10 - Distinguer l'énergie prédatrice non-conscientisée de l'énergie prédatrice conscientisée - par François Y

 

Bonjour les Léo,

 

A - Préambule :

 

D’abord, un grand merci pour la réponse de l’équipe Léo suite à mon message "Débusquer le mensonge à l’extérieur de soi et en soi." Je souscris en totalité à cette réponse qui m’a permis une nouvelle prise de conscience au bout de trois jours. J’en parle dans le paragraphe D.

Pour revenir à l’objet de ce message, cette citation "Distinguer l'énergie prédatrice non-conscientisée de l'énergie prédatrice conscientisée." que je trouve fondamentale, j’ai envie de la qualifier comme l’une des principales devises du réseau Léo. C’est une citation des plus essentielles à intégrer si nous souhaitons nous engager vers la voie du "Service d'Autrui - SDA". J’ai commencé à conscientiser et me libérer de quelques programmes SDS pour me rendre compte que cela fonctionnait. J’ai rehaussé de ce fait mon état vibratoire en quittant mes dépressions chroniques, dissous des programmes/croyances, élargi ma compréhension, ce qui est déjà un gain important et une sorte de récompense qui m’incite à poursuivre dans cette voie d’exploration de la connaissance de soi. La connaissance de soi est devenue une aventure passionnante, enseignante et salvatrice. Dans le dialogue avec mon Ange N°42, il est dit ceci :

 

" Mais bon sang ! Quand est-ce que les humains en auront marre de souffrir, d'avoir mal ? Quand décideront-ils enfin de faire un pas pour sortir eux-mêmes de leur enfermement dans la matrice ? "

 

J’ai fini par écouter mon âme qui inlassablement et de plus en plus fortement me répétait ceci : N’en as-tu pas marre de souffrir ? 

 

 

B - Les programmes :

 

Avant de méditer sur ce sujet fondamental, "L'énergie prédatrice conscientisée" paragraphe D qui constitue un point incontournable à prendre en compte pour cheminer vers la voie SDA et qui est abondamment traité dans l’épopée de la conscience par Hélène ainsi que dans les Dialogues avec mon Ange et Cahiers de Sandrine et Jénaël, j’ai pensé qu’il serait intéressant d’essayer de me rappeler et de m’expliquer comment je comprends cette notion de programmes qui se déroule en moi.

 

Ce paragraphe A sur les programmes risque d’être considéré un peu comme trop mental mais il me semble utile de rappeler que pour se déprogrammer de programmes SDS, il faut d’abord admettre que l’être humain est géré par une multitude de programmes de divers types et très subtils. Ce sujet est tellement complexe pour une conscience humaine que je me bornerai à exposer des constats plutôt que des explications que je ne maîtrise pas. L’essentiel est de savoir comment se déprogrammer. Savoir comment cela fonctionne est subsidiaire pour la majorité des personnes même si, pour moi, comprendre comment ça fonctionne m’aide à me déprogrammer plus facilement. Savoir conduire est plus important que savoir comment fonctionne un moteur à explosion à quatre temps si l’on doit se déplacer. Savoir conduire et réparer peut-être aussi intéressant.

 

A ce sujet, j’ai une petite histoire à vous raconter :

A mes quarante ans, j’ai dû me faire opérer du cœur pour insuffisance aortique. Le chirurgien devait me placer une prothèse valvulaire aortique Saint Jude. (Jénael doit connaître). J’avais trois enfants en bas âge et j’ai eu très peur d’y rester mais cette peur n’a pas duré longtemps. Etant technicien de formation, j’ai acheté des livres sur le fonctionnement et sur les opérations du cœur, je les ai littéralement dévoré et posé tout un tas de questions d’ordre technique au corps médical. Le chirurgien s’était pris d’amitié avec moi, m’avait montré une valve, expliqué comment ça fonctionnait et même remis après l’opération les protocoles opératoires à ma demande. Je savais dans les moindres détails comment allait se dérouler l’opération, refroidissement de mon corps, traitements sanguins, mise en place du cœur artificiel extra corporel (CEC), à quel niveau on sectionnait l’aorte, je demandais la composition de la prothèse aortique, la nature du fil pour la suture de la valve, fil téflon, je crois etc… j’ai oublié les détails, il y a plus de 28 ans maintenant. Je m’étais tellement mis dans la peau du corps médical que je m’étais comme identifié à eux et suivais tant que j’étais réveillé la mise en place des divers protocoles opératoires.

