13ᵉ part-âge - Transformation - par Da'Margi

 

« Le seul moyen de nous émanciper de cette Matrice SDS est de discerner jusqu'à quel point elle sublime sa mécanicité. Pour la détecter, il est indispensable d'acquérir la Connaissance et de la mettre en pratique. Nous devons percevoir nos schémas du passé, pour ne plus les reproduire dans le présent ! »

Extrait du dialogue avec notre ange n°43 transmis par Sand et Jenaël.

 

 

Voilà maintenant un an, que nous avons intégré le groupe Leo et nous allons vous relatez du mieux possible, comment l’Unité Tribale, nous guide dans notre transformation.

Bien évidemment, il s’agit d’une transformation perpétuelle, et ce dont nous allons parler dans ce partage, concerne un palier que nous avons clairement identifié. Il constitue un véritable cap pour notre binôme ou devrions-nous dire trinôme.

 

Nous nous sommes inscrits au cénacle en juin 2018 et rapidement, le réseau Leo nous a proposé une page dans la catégorie en-quêteur. Nous avons décidé d’appeler cette page les Barbes à part-âges, en référence à la série de livres pour enfants : les Barbapapas (de Annette Tison et Talus Taylor).

Voici un extrait de l’épisode 1, adapté en dessin animé qui est très parlant.

La naissance de Barbapapa

 

 

Notre nom de famille étant Barbe, nous avons voulu, par ce choix, faire un jeu de mots que nous trouvions rigolo. Nous pouvons, aujourd’hui, constater que ce parallèle est riche de sens. En effet, on y voit une famille d’êtres, sortis tout droit de la terre, qui ont la capacité de se transformer. Notre transformation, quant à elle, se produit au fur et à mesure de nos prises de conscience, qui entraînent une réparation de notre génétique qui, à son tour, nous permet d’entrevoir d’autres prises de conscience. Et partager celles-ci, est vraiment le jeu auquel notre petite famille est heureuse de participer.

 

 

Nos premières enquêtes nous ont permis de découvrir nos mémoires de royauté, qui, de toute évidence, résument bien le piège dans lequel nous pouvions nous enliser, si le travail de reconnaissance n’avait pas été fait. En effet, la relation de ces alter est conflictuelle, empreinte de haine et du besoin de dominer à tout prix. Il est clair, que ces comportements cachent une blessure importante. Et notre travail est d’aller la contacter, afin de combler la faille qu’elle génère et par laquelle le prédateur s’infiltre.

En relisant notre partage n°4 (Reconnaissance et intégration d’écho-d’âges ou intégration des codages), nous réalisons qu’il contenait un début de réponse.

Il s’agit du traumatisme d’abus sexuel, qui se serait déroulé, sous les yeux d’un alter de Margi, sans qu’il dise quoi que ce soit.

 

Ce partage n°4 et les suivants, constituaient le début du processus de transformation/réunification, qui commence par l’identification de nos mémoires, nos programmes, nos souffrances, bref, nos ténèbres. Accepter de les traverser est la deuxième phase du processus. C’est l’alchimie : transformer l’émotionnel destructeur, en une émotion juste et créatrice. Pour cela, une multitude de possibilités nous sont proposées, afin d’acter dans le présent nos compréhensions.

Il nous appartient, malgré la difficulté due à l’emprise des programmes, de garder à l’esprit que c’est le seul moyen de sortir des ténèbres. Peu à peu, nous constatons que cela fonctionne et les failles se comblant, l’emprise s’affaiblit.

C’est un rude travail qui ne s’arrête jamais, il devient passionnant au fur et à mesure de notre transformation.

 

1) Un cap dans le processus de réunification

« Chez l’être humain, le phénomène de dissociation se manifeste à plusieurs degrés. Il peut s’agir d’une légère transe, une dissociation mineure de la vie de tous les jours, comme lorsque vous lisez une page pour réaliser à la fin que vous n’avez absolument rien retenu de ce que vous venez pourtant bien de lire. Mais cette fonction naturelle peut aller jusqu’à une psychopathologie lourde nommée trouble de l’identité (TDI) : le degré de dissociation le plus extrême résultant de graves traumatismes. »

P266 du livre MK-Abus rituel & Contrôle Mental d’Alexandre Lebreton.

