7 - Faire le grand saut dans l’inconnu - par François Y

  

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Bonjour les Léos,

 

Cette vidéo numéro 2 avec Marielle m’a inspiré ce message. Je trouve cette vidéo absolument essentielle pour expliquer comment faire pour ceux qui décident de s’engager dans la voie SDA, à mon avis, de manière plus rapide et plus efficace.

 

Je remercie Marielle, Sand, Hélène et Jenaël pour avoir expliqué avec autant de transparence, de sincérité et de clarté les difficultés et l’importance de ce grand saut dans l’inconnu. La presque totalité des personnes dans ce monde fonctionne comme Marielle, moi le premier, et la chose la plus importante, c’est d’en prendre conscience et de faire un travail sur soi si on le souhaite évidemment.

 

A - Petit rappel me concernant en corrélation avec la vidéo :

 

Je fais un petit rappel me concernant parce que je me suis reconnu dans les appréhensions et les peurs de Marielle mais c’est pour ensuite étayer ce que je considère comme un véritable enseignement spirituel appliqué qui se dégage de cette vidéo numéro 2. 

Je n’ai jamais expérimenté ce grand saut en faisant confiance en ma guidance, étant programmé dans des concepts erronés et n’ayant aucune connaissance spirituelle à cette époque, mais j’ai fait deux grands sauts sous le contrôle permanent de mon prédateur ou de mes alter prédateurs.

 

Le premier saut en étant à Paris, à 20 ans, célibataire, ou après deux ans d’intenses dépressions, j’ai fini par tout plaquer, démissionner et partir à l’aventure en 1971. Je dirai que l’intention, l’impulsion première était la volonté de l’âme, soit un alter évolutif mais qu’ensuite, j’ai été totalement géré par mes alter prédateurs. J’ai cependant énormément appris sur le moment et compris avec du recul au travers de ces multiples expériences puisque le prédateur peut devenir un véritable enseignant. Mon prédateur refusait toujours que je fasse ce grand saut, il m’a fallu deux ans pour me décider mais c’était devenu pour moi comme décide ou décède et j’ai décidé subitement de plaquer mon boulot, mes relations, Paris dans une insécurité relative. Tout le monde dans ma famille m’a désapprouvé d’avoir quitté une si bonne place. C’est là que j’ai compris que l’on doit décider seul sans tenir compte de l’avis SDS des autres. Cependant, mes dépressions me suivaient toujours.

 

Le deuxième grand saut à mes 48 ans est mon divorce. C’était encore décide ou décède. Suite à décision judiciaire, j’ai perdu la maison (prestation compensatoire) et tout son contenu que j’ai laissé à mon ex et j’ai dû repartir de zéro. Mais c’est un saut contrôlé par mon prédateur.

 

Je m’explique :

J’ai recherché une nouvelle compagne qui se situerait assez près de mes trois enfants parce que j’étais attaché à mes enfants. Le dernier avait 13 ans. J’ai trouvé cette compagne à trois kilomètres qui m’a accueilli dans sa maison, étant aussi divorcée. Ensuite j’ai quitté ma famille en étant en instance de divorce tout en subvenant aux pensions alimentaires pour mes enfants et mon ex. dont j’avais moi-même fixé les montants supérieurs à la norme en vigueur. Le juge a entériné mes versements et j’ai eu tous les torts pour avoir quitté le domicile conjugal avant la décision judiciaire. Mais pour moi, c’était encore, décide ou décède. Le divorce a duré 4 ans.

 

Mon mental/intellect prédateur avait assuré mes arrières, j’avais des besoins sexuels importants que je ne pouvais rompre et je voulais garder des liens avec mes trois enfants. C’est cela, pour moi, sauter avec un parachute acheté dans un magasin, c’est le parachute du prédateur pour faire allusion aux propos de Sand dans la vidéo.

Je n’appelle pas cela un saut vers l’inconnu car j’ai gardé mon travail, mes enfants pas trop loin.

 

B - Le vrai saut vers l’inconnu :

 

Faire le grand saut dans le vide est une métaphore mais illustre parfaitement bien un choix à faire.