De ce fait, je n’ai absolument jamais eu peur. C’est là que j’ai compris que l’ignorance engendrait la peur. Tous les gens que je connais qui se font opérer, et il y en a beaucoup, ne posent jamais de questions, avez-vous remarqué ? Ils ont peur bien sûr même s’ils dissimulent cette peur, cela se ressent dans leurs champs d’énergie. Mais je me rends compte qu’ils ont très peur de connaître, d’apprendre, de savoir.

 

Le New Age m’avait catalogué de trop mental parce que je posais trop de questions mais ils ne se sont jamais rendus compte qu’ils fonctionnaient encore plus que moi avec leur mental investi par la prédation puisque les peurs, le déni du prédateur, la non recherche de la connaissance, de la vérité, les illusions, les enfermaient irrémédiablement dans la matrice SDS.

 

Reprenons l’objet du chapitre : Les programmes. Mon appétit insatiable pour les sciences multidimensionnelles m’a confirmé que tout ce qui existe de vivant était établi suivant un plan, un programme intelligent dont les origines sont multidimensionnelles. Que ce soit un séquoia, un enfant, un animal, cela commence dans l’infiniment petit. C’est proprement fabuleux quand on y pense, mais on y pense rarement.

Dans les champs de la graine de l’arbre séquoia, il y a déjà les programmes de construction qui produisent le plus grand arbre du monde, ce conifère qui peut atteindre 140 mètres de haut et vivre plus de 2000 ans. Il faut se faire une raison. Il y a un plan pour construire une maison, un téléviseur, un ordinateur, il y a un plan pour construire un château de sable sur une plage et ce plan est dans mon esprit. Il y a un plan pour tout. Un plan, cela peut-être un programme ou une infinité de programmes intelligents comme dans le fonctionnement de nos organes comme le foie ou le cerveau. Jacqueline Bousquet m’a aidé à comprendre plus finement tout cela au niveau des champs ainsi que le mathématicien Emile Pinel qui s’était converti à la biologie dans l’étude des trois champs H1, H2, H3 de la cellule humaine.

 

Il y a des plans pour construire le hardware de l’ordinateur et il y a des programmes ou software pour faire fonctionner les ordinateurs. On peut assimiler les plans à des programmes. Ce sont des agencements de données, d’indices, de codes, d’informations, de bits, contenus dans des mémoires. Un ordinateur sans programmes ne fonctionne pas, un humain sans programmes ne peut naître, ni vivre.

 

L’âme donne vie au corps. Ce dernier est considéré comme mort sur un plan physique lorsque l’âme diffusant les programmes quitte le corps. Le corps humain est une projection densifiée de l'Âme. Il est intéressant, à un premier niveau, de faire une analogie entre l’ordinateur et l’humain. Chacun d’eux contient des mémoires qui stockent des programmes, des sous-programmes en cascade et peut recevoir des mises à jour de programmes. Dans l’être humain comme dans l’ordinateur, on peut supprimer des programmes et les remplacer par d’autres. La comparaison s’arrête là car le vivant est de la matière vivante, la programmation du vivant est beaucoup plus subtile, ce n’est plus de la programmation binaire 3D - tout ou rien - comme dans le fonctionnement d’un interrupteur ou dans les programmes d’un ordinateur, mais c’est de la programmation quantique amendée par un vaste paramétrage multidimensionnel qui est infiniment moins mécanique mais infiniment plus souple, intelligent et divin.

 

Ces programmes sont constitués de lumière information et sont comme transportés par de la lumière invisible de l’énergie noire. C’est la force faible. Nous sommes aussi des hologrammes. C’est dur d’admettre que nous sommes des hologrammes, pourtant, je me suis totalement fait à cette idée, aidé par mes connaissances scientifiques.