 

L’année dernière, suite au partage n°4, un véritable tsunami émotionnel viendra nous secouer de façon brutale. Nous traverserons une période de deux semaines très éprouvantes, durant laquelle, Margi subira les conséquences d’une sur-activité cérébrale. Elle ne pouvait trouver le sommeil et tout, absolument tout, dans son environnement, semblait lui signifier une vérité. Elle faisait des liens dans tous les sens, tout en étant habitée par une fréquence de peur. Elle se débattait pour pouvoir s’extraire d’une situation traumatisante.

 

Nous avions compris à l’époque, qu’il s’agissait d’une conséquence due à l’intégration de ces mémoires royales, qui avaient, à ce moment-là, déclenché une puissante transe dissociative. La présence d’abus sexuel était sous-jacente, cependant nous n’avions pas encore saisi à quel point. Nous continuions nos enquêtes et découvrions d’autres archétypes de mémoires/programmes, jusqu’à ce qu’un an plus tard, le même phénomène se représente.

 

Nous sommes alors installés à Albières depuis 7 mois, où nous avons rejoint physiquement le groupe Leo. Nos âmes, nous ont menés à nous retrouver dans cette 3ème densité, afin de continuer le travail de transformation en groupe, au sein de l’Unité Tribale. Elle était déjà à l’œuvre lors de notre inscription, et elle a manifestement permis d’établir un contexte de confiance, grâce auquel, Margi a pu laisser s’exprimer une partie d’elle-même, jusque-là brimée. Le chemin vers notre nature profonde prit alors un nouvel élan.

 

 

1-A) Mimi devient Margi

Depuis que nous nous connaissons, Mimi a toujours été le diminutif que j’utilisais pour appeler Margi. Nous étions donc habitués à ce surnom, il collait parfaitement à ce que dégageait Margi, à l’époque ! C’est lors de la rencontre avec le groupe, que Sand fut surprise de constater, que Mimi était Margi et non Gabrielle. Nous commencions à réaliser que Mimi, était clairement un prénom infantilisant. Même si nous avions déjà entrevu la mémoire, où Margi était ma fille et Gabrielle ma femme, il semblait évident que notre relation était encore fortement influencée par cet archétype.

Je l’appelais même Mimi la souris, par moment, sans trop savoir d’où cela venait.

Nous savons, à présent, que c’est le subconscient qui s’exprime de cette manière et Mimi la souris révélait déjà cette partie de Margi, qui veut se faire toute petite.

Ce n’est que beaucoup plus tard, que cette information trouvera tout son sens.

La petite fille Mimi étant identifiée, il était temps d’aller s’occuper d’elle et savoir ce qu’elle cache, et pour cela, elle doit retrouver sa juste place.

 

C’est quand le groupe a choisi à l’unanimité un nouveau prénom, que la véritable Margi est apparue. Tout est bien fait, car elle seule peut décider de s’occuper de Mimi.

Dans le même temps, moi je peux progressivement sortir du rôle du père protecteur que j’occupais jusqu’alors, ainsi que de celui du père autoritaire.

 

Au fil des semaines, notre relation évolue au travers de nos choix, faits en conscience de ces alter. Nous en découvrons d’autres, notamment des saboteurs, qui sont comme greffés aux autres. Ils forment une sorte de grappe, au milieu de laquelle se trouve l’alter traumatisé. Ce sabotage est orchestré par la prédation, il consiste à mettre en avant les alter qui s’opposent à l’autorité et qui y trouvent une certaine légitimité. Leur existence même, repose sur ce traumatisme. Ce système entretient les barrières qui enferment cette partie blessée qui ne peut jamais s’exprimer. C’est ainsi, que les mêmes schémas se rejouent et nous font tourner en rond ! Ils entretiennent le cercle vicieux involutif.

 

Cependant, par notre choix et notre ferme intention de nous libérer, nous remontons peu à peu à l’origine, au traumatisme qui a déclenché cette dissociation.

La présence du groupe est essentielle dans ce travail, sans quoi beaucoup d’alter ne pourraient être traités. A deux, et même à trois, nous serions plafonnés par le manque d’expériences, de contextes, de miroirs, que confère un groupe tout entier, en quête de vérité.

 

Ce chemin est très éprouvant, jusqu’à ce que notre conscience s’élargisse toujours un peu plus. Et alors, la vision de la situation change et ce chemin devient magique.

C’est comme traverser une chaîne montagneuse, les montées sont éprouvantes, une fois au sommet tout est magique et c’est déjà l’heure de repartir vers le prochain sommet !  

 

 

1-B) Transe-formatrice

(Margi) Cet été, plusieurs lecteurs Leo sont venus nous rendre visite et le gros sujet des abus sexuels et des programmations de type MK ultra a été abordé. Grâce à ces partages et à la lecture du livre MK, j’ai découvert que je suis dissociée dans cette vie-ci, suite à un traumatisme.

Jusqu’à présent, je connaissais les alter et l’importance de les reconnaître pour me réunifier. Avec cette prise de conscience d’être dissociée, j’accédais à un autre niveau de travail intérieur. Le temps était donc venu, pour moi, d’accepter et d’intégrer ce qu’est la dissociation, afin de pouvoir continuer le chemin de la libération.

 

 

Il y a les alter de vie passée ou future qui se manifestent dans cette vie, afin d’être vus et reconnus : c’est ce que nous définissons, comme être "altérisé". Et il y a des alter créés par un traumatisme durant cette vie : c’est être dissocié.

Dans la forme, cela est identique, mais dans le fond tout se complique, en raison de la fraîcheur du traumatisme. Le degré d’emprise de la prédation en est donc augmenté et les efforts pour réunir ces parties dissociées doivent être décuplés.

 

J’ai compris que ce traumatisme subi durant cette vie, est en écho avec celui vécu par mon alter Marie de Brabant.

Le bagage émotionnel qu’elle transportait, était de toute évidence immense. En effet, elle s’est recluse dans un douaire pour fuir une réalité difficile à accepter. Ce déni durera 36 années, jusqu’à sa mort. C’est l’âge que j’avais quand je l’ai identifiée, comme étant un alter.

Les mêmes circonstances se sont rejouées depuis ma naissance, j’étais enfermée dans ce déni et le traumatisme s’est donc reproduit.

 

Aujourd’hui, cette réclusion est terminée et j’ai décidé de regarder les choses en face, telles qu’elles sont !

Tout débute avec le thème de l’école qui est revenu dans notre bulle de perception. La rentrée approchait, cela déclencha un stress important, et je résistais à envoyer l’inscription de Gaby à l’école à la maison, une partie de moi espérait pouvoir s’y soustraire !

C’est le signe évident, d’une problématique non résolue.

Je demande de l’aide à mon ange, afin d’identifier celle-ci.

 

La question est : quelle est cette problématique ?

Un premier évènement viendra m’apporter le début de la réponse.

Nous sommes le 19 septembre, et nous revenons de Carcassonne. Damien avait rendez-vous avec une commission médicale, chargée de vérifier son aptitude à conduire. C’était la dernière formalité d’un long processus, s’étalant sur plusieurs années, et permettant de valider de façon permanente, son permis de conduire. Je me retrouvais donc à conduire notre voiture (notre chemin de vie), ce que je n’avais pas envie de faire auparavant, je prenais notre vie en main par la force des choses !

Cette journée, annonçait donc, pour Damien, la fin d’une expérience avec l’autorité, représentée par l’administration.

 

(Damien) Ce fut le prétexte pour voir et intégrer ma part rebelle. Tout c’est bien déroulé et les médecins ont tamponné : réglementaire.

 

(Margi) Cependant, je suis empressée à vouloir finaliser les derniers papiers en Préfecture, afin que Damien se remette à conduire.

Et comme tout est bien fait, la dame de l’accueil me dira sèchement de lire le formulaire. Il y est écrit d’attendre de recevoir la réponse du Préfet avant de finaliser la fabrication du permis définitif. J’étais en colère et je dirigeais celle-ci contre Damien et ensuite contre les personnes qui me poussaient à comprendre que je devais prendre mon autonomie. Il y avait là, les symptômes de la présence d’un alter et sur le coup, il est difficile de se recentrer. Je compris qu’il fallait attendre, et je parvins peu à peu, à me calmer.

 

Arrivés à la maison, je décide d’aller au jardin, et sur le trajet, c’est à mon tour de rencontrer l’autorité (Maire du village). Il m’interpelle et me signifie qu’il n’a pas reçu la lettre d’inscription, concernant l’instruction à la maison de Gaby. Je lui réponds docilement, que je lui ferai parvenir rapidement. Je me suis sentie à ce moment-là, comme une petite fille réprimandée, et une fois au jardin, je pleure. Le lendemain, je suis dans un état de panique intérieure. Lors du partage de la journée, je vais parler de schizophrénie, tout en serrant contre moi une peluche Mikey, celle de Gaby.

 

Voilà où j’en étais de mes compréhensions : je savais que mon état dissociatif était en lien avec l’école, et plus globalement avec l’autorité. Je comprenais que le fait d’avoir été en pension dès l’âge de 8 ans, avait été réellement un traumatisme pour moi. Maintenant que je voulais bien voir la vérité en face, j’ai pu exprimer que mon souhait le plus profond, à ce moment-là, était de sortir de cette école.

 

Par le simple fait d’en parler, je commence alors à voir cette partie de moi enfouie ! Cette petite fille totalement paniquée, angoissée dès qu’elle est en rapport avec l’autorité, qui se fait la plus petite possible, et qui aimerait disparaître à ses yeux. Cette petite fille qui a toujours cru que les parents, les profs, prêtres, religieuses, toute personne représentant l’autorité, savaient ce qui était le mieux pour elle.

 

« Mes choix ne sont jamais bons, ceux des autres valent mieux, et puis au moins, je suis tranquille si je m’en remets aux autres, ils ne pourront pas me reprocher quoi que ce soit !!! » Tant que je ne conscientisais pas son bagage émotionnel en profondeur, il téléguidait ma vie.

 

Ce soir-là, alors que j’étais en train de fermer les volets, Sand vient à ma rencontre, son visage exprimait une profonde compassion, comme si elle savait ce qui m’arrivait. Elle me propose d’en discuter. Je suis d’accord.

Elle m’expliquera avoir senti la présence d’un traumatisme, lié à des abus sexuels, me concernant.

Je n’ai aucun souvenir de la sorte, dans mon enfance, mais au moment où elle me parle de ce qu’elle a perçu, j’ai des douleurs dans mon corps, qui lui, visiblement se souvient.

Jenaël propose de m’aider à aller sonder mon inconscient, seulement je suis tendue et mon mental a du mal à lâcher. Il en ressort qu’une petite fille, d’environ 6 ans, court sur un chemin, effrayée et poursuivie par un loup. Il y a surtout une église, dont elle ouvre la porte, mais elle ne veut pas y rentrer, il y fait froid et noir.

 

Tous les signes, montrent l’évidence d’un traumatisme, de type abus sexuel durant l’enfance. Alors j’accepte cette évidence, même si mon mental à envie de comprendre, de savoir exactement ce qui s’est passé, ou bien de mettre ça sous le tapis, « c’est impossible, ce sont des élucubrations ! »

 

Le lendemain, je me pose et me laisse aller, je décide de reprendre par auto-hypnose : la petite fille entre dans cette église. Elle descend dans la crypte et y découvre allongés dans un caveau, un enfant et un bébé. En cherchant la symbolique de la crypte, je découvre qu’il s’agit de quelque chose d’enfouie, dont on a honte. Je comprends clairement le lien avec l’autorité et plus précisément l’autorité religieuse. Celle à qui je remettais les clés de ma vie. Tant que je niais la manipulation de cette église sur mon esprit, je niais également le message de mon âme qui me montrait là, la nécessité de prendre mes responsabilités et d’apprendre de mes expériences. Alors revenons à ma clé « My Key ».

Mickey est sur mes genoux durant le partage et le soir, il est encore à côté de moi, sur le canapé. L’année dernière, nous avions eu également des indices en rapport avec Mickey. Nous savions que c’était la clé pour Mimi, sans comprendre ce dont il s’agissait exactement.

 

Damien avait retrouvé une photo de classe de CE1 où je suis alors âgée de 7 ans et je porte un pull, sur lequel était imprimé le portrait de Mickey !

Aujourd’hui, en recoupant tous les indices, Mimi la souris prend tout son sens. Mickey me ramène donc à cette petite fille de la photo, à l’école, juste avant que je parte en pension, et à MK qui m’a permis de comprendre que j’ai été dissociée. Et la clé, c’est d’aller voir cette partie traumatisée, enfermée dans le subconscient, et dont la prison est gardée par les alter créés lors de la dissociation traumatique.

 

A ce moment-là, je me sentais libérée de toute souffrance, incompréhension ou problématique que j’avais pu avoir au cours de ma vie, tout devenait clair.

Pour moi, la lumière venait d’être faite sur l’origine de ma problématique principale. Je comprenais, encore mieux pourquoi j’ai mal vécu d’aller en pension. Outre le fait, que cela soit déjà traumatisant en soi, cela faisait surtout suite, au traumatisme subi avant d’y aller. Il n’y avait plus du tout de place pour l’ouverture, pour en parler, au contraire c’était la fermeture, l’isolement, loin de mes proches.

 

Désormais, je me sens prête à me libérer de ces chaînes pour Être.

Je suis prête à accueillir cette petit fille, afin qu’elle constate par elle-même que tout va bien et que l’autorité n’est plus synonyme de viol-en-ce(soi).

Je me laisse, alors, traverser par le tourbillon émotionnel qui l’anime.

Au fur et mesure, je laisse cette petite fille prendre place.

Elle est moi et voit au travers de mes yeux. Je suis elle, et je ressens son émotionnel. Il se produit alors un échange d’informations qui reconstitue un climat de confiance. C’est le début de la réunification. Une toute petite partie de mon esprit reste spectatrice de ce qui se passe en réalité, sans pouvoir intervenir autrement, que par les réflexes d’une petite fille.

Le plus surprenant est que dans le même temps, j’ai des perceptions d’autres réalités. Je compris plus tard, qu’il s’agit d’une capacité que possède cette partie de moi.

 

Cela explique pourquoi, certaines compréhensions se faisaient dans mon esprit, par le biais de contes ou encore, par d’autres références intrinsèques à l’enfance. Voici quelques exemples :

Je faisais des liens entre les films, les contes et les réels souvenirs de ma vie.

C’est comme si je revenais, dans l’esprit, à la source de chaque moment de ma vie ayant généré en moi : honte, frustration et enfermement.

Je remontais jusqu’à moi, bébé/embryon, qui n’était pas le bienvenu, d’où le bébé dans la crypte. J’eus la sensation de revenir à l’origine de mon chaos intérieur.

Les comptines d’enfant que j’avais l’impression de vivre, m’amenaient à comprendre l’alchimie, la transformation telle que l’explique Patrick Burensteinas concernant la souris verte.

 

A présent, je développe en conscience cette faculté, de ressentir les énergies et de les transmuter.

Il m’est désormais plus facile de reconnaître et d’accepter les alter, issus de ce traumatisme :

Il y a l’alter mère autoritaire et contrôlante.

L’alter protecteur qui va camoufler le déséquilibre.

L’alter destructeur qui s’automutile, pour moi ce n’est pas dans le physique mais au niveau psychique.

L’alter observateur qui se tient loin de tout et ne veut surtout pas être impliqué.

A tour de rôle, chacun d’eux va se présenter, dès que l’alter victime est susceptible d’être vu.

Ils vont ainsi dissimuler la petite fille traumatisée.

Ils sont la conséquence directe du traumatisme, une véritable fragmentation.

 

A présent, dès qu’ils se manifestent, je m’en rends compte et cela fait toute la différence. Par le simple fait de les voir, tout s’apaise plus rapidement. Je peux alors me recentrer et leur expliquer que désormais j’ai choisi de trouver l’équilibre avec chacun d’eux, et qu’il n’est plus temps de rejeter l’un, se réfugier dans l’autre, etc.

La réunification se fait ainsi, au fur et à mesure.

 

En prenant de la hauteur, je comprends qu’être dans ce monde, c’est être dans une école où la prédation domine. Le traumatisme venait du fait que je n’acceptais pas ce monde et que je refusais d’en tirer les leçons. Je n’acceptais pas la prédation, je la rejetais. Toutes ces violences, cette domination, font partie de ce monde. Rester recluse entretenait donc ