"Se sentir poussée à" ou "se laisser porter par" ? par Roselyne/Sely

 

Être poussée par (intrusion) / repousser l’intrus (rejeter cette énergie) / repousser la compréhension à plus tard (pas encore prête) / être poussé à (encouragement) / se laisser porter par : tout un processus qui amène à la compréhension.

 

Le 13 juillet 2019 je suis montée sur la coursive installée autour du toit de l’ecoleo. Au premier abord, je n’y suis pas monté par envie ou impulsion mais poussée par Layla : « tu devrais monter pour avoir un autre point de vue et prendre de la hauteur ». Me trouvant devant une de mes limites, je ne suis d’abord pas montée plus haut que l’échafaudage qui avait été placé à l’intérieur du bâtiment. Il offrait une possibilité de monter sur la coursive après avoir enjambé le reste du mur. L’autre possibilité de monter était la grande échelle placée à l’extérieur, sur laquelle, c’est sûr, je ne serais pas montée. Alors que je venais d’atteindre l’échafaudage, s’est présenté la nécessité pour tous ceux qui étaient présents de participer à l’installation de la nouvelle bâche sur le toit. Je me suis sentie poussée là encore à rester pour aider, mais sur l’échafaudage car pas encore capable de monter plus haut.

 

C’est à ce moment-là que j’ai revécu pour la 3ème fois une sensation d’étouffement lié à une noyade. La première fois que j’avais eu cette sensation j’étais enfant et j’apprenais à nager. La deuxième fois, c’était un mois plus tôt lors de notre traversée en bateau vers l‘Irlande. Cette fois-ci, sur le toit, pas d’eau, mais une grande bâche bleue bien lourde. Symboliquement cette fois, je me suis retrouvée avec ces mêmes sensations que dans la piscine 40 ans plus tôt. Lorsque la bâche a été entièrement déroulée, je me suis retrouvée dessous portant mon bout de bâche à bout de bras et sur la pointe des pieds, puisque j’étais la seule dessous. J’ai soudain manqué d’air, ma vue s’est troublée, j’ai ressenti du vertige et je n’entendais plus les voix des autres mais un brouhaha.

 

 

Poussée dans la piscine par surprise et sensation de noyade

 

Je me rends compte que cette peur de mourir étouffée ou noyée je la porte depuis mon enfance (6 ou 7 ans), depuis qu’un maître-nageur m’avait poussée dans l’eau sans me prévenir, après m’avoir mise en position pour faire une roulade. Nous étions une trentaine d’enfants alignés sur le bord de la piscine. Pas prévenue qu’il allait y aller de force, j’avais gardé les yeux ouverts. En fait, je faisais exprès de ne pas garder la position pour qu’il ne puisse pas me pousser quand il passait pour vérifier que tout le monde était en position, trop peur de faire cette roulade... il m’avait demandé plusieurs fois de la garder jusqu’à son prochain passage et ça l’énervait que je bouge. Il suffit que j’y pense pour revoir la scène mais je ne ressens plus la peur que j’avais ressentie alors en voyant l’eau défiler comme un tourbillon pendant que je coulais et tournais avec elle ainsi que mon impuissance : juste attendre que ça passe et que je remonte à la surface le plus vite possible pour ne pas boire la tasse. Le comportement du maître-nageur, dont ce n’était pas le seul passage en force, sans se préoccuper de l’aisance ou non des enfants dans l’eau, avait fini par attiré l’attention. Après plusieurs plaintes de parents il a été remplacé.

 

Dans la nuit du 13 juillet, dans l’Aude, je n’ai pas réussi à dormir avant 3 heures du matin à cause d’une « torture » mentale. Je voulais dormir mais je repensais sans cesse au chantier de l’après-midi, jusqu’à ce que je prenne conscience que mon alter enfant qu’on avait poussé dans la piscine était là depuis tout ce temps et voulait être entendu. J’ai fait alors le lien avec Loredana et ma difficulté à supporter son énergie pendant le chantier sans pourvoir me l’expliquer ce jour-là. Je revoyais en boucle ce qui s’était passé avec la bâche, ce que j’avais dit sans que personne ne m’entende « eh c’est bien de tout déplier mais là je suis coincée dessous, si je ne la tiens pas à bout de bras au-dessus de ma tête, je ne peux pas respirer. » Évidemment, à ce moment-là c’était mon alter qui parlait ! Je ne risquais pas de m’étouffer, même si j’avais une sensation réelle d’avoir du mal à respirer. Personne ne m’a entendu sauf peut-être Jenaël qui a tourné la tête vers moi à ce moment-là. J’attendais d’entendre quelque chose sur la suite de l’opération, n’entendant qu’un brouhaha. À ce moment-là, plusieurs parlaient en même temps, fort, difficulté à se coordonner, et le son était étouffé par la bâche. Puis Loredana qui était juste au-dessus de moi, finit par dire bien fort sur un ton de « reproche » et d’impatience (en tout cas je l’ai perçu comme ça ce jour-là) : « eh Roselyne tu enroules la bâche !!?! » À quoi j’ai répondu : « JE FAIS C’QUE J’PEUX !! Je suis sous la bâche, je vois rien, j’ai pas entendu que vous aviez recommencé à l’enrouler ! »

 

Une fois la bâche en place et retenue provisoirement avec des tuiles, j’ai réussi à monter sur la coursive. Au bout d’un moment je me suis rendue compte que je n’avais plus peur, bien que je faisais bien attention où je mettais les pieds... mais descendre par l’échelle à l’extérieur, par contre, pas pour cette fois ! J’ai d’ailleurs entendu Sand dire « piano, piano » à Layla qui m’incitait « fortement » à descendre par l’échelle. Plus tôt, alors qu’on accrochait la bâche avec des cordes j’ai demandé de l’aide à Julien. Loredana m’a répondu « mais je peux le faire moi ! » A ce moment-là, elle se trouvait entre nous-deux. A quoi je lui ai répondu (mon alter qui sentait monter une pression après l’épisode de la bâche), « ben si tu veux le faire, fais-le ! » (du genre ta façon de faire n’est pas la mienne). Plus tard on s’est encore retrouvées côte à côte à ramasser des débris (à plusieurs endroits différents) et là encore j’ai l’impression qu’elle force en passant devant moi, mais je sais bien que là c’est clairement, une pensée de réaction de mon alter présent.

Cette nuit du 13 juillet je n’ai alors réussi à dormir que lorsque j’ai pu voir et accepter tout ça, sans culpabilité de le ressentir, repensant aussi à la réaction que j’avais eue en janvier 2019 lors de la mise en ligne de son témoignage dans la video Au pied du pont médiéval de Serres (11) partie 1 (les 18 premières minutes).

 

Par contre le 15 juillet, lors de notre deuxième partage de groupe je n’arrive pas à en parler, je sens qu’il me manque une compréhension/intégration pour que ça puisse être entendu. Puis il y a un échange entre Hélène, Layla et Loredana avec l’intervention de Sand rappelant à Loredana qu’elle n’a pas à intervenir dans l’agencement du bureau de leur location commune si elle n’a pas l’intention de l’utiliser, alors même qu’Hélène et Layla ne cherchaient pas à changer quoi que ce soit. Quand elle se justifie d’avoir voulu aider, qu’il y avait quelque chose à améliorer etc etc, cela me fait ressentir cette énergie que j’ai perçu le 13 sur le chantier.

 

Aujourd’hui, le 13 02 2020 (tient ça fait déjà 7 mois, jour pour jour) je me dis que c'est bien parce que je me retrouve aussi souvent dans le rôle de celui qui pousse l’autre à agir, qu'en résonance j'ai pu de nouveau accueillir et cette fois j’espère, neutraliser, mon alter qui se laisse pousser par l'autre.

 

Aujourd'hui, j’ai revisionné la video leo Au pied du pont médiéval de Serres (11) partie 1 filmée en août 2018 et mise en ligne en janvier 2019. Pendant les 18 premières minutes, Loredana expose un de ses rêves qui a fait remonter en elle un sentiment de culpabilité puis, dans un deuxième temps, un souvenir de cette vie-ci qui est lié au rêve.

Le rêve : elle lance un freesbee qui atterrit verticalement dans la gorge d'un jeune garçon. Il lui dit que ce n'est rien. Elle, elle se met à saigner du côté gauche. Jenaël dira que c'est là que se trouve le pancréas, que le rêve semble indiqué que le «mauvais» sang s'évacue pour que sa génétique puisse se régénérer.

Le souvenir : lorsqu'elle était jeune enseignante (sport) Loredana a fait monter des enfants sur un espalier et elle leur a demandé ensuite de sauter pour braver leur peur. Or il y avait une enfant très peureuse. Elle l'a faite monter puis elle l'a poussée. L'enfant s'est retrouvée au sol allongée sur le dos le souffle coupé. Loredana dit alors qu'elle s'est sentie coupable puis ensuite, pendant plusieurs jours, a eu peur que l'enfant prévienne ses parents. Ce que l'enfant n'a pas fait.

 

Lorsque j'avais regardé cette video il y a un an j'avais eu une forte émotion et j'avais pleuré le ressenti de l'enfant en ne sachant que trop bien ce qu'elle avait ressenti à ce moment-là : de la violence suivie d'une sidération, mais aussi de la culpabilité de ne pas être à la hauteur pour l'autre et d'avoir été abandonnée (car non prévenue puis poussée) d'où le mutisme qui a suivi. Ça ne voulait pas dire que pour cette enfant cet évènement était insignifiant et qu’il était inutile d’en parler. Il a forcément laissé des traces, pendant un temps plus ou moins long.

 

Dans mon cas, avoir été poussée dans la piscine a marqué le début d'un « emprisonnement » hors de mon corps, incapable d'habiter mon corps en sécurité si mes 2 pieds ne touchent pas terre. Devant cette video c'est l'émotionnel qui avait pris le dessus, j'avais été incapable de contacter Loredana pour en parler à l’époque car je lui aurais pris de l'énergie, j’étais trop dans l’émotionnel. Puis le temps a passé sans que je neutralise cette mémoire (mise sous le tapis), sans pouvoir aider mon alter. Il fait partie de moi dans cette vie-ci, c'est moi/ lui qui a eu la sensation que j'allais me noyer dans cette piscine et tout cela est encore lié à des programmes limitants de cette vie-ci bien actifs, ça rend la tâche beaucoup plus difficile encore.

 

Aujourd'hui (le 13.02.2020), Loredana je peux te dire merci. En remettant cette énergie-information sur le tapis dans la video puis en la "rejouant" sur le toit de l'écoleo d'une tout autre manière, tu m'as permis de la faire remonter jusque dans mes cellules pour que je puisse neutraliser ma part de la médaille, l'autre versant de cette polarité « pousser / repousser » afin que je puisse me propulser ailleurs, loin de la peur de ne pas avoir les pieds sur terre. Nous nous reverrons dans quelques jours et je ne pense pas m'avancer beaucoup en disant que la communication est rétablie entre nous, en tout cas de mon côté. J'ai une émotion de joie qui remonte en écrivant cette phrase.

 

 

Autre rappel d’une noyade : par le Titanic

 

Il semble évident que cette peur de se noyer remonte à bien plus loin, sur un autre plan. La traversée de la mer celtique au large de l’Irlande a ravivé autre chose encore : une noyade « pour de vrai ». Mais tout est lié a priori. Qu’un de mes alters ait été sur le titanic ou pas importe peu. J’ai juste la sensation qu’un de mes alters au moins s’est noyé.

 

 

le 19 juin, date de notre départ pour l’Irlande et 1 mois avant notre passage dans l’Aude. On embarque sur un ferry à Cherbourg avec notre voiture. 19H de traversée.

 

Sur le bateau nous passons une mauvaise nuit tous les 3, bien que nous ayons une cabine pour nous allonger. Le sol n’étant pas stable (forcément on est sur un bateau !), les couchettes non plus. On entend l’eau frapper bruyamment contre la coque et j’ai des crampes toute la nuit qui me réveillent ou m’empêchent de dormir à cause de leur fréquence. Julien et Lisa aussi se réveilleront plusieurs fois. À un moment, Lisa se lèvera même pour vomir et à un autre, au petit matin je crois, elle dira « on dirait qu’on est une famille sur le Titanic ! ».