Un hologramme est alimenté par un faisceau de lumière et peut représenter un personnage comme dans la guerre des étoiles. Je ne me souviens plus de la belle jeune femme sous forme d’hologramme. Si vous coupez le faisceau de lumière, la jeune femme disparaît, elle s’éteint. Pour moi, l’âme, alimentée par l’esprit, envoie ce faisceau de lumière intelligent qui nous donne vie, qui nous constitue, qui nous anime. Lorsque l’âme décide de ne plus alimenter l’hologramme, le personnage qui peut-être chacun de nous, s’éteint. Alors le corps ne vît plus. Il ne reste que l’inertie de la matière soumise à l’entropie, à la décomposition parce que le faisceau de lumière n’alimente plus le personnage. Depuis quelques années, des chercheurs développent l’ordinateur quantique, en général, ils ne cherchent pas sans raison, quoique !

 

Je vais me hasarder à faire une comparaison lointaine avec l’internet artificiel mais bien sûr, ce que j’écris peut être amendé, complété ou réfuté en tout ou partie. Nous sommes chacun de nous des ordinateurs biologiques équipés d’un internet biologique multidimensionnel. Nous sommes tous en réseau avec cet internet biologique multidimensionnel, nous sommes tous connectés quelque part les uns aux autres et en particulier avec nos fractales d’âme, nos alter. Le physicien français Alain Aspect et d’autres ont confirmé l’intrication quantique. Tout est information, code potentiel SDS ou SDA que l’on a le soin de réveiller, de lire, d’intégrer ou pas.

 

L’épigénome serait pour moi cette interface multidimensionnelle entre d’une part :

- l’énergie noire, la lumière invisible, les couches densité/dimensions du cosmos, les fractales des soi supérieur de la Source/consciences, les mémoires, fractales d’âmes, âme creuset et d’autre part :

 

- notre génome/Adn incarné dans ce monde, dans chaque cellule de notre corps. Par ce biais, c’est un véritable réseau autoroutier de l’information par lequel se transmettent diverses informations, divers programmes physiologiques, psychiques etc.

Par le biais de ce réseau, on peut comprendre, lire, ressentir et transmettre des informations ou des programmes. On peut effacer des programmes, en recevoir, les amender, les télécharger ou ils peuvent se télécharger en nous. L’âme nous télécharge en permanence des programmes physiologiques nécessaires au bon fonctionnement de l’organe. Un brouillage de ce téléchargement pourrait occasionner la maladie. Ce brouillage ou parasitage électromagnétique d’origine psychique SDS, émotionnel humain ou physique/pollution ondes ou autres, causerait la maladie. Je veux dire que le maintien de nos organes, de notre santé est interactif et pourrait transiter par l’épigénome.

 

L’information serait stockée dans ses champs de mémoire de l’ADN/génome comme le dit Emile Pinel, de l’épigénome, de l’âme et fractales d’âme et dans l’énergie noire ou force faible. On pourrait comparer un programme à une recette de cuisine. Il y a les ingrédients/informations, les proportions d’ingrédient/information à respecter, le séquençage ou l’ordre des ingrédients/informations à suivre, l’apport d’énergie ou d’informations calorifiques à calibrer et le résultat est la recette ou programme.

 

Il m’est venu subitement cette idée. Si je rajoute trop de sel/information dans une soupe de campagne, elle peut devenir dégueulasse, immangeable. Un programme est avant tout, une succession d’informations qui ont une certaine cohérence, les unes avec les autres, et un ordre séquentiel à respecter. On pourrait dire aussi qu’une phrase ou un menu restaurant est une sorte de programme. Si j’inverse les mots ou les plats, il n’y a plus de cohérence et de compréhension. Dans un programme SDS, il ne pourrait y avoir presque exclusivement que les ingrédients possession, domination, peur, exploitation, soumission etc.  Il y a une cohérence dans les ingrédients. Si vous ajoutez l’ingrédient « respect », dans un programme SDS, le programme SDS n’est plus cohérent, il devient bancal. Les informations sont incompatibles.

