9. De la mort à la vie - par Florian B

 

Depuis mon enfance, j’ai toujours été très inquiet. “D’où provenaient mes peurs ?”, me demandais-je depuis quelque temps. Aujourd’hui, pour obtenir des réponses et continuer mon processus de transformation intérieure, je récapitulai les signes et phénomènes paranormaux marquants qui me sont arrivés.

 

Dans une transcription, les Cassiopéens encouragent à retracer son histoire personnelle par écrit pour se guérir intérieurement :

R : Nous voulons dire écrire le récit de votre vie […] [Vous serez] surpris de voir tout ce qui resurgit.

(Extrait de la transcription Cassiopéenne du 7/06/2014)

 

Au cours de ma vie, je fus touché par les histoires de membres de ma famille ayant été témoins de choses inexplicables. Leurs récits singuliers m’ont marqué et me permettent aujourd’hui de comprendre que leurs informations participèrent à m’ouvrir sans que j’en sois conscient, aux réalités de l’invisible.

 

À l’âge de 5 ans, je me souviens avoir été choqué par les attentats du 11 septembre 2001 qui m’avaient laissé l’impression d’être en danger. Cette attaque avait profondément affecté ma confiance en le monde extérieur et mon sentiment de sécurité.

 

J’en étais venu à être horrifié par le générique musical du journal télévisé, les voix des présentateurs, les images de catastrophes naturelles et certains mots tels que : ‘attentat’, ‘mort’, ‘bombe’, ‘séisme’, etc. Parfois, pris par des pleurs convulsifs et des maux de tête, j’avais la sensation de disjoncter et suppliais mes parents d’éteindre la télévision ou la radio.

 

La peur étant un déclencheur d’états dissociatifs, ces crises me révéleraient une forme d’hypersensibilité. Cherchant à en savoir plus sur l’origine de celles-ci, je découvrais des informations relatives à ce que la médecine traditionnelle nomme “troubles neurologiques” (spectre de l’autisme, hypersensorialité, troubles de la personnalité, etc.). J’apprenais que les personnes concernées par ces désordres neurologiques seraient davantage enclines à la dissociation, la manifestation de comportements d’autodestruction et de violences exogènes, ce qui me renvoyait aux violences physiques que j’avais subies dans mon enfance.

(Voir à ce sujet : https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/stress-post-traumatique/articles/quelles-sont-les-consequences-psychologiques-d-une-exposition-a-un-evenement-traumatisant-comme-les-attentats & concernant les ‘UHF’ https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-19-juillet-1995.46939/ & enfin, au sujet du 9/11 https://theconversation.com/comment-le-11-septembre-sest-imprime-dans-nos-memoires-167674)

 

De plus, j’avais toujours eu un sommeil très léger. La nuit, j’étais constamment en état de vigilance. Je me réveillais souvent en sursaut pris par des crises de panique, ayant l’impression que ‘quelqu’un’ ou que ‘quelque chose’ se tramait dans ma chambre. Pendant longtemps, je n’étais pas tranquille et vivais avec la peur viscérale d’être enlevé. Le temps passant, mes angoisses s’intensifiaient. La ‘mort’, la ‘vie’, étaient des sujets qui me donnaient le vertige.

 

Mes proches n’avaient pas pu comprendre mes soudaines paniques ni ce que je ressentais car, comme je l’ai maintenant découvert en prenant conscience des réalités hyper-dimensionnelles et de la multi-dimensionnalité de l’âme, mes peurs avaient des origines multiples que eux-mêmes ignoraient. Je percevais probablement des choses dans l’invisible qui justifieraient mon état de peur constant d’alors, néanmoins cela restait pour moi sans explication !

 

Concernant la peur, voici ce que les Pléiadiens m’apportaient comme informations :

 

Les choses que vous rencontrez, qui vous font peur, proviennent de vous. […] Ces facettes du Soi sont présentes dans tous les types d’existence. Votre tâche consiste [à les accepter en apprenant à ancrer en vous] la fréquence de l’amour, […] laquelle est la fréquence de l’information dans l’ensemble de tout ce qui compose votre âme.