 

Là ça fait tilt, et si on avait, tous les trois, traversé cet archétype du naufrage ? J’y ai pensé aussi pendant la nuit. Une peur m’avait traversée, que je sentais bien ne pas être la mienne. Je savais parfaitement bien où j’étais, que le risque était nul, que la mer n’était pas vraiment agitée et pourtant cette peur de se sentir prisonnière sur un bateau dans une tempête (ou autre) avec une issue incertaine (ou pas), la peur de mourir noyée ou étouffée je l’ai très bien sentie au point de me sentir oppressée et de manquer d’air, le tout dans le noir avec mon corps qui n’avait pas d’autre solution que de suivre les mouvements de la couchette.

 

2H30 dans la nuit : Tangage et roulis toujours, je n’ai pas encore fermé l’œil ou très peu. Je me lève et me contente de l’éclairage de la lune qui filtre sur les côtés du rideau du hublot. Julien et Lisa semblent dormir mais se retournent dans leur couchette. Moi je me laisse guidée par le mouvement qui me déstabilise, justement pour travailler mon équilibre, les pieds bien posés sur le sol, je laisse mon corps suivre les mouvements tout en me concentrant pour ne pas être projetée dans un sens ou un autre. J’ai alors affirmé ceci : « cette fois je reste maître à bord, toutes ces pensées de noyade ne sont pas les miennes, aujourd’hui, à cet instant. »

 

Puis, en pensée, j’ai dit que j’acceptais que cette peur me traverse et que mes alter concernés (naufragé d’un bateau comme le Titanic, esclave en fond de cale à une autre époque, piraterie ou je ne sais quoi encore... ce sont ces exemples qui m’ont traversé l’esprit à ce moment-là, sans réfléchir) pouvaient passer par moi pour neutraliser leur expérience, je pouvais les emmener avec moi pour un tout autre voyage.

 

C’est comme ça que je parle à mes alter maintenant. Je n’ai pas la conscience précise d’un vécu précis. La plupart du temps ce sont seulement des ressentis ou des indices. Je ne sais même pas si ce sont mes propres alter ou ceux de mon entourage, car nous sommes quand même pas mal connectés. Mais j’ai constaté qu’en acceptant ce qui me traverse et en allant jusqu’aux pleurs libérateurs (qui ne sont jamais contrôlés sinon ils ne sont pas libérateurs) ça suffisait pour que ces énergies s’apaisent. Là, vu toute l’eau autour et même la pluie à un moment, pas besoin de pleurer.

 

En regardant dans le dictionnaire des malaises et maladies de Jacques Martel, ce qu’il écrit sur les crampes qui m’ont tenue éveillée toute la nuit ou presque, je comprends, qu’effectivement, mes alter étaient bloqués dans une situation plus qu’inconfortable.

 

CRAMPES

Une crampe est la contraction involontaire, douloureuse et passagère d’un muscle ou d’un groupe musculaire. Les crampes indiquent une grande tension, une crispation intérieure parfois excessive. Je retiens l’énergie divine et l’empêche de circuler en moi car je suis coincé, limité. Je m’obstine à m’accrocher à une peur, une blessure intérieure ou à un stress qui ne sont plus bénéfiques pour moi. Certains de mes patterns mentaux ont besoin d’être intégrés davantage. Actuellement, je vis beaucoup de pression et de tension qui peuvent être accompagnées d’un sentiment d’impuissance par rapport à quelque chose ou à une situation. Je me demande bien quoi faire et quelle est la meilleure solution pour moi. Puisque j’ai peur, je me cramponne, je m’accroche à des idées fixes. J’appréhende la vie au point où je bloque radicalement (« verrouille ») l’énergie à un endroit précis. Je voudrais me réfugier chez moi. Mon anxiété m’amène à vouloir éviter ou fuir une situation. Selon l’endroit de la crampe, j’ai un indice de ce que je dois changer : une crampe au pied, la direction que je prends.