 

Je pense qu’il y a des programmes d’ordre physiologiques qui peuvent être modifiés ou amendés. Par exemple, rajouter l’ingrédient « iode » dans le programme alimentaire ou diminuer l’ingrédient « sucre » peut modifier avantageusement ce programme. Y aurait-il des programmes qui pourraient être modifiés et d’autres pas comme des programmes SDS ? Un programme SDS pourrait être amendé par des informations SDS mais l’amender avec des informations SDA, cela me paraît incompatible. Il faudrait alors dissoudre ces programmes SDS et les remplacer par des programmes SDA si nous souhaitons cheminer en voie SDA.

 

Je me suis beaucoup désillusionné des croyances/idéologie il y a quelques temps. Je n’ai pas modifié, amendé ces programmes/croyance parce leurs fondements étaient totalement erronés. Je les ai comme dissous, abandonnés comme si je ne les avais jamais connus, comme pour le programme « Théorie de Darwin » J’ai compris que les croyances étaient de véritables programmes SDS que l’on nous balance à longueur de journée dans les médias ou enseignements officiels. Des mots clés sont diffusés à longueur de journée comme démocratie, liberté, république, droits de l’homme etc… afin que chaque conscience humaine élabore ou façonne elle-même son programme/croyance quand on ne le lui sert pas tout prêt par nos politiciens.

 

On nous martèle de mots clé pour nous amener à avoir un certain type de programme/croyance bien orienté. Ces programmes/croyances déterminent les votes, suscitent les divisions entre partis et individus, engendre l’illusion et peuvent générer des actions ou luttes à venir. C’est le conditionnement des consciences humaines. Comme la confiance diminue vis-à-vis des politiciens, je vois une alternative ou c’est la conscience humaine elle-même qui assemble son programme à partir des mots clés et mensonges diffusés à outrance. Ainsi, la personne croit que c’est sa logique, son raisonnement qui l’a amené à avoir telle conviction, croyance ou parti-pris.

 

Le hic est que ce parti-pris/croyance/conviction est construit sur de fausses informations, sur des informations tronquées et sur l’absence d’informations véritables. Un jour, j’ai imaginé que je présentais dans ma main gauche à mon cousin trois jetons de rummicub, le rami des chiffres. J’avais dans la main gauche trois jetons numérotés 1,2 et 3. J’avais dans ma main droite bien caché un autre jeton numéroté 4. J’ouvre ma main gauche et lui demande de compter la somme des 3 jetons. Il me répond que la somme fait 6. Je lui réponds que c’est faux et que ça fait 10. Il me prend pour un demeuré et se met en colère. Alors, j’ouvre ma main droite et je lui montre le jeton numéroté 4 et je lui dis que la somme totale des jetons fait bien 10. Il me dit alors que c’est de la tricherie, que c’est malhonnête et il a entièrement raison. Ceci pour dire que les gens ne raisonnent pas forcément mal, mais ils raisonnent sur des informations mensongères, tronquées et ils leur manque d’autres informations intentionnellement dissimulées pour raisonner correctement. C’est cela la manipulation des masses. J’ai raisonné jusqu’à mes 55 ans sur des informations erronées que je prenais pour véritablement vraies. J’avais comme une confiance totale en ces informations parce qu’elles étaient officielles et j’aurais fonctionné comme cela jusqu’à ma mort si je n’avais pas eu une intuition me conduisant à rechercher des informations alternatives.

 

Ayant acquis de vraies informations validé par mon intuition, mon raisonnement a changé ou s’est même inversé sur presque tout. Les croyances, dogmes, religions, idéologie y compris New Age sont des programmes intentionnellement implantés dans les consciences humaines en vue de les diviser, de les manipuler et de les endormir. Cela se produit depuis des milliers d’années. Les programmes/croyances sont à mon avis parmi les premiers à dissoudre pour ne pas être parasité par des illusions nous empêchant un véritable travail sur soi. Chercher à comprendre, chercher la vérité, ce n’est pas mentaliser comme le prétend le New Age, ce n’est pas un handicap vers la voie SDA mais est un atout si l’on se sert du mental guidé par l’intuition. Le piège serait de tomber dans l’intellectualisme et de s’y enliser parce que ce mental est coupé de la guidance de notre soi supérieur et a été récupéré par la prédation.

