubli et prenais encore plus conscience de l’hypnose à laquelle j’étais sujette. En me replongeant dans le texte en question, je pus constater avec plus de recul cette fois, que l’entité arachnoïde avait toujours cherché à usurper « l’identité de l’Amasutum », afin de l’évincer et me garder sous son autorité. Et cette manipulation avait perduré jusqu’alors !

 

Elle avait pu le faire avec d’autant plus de facilité que leurs codes SDS seraient très proches. Toutefois, l’entité arachnoïde étant SDS-, elle utiliserait ses capacités à des fins personnelles, en vue d’exercer une emprise sur la conscience humaine pour la maintenir dans un schéma SDS. Tandis que l’Amasutum SDS+, chercherait à évoluer pour suivre une orientation vers le Service d’autrui.

 

C’est pourquoi, soutenue par ma part Amasutum, je percevais au fond de moi cette dichotomie, sans parvenir à me l’expliquer. Information que je n’avais pas su déceler à l’époque, car trop identifiée aux pensées de l’entité arachnoïde.

 

S’infiltrant entre autres, par mes blessures de rejet, cette entité psychique se jouait de moi en les réactivant dans ma réalité.

À différentes reprises, je remarquais que le fait qu’on me dise « Non !» générait une colère disproportionnée en moi, pouvant aller jusqu’à une énorme envie de tout casser.

 

Force était de constater que sous son emprise, je n’arrivais pas à me remettre en cause rapidement lorsqu’il y avait une interaction plus ou moins conflictuelle avec quelqu’un. À chaque fois, je ne voyais aucun problème chez moi. Cette incapacité à retourner le miroir m’amenait ensuite à mettre de la distance entre la personne et moi. Exactement le but escompté de cette entité : semer la division et me convaincre que l’autre est un ennemi.

 

À d’autres moments, je me voyais être dans la manipulation pour rallier certains au centre de pensée négatif de cette entité. De même, lorsqu’on me proposait de changer « mon point de vue », cela m’énervait. Je sentais une colère monter en moi, agacée qu’autrui n’adhère pas à « ma vision » et ne me soutienne pas dans cette guerre intestine que je vivais.

Je ne comprenais pas du tout que mon conflit extérieur provenait avant tout d’une lutte intérieure non conscientisée.

 

Ayant tous les éléments me permettant de repérer la présence de l’entité et les failles chez moi par lesquelles elle pénétrait, je pouvais maintenant accroître ma vigilance face à ces intrusions psychique et y mettre un terme, dès que je relevais un indice ; ceci tout particulièrement lorsque je sentais un conflit s’installer entre Fred et moi.

Toutefois, ce parasite psychique s’infiltrant par moult chemins, chaque attaque relevait d’un nouveau stratagème à identifier, afin de ne plus me laisser piéger par ses différents modes opératoires.

 

Et comme l’apprentissage n’a aucune limite, un soir je fis une expérience déroutante. Alors que j’étais allongée sur mon lit, je ressentis comme un resserrement au niveau de ma gorge, qui dura près de 2 h. Je m’interdis de pleurer et de paniquer, furieuse contre ce corpus SDS et cette entité arachnoïde qui m’ordonnait de lui fournir mon émotionnel. Sur le moment je décidai de ne pas répondre à ce harcèlement qui recourait à la force physique pour me contraindre. Sans m’en rendre compte, je rentrais littéralement en rébellion contre la prédation !

 

N’arrivant pas à comprendre clairement cette expérience nocturne, j’en parlais à plusieurs reprises avec le groupe. Certains me conseillèrent maintes fois de ne pas entrer en lutte, d’accepter de me laisser traverser et que le simple fait de pleurer aurait probablement écourté cette expérience.

 

Néanmoins, il m’était difficile de sortir de cette croyance que « je ne faisais que nourrir cette entité de 4e densité en pleurant cette strangulation ». J’étais certaine d’avoir fait le bon choix en ayant dit non à la prédation ce soir-là.