(Extrait de ‘Les Messagers de l’Aube’ - ch.7 ‘La fusion multidimensionnelle’ par Barbara Marciniak)

 

Aussi, Bernard de Montréal expliquait :

Dans le développement de la conscience humaine, [en transcendant ses peurs], l’Homme va en arriver à parfaitement se connaître. Le moindre geste que vous allez poser, vous allez comprendre pourquoi. Les moindres choses que vous avez vécues, vous allez comprendre pourquoi.

(Extrait de ‘Activité et santé mentale - Tester la source PE#122’ par Bernard de Montréal - ou en format audio : https://www.youtube.com/watch?v=981HmMphdX0)

 

Avant mon arrivée dans l’Aude, la maladie d’Alzheimer de mon grand-père Johan, duquel j’étais très proche et dont je porte le deuxième prénom, me poussa à apprendre à décoder ce que l’âme me dit. Pour la première fois, j’avais un autre regard sur le processus de la mort. Je constatais que Johan semblait devenir de plus en plus sensible à des perceptions “venues d’ailleurs”. Son Alzheimer ne me montrait-il pas alors que j’avais oublié et que je me devais de “remonter” mes mémoires ?

(Voir à ce sujet, la ‘Capsule Intuitive n°9’ par le Réseau LEO)

 

Auparavant, vers 2014, je commençais à me sentir très seul. Je venais de mettre fin à une relation amoureuse difficile dans laquelle j’avais sincèrement cru pouvoir m’épanouir. Je ressentais alors pour la première fois la douleur de l’attachement et de la dépendance amoureuse. Non sans peine mais décidé à changer, j’éprouvais pour la première fois un cri de l’âme. Qu’avais-je à comprendre ? C’est dans ce mal-être profond que j’émis la demande à l’univers de rencontrer quelqu’un susceptible de m’aider.

 

À cette époque, mes liens amicaux et familiaux, importants pour moi, se détérioraient également car je n’arrivais plus à me confier à mes proches. Je me rendis compte que j’étais poussé à me remettre en question. Je n’avais aucune idée que j’étais alors prêt à recevoir des informations qui, comme l’exprimait Carlos Castañeda, m’engageraient “sur le chemin d’une avalanche qui allait m’emporter à jamais.”

 

En 2016, je fis la connaissance de Clem et de son père Pascal qui me parlèrent plus tard du Réseau LEO. En partageant avec Pascal, j’en vins à apprendre l’existence du prédateur, de l’hyper-dimensionnalité de l’être et de la possibilité d’emprunter, par un travail intérieur, une voie en direction d’un futur différent : celle vers le Service d’Autrui. Ces informations complètement nouvelles m’ébranlèrent vivement et me plongèrent dans un état de sensibilité accrue. Je vivais une véritable lutte intérieure.

 

En voyant défiler ma vie, je ne pouvais que réaliser l’ampleur de mon mensonge qui m’avait maintenu dans mon mal-être. J’ignorais qui j’étais et me demandais alors : “Comment ai-je fait pour m’oublier ?!”. La lecture du ‘Voyage Définitif’ de Carlos Castañeda me bouleversa et les mots de Don Juan : “Les prédateurs nous ont donné leurs esprits, qui est devenu notre esprit !”, prenaient tout leur sens. J’en prenais réellement conscience ! Les premiers voiles de l’illusion de mon monde se déchirant, d’autres réalités commencèrent à percuter mon monde, ce qui changerait le cours de ma vie.

 

Lyon

 

En 2018, je vivais à Lyon. Je travaillais à la réalisation d’un court-métrage. Au même moment, je ressentais une douleur de plus en plus intense au niveau du foie. Une nuit, le corps endolori et dans un état second, j’avais allumé la lumière car j’avais ressenti une présence me regarder. L’espace et le temps me paraissaient figés, tout ce qu’il y avait autour de moi semblait vibrer légèrement.

 

Quelques jours plus tard, en pleine nuit, j’entr’aperçus trois êtres gris dont un vêtu d’un sweat à capuche brun, montant les escaliers vers moi. J’eus de nouveau cette sensation bizarre que l’espace et le temps étaient comme gelés. Avec un effort démesuré, je réussis à m’extraire de mon immobilisation et en un rien de temps, tout ce que je venais d’observer avait disparu ! Plus tard, je pus faire le rapprochement entre mon patronyme ‘Brain’ et cet être gris en sweat brun, comprenant ainsi qu’il représenterait certainement une part de moi venue d’une autre réalité.