 

 

C - L'énergie prédatrice non-conscientisée :

 

Je me suis inspirée des enseignements d’Hélène, Sand et Jenaël pour le chapitre C et D mais c’est parce que j’entre en totale résonance avec ce qu’ils disent. L’épopée de la conscience m’a beaucoup inspiré et je suis en totale admiration comme Gégé, le scientifique, pour les écrits d’Hélène. Je trouve Gégé très sympathique, quelqu’un qui cherche à comprendre et qui montre une ouverture d’esprit indéniable. Je ressens comme une sorte d’énergie d’humilité en lui, il reconnaît souvent ses peurs. 

 

Les énergies prédatrices non-conscientisées :

N’est-ce pas le lot de presque toute l’humanité ? Ne répétons-nous pas inlassablement les mêmes expériences, les mêmes schémas duels ? Ne fonctionnons-nous pas alors comme des robots ? Le reconnaître est un premier pas. Sandrine dit ceci :

" J'étais face à des "robots" de la bureaucratie, des individus sans Âme, entièrement soumis à l'autorité du "pouvoir politique et exécutif", inconscient de la dangereuse réalité de l'humanité actuelle. "

 

Hélène dit ceci :

" L'abus rituel, vieux comme le monde, est un procédé extrêmement efficace pour permettre aux magiciens de 4ème densité de s'introduire dans la psyché d'un humain. Celle-ci est préalablement anéantie et dissociée afin d'y installer divers programmes qu'ils actionnent afin que leurs robots au sein de la Matrice accomplissent leurs directives : un attentat par ci, un viol par là… Toute cette panoplie de programmations psychiques permet l'enracinement astucieux du monopôle du Nouvel Ordre Mondial au service du dieu Gina'Abul. "

 

Lorsque l’énergie prédatrice n’est pas conscientisée, nous fonctionnons comme des robots. C’est devenu pour moi une évidence. Il faut donc prendre conscience que nous sommes prédatés pour pouvoir en sortir.

 

Tant que je n’ai pas vu qu’une épine s’était introduite dans mon pouce, je ne peux la retirer. Les personnes qui vivent en permanence dans leur corps de souffrance sont manipulés à outrance par leur prédateur personnel de 4D. De plus, ils vampirisent l’énergie des autres. J’en ai fait partie et j’en connais quelques-uns. Tant qu’ils n’auront pas conscientisé ces énergies prédatrices, ils ne pourront pas sortir de leur souffrance et de leur prison. Personne d’autres qu’eux-mêmes ne pourront les en sortir.

 

Quelques réponses de l’équipe Léo sur le réseau :

" Notre part prédatrice peut employer différentes ruses afin que nous ne conscientisons pas certaines peurs et programmes, nous gardant ainsi dans un déni inconscient et de ce fait aveugle à la guidance de notre Soi Supérieur ".

 

C’est ce qui m’est arrivé dernièrement en voulant conscientiser mes mensonges à moi-même. Impossible de les regarder. Mon mental était comme sur " OFF " comme j’ai pu le dire dans un précédent message ou plutôt, je pense maintenant que mon mental était investi par la prédation. En fait, je ne crois plus qu’il était sur " Off " ou inopérant. Il était bien présent mais sous la gouverne de la prédation qui m’empêchait toute prise de conscience.

 

Il est relativement facile de se rendre compte des énergies non conscientisés chez les autres. Il est beaucoup plus difficile de les voir en moi parce que la conscience prédatrice presque permanente qui opère en moi, me dissuade de cette prise de conscience. Je ne vois pas les ombres noires ou l’esprit du prédateur mais je me suis dit que ce n’était pas important, pas essentiel. Je reconnais sa présence autrement, au travers de mes pensées, émotions et comportements et chez les autres aussi. Il est pour moi impossible de prendre conscience de mes pensées, émotions ou comportements sous l’emprise de la prédation.

 

Par contre, si je rentre dans une sorte de méditation naturelle, j’arrive quelquefois à conscientiser, par exemple, mes émotions, je sens la peur qui me traverse, je l’examine, je me l’explique et elle finit par se dissoudre. C’est parce que je l’ai bien regardé en face que des pensées d’apaisement, de compréhension, de pardon me disent que cette peur est inutile et relève de ce qui a pu arriver ou de ce qui pourrait arriver. En fait, dans cet instant même, rien ne me menace.