 

Tout comme les LEO, les Cassiopéens conseillaient dans cette transcription de ne pas rentrer en lutte face à la prédation, Séance du 26 novembre 1994, extrait :

Q : (T) Est-ce que j’ai des implants ?

R : Oui.

Q : (T) Ils se servent de ces implants pour contrôler et amplifier mes émotions de façon à pouvoir s’en nourrir ?

R : Pas contrôler, influencer.

Q : (T) Non, pas pour contrôler, influencer. Quand, disons, je me mets en colère, ça ne dure pas longtemps, mais quand ça dure longtemps, ça veut dire qu’ils ont utilisé cette technologie pour amplifier et exacerber cette colère, c’est bien ça ?

R : Oui. La connaissance protège, l’ignorance expose au péril.


Q : (T) Est-ce que je peux leur renvoyer ce que je veux, via leur technologie ?

R : Pas nécessaire.

Q : (T) Autrement dit, si je me mets en colère et que je réalise que je le suis plus que la normale, que je la transforme en quelque chose de positif et que je le leur renvoie pendant qu’ils ont leurs amplificateurs grands ouverts, est-ce que ça les affectera ? Est-ce que ça fera tout « capoter » chez eux ?

R : Là, tu « combats le feu par le feu ».


Q : (T) Et c’est ce que nous sommes censés faire ?


R : Ouvert. Mais qu’est-ce que cette phrase implique ?

Q : (L) Si tu leur renvoies la pareille... il me semble que ce qu’ils veulent dire, c’est que quand on sent qu’on se met en colère, la seule façon de stopper ça est d’arrêter d’être en colère, et se sentir heureux ou en paix. Quand on est heureux et en paix, alors on n’a aucun désir de renvoyer quoi que ce soit.

R : Bingo.

 

Je ne réalisai que bien après que j’avais joué le jeu de cette entité psychique, car en validant le scénario de lutte, j’étais restée en fin de compte dans la dualité et lui avais permis de drainer mon énergie d’une autre manière.

J’avais eu beaucoup de mal à entendre de la part d’autrui, que dans ce cas précis, c’était mon Soi Supérieur et non la prédation qui m’avait « ordonné » de me laisser traverser par mon émotionnel.

D’une certaine manière, cette expérience me rappelait l’importance d’accepter l’émotionnel de mes alter, pour les laisser pleurer à travers moi.

 

 

Réminiscence d’une vision

 

Au fur et à mesure de cette en-quête, mon amnésie se résorbait !

De manière totalement inattendue, revenaient clairement à ma conscience les paroles que m’avait transmises ma part Amasutum généticienne, il y a quelques années. Texte paru sur le réseau LEO le 11/11/17

réseauleo.com - 12 - Les visions de mon monde intérieur n° 8 - par Yakout

 

Vision d’une Amasutum de couleur verte, qui a un poignard et qui se met un grand coup avec dans le ventre. Je vois du sang sur ses mains puis sa peau mue. Sa couleur change, elle devient blanche… il y a d’autres lézards qui déambulent, certains de couleur vert et d’autres blanc… Elle regarde vers le ciel. Une ÉNORME boule de feu percute le dôme transparent qui recouvre la totalité de cet endroit... Elle tient un girku transparent entre ses 2 mains et répète dans ma tête plusieurs fois : « À toute ma descendance, n’ayez crainte, on se retrouvera toutes ».

 

Dans cette vision, cette part de moi faisait référence à une lignée, à sa création, symbolisée par le poignard / le poids du niare qui signifie enfant, gamin en argot. Je comprenais qu’elle se sentait responsable et possiblement coupable puisqu’elle avait du sang sur les mains. Cette lignée qui était à l’origine de couleur verte, va se transformer, « muer » en perdant cette couleur originelle pour devenir blanche. L’Amasutum porte aussi mon attention vers cette boule de feu qui aurait explosé à cet « endroit », probablement la planète Mulge, mettant un terme prématurément à son travail sur cette lignée, la laissant inachevée.