 

Par ailleurs, concernant les phénomènes d’abductions, les Cassiopéens décrivent :

[Lors des abductions, rapts, enlèvements ou autres par des entités hyper-dimensionnelles], le cadre temporel est normalement gelé […]. Ce que cela signifie, c’est que votre perception du temps dans votre lieu physique, un corps de troisième densité, arrête de fonctionner pendant cette période de temps appelée ‘temps zéro’ […].

(Extrait de ‘Ces mondes qui nous gouvernent’ - ch.13, p.351 par Laura Knight-Jadczyk)

 

À propos du facteur temps, l’Ange avait également fait savoir :

[À] partir de la 4ème densité, le temps tel que vous le percevez n’existe pas. […] Tout y est maintenant, éternellement ‘une seule fois’, au point que si vous êtes enlevés de la 3ème vers la 4ème densité, dans l’espace d’un vaisseau lors d’une abduction, vous pouvez vous retrouver en compagnie d’autres humains [ou formes de vies], nés à d’autres époques [ou provenant d’autres dimensions et densités] qui, parfois même, peuvent être de ceux que vous appelez vos alter.

(Extrait de la ‘Chronique d’un Nouveau Monde n°24’ par Sand et Jenaël)

 

Comme plusieurs auteurs-chercheurs l’ont indiqué lors de leurs enquêtes en rapport avec les mondes hyper-dimensionnels, ces parties de nous-mêmes interviendraient dans les réalités de 3ème densité pour effectuer sur nous des tests génétiques, des greffes d’implants, des clonages ou répliques d’empreinte d’âme, etc. Ces irruptions dans ma réalité auraient donc potentiellement été le début de rencontres avec d’autres ‘moi’. Ces dernières, me poussant à décider de me mettre en route pour entreprendre le travail intérieur de me rappeler et me déprogrammer.

 

Ville-d’Avray

 

Ces visites me poussant à m’interroger, elles se poursuivirent alors. Quelque temps plus tard, j’emménageai avec Clem en région parisienne. À plusieurs reprises, je vivais des nuits agitées ; je me réveillais avec la sensation d’étouffer, incapable de bouger. Confus, je remarquais souvent que mon caleçon était humide dû à une éjaculation nocturne. Une fois, je notais une griffure apparue sur le bord de mon sexe.

 

Simultanément, je prenais connaissance de témoignages relatant des phénomènes nocturnes de visites d’incubes et de succubes (entités-vampires sexuelles à l’apparence masculine ou féminine). Ce n’est qu’à présent, par ma recherche de l’information et celles partagées en réseau que j’arrive à accepter et prendre conscience que ces entités seraient, elles aussi, d’autres parts de mon âme.

 

Un soir où je me retrouvai seul à la maison, je m’étais allongé sur le canapé à côté de Bulle, ma chatte. Pris d’une fatigue extrême, je m’assoupis. Soudain, je fus réveillé par la peur au ventre. Je me retrouvai le corps ankylosé en train de suffoquer sans pouvoir ouvrir mes yeux. Je pus quand même percevoir qu’une forme noire flottait au-dessus de mon torse et distinguai de nombreux points phosphorescents jaunes-verts d’où émanaient des filaments, qui semblaient relier l’ombre noire à mon plexus et à mon visage.

 

À cet instant, je me souvenais d’une expérience de Sand que j’avais lu quelques jours plus tôt :

[A]u plus profond de mes pensées, quelque chose me suggéra : “Appelle ton Soi supérieur !”. […] J’ai demandé aussitôt comment mettre fin à cette effroyable expérience et comment me libérer de cette entité qui m’enserrait jusqu’à l’étouffement.

Les informations me sont alors parvenues dans mes pensées. Je compris que ma Supraconscience me donnait les directives à suivre. Je devais simplement arrêter de lutter et accepter la présence de cette entité. Rien que ça !