 

 

D - L'énergie prédatrice conscientisée :

 

Encore un grand merci pour la réponse de l’équipe Léo suite à mon message " Débusquer le mensonge à l’extérieur de soi et en soi. " qui m’a permis une nouvelle prise de conscience. Je vais en parler : Je vais citer une partie de la réponse de l’équipe Léo qui dit ceci :

« … Cependant, la nuance importante consiste à distinguer l'énergie prédatrice non-conscientisée de l'énergie prédatrice conscientisée. Par exemple, si une situation provoque chez moi une peur viscérale, que je suis complètement soumis à cette terreur sans aucune conscience pouvant observer de l'extérieur, nous sommes d'accords que je suis sous l'emprise totale du prédateur, et que mon champ d'énergie va dégager une fréquence de vibration très dense qui attirera la réalité qui y est associée. Par contre, si en pleine terreur, je prends conscience de l'énergie prédatrice qui passe à travers moi, ce n'est pas pour autant que je n'aurais plus peur, mais grâce à ce point de vu observateur (la prise de conscience que je sers de canal de prédation) ça va changer la donne. C'est-à-dire que j'émettrais une fréquence de vibration toute autre qui attirera à elle une situation différente.

 

Voici ce que dit Gurdjieff de l'humain qui apprend « l'observation de soi » :

« En s'observant, il projette, en quelque sorte, un rayon de lumière sur ses processus intérieurs, qui s'étaient effectués jusqu'ici dans une obscurité complète. Et sous l'influence de cette lumière, ceux-ci commencent à changer. Il y a un grand nombre de processus chimiques qui ne peuvent avoir lieu qu'en l'absence de lumière. De même, un grand nombre de processus psychiques ne peuvent avoir lieu que dans l'obscurité. Même une faible lueur de conscience suffit à changer complètement le caractère des processus habituels et à rendre un grand nombre d'entre eux tout à fait impossibles. Ouspensky, Fragments d'un enseignement inconnu, p.250. » 

 

 

Ainsi, une personne demeurant dans le déni, donc soumise à la prédation, est effectivement un vrai aspirateur d'énergie vis-à-vis de son entourage. Tandis qu'une personne qui s'efforce d'observer ses schémas prédateurs, peut tout autant traverser un émotionnel dense sans pour autant pomper de l'énergie aux autres. Il faut donc faire attention à cette distinction entre "vibrer haut" et "vibrer bas" car nous appartenons pour l'instant à la réalité qui vibre bas, et tant que nous cherchons à vibrer haut – comme nous l'apprend si bien le courant New Age – nous persévérons dans la fuite de la réalité prédatrice dense plutôt que d'apprendre à danser avec elle sans chercher à la changer. La Conscience Créatrice dont fait partie la prédation vibre à la fois haut et bas, il nous faut juste changer notre perception et notre manière de concevoir le "bas" et c'est ainsi que notre réalité changera. »

 

Absolument d’accord avec tout ce qui est écrit. Il est vrai que j’ai encore des difficultés à appréhender ce " Bas " et d’en parler objectivement comme si j’essayais de l’éviter, de le renier et surtout de valoriser le " Haut ". Je trouve maintenant cette conception duelle, on peut prendre conscience et se libérer dans un état relativement bas, c’est absolument exact puisque je l’ai expérimenté.

 

Bien vu et ressenti de la part de l’équipe Léo, je les remercie, je sens que je viens de perdre un conditionnement aujourd’hui. J’ai encore en moi cette influence New Age malgré moi qui persiste dans ma façon de considérer le " Bas " et le " Haut ". Cependant, mes premières prises de conscience sur la dépression se sont faîtes vers 2005, un peu avant mon conditionnement New Age. Dans mes prises de conscience lié à la lecture de Krishnamurti, j’ai bien conscientisé le " Bas " et je devais vibrer relativement " Bas ", j’ai dansé avec lui, j’ai observé mes dépressions et mon programme de misogynie. J’ai bien traversé ces énergies, ces programmes sans les juger, sans les renier mais en les observant, en les ressentant, en les traversant.