L’intention, l’impulsion première qui nous crie de changer de vie, c’est le cri de notre guidance intérieure, de notre âme. C’est le saut dans le vide sans parachute, sans l’assistance SOS prédateur. Je prends un nouvel embranchement, ma guidance me conduit où je dois aller, ce sont des nouvelles expériences qui m’attendent mais gérées par ma guidance intérieure. Ces expériences me sont offertes pour me déprogrammer de programmes trop denses. Ma guidance me présente ce qui est bon pour l’évolution de mon âme, il n’y a pas de place pour le vouloir du mental/intellect prédateur parce que ce dernier veut que je reste dans la routine, dans le connu, dans la matrice, dans la densité et dans mes peurs. Il ne veut pas m’offrir d’expériences enrichissantes qui pourraient faire grandir mon âme et me libérer de la matrice/prison. Ce n’est ni son intérêt, ni son rôle.

 

Avec ma guidance aux commandes, je ne sais pas comment ça va se passer, je ne peux prévoir où je vais arriver. Je ne reçois jamais ce que je veux, je reçois ce qui est bon pour moi. C’est ma guidance qui est aux commandes. C’est elle qui met les moyens en place pour expérimenter ce qui est bon pour mon âme.

 

Je ne dois pas poser de conditions de départ. Je n’attends aucun résultat, aucune rencontre qui me soit agréable, aucun confort, aucun soutien. Faire l’expérience, c’est elle qui m’amène où je dois aller, je ne dois pas en définir ses contours, la contrôler, la sécuriser, me projeter dans un futur SDS, je m’ouvre à l’impulsion de l’âme et des moyens se mettent en place par mon soi supérieur, le vrai parachute invisible.

 

La réalité ne change définitivement qu’après un réel passage à l’acte, un vrai grand plongeon avec l’inconnu, il y a la surprise, l’imprévu, le neuf, la découverte, l’inattendu. Je ne dois pas amortir, contenir l’expérience, définir un pied à terre fixe. 

 

Je dois rompre avec tous les schémas SDS, mon passé, mon futur SDS, je dois lâcher prise à tout le connu et m’abandonner à ma guidance en lui témoignant une confiance inconditionnelle.

Le prédateur ne veut pas entendre ces informations, il a peur et se bouche les oreilles.

Blandine, comme expliqué dans la vidéo, a fait le grand saut sans parachute comme Jenaël, Hélène et Sand.

 

C’est toujours lors d’un grand choc, d’un intense désespoir, d’une maladie, d’un divorce éprouvant, d’un mal être insupportable, lorsque l’on a tout perdu que l’on décide bien souvent de sauter dans l’inconnu vers une autre vie. Mais il faut le faire avec une totale confiance en notre soi supérieur, en notre guidance intérieure si l’on souhaite emprunter la voie SDA.

Ainsi, on court-circuite en permanence le prédateur. Vivre l’expérience dans l’instant présent ou tout est imprévu, inattendu. Le prédateur est complètement déstabilisé, il ne comprend plus, il n’a plus de prise sur nous, il ne contrôle plus. 

 

C - Le faux saut vers l’inconnu

 

C’est celui qui est géré par le vouloir du mental/intellect prédateur. C’est le non lâcher-prise au connu, à la matrice SDS, à la densité, à nos peurs. Je fais plus ou moins confiance à mon mental/intellect prédateur pour me conduire vers une vie plus agréable, avec moins d’embûches ou de soucis et quelquefois plus d’argent.

Je prévois où je vais arriver, ce qui va se passer parce que j’ai peur de tout perdre, d’être abandonné, oublié, sans ressources. Je suis dans une logique de limitation, de densité.

 

J’attends un résultat de ma nouvelle expérience, j’en définis ses contours, je la contrôle, la sécurise, je me projette dans le futur SDS, je mets en place des moyens pour amortir, contenir l’expérience, je définis un pied à terre fixe, je contacte des amis qui pourraient m’accueillir, m’héberger, me réconforter si besoin.

 

D - Deux comportements incompatibles pour me conduire vers la voie SDA

 

Je dois, à mon avis, faire préalablement un travail sur moi-même conséquent sur mes différentes fractales d’âme pour prétendre cheminer en voie SDA et pour clairement identifier un choix à faire : Service de Soi - SDS" prédateur ou "Service d'Autrui - SDA" planificateur ? Il ne s'agit ni plus ni moins que de faire un choix, maintenant !

 

Ce travail en cours, il y a deux comportements clairement identifiables.

Soit, je m’en remets à ma guidance, à mon soi supérieur, je lui fais totalement confiance et je m’oriente vers la voie SDA ou soit je m’en remets à mon mental/intellect prédateur, je lui fais confiance et je reste dans la voie SDS, dans la densité.