(Extrait du ‘Dialogue avec l’Ange n°37’ par Sand et Jenaël)

 

Appelant mon Soi Supérieur, je me répétais : “N’aie pas peur. Flo, n’aie pas peur. Confiance.” et progressivement, je sentis que je m’apaisais. Je parvins ensuite à bouger légèrement le pied pour toucher Bulle et, à son contact, sortis de mon état d’impuissance. Une fois revenu à moi, j’avais l’impression de me réveiller d’une anesthésie mais ressentais encore une présence, comme si ‘quelqu’un’ avait une violente colère contre moi.

 

Je réalise maintenant que l’expérience de Sand m’avait alors certainement permis de recevoir des informations, pour que je puisse moi-même vivre une initiation avec l’invisible et dépasser des peurs. À l’époque, j’avais la croyance que cette ombre noire venait uniquement me prendre de l’énergie et me faire du mal. Mais l’expérience que je venais de vivre me permit de m’ouvrir au fait qu’elle serait une autre part de mon âme qui me demandait de la reconnaître et voulait entrer en communication avec moi. Cette colère que j’avais ressentie était sûrement due à la difficulté qu’avait cette part à se faire entendre.

 

Pendant longtemps, l’entité que j’avais perçue m’évoquait les ombres noires ou ‘flyers’ des épopées de Carlos Castañeda et Don Juan. Un jour, j’eus plus d’informations lorsque Clem me présenta un de ses amis, Joseph, familier avec les phénomènes paranormaux et la notion de karma. Je lui avais fait part de ma douleur au foie, comme évoqué plus haut, ce qui lui permit alors d’établir un rapprochement avec sa propre expérience. Lors d’un échange avec une médium, il s’était vu dans une autre vie avoir un accident de voiture dans lequel il aurait été responsable de la mort d’un être cher, lui permettant donc de comprendre son sentiment de culpabilité le pesant au quotidien. Une fois son histoire terminée, il ajouta : “Ce poids que tu ressens pourrait être ce que j’appelle une “âme-basse”.

 

Je ne pouvais expliquer pourquoi mais j’éclatai en sanglots. Pour la première fois, je pus enfin mettre des mots sur ce que je ressentais. Aussi, alors que je ne l’ai jamais connue, ma grand-mère paternelle Mylène m’était spontanément venue à l’esprit. Le récit de Joseph me permit ainsi de me souvenir d’un drame qui avait affecté ma famille : un accident de la route lors duquel mon grand-père s’était endormi au volant et dans lequel Mylène avait perdu la vie. Cette perte heurta et hanta tellement mon cercle familial que la nécessité de comprendre ces souffrances et de ne pas reproduire ce que mes proches enduraient, participa, au cours de ma vie, à mes remises en question.

 

À l’époque, suite à mon échange avec Joseph, je nommais mon court-métrage “âmebasse.92” en référence à une masse noire pesant sur le personnage principal du film lequel parvient à dépasser son mal-être en entreprenant un voyage vers lui-même. Tout comme ce film me permettrait de comprendre les mémoires et les programmations dont je suis porteur, Joseph me révélait en miroir une de mes propres trames karmiques transgénérationnelles que j’avais à conscientiser. Récemment, de nouvelles informations me poussèrent à regarder ces évènements autrement :

 

Arrivé parmi le groupe, lors de partages, mon cœur battant la chamade comme s’il allait exploser, une culpabilité m’envahissait lorsque j’avais l’impulsion de parler, tant et si bien que je me réduisais au silence. Je vivais une grande frustration de ne pas savoir pourquoi j’avais autant de difficulté à m’exprimer.

 

À la mort de sa mère, mon père alors âgé de dix ans n’avait pas dit un mot durant six mois. Lorsque j’eus dix ans, il fit une dépression, ce qui me marqua. Plus tard, j’appris qu’il avait tant l’impression de se voir lorsqu’il me regardait, qu’il en avait du mal à communiquer avec moi. Quant à mon grand-père Jean-Pierre, au cours de ma vie, je l’ai vu pesé et brisé par la croyance d’être coupable de la mort de sa femme.