 

Et comme pour confirmer mon ressenti, nous avons entendu parler plusieurs fois du Titanic les jours suivants. À vrai dire, je ne connaissais pas grand-chose des détails comme sa construction en Irlande, le nom des escales etc. Je fais donc une recherche sur wikipedia et vikidia à notre retour et ce que je découvre m’étonne :

 

Le Titanic a été construit par les chantiers navals Harland and Wolff à Belfast en Irlande du Nord.

 

Embarquement des passagers

Le 10 avril 1912, le Titanic lève l'ancre à 13h15 de Southampton (en Angleterre). Il compte 953 passagers et 886 membres d'équipage. Le commandement du navire est assuré par le capitaine Edward Smith. Le paquebot se rend à Cherbourg, en France, où 24 passagers débarquent et 274 embarquent. Puis le Titanic met le cap vers l'Irlande. Le 11 avril 1912, à 11 heures 30, le paquebot fait débarquer sept passagers à Queenstown, aujourd'hui nommé Cobh, alors que 120 prennent place à bord du bateau. Un membre de l'équipage s'enfuit après l'arrivée du navire (aurait-il écouté sa conscience supérieure?). 1 316 passagers et 885 membres d'équipage se trouvent à bord.

 

Il coule le 15 avril 1912 à 2 h20 au large de Terre-Neuve.

 

John Coffey raconte l’histoire fascinante d’un homme de Cobh qui s’échappe de la tragédie du Titanic. John Coffey, âgé de 23 ans, travaillait pour la White Star Line Shipping Company. Après avoir travaillé sur le navire sœur du Titanic, Olympic, pendant un certain temps, John s’est inscrit pour travailler sur Titanic afin de pouvoir se rendre librement à Cobh pour rendre visite à sa famille. À son arrivée à Queenstown (Cobh), il s’est caché parmi les sacs postaux et s’est rendu à terre sans être détecté. Après que la tragédie ait commencé à se répandre, la nouvelle de John Coffeys a commencé à faire la une des journaux. Alors que les médias du monde entier l’attiraient, l’histoire de John Coffey s’enrichit un peu plus. Interrogé à la suite de la tragédie, il a expliqué qu'il avait sauté d'un navire à un autre, car il avait un pressentiment de tragédie. Après son heureuse évasion du Titanic, John Coffey a ensuite travaillé sur le RMS Mauretania.

 

Je ne peux que faire le rapprochement entre l’heure où le titanic a coulé (2h20) et mon heure de lever, à 2h30, pour soulager mes crampes. Ce qui m’a conduit à accueillir la peur de mes alter.

 

Et puis nous sommes partis de Cherbourg, sa première escale. Nous n’avons pas débarqué à Cobh (prononcer Cov) mais à Rosslare Harbour. Par contre nous sommes allés à Cobh comme c’était prévu, le 22 juin, sur notre trajet au départ de Cork la ville voisine, mais à notre grande surprise, quand même par l’eau, avec notre voiture ! Le trajet a été choisi par le GPS, ce n’est pas le chemin le plus direct. Nous sommes tombés nez à nez avec un bac pour traverser la rivière.

 

Arrivés à Cobh mon regard a tout de suite été attiré par ces deux lions avant de me rendre compte que le mot titanic figurait sur des bannières à côté. Ne connaissant pas le lien de Cobh avec le titanic, à ce moment-là je n’ai fait aucun rapprochement avec la nuit sur le bateau 2 jours plus tôt. Je me suis même demandé ce que ce musée faisait là ! S’il n’y avait pas eu les statues de lions, je n’aurais même rien remarqué.

 

 

 

Et ce tableau en bois photographié dans la rue parce que je le trouvais joli ne m’a pas plus évoqué le Titanic puisque son nom n’y figure pas. Mais toutes les informations découvertes ensuite, par contre oui ! Le majestic et l‘Olympic sont les autres paquebot de la White star line et ils faisaient le même trajet que le titanic.

 

 

 

 

 

En conclusion, à moi maintenant de me sortir la tête de l’eau et de me laisser porter par ma conscience supérieure en ne créant plus de résistances. Ce qui ne veut pas dire non plus que je n’ai pas le droit d’avancer à mon rythme, tout en sachant dire non si je sens que l’on me pousse à aller trop vite par rapport à mes capacités.

 

Roselyne (Sely) 49

 

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