Quelle différence entre dire Non et le « je veux » ou « je ne veux pas » ? Par Galline

 

Ce journal de Galline fait référence à la question 133 - Toscane - Quelle différence entre le NON et le je ne veux pas ?

 

 

Cet été j'ai écrit un texte sur l'initiatrice Atlante car je souhaitais fermer cette porte ou ligne temporelle involutive. J'ai dit au fond de moi NON à la morsure d'amour love-bite et au duo involutif SDS. Suite à cela il y a une video-conférence avec Moi et Gilbert et les autres Léo, Christine et Stéphane, Yakout et Fred, Sand et Jenaël, Hélène et Eli. Là apparait clairement le Dracos de Gilbert dans le "moi qui sait tout". C'est un choc pour moi qui doit ouvrir les yeux. Je décide au plus profond de moi de dire NON à l'emprise du Dracos sur moi. Je suis alors en mode victime et prend la fuite. Il s'enclenche le : "je veux pas de toi" (Gilbert), "je te quitte" et mon départ dans l'Aude pour aller retrouver une "nouvelle famille". Je quitte l'un pour l'autre, l’un (Gilbert) pour l’autre (les Léo) mon prédateur bien aux commandes pour infiltrer un nouveau foyer mais c'est sans compter ma capacité à être enseignée et écouter ceux qui ont vécus l'expérience avant moi. L'information est sans appel, ma part prédatrice pompe les Léo malgré tous mes efforts de centrage. Je dis à nouveau NON et là il me faut ouvrir les yeux et ressentir (mes textes représentants une partie théorique/mental) pour pleurer.

 

Je découvre alors que j'ai enclenché la morsure d'amour chez Gilbert dont l'enfant est le verrou. Prise de responsabilité pour sortir de la victime mais déclenchement de ma culpabilité (rejet de ma part sombre que je juge mal). Il y a une entente entre mon Amasutum SDS et son Dracos. De mon côté une peur de manquer qui enclenche un comportement de séduction/sexe en vue d'être protégée matériellement (point de vue 3D) et de recevoir de l'énergie tendresse protectrice (point de vue 4D).

 

Je comprends mieux pourquoi le jour suivant je suis invitée par les Léo à aller aux bains de la reine pour voir ma part de reine SDS. J'ai une jambe droite dont le talon est relevée (incapacité d'autonomie du féminin avec un clin d'oeil à la démarche de l'Amasutum SDS qui se nourrit de l'énergie d'autrui). Ce jour là Jenaël a sa jambe qui l'handicape suite à une forme de petit AVC (arrête vite ça). Je comprendrais par la suite que ma part prédatrice se focalise sur lui et le pompe car j'ai un programme détresse. Quand je perd un repère, en l’occurrence la présence de Gilbert, je cherche alors un re-père, un nouveau père. Une personne (homme ou femme) à l'énergie masculine protectrice et cela vient faire écho à l'énergie de Jenaël, le nungal protecteur du clan féminin. Mon Amasutum SDS le ressentant vers lui.

De leur côté Sand, Hélène, Jenaël grâce à l'expérience relatée cahier 16 ferment la porte à toute forme de soutien envers moi, (soutien paternel ou de sœur comme on peut le voir en 3D) et se détachent de toute culpabilité, me mettant devant la présence de mon prédateur et me laissant à mon libre arbitre de le voir ou non. Merci car de ma vie finalement c'est la première fois que j'ai un choix à faire en toute conscience (car ils m'ont donné les informations) et aussi en toute liberté (pas d'attachement).

J'accepte de voir. Merci car pour l'anecdote mon surnom petite était marionnette (issue de mon prénom Marion). Une fois les informations communiquées et les choix pris, ce jour là Jenael, Sand, Hélène, Eli, Loredana, Larysa, ma fille et moi même pourront faire une balade dans la forêt sous la pluie (nettoyage et rétablissement de la jambe de Jenael).

 

Là je repasse dans le "je veux".

Aubaine j'ai accepté d'être enseignable donc enseignez moi ! N'ayant connu qu'un mode de vie SDS, je ne vois qu'une manière d'apprendre : être avec autrui. Sauf que je suis comme un oisillon dans le nid qui attend la becquet. Je ne le dis pas en me jugeant, juste en voyant les étapes d'apprentissage d'un nouveau mode de vie et de relation à autrui. D'ailleurs voyant toute l'intention de m'extraire de ce mode de fonctionnement, les Léo grâce à leur expérience de l'équilibre, savent me dire stop, ouvre les yeux, qui choisit ?

"Je veux participer en parlant de mon expérience." Le jeu de l'égo. Les Léo m'ont montré que mon Amasutum SDS ayant une grande connaissance du monde de la 4D et malgré son intention de s'extraire de ce cycle involutif, me souffle de très bonnes informations mais cela dans le but de rester dans le nid (faire partie du groupe Léo) et ouvrir le bec "être nourrie". Mais ça ne marche pas, son camouflage de bonnes intentions est démasquée car les attaques des G, les Léo en ont fait l'expérience et m'en ont fait part. A moi maintenant de faire "plier mon prédateur" en me taisant (ne pas retranscrire comme un robot car pour le moment parler c'est la nourrir).

 

"Je veux être avec vous." Je propose donc à Loredana de l'aider dans sa recherche de logement dans l'Aude pour m'installer avec elle. Je suis leurrée par mes bonnes intentions et mon enthousiasme révèle bien mon prédateur qui veut déjà être arrivé et continuer à faire un nid avec un Léo pour se nourrir. Je quitte petit à petit un mode de fonctionnement dans lequel la présence de l'autre est une norme. Cela fait écho à mon histoire où à l'âge de six mois on me faire faire de la kinésithérapie jusqu'à 16 ans, s'inscrit en moi l'idée que l'autre est indispensable pour m'apprendre à marcher. Je découvre que ce n'est pas l'autre mais mon En-je qui est indispensable pour m’apprendre à marcher sur mes deux jambes, et avancer dans cette nouvelle voix SDA.

 

En résonance à ce que je vis à ce moment-là, je reçois un mail de Loredana : « Pour ma part, je vois en moi, de manière très subtile, qu’il y a encore une programmation, celle de la recherche du prince charmant. Comme dans les contes : l'homme qui me "sauve" de ma solitude, ma peur du manque, mon besoin de partager, etc... Une programmation sournoise que je pensais ne plus avoir après le divorce de mon ex mari. C'est ça mon travail en ce moment...Prendre totalement la responsabilité de la fusion entre le masculin et le féminin en moi sans le rechercher à l'extérieur !!! »

 

Je prends conscience à quel point ce mode de vie m'est inconnu mais la force de pré-faire est bien là. Et les Léo le sentent. A moi de rentrer chez moi et d'apprendre seule. Me voilà de retour à Toulon, le 83 soit 8+3= 11, ce ne sera pas retour au point de départ mais un nouveau départ vers l'Aude-là, car je décide en moi d'être un Léo.

 

Ce n'est plus "je veux être avec Sand, Jenaël, Hélène, Eli, Loredana... " Je dis à mon En-je, NON à une vie de prédation (sous le contrôle de mon prédateur), enseigne moi et mets moi là où je puisse me déprogrammer.

A nouveau ce n'est pas "je veux être dans l'Aude" c'est "Je suis" là où mon En-je sait que c'est le meilleur endroit pour mon évolution. J'écrirai un mail au Léo à mon retour à Toulon, Sand me répondra :

"Nous ressentons déjà le côté posé de ton email. La prédatrice de 4D qui manipulait ta psyché en a pris pour son grade et tant mieux ! Ainsi tu commences à te restituer la liberté d'Être. Nous ne pouvons donc que t'encourager dans tes démarches, tout en avançant à ton rythme, "piano piano", pour suivre ta voie, celle de ton Ange, qui va forcément t'emmener là où tu dois aller pour le salut de ton âme."

 

En aucun cas il est fait mention de l'Aude ou de l'Ecoleo, alors que j'ai clairement fait part de mon intention d'aider (et elle a été entendue). Je pourrai voir cela comme un échec mais NON c'est rassurant car au fond de moi je sais que je ne suis pas prête pour être en contact avec les Léo car je l'ai été une semaine et qu'est ce que ça été dérangeant pour ma part prédatrice. Je ne dois pas oublier que mon prédateur m'enseigne alors si je continue à persévérer (à vouloir aller plus vite que ce que je suis capable d'intégrer et vivre comme expérience), je passe alors dans la souffrance (ce qui est pour lui une forme de nourriture voir texte le besoin de souffrance). Donc première leçon me respecter et avancer à mon rythme. C'est tant mieux car je dois d'abord apprendre à être un Léo c'est le pré-faire avant de faire (l'Ecoleo) avec les Léo.