 

Dernièrement, j’eus l’impulsion de lire un livre écrit par mon arrière-grand-père paternel Roger. Je fus interpelé par le titre du livre ‘La vie à la mort’ – en miroir inversé ‘la mort à la vie’ –, celui-ci m’évoquant le travail intérieur de reconnaissance des parts de soi. Plusieurs de ses passages me firent pleurer :

 

Il y a quelques années, un soir d’automne, une de nos filles fut tuée sur le coup dans un accident de voiture. […] Au lendemain de ce drame, plus rien ne fut comme avant. […]

Au long des jours et des mois qui ont suivi, sans cesse me poursuivait la lancinante et éternelle interrogation que toutes les générations se sont posée… Naître ? Mourir ? […] Où étais-je avant ma naissance ? Où étais-je avant la rencontre des éléments génétiques qui ont créé l’embryon, porteur de mon être personnel ? […] Je n’ai aucun souvenir de ce que j’étais avant. Je n’ai aucune preuve de ce que je serai après.

(Extrait de ‘La vie à la mort’, ch.1, par Roger Brain)

 

Puis, ce que l’Ange explique dans la ‘Chronique n°27’ me permit d’intégrer davantage les attaches et les parts inconscientes que je porte, de par mon héritage transgénérationnel :

La plupart du temps, le phénomène d’altérisation produit effectivement des boucles de pensées “négatives”, qui témoigneraient en quelque sorte de l’existence “d’un mort enfoui dans le suivant”. […]

L’inconscient de l’humain ignorant peuplant le monde de 3ème densité est saturé d’esprits possessifs qui “voyagent” dans le temps, [d’entités hyperdimensionnelles], d’ancêtres accrochés à leurs descendances ou à des relations qu’ils continuent d’obséder. Parfois, ils les hantent même à travers des symptômes, des douleurs ou des stigmates physiques.

 

À travers ma lignée paternelle, je pouvais enfin comprendre que les hommes de ma famille étaient porteurs de blessures communes, celles d’avoir perdu un être qui leur était cher et de souffrir de cette séparation qui, inconsciemment, les renvoyait à une autre rupture à un niveau supérieur. En tant que dernier maillon de ma lignée généalogique et hyperdimensionnelle, mon travail est donc celui d’apprendre à retrouver ces autres ‘moi’ pour parvenir à transformer mes codes génétiques du Service de Soi et, progressivement, évoluer vers la vie !

 

Le personnage principal que j’incarnais dans mon court-métrage, portant un casque de moto, me semblait soudainement être le miroir de mon propre enfermement. Rester séparé de mes autres soi, dont mes ancêtres, que je maintenais dans le noir par mon jugement et qui demeuraient donc sans information, m’amènerait effectivement vers la mort.

 

Par ailleurs, voici ce que j’apprenais sur les morts-vivants et qui résonnait en moi :

Le terme de mort-vivant fait référence à un être plongé dans un état intermédiaire entre la vie et la mort, et qui subsiste tant bien que mal sous cette forme précaire. Le mort-vivant n’aurait ni vie, ni identité. C’est l’idée d’un passage de la vie à la mort qui ne peut pas encore se manifester.

(Extrait de https://fr.wikipedia.org/wiki/Mort-vivant)

 

À présent, je réalise que l’âme de ma grand-mère Mylène, bloquée en 5ème densité et cherchant désespérément une oreille attentive, aurait pu manifester sa présence à travers l’ombre noire et ma douleur au foie pour me faire signe, tel un attachement d’esprit.

 

L’âme de Mylène représentant le féminin mort de ma lignée paternelle, aurait plausiblement fait irruption dans ma réalité pour qu’à l’époque, mon être sensible à sa fréquence de résonance, je commence à me réveiller en prenant la décision de commencer à faire un travail sur mon génome du Service de Soi !

 

De plus, au sujet des ombres noires, l’Ange précisait :

[L]es Ombres noires subsistent en chacun de nous, en notre génétique. Elles ‘personnifient’ le ‘Moi transdimensionnel’ de nos multiples formes d’incarnations qui parfois, ont engendré morts et destructions. […]

Dès que quelqu’un a le courage de se libérer de son processus karmique et ose transcender ses croyances de 3e densité, il attire à lui tous ses démons, non seulement ceux de son ego, mais aussi toutes les entités transdimensionnelles qui représentent son Êtreté.

(Extrait du ‘Dialogue avec l’Ange n°38’ par Sand et Jenaël)

 

Et par un système d’indices, j’étais amené à aller plus loin dans la reconnaissance des multiples parts qui me constituent, humaines autant qu’hyper-dimensionnelles.