 

C’est la conséquence de cette traversée en toute objectivité qui a permis la désinstallation de ces programmes SDS. La conséquence de ce travail sur moi a été un gain vibratoire, vibrer plus  Haut ". Mais à cette époque, je ne cherchais pas à vibrer plus " Haut ", je voulais de l’oxygène, j’étais complètement enlisé dans des emmerdements et dépressions à n’en plus finir. C’est juste après que je me suis fait récupéré par le programme/illusion New Age et que j’ai entendu parler de ces notions de " Vibrer haut ". Vibrer plus " haut " n’était pas mon objectif à cette époque, je ne savais même pas ce que cela voulait dire.

 

Par contre, avoir quitté mes dépressions m’a conduit à desserrer cet étau permanent qui pressurisait mes tempes, m’a permis d’améliorer mon état vibratoire. Cette amélioration vibratoire est bien une conséquence d’un travail sur soi, de la conscientisation des énergies prédatrices et non un but New Age à atteindre coûte que coûte en reniant la prédation. Cela, c’est de l’illusion, celle du mental type New Age qui s’illusionne que tout est beau, amour et lumière et qu’il n’y a rien à comprendre. Donc, effectivement, c’est la prédation qui m’enseigne et il faut donc que je reconsidère le " Bas " dans mes pensées et mes écrits encore influencés par le New Age.

 

J’ai dû relire plusieurs fois la réponse de l’équipe Léo pour vraiment comprendre et intégrer la réponse, d’où l’utilité des réponses et de la relecture. Donc, vibrer " Haut " n’est pas un but à atteindre coûte que coûte. Cela n’a maintenant définitivement plus aucun sens pour moi puisque l’on est investi par les énergies de prédation. Nous avons un fonctionnement SDS qu’on le veuille ou non. C’est un constat et non un jugement. Ce sont ces énergies qui s’expriment en nous la plupart du temps, ce sont elles qui nous manipulent.  Comme le dit le message de l’équipe Léo :

 

« Nous appartenons pour l'instant à la réalité qui vibre bas, et tant que nous cherchons à vibrer haut – comme nous l'apprend si bien le courant New Age – nous persévérons dans la fuite de la réalité prédatrice dense plutôt que d'apprendre à danser avec elle »

 

Cette réponse est tout à fait limpide et extrêmement logique. Je n’ai rien à redire à cela. Il n’y a que des programmes SDS en nous, autour de nous. Je ne vois pas de programmes SDA en moi ou autour de moi. On ne peut apprendre qu’avec ce que l’on a et ce que l’on a, ce sont des programmes SDS. Il faut donc en premier, désinstaller nos programmes SDS en nous reconnectant à notre soi supérieur.

 

Je dirai même qu’il faut désinstaller l’ensemble des programmes SDS et des programmes SDA pourront venir s’installer en nous, se télécharger mais nous devons collaborer avec notre âme et notre guidance pour réaliser ce travail qui est en fait un changement de mode de fonctionnement. Passer du fonctionnement SDS au fonctionnement SDA.

 

Pour revenir sur le sujet des programmes paragraphe A, je vais faire encore une comparaison entre les programmes informatiques et nos programmes SDS. Il m’est arrivé de vouloir désinstaller un programme sur mon ordinateur. Il y a des fois où je n’y arrive pas. Il est utilisé par ailleurs et je ne peux le désinstaller. Il peut y avoir aussi des sous-programmes ouverts quelque part qui m’empêche de désinstaller le programme principal. Je pense que pour les programmes SDS, c’est un peu la même chose. Il peut y avoir des sous-programmes en activité qui empêche la désinstallation du programme principal qui pourrait être par exemple un programme de sauveur. Il y aurait comme des sous-programmes encore utilisés comme un sous-programme « culpabilité », un sous-programme « attachement » etc. Il y a peut-être même des sous-programmes en cascade sur 2 ou 3 niveaux. Je n’ai pas trouvé d’exemple pour illustrer cela. On pourrait dire que tant que les sous-programmes ne sont pas désinstallés, le programme principal reste actif.