 

Je ne peux mélanger les deux comportements parce qu’ils me paraissent incompatibles au niveau des fréquences vibratoires et m’empêchent d’emprunter la voie SDA. Comme le dit Sand dans la vidéo : 

"Si tu veux sauter avec un parachute, ça ne marche pas parce que c’est le parachute du prédateur, du SDS et l’on veut prendre la voie SDA avec notre prédateur sur le dos."

On ne peut pas être plus clair ! La montgolfière ne pourra jamais décoller avec ce poids !

 

Quand je fais totalement confiance à ma guidance intérieure, à mon soi supérieur, je me sens léger, je n’ai plus peur, je me sens dans un état vibratoire bien plus élevé, l’intelligence de mon soi supérieur est présente, bien plus que lorsque je fais confiance à mon mental/intellect piloté par mon prédateur où je ressens de multiples peurs et doutes.

C’est un fait que j’ai constaté qui n’attend pas de preuves, je suis mon propre laboratoire.

 

Si je mets en route inconsciemment, en permanence, des programmes de peurs, de densité dans mon état vibratoire où je me sens en forme, alors je chute vibratoirement et je ne peux maintenir mon bon état vibratoire. J’ai mis en route des programmes/fréquences denses qui parasitent mon état vibratoire élevé. J’ai quitté temporairement la confiance en mon soi supérieur. Je me retrouve envahi de doutes et de peurs qui me plombent. La montgolfière est redescendue au sol et je dois me poser les bonnes questions, comprendre pourquoi elle est redescendue. Alors je dois reconnaître, identifier ces peurs/programmes innombrables, les exposer à la lumière de mon soi supérieur.

 

E - La logique d’abondance et la logique de restriction

 

Je comprends parfaitement la remarque de Jenaël qui dit que l’on réfléchit à l’envers parce qu’on s’en remet toujours à la logique du prédateur. C’est la logique de la limitation qui prédomine dans ce monde. Si l’on met en route en permanence nos programmes de limitation, il en ressortira des expériences de limitation. La conscience crée la gravitation.

 

Si l’on fait confiance à notre guidance intérieure, à notre soi supérieur, il y aura l’abondance parce que l’abondance est là, dans l’énergie noire, dans la force faible. Il n’y a aucune limitation mais une infinie énergie d’abondance.

 

La source maintient harmonieusement l’équilibre entre l’évolution SDA et l’entropie/involution SDS. Il y a la logique de l’abondance et il y a la logique de la restriction dans notre monde SDS. Ces deux logiques proviennent de la Source, sont de nature différente mais sont complémentaires dans le fonctionnement de l’univers. Il faut rééquilibrer ces deux logiques parce que la logique qui prédomine dans notre monde est la logique de la restriction.

La logique de la restriction est la logique du prédateur. L’argent entre d’abord et ensuite, on peut le dépenser.

 

F - Quand on saute, on saute pour soi, pas pour les autres.

 

Sauter dans l’inconnu est une démarche individuelle et pas une démarche de groupe. C’est comme lorsque l’on a décidé pour la première fois de marcher. On ne peut obliger des petits enfants du même âge à marcher tous ensembles à 12 mois pile au coup de sifflet d’un prédateur New-Age, on ne peut obliger personne à faire cette démarche du saut dans l’inconnu ou l’y contraindre. Chacun de nous est unique. On peut l’éclairer s’il le demande.

 

Cette vidéo est un éclairage d’orientation SDA. Elle nous explique pourquoi on s’empêche de faire le grand saut vers l’inconnu, pourquoi il est si important d’identifier ses peurs, ses programmes SDS et de ne pas les refouler sans cesse et les mettre sous le tapis. Ce qui est refoulé reste en nous et ressurgit tôt ou tard et ce sont des charges/fréquences vibratoires en nous qui attirent, entrent en résonance avec des charges/fréquences vibratoires similaires qui induisent nos expériences.

Il faut absolument se délester de ces charges/fréquences pour l’envol en voie SDA.

 

Tout individu est absolument unique. Il ne peut y avoir deux personnes identiques. Jacqueline Bousquet disait que même notre albumine nous est personnelle. Elle disait que même si nos génomes sont similaires à un premier niveau comme des pianos identiques, il n’en est rien. Nous avons tous ce même piano mais nous jouons tous des airs de musique différents et chaque air de musique qui en ressort est unique. Nos expériences mémorisées dans nos fractales d’âme, nos programmes font que chacun de nous est unique. Il y a donc des milliards de niveaux de conscience différents Il n’est donc pas possible de prendre simultanément notre envol vers la voie SDA mais le temps presse.