 

En ajoutant ces informations à celles de mes deux rêves précédents, cela me confirmait que cette Amasutum avait probablement pour objectif de réactiver l’ADN d’une lignée, afin que celle-ci retrouve ses codes d’origine. Je pleurai de tristesse face à cette information.

 

Ces références récurrentes à la génétique me ramenèrent à la Chronique 14 - Révélations de marraine « Reine mère » & Le monde du Service d’Autrui après la moisson et quelques rappels importants, et plus particulièrement à ce passage :

 

« … Et contrairement à ce que vous ont laissé croire les courants de pensée dominants, ce ne sont pas toutes les reptiliennes Amasutum qui ont participé à tronquer le code génétique des êtres humains pour les transformer en Adam (les animaux Homo sapiens sapiens modernes) à leur service. Ce sont les généticiens Gina’Abul et leurs femelles Amasutum SDS qui étaient chargés de ce travail. Toutefois, parmi les Amasutum Kadistu, certaines ont préservé votre génétique originelle en y insérant des codes ARN « dormants », destinés à être réveillés à la fin de ce cycle par les virus cométaires ».

 

 

En conclusion

 

Comprenant mieux la mission que s’était donnée l’Amasutum dans sa densité, mon travail consistait à l’accepter et à la reconnaître, et pour ce faire à ne plus laisser l’entité arachnoïde prendre le contrôle de ma psyché.

 

Mon âme savait pertinemment ce pourquoi j’avais choisi de m’incarner. Ainsi je devais veiller quotidiennement à ne pas consentir à cette séparation que l’entité arachnoïde cherchait à faire perdurer entre Fred et moi, et le percevoir comme un véritable allié.

Celui-ci portant les codes de la progéniture que j’aurais engendrée sur un autre plan, il pouvait par résonance « ramener » l’Amasutum répondant à cette fréquence. L’intégration de certaines informations découlant de cet échange d’énergie pouvait alors réveiller les codes encore en dormance dans notre génétique !

 

Ainsi, en cette fin de cycle, grâce à cette reconnaissance transdimensionnelle, se réveille en moi le gène kiristos, me permettant ainsi de m’ouvrir peu à peu aux capacités de l’Amasutum généticienne, qui à travers mon humanité pourrait terminer son travail sur l’ADN.

 

Lors de ce processus de désidentification à l’arachnoïde qui a duré plusieurs mois, j’ai appris à « changer ma paire de lunette » très souvent et de plus en plus rapidement. Expression employée par les LEO pour signifier qu’il me fallait sortir de ce point de vue limité, m’élever, c’est-à-dire m’extirper de toute identification avec des pensées qui n’étaient pas les miennes ! Car j’oubliais très souvent que 95 % de nos pensées ne sont pas les nôtres !

 

Ainsi lorsque je ne conscientisais pas que j’étais sous emprise psychique, je manifestais la réalité d’une entité. D’où l’importance des miroirs quantiques pour être informé par les autres de la présence d’une entité, lorsque celle-ci n’est pas encore conscientisée par soi-même.

Le rôle du kiristos dans ce cas-là, permettrait d’accueillir et de traiter l’émotionnel dense des alter qui composent l’âme, ces différentes parts sombres, sans aucun jugement.

 

Et pour finir, Anton Parks donne également une définition assez explicite sur le rôle des Kiristi, extrait du livre : Le secret des étoiles sombres.

 

… Les Kiristi sont des fils des Étoiles, des émissaires Kadistu qui travaillent pour la Source. Ils ne dissocient jamais Gissu (l'Ombre) et Zalag (la lumière) et œuvrent sur des territoires où ces deux énergies sont désunies. Leur tâche n'est pas facile, il arrive souvent qu'ils soient confrontés directement à des êtres qui séparent Gissu de Zalag et qui ne vénèrent que l'obscurité.

 

Yakout et Fred

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