 

J’ai quitté le New Age en 2011 mais je n’avais pu mettre le doigt sur ce qui ne me convenait pas. C’est le réseau Léo qui m’a ouvert les yeux sur ce programme/croyance extrêmement bien ficelé. Par contre, je viens de constater que ce programme n’était pas complètement désinstallé en moi, un sous-programme peut être comme « Vibrer haut » n’était pas fermé, désinstallé. Désinstaller tous les sous-programmes est donc nécessaire pour désinstaller définitivement le programme principal New-Age.

 

Concernant la réunification de nos alter, des fractales de notre âme, il y avait quelque chose qui me semblait incompatible. Comment unifier une fractale d’âme SDS avec une fractale d’âme SDA de 6D ? Ce sont des programmes à mon avis incompatibles.

 

C’est en effectuant des recherches dans les enseignements Léo que j’ai compris. Lorsque nous effectuons des prises de conscience libératrices en nous, cela ne s’arrête pas à notre conscience humaine, cette libération s’effectue également sur tous les alter qui ont également besoin de cette libération. Et c’est à partir de ce travail, que l’on peut unifier nos différentes fractales. On les réaligne en quelque sorte sur la voie SDA. Elles gardent cependant chacune leurs richesses d’informations.

 

Hélène dans l’épopée de la conscience fait une remarque intéressante à ce sujet :

« Et si l'énergie de notre âme est imprimée dans notre ADN, alors toutes les fractales d'une même âme partagent le même ADN. Seule l'activation ou l'inactivation de certains brins créerait une expression épigénétique différente. Ce lien génétique entre les alter est donc un vecteur de connexion d'une dimension à l'autre. ».

 

Ce qui est dit dans le dialogue numéro 30 :

« Ce qui implique que la conscientisation et la libération des programmes de prédation encore actifs dans votre ADN, permettent de modifier le comportement prédateur de l'Être reptilien que votre Âme incarne aussi sur une autre fréquence d'existence. Il s'agit là, d'une véritable libération karmique qui implique tous les plans d'incarnations de l'Âme, depuis l'ère reptilienne. »

 

Dans le cahier 7-2, il est dit ceci :

« L'humain du futur est donc celui qui dans ce monde d'illusion, notre monde actuel, a fêté ses noces avec "ses Anges/En-Je", ses différentes fractales d'âmes éparpillées à travers les densités. Qu'elles soient du bas, moyen ou haut astral, reptiliens, gris ou angéliques, qu'elles proviennent des dimensions humaines parallèles, des plans inférieurs de 2-3-4ème densité ou plus élevée de 5-6-7ème densité de réalité..., l'humain ascensionné est celui qui réussit à rassembler ses mémoires de vies en "provenance" d'autres plans, dans son existence actuelle. Autrement dit, il se souvient de qui il est. Il apprend à redevenir l'Être, le Créateur (par opposition au non-être). Il accepte de s'unir à son âme, à son esprit, à l'écouter, à se laisser conseiller, se laisser guider par eux. »

 

Je suis évidemment preneur pour toute remarque constructive et il peut y avoir des non-sens dans tout ce que j’ai raconté. Le réseau est une véritable aide, c’est cette nature d’aide que j’attends et reçoit, celle qui consiste à identifier nos programmes et sous-programmes SDS pour les comprendre et les désinstaller afin d’entamer un cheminement vers la voie SDA. Merci pour cette aide.

 

François Y. (Inscrit au cénacle - dépt 09) 

 

 

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Distinguer l'énergie prédatrice non-co
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L'équipe LEO :

 

Bonjour François

 

Magnifique analyse !

Nous te remercions d'avoir fouillé dans les enseignements du réseau LEO pour développer ce résumé. Les lecteurs qui le découvriront seront certainement ravis de le lire. Car d'exprimer tes expériences avec ton point de vue masculin et avec une telle lucidité, pourrait-être salutaire pour beaucoup de lecteurs (surtout pour les hommes).

 

Nous te remercions de ton engagement sur le réseau LEO.

A bientôt.

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