 

De retour chez moi, je m'installe dans une petite pièce, dans l'ancien lavoir réhabilité, c'est la salle d'attente du cabinet d’ostéopathie de Gilbert. Je demande à Larysa et à Loredana (rencontré dans l'Aude) de faire un "groupe de travail", en copié-collé au message de Johannes. La réponse de Larysa est la bienvenue :

"L'idée de travailler en groupe en effet est fondamental, comme le Reseau Leo nous le souligne. Sans cela on ne peut pas comprendre un tas de choses et, beaucoup des fois, on se raconterait des histoires qui ne sont pas objectives. Et plus le groupe est large, plus le partage devient riche et constructif pour nous mener vers une nouvelle vision. Toutefois, de ma part au moins, je suis encore en train de lire ce qui a été publié sur et par le reseau. Je suis encore en train de mieux comprendre les mécanismes de prédation et pour cela, je trouve qu'il serait mieux de continuer à se mettre en jeu en ligne directement sur le rèseau, au moins pour moi, comme premier pas.

Ce que j'envisage ensemble, c'est plutôt, de travailler en équipe sur traductions et publications mais seulement quand on sera tous sur place dans l'Aude. Cela ne veut pas dire qu'on ne peut pas se parler sur internet, mais car le groupe doit encore se consolider, il vaudrait mieux continuer d'envoyer les partages au reseau entier et seulement après, se contacter.

De toute façon, chacun de nous surement a déjà fait des gros pas vers cette direction et cela veut dire qu' il faut seulement attendre que le moment soit mur.

A bientôt Larysa"

 

La confirmation m'est donnée je dois apprendre à travailler par moi-même (seule) en premier. J’en ai la force intérieure et la capacité. Clin d’œil au prénom Larysa, en langue des oisons La rit de ça. En d’autre terme elle doit rire de ça. Comme le disent les Cassiopéens tout n’est que jeu et apprentissage.

 

Mon En-je me montre la différence entre dire NON à la prédation et le je ne veux pas. Je m'explique. A la base, pilotée pour mon petit égo, "je ne veux pas de contact avec lui" (Gilbert, mon mari), le divorce s'enclenche de lui même, la vente d'une pierre (suite de l'énergie Atlante) doit permettre de payer ma part de l'avocat et lui la vente d'un appartement doit régler sa part des frais et modalités de divorce.

Nous sommes tous les deux dans la colère, le rejet. Lui de s'être fait avoir par la femme et moi par l'homme. On est tous les deux totalement pilotés par la prédation et nos alters. Donc aucune résolution karmique, ni sortie évolutive. Sauf que je fais le souhait de dire Non à la prédation, ce qui est différent du je ne veux pas de Gilbert.

Je comprends avec le recul que tant que je suis dans le je veux (divorcer) ou je veux pas (de Gilbert) c'est mon prédateur qui est aux commandes, tout se déroule comme je l'imagine (contrôle du futur). Et quand j'accepte toute expérience me menant à dire NON à la prédation sous toutes ses formes (chez moi comme chez lui comme chez ma fille) donc c'est mon En-je qui reprend les reines.

Et là tout ce qui était prévu s'écroule tout comme mes certitudes. Merci. Je ne le sais pas mais au même moment les Léo commencent à rénover la maison qui accueillera l’Ecoléo. Et ils détruisent en premier tout ce qui est « mort », les vieux murs, toitures obsolètes...

 

Rétractation des acheteurs de l’appartement de Gilbert qui trouvent un bien plus à proximité du centre (ville). Je traduirai cela par : "Je dois trouver mon centre et rester à proximité. Pas de départ pour l'Aude pour le moment je reste ici pour apprendre." La pierre vendue à un acheteur breton se perd puis est finalement retrouvée et renvoyée mais elle arrive l'arrête cassée donc la procédure de remboursement de la compagnie de transport s'enclenche. Mon dossier est à ce jour en attente tout comme mon dossier RSA, déclenchée suite à notre séparation. Pas d'argent, pas de fuite. Séparation oui, procédure de divorce (symbole de ma fuite en avant) mise en attente.

 

Je comprends alors que dans mon raisonnement 3D, divorcer de Gilbert c'est couper avec le canal de prédation. C'est une illusion car si je pars sans avoir vu tous les alters qui génèrent des comportements prédateurs, je vais re-attirer à moi une personne pour être sa victime et ainsi passer ensuite en mode victime-bourreau. Et mon souhait n'est pas le "je veux rester à côté de Gilbert et ma fille", je dis seulement NON à ce cycle involutif. Les choses font qu'en conséquence de ce choix je vis les expériences nécessaires avec eux.