 

Pour conclure, voici une transcription partielle de la vidéo numéro 2 qui résume avec une grande transparence, clarté et simplicité le grand saut vers l’inconnu. J’ai eu quelques difficultés pour comprendre certaines phrases qui demanderaient peut-être une adaptation.

 

Voici l’extrait :

« En fait, ce n’est pas compliqué, si tu ne suis pas tes convictions profondes, c’est décède. Si tu écoutes, tu décides et tu appliques, tu verras que le parachute, il s’ouvre tout le temps parce que le parachute, c’est le soi supérieur mais ce n’est pas le parachute que toi, tu vas acheter au magasin, c’est un parachute invisible et le parachute, il va peut-être te faire arriver dans une communauté où tu vas avoir des programmes de victimes à dépasser et qu’il faudra dépasser et c’est la seule chose qui te permettra de te déprogrammer de tes programmes limitants et ce sera l’occasion pour ton âme parce que tu as décidé de sauter en parachute et là ; on pourra dire que non, ce n’est plus de la sphère du mental, c’est le mental allié à l’expérience qui a muri, qui a maturé, ce n’est plus quelque chose comme je sais, je sais, là, on n’est plus dans le savoir, on est dans l’application mais tant que le saut n’est pas fait, il n’y a pas d’application, ça reste du mental, c’est-à-dire que ça reste dans la sphère du prédateur. Et c’est pour ça que je dis qu’il il y en a plein qui veulent aller en orientation SDA, mais l’orientation SDA, c’est une orientation, c’est une voie, mais comme on disait, la voie SDS+, c’est une voie aussi, c’est une voie, c’est ni bien, ni mal, c’est une voie. Chacun va aller en fonction de ce qu’il a les tripes d’appliquer.

 

Donc la question que tu dois te poser et ce n’est pas à nous que tu dois donner la réponse, est-ce que tu as les tripes pour te jeter à l’eau ? Tu comprends ! Et si tu trouves cette force, tu vas aller exactement où tu dois aller ; l’univers va répondre à cette vibration. Si tu restes dans la peur, l’univers va répondre aussi à ta vibration. Tu n’iras certainement pas là où tu veux aller mais tu iras là où l’âme faut qu’elle aille pour se déprogrammer

[...]

Quand on saute, on ne saute que pour soi, pas pour les autres. C’est le seul moment où l’on est au service de soi et à partir du moment où l’on est au service de soi, c’est au service du soi supérieur, ce n’est plus du petit soi. En fait, c’est là qu’on saute, quand on fait confiance à son soi supérieur, c’est le grand saut et là, on peut sauter, c’est lui le parachute. Il n’y a que comme ça que tu peux découvrir ce qu’est le soi supérieur. Ce n’est que dans ces expériences là que l’on découvre ce qu’est le soi supérieur. Sinon, tout le reste, c’est du vent, c’est le mental qui tourne en rond…

Tu peux trouver tous les prétextes et franchement, ce sont des prétextes que je comprends, ils sont tout à fait louables en troisième dimension mais c’est pareil pour tout le monde, tu as un choix à faire, est-ce que tu restes en 3D ou est-ce que tu passes à l’étape supérieure ? C’est tout ! Ce n’est que des voies, c’est ni bien, ni mal, ce ne sont que des voies mais c’est à toi de faire le choix ! Par contre, si tu viens nous voir, nous, il est évident qu’on va te raconter nos expériences, le saut dans le vide que l’on a fait et si tu viens nous voir, on ne peut pas te laisser dans le confort, par contre, s’il n’y a pas d’application, on te laissera dans le confort définitivement parce que c’est comme ça, mais c’est hors de tout jugement. Et parce que c’est un choix que tu fais, nous, on s’aligne au choix que la personne prend tout simplement et comme là, tu es en demande, c’est OK, on s’ouvre parce qu’il y a une demande de fond, ce n’est pas juste prendre de l’énergie, tu vois, on sent qu’il y a une demande de fond. Mais par contre, si effectivement, il n’y a pas d’application, après, on n’est plus là puisqu’après, il y a de la prise énergétique, l’énergie ne circule pas, c’est-à-dire que nous, on donne toute cette énergie et s’il n’y a pas d’application, c’est là où ça devient un blocage SDS, blocage d’énergie. Donc c’est normal qu’après on ne donne pas de suite. »

 

Merci pour les images des Montgolfières dans mon dernier message. J’ai bien aimé.

 

François Y. (Inscrit au cénacle - dépt 09) 

 

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