 

Albières

 

Début 2017, alcoolisé au guidon de ma moto avec une assurance périmée, je fus arrêté par la police. Mon véhicule fut immobilisé, mon permis suspendu et on me prit mes empreintes digitales. Je restais en garde à vue dans une cellule avant de quitter le commissariat puis fus convoqué au tribunal correctionnel. Pour récupérer mon permis de conduire, je devais effectuer un test psychotechnique, des analyses de sang et passer devant une commission médicale. À l’époque, profondément remué par la situation, en rébellion et submergé par la peur, je ne fis rien pour récupérer mon permis.

 

En septembre 2019, quittant la région parisienne et actant un profond changement dans ma vie, j’étais toujours sans permis de conduire. J’avais la croyance que je n’aurais jamais besoin de repasser cet examen. Pour ma personnalité spirituelle étouffant mes peurs, je pensais que cela représentait quelque chose d’excessivement futile, me considérant alors “bien au-dessus de ces choses-là !” Plusieurs personnes du groupe me soulevèrent un manque d’autonomie et une fuite dans mes responsabilités. Me rendant compte que j’avais effectivement quelque chose à comprendre de cette situation que j’avais attirée dans ma réalité, je décidai de m’inscrire au permis de conduire et de faire face à toutes les démarches administratives que je n’avais pas faites auparavant.

 

Puis, il y a quelque temps, je fus sollicité pour remettre en état certains ordinateurs des personnes du groupe et du village. Dans ces moments-là, j’avais souvent la sensation d’effectuer également une réparation à un autre niveau, dont l’issue me dépasse. L’informatique était donc un moyen de rendre cette réparation concrète.

 

L’outil informatique me servant de miroir, je rassemblais des indices quant à mes mémoires - programmes, lesquels entraient souvent en relation avec la question de la mort et de la vie. Aussi, je me souvenais qu’à mon arrivée dans le groupe, alors chaussé d’une paire de baskets ‘Air Monarch’, Sand m’avait exprimé à la vue de celles-ci : “Oulah ! Tu reviens de loin toi !” Cette interaction m’était restée en tête, ressentant qu’elle concernerait autant mes programmations que ce qui aurait trait à des parts de mon identité hyper-dimensionnelle.

 

En parallèle, lors d’un partage sur le piège matriciel qu’est la 3ème densité, le terme ‘programmatrice’ me percuta : certaines entités programmatrices prédatrices auraient limité génétiquement l’humain, porteur d’une diversité de codes génétiques. Le but était de le maintenir emprisonné dans l’illusion de la matrice du Service de Soi de 3ème densité et qu’il ne puisse pas se révéler à lui-même en cette ‘fin des temps’.

(Voir notamment la ‘Chronique d’un Nouveau Monde n°25’ par Sand et Jenaël)

 

La notion de programmation me faisait ainsi écho à la programmation informatique. Lorsque je réceptionnai ces informations, me reconnaissant en elles, elles me frappèrent de plein fouet et je tombai dans un sommeil de plomb. En me réveillant, je m’effondrai en larmes. Je vis une scène dans laquelle “je” me trouvais derrière un gigantesque moniteur et semblais avoir accès à une infinité de lignes temporelles que je pouvais créer ou supprimer à ma guise. Comprenant que j’aurais généré des souffrances et des impacts conséquents dans d’autres espace-temps, cet autre moi semblait profondément lassé de rester enfermé dans une boucle sans conscience.`

 

Mon patronyme ‘Brain’‘cerveau’ en anglais –, symbolique de la forte polarité mentale dont j’ai hérité, me renvoyait aux programmations touchant à la zone cérébrale – siège des pensées, de l’ego et de l’esprit prédateur. Je saisissais également que mes baskets ‘Air Monarch’ m’indiquaient une corrélation avec le projet Monarch (MK) – techniques de contrôle et de programmations de l’esprit développées par la CIA. J’établissais un autre rapprochement entre l’étymologie de ‘casque’ qui signifie ‘crâne’, me ramenant aux crânes de cristal utilisés dans les réalités Atlantes et reptiliennes, et les cristaux de silice et de quartz fréquemment employés dans la confection des ordinateurs.

 

Une transcription cassiopéenne au sujet du gène Nephilim m’interpella :

Q : (L) […] Y a-t-il des êtres humains, sur Terre, à l’heure actuelle, qui portent des gènes Nephilim ?

R : Oui. […]

Q : (L) Ces gènes de Nephilim seraient-ils transmis naturellement, ou résulteraient-ils d’une manipulation génétique réalisée sur un fœtus qui serait ensuite replacé ?

R : Non à cette dernière. Un indice : double chromosome Y. […] Les prisons sont remplies de double Y avec des troubles de la personnalité monstrueux, presque toujours caucasiens et très grands. En outre, les “motards” portent souvent le gène.

(Extrait de la transcription Cassiopéenne du 24/02/1996)

 

Bouleversé par ces informations, je pouvais peu à peu dépasser mon propre jugement et commencer à accepter cette partie de moi telle qu’elle est. Motard dans mon passé, cela m’avait inspiré à faire porter un casque de moto au personnage de mon court-métrage ! En miroir, ce casque pourrait très certainement correspondre à un heaume éthérique de 4ème densité SDS – la programmation d’enfermement mentale dont je me défais peu à peu. Cette programmation serait le jugement que mon “je” égotique porte sur les différentes parts qui me constituent, me poussant en réalité à reprendre ma responsabilité en me rappelant de moi-même sur d’autres plans.

 

 

Personnage/entité au casque de moto dans mon court-métrage

 

 

Cependant, ma sensation d’enfermement, ne pourrait-elle pas aussi être à l’origine d’un trauma que j’avais vécu mais que je minimisais en le mettant sans cesse de côté ?

 

Enfant, j’ai été enfermé dans le noir dans un cagibi après avoir été violenté. En grandissant, je prenais les choses à cœur. Lorsque incompris ou vivant un trop plein d’émotions, j’entrais dans de violentes crises où j’en arrivais à retourner ma colère envers moi-même. Tellement frustré et envahi par la situation, il m’était arrivé de me frapper le crâne ou mes poings contre un mur. La sensation de ne jamais vouloir me réveiller de mon sommeil – de mourir –, m’avait parfois traversé.

 

Je ne m’étais jamais rendu compte que mes pulsions d’autodestruction étaient en fait exactement la même violence que j’avais endurée, simplement, cette fois, je me l’infligeais envers moi-même. Ainsi, poussé à m’interroger sur pourquoi un enfant se retrouve enfermé, je lisais ceci :

Enfermer un enfant revient à lui faire comprendre qu’il est indésirable et que vous ne voulez pas le voir. Il va peut-être comprendre que ce qu’il a fait est “mal”, mais cela va surtout lui faire comprendre que vous ne l’aimez que lorsqu’il est parfait. Et il va donc essayer d’être parfait, chose qui est impossible.

 

Éclatant en larmes, je pouvais alors contacter véritablement mon prédateur-programmateur envers moi-même et me rendre compte que j’agissais exactement de cette manière avec mes alter. Ceux que je jugeais comme imparfaits n’avaient pas le droit d’exister, d’être entendus ou acceptés. Je les abandonnais dans le noir, leur infligeant alors la même violence que j’avais éprouvée plus jeune.

 

Je pouvais ainsi voir la croyance inscrite en moi avec plus de clarté. Le fait de taire et donc de tuer les autres parts qui constituent mon âme me renvoyait au programme d’autodestruction, de me tuer, c’est-à-dire de taire ‘Qui Tu Es’ / ‘Qui Je Suis’. Ces parties de moi n’avaient jamais connu l’amour d’un ‘part-en’. C’était donc à moi d’apprendre à les intégrer, et de persévérer dans cette voie, en agissant comme une Mère pour ses enfants.

 

Par la suite, les travaux de maintenance informatique me permettaient de prendre conscience qu’une autre part de moi était certainement en train de se manifester. Depuis quelques années, je ne me sépare presque jamais d’une casquette sur laquelle est inscrit ‘The North Face’ – le Visage du Nord. Les Cassiopéens avaient sous-entendu qu’Ark Jadczyk – le mari de Laura Knight –, serait certainement encodé d’une génétique Nordique et je me rappelais que sur sa casquette préférée, se trouvent mes initiales. J’exprimai à Clem que ces signes m’indiquaient sûrement une piste concernant une part de ma multi-dimensionnalité, tout comme ce que j’avais pu ressentir au sujet des baskets ‘Air Monarch.

 

Dès mon réveil le lendemain matin, Clem me lança : “Flo ! La Croix du Nord ! La constellation du Cygne ! Est-ce que cela te parle ?!” Elle insistait sur ce point, m’expliquant que la constellation du Cygne est parfois nommée la ‘Croix du Nord’. J’étais dépassé par ces informations mais ressentais qu’elles me touchaient à un niveau profond.

 

Ayant reconnecté à une part de mon âme probablement Nungal sur un autre plan d’existence, il me revenait qu’Anton Parks affirme que certains d’entre eux auraient été présents sur le Mont du Aydin Tepe – la montagne des veilleurs –, et seraient génétiquement affiliés à des êtres ailés.

 

Au fur et à mesure que la matinée passait, je tombais sur de plus en plus de signes et de synchronicités qui, à chaque fois, m’impactaient. En faisant mes recherches sur la constellation du Cygne, je découvris que l’étoile qui se situe à la queue du cygne se nomme Deneb, et que cet astre supergéant varie du blanc au bleu.

 

À ce moment-là, je me mis tout simplement à pleurer. Je me sentais séparé d’une partie de ma famille. Progressivement, je ressentis une vague d’immense douceur m’envelopper, comme si plusieurs êtres que je connaissais m’entouraient, me soutenaient et me serraient contre eux. Je reconnaissais leur fréquence vibratoire. Je compris que j’avais accepté de plonger ici dans ce monde de 3ème densité pour une mission/un travail bien précis(e). Je me sentais guidé et accompagné. Je savais intimement qu’une partie de mon âme connaissait Deneb et que j’étais à présent en train de m’en rappeler !

 

De plus, au travers des ailes, des étoiles et des couleurs blanches et bleues m’évoquant celles de Deneb, les armoiries de mon grand-père Johan (Jean / En-Je) venaient également me rappeler la constellation du Cygne et cette part de moi ailée, sur un autre plan d’existence. Le patronyme de ma lignée maternelle étant ‘Wilbrenninck’, en langage des oisons, je le décodais comme ‘will-bren-ink’, ce qui signifierait en anglais d’antan : la volonté de brûler et d’encrer.

 

 

 Les armoiries de ma famille maternelle

 

Bernard de Montréal exprime :

Le mot “Esprit” […] représente une forme d’intelligence qui n’a jamais eu d’expérience sur aucun globe planétaire, dans aucune galaxie et dans aucune nébuleuse.

Donc, un Esprit, c’est un Être, c’est une Intelligence, c’est un Feu qui peut épouser les formes qui font partie de sa dimension mais qui se réunit et qui s’unit avec l’âme de l’Homme au cours de l’évolution, dans la mesure où cette âme, c’est-à-dire ce noyau d’énergie, est suffisamment avancé en évolution, pour pouvoir subir le choc de la reconnaissance, le choc de la fusion, et finalement, le choc de l’union.

(Extrait de ‘Le suicide DM #010’ par Bernard de Montréal - ou en format audio : https://www.youtube.com/watch?v=MFyH8qdf1y0)

 

Laura Knight-Jadczyk dit :

Si vous ne pouvez affronter la peur, vous ne pouvez connaître l’amour aux niveaux supérieurs.

(Extrait de ‘L’Onde Tome 6’, p.209, par Laura Knight-Jadczyk)

 

Brûler le jugement que je porte sur mes différentes parts permet alors à mon Esprit de s’ancrer davantage. Ainsi, faire grandir mon Service d’Autrui passerait avant tout par l’apprentissage de reconnaître tous les aspects de mon génome programmé au Service de Soi.

 

 

L’écriture de ce texte me permet d’apprendre que m’assumer, c’est m’accepter simplement comme je suis. Et au fur et à mesure que je grandis et continue de dépasser mes barrières égotiques, je parviens progressivement à me rappeler, en retrouvant les différentes couleurs qui font mon identité. L’Univers est infiniment vaste !

 

 

Florian (dépt. 11)

 

 

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