 

Donc j'apprends à dire NON à la prédation, à savoir je dis non à la sexualité et à la recherche de tendresse de la part de Gilbert car je sais que c'est la nourriture de son Dracos qui utilise sa blessure d'enfant rejeté par sa mère. Nous nous sommes "aimantés" (morsure, love-bite) car tous deux, notre niveau d'amour de nous-même est très faible donc notre capacité d'autonomie est très faible (moi en terme matérielle et lui en terme affectif). Donc j'étais prête (tout comme mes alters le faisaient) à me vendre pour avoir la sécurité (accepter tout de l'autre) et lui à se sacrifier (endettement pour des biens matériels) pour la nourriture affective de la femme.

Cette culpabilité de "m'être vendue à la prédation" par peur de manquer va me faire accepter les colères du Dracos qui n'a pas sa dose d'Amour. Ce qui me permettra de pleurer tous mes alters qui se sont soumis au patriarcat, pensant ne pas pouvoir faire autrement (pas les mêmes droits que l'homme). Ce sont beaucoup de mémoire liée à l'Afrique (excision, seins repassés, viol suivi de mariage forcé, rébellion...).

De son côté Gilbert va faire plier son prédateur et voir tous "ses pensées qui l'invitent" (alters abus) : à me faire l'amour puisqu'on est marié, pas de viol entre époux, peut-être que ça lui ferait du bien malgré ce qu'elle dit : qu'est-ce qu'elle en sait après tout, le sexe ça fait du bien...

Plus je pleure la lutte du féminin contre le masculin plus je vois la lutte qu'il mène pour ne pas céder à l'agression sur moi même. Et petit à petit lui comme moi on sort de la colère de nos alters pour communiquer.

 

Je veux être autonome. Aucun revenu (ni du remboursement de la pierre, ni du RAS dossier en attente). J'accepte que je sors de tout repère (la sensation d'écroulement en moi). Je suis dépendante financièrement de Gilbert et je dis NON à ma culpabilité de ne pas payer les courses avec "Mon argent" (égo qui parle). C'est déroulé un jeu de piste pour me libérer de la culpabilité qui me liait à ce duo dans mon mariage (si je décortique mari-age je lis le mari âgé). Gilbert a 25 ans de plus que moi. Ma mère a perdu, quand elle avait 18 ans, son père et mon père a 18 ans de plus qu'elle. Je pleure une petite fille qui remplace dans le cœur de son père sa femme perdue.

 

Dans ma bulle Gilbert me dit : "je veux bien voir le prédateur si j'ai des relations sexuelles ou tendres avec toi." Non, cette fois j'accepte de ne pas être responsable de la vie d'autrui (de sa déprogrammation). Je pleure une jeune fille qui refuse les avances sexuelles de son père (ancien soldat dépressif) et qui l'a par la suite retrouvée pendu. Culpabilité engrammée en moi (lui donner tout ce qu'il veut plutôt que d'être responsable de sa mort) qui a permis ma soumission au masculin plus âgée (Kinésithérapeute pendant 16 ans, couple pendant 13 ans) pour ne pas perdre mon repère de sécurité. Aujourd'hui c'est la 13ième année, la mort pour la transformation. J'apprends à ne plus me soumettre et à accepter la possible mort de l'autre, cette fois symbolique, s'il fait le choix de rester dans la matrice et de ne pas développer sa propre force.

 

Gilbert ne veut plus se sacrifier à savoir arrêter le sexe (il ne voit pas son prédateur dans la sexualité comme moi je peux le percevoir). Merci à lui car aujourd'hui il permet ainsi à chacun de vivre ses expériences en fonction de ses croyances. Je pleure une maman qui laisse son fils monter dans un train, elle recevra par courrier sa mort.

 

J'accepte de perdre la tutelle d'un "papa" et lui celle d'une "maman". Un premier pas vers l'autonomie. Le jour où je prends conscience de cela dans ma bulle je vois un couple de femme alors que quand je m'approche je vois que c'est un homme et une femme. Dans la voiture Gilbert met un de mes bracelets en bois au poignet. L'homme-femme ? Le couple en moi avec ma Supra-conscience, l’être androgyne ?

 

Je ne veux pas de toi (sous-entendu le masculin). Au départ, rejet de Gilbert et de sa présence (trop révélatrice de mes comportements prédateurs). Ensuite j'ai appris l'équilibre : je veux bien apprendre et si c'est avec Gilbert ok car ce n'est pas à lui que je dis NON mais à la prédation qui s'enclenche quand on est en présence l'un de l'autre. Pour arrêter tout canal de prise d'énergie je dois le voir. Qu'est-ce que je n'ai pas vu en moi ? J'ai clairement dit à Gilbert que je me tournais vers l'auto-sexualité pour autant il me relance continuellement. Je peux me voir en victime harcelée mais je sens qu'il y a autre chose. Je perçois que j'entretiens hormonalement son attirance pour moi. Jérome parlait cet été de parfum hormonal qu'il ressentait. Donc la femme attise les envies de l'homme. Pourtant ce n'est pas mon souhait et je n'ai aucune "envie de lui", je ressens cependant en sa présence mon utérus qui se gonfle et mes seins qui se gorge comme si j'allais allaiter.

Je n'atténue ce phénomène qu'en dépassant ma honte (mémoire) et en pratiquant l'auto-sexualité qui va "décharger" et donc rééquilibrer mes hormones (en ajoutant la prise d'iode et une alimentation faiblement sucrée). Je me suis aperçue que quand j'oublie (volontairement : mémoire de dégoût, saleté liée à l'utérus), j'ai des boutons que je perce ou j'accepte la colère du Dracos de Gilbert. Je reconnecte avec des mémoires catholiques de mortification.

Définition : La mortification est une pratique d'ascèse religieuse qui consiste à s'imposer une souffrance, en général physique, pour progresser dans le domaine spirituel.

 

Je peux en conclure que soit je nourris ma part prédatrice consciemment par l'auto-sexualité soit par la souffrance que je m'inflige. Une forme d'auto-punition : manque d'argent, situation à risque, sport intensif. Chacun cherche sa régulation de façon consciente ou inconsciente. La religion rejetant toute notion d'auto-sexualité car liée à la jouissance et aux plaisirs inventent le principe de mortification. il est écrit dans certains textes que le zèle de certains homme ou femme "saint" est même freiné (Jeune de longue durée, auto-flagellation de ses "pêchés"... )

J'enlève couche après couche.

 

Je veux être libre.

Suite à l'émergence d'alter, je fais des recherches. Je comprends que la volonté d'excision de la femme est née dans les sociétés égyptiennes pour les femmes réservées aux élites sociales et que pour que les filles de classe moins aisée puisse avoir un bon mariage (sécurité et confort matérielle) elles étaient excisées de la même manière. L’excision (sauf erreur de ma part) ne permet pas l'auto-sexualité donc ne permet pas l'auto-régulation hormonale. Ce qui va entraîner chez la femme, une "surcharge hormonale" (influencée par le prédateur) qui va attirer mécaniquement l'homme et le "pousse" à la sexualité (piloté par son prédateur). Ce qui explique pourquoi les hommes disent : "elle l'a bien cherchée" et les femmes honteuses, le croient et que la loi permettait au violeur d'épouser sa victime (Liban, Maroc, Tunisie, Jordanie, Egypte ont abrogé cette loi).

 

Au delà du jeu de la culpabilité il y a bien un jeu hormonal piloté par le prédateur. Hors je sais maintenant clairement que les deux formes de nourriture de la prédation sont la peur et l'érotisme/sexe. Dans le monde occidental où les meurs varient (pas d'excision), je comprends que cette volonté d'érotisme chez la femme est liée à son envie de s'affirmer libre de ne plus donner son corps,"de contrôler" les naissances et sa sexualité (ce qui ne veut pas dire avoir compris le jeu hormonal prédateur). Ainsi c'est le petit ego qui parle "je ne veux pas de l'homme, je veux être indépendante" sauf que c'est une fausse idée de liberté car l'érotisme (la séduction) et une autre manière de nourrir le prédateur et de rester sa marionnette.

C'est comme ça que j'ai vu que quand je ne pratiquais pas l'auto-sexualité, je transmettais hormonalement donc inconsciemment un signal à Gilbert* et ensuite consciemment le repoussait quand il tentait une caresse. Il m'a d'ailleurs dit un jour : "excuse moi j'ai mal compris je croyais que c'est ce que tu voulais." Au premier abord je me suis dit : "il se fiche de moi, aucun respect." J'ai ouvert les yeux et vu qu'au fond de moi je ressentais un plaisir à le voir souffrir et revivre sa blessure de rejet de par la femme (blessure avec sa mère). J'étais dans une forme de torture.

J'ai ainsi pu accueillir des alters bourreaux faisant subir une pression psychologique ou physique à leur prisonnier (mémoire de femme tyran Auchwitz). J'ai pleuré combien de temps aurais-je été capable de te garder dans cette prison psychologique ?

*J'ai compris qu'en résonance avec des alters meurtris dans leur partie intime j'étais coupée de tout ressenti avec mon corps et donc je pouvais ignorer en toute bonne foi une montée hormonale car mon cerveau ne me transmettait pas l'info: "j'ai envie."

 

Cette déconnexion, ne plus être libre de son corps, je l'ai senti quand un soir Gilbert est venu s'allonger contre moi, je me suis figée, incapable de bouger, de parler. Par chance (je criais au fond de moi, je demande l'aide de mon En-je :"non, je dis non." Il a vu mon "corps mort" et m'a dit : qu'est-ce qu'il y a ? J'ai pu lui dire : "non, arrête." J'ai clairement identifié et pleuré des mémoires de viol (d'incapacité à dire non).

Il y avait également des mémoires de transhumanisme car quand j'ai lu l'article sur le chat devient souris, j'ai pleuré : "je les ai laissés entrer, j'ai ouvert la porte (du jardin) qui était fermée et ils ont installé à distance de la maison le compteur". J'ai compris que j'avais eu une technologie dans le cerveau ("pour me guérir") qui avait permis aux opérateurs de me téléguider à distance au point que je sois plus maître de mon corps. J'ai dit NON à la prédation qui me téléguide depuis la 4D. Concrètement j'ai cherché et trouvé un article pour revenir à l'ancien système de compteur. J'ai demandé à Gilbert avec l'aide d'un ami électricien de le faire. Moi de mon côté j'ai pleuré mon alter devenu robot (par ajout d'implant électronique et impuissant à ressentir des émotions et à garder le libre arbitre sur ses choix et son corps).

 

Aujourd’hui, j’ai encore une pierre l'Aragonite elle est faite de milliers de petits cristaux (censés représentés tous les potentiels SDS ou SDA). Je veux la vendre mais devant le résultat de la première vente j'ai compris qu'aucune énergie issue des pierres ne m’aiderait vers un futur SDA. J'ai donc décidé d'en faire don mais personne n'en voulait, je me suis résolue à la casser en petits morceaux pour la mettre dans la nature car elle fait 1 mètre-carré pour 150 kg. Au même moment Gilbert pour un salon est en contact avec la personne qui m’a vendue la pierre. Quand j’apprends cela, je réaffirme en moi ma volonté de fermer la porte de cette ligne temporelle car ce que je vois en elle, c’est mon miroir atlante, l'initiatrice. Je dis NON à un comportement prédateur à travers les pierres. Il me propose de lui rendre ma pierre plutôt que de la casser pour la mettre dans la nature. J’accepte. Elle refusera mon don affirmant qu’elle a déjà des pierres comme la mienne. Retour à mon premier instinct, les pierres que je possède encore retourneront à la terre. Cela marque pour moi la fin de la peur de manquer.

 

Dans l’après-midi, ma mère vient me voir et me demande : « Pourquoi es-tu dans un tel détachement envers nous ? Avons-nous fait quelque chose de mal envers toi ?» Je lui explique qu’ils n’ont rien à se reprocher, simplement je n’ai pas le besoin de venir les voir, je ne veux pas les rejeter mais je ne sais pas quoi leur dire. Elle me répondra qu’en effet, qu’elle est incapable de parler avec moi des sujets qu’abordent mon site le réseau Léo car elle ne comprend pas. Elle conclura en me disant "tu n’as aucun attachement envers nous, y a rien à faire c’est comme un deuil à petit feu. On ne se souhaite même pas nos anniversaires." Elle me donnera quand même un chèque de 300€ pour mon anniversaire. Je ne m’y attendais pas, j’accepte avec gratitude car il n’y a plus de dépendance affective entre nous.

 

Merci à tous les Léo pour leur travail qui m'aide à y voir plus clair dans mes propres apprentissages et leur intégrité à savoir dire NON à la prédation qui me traverse et ainsi m'apporte pour que je puisse retrouver ma liberté d'être.

 

A bientôt.

Galline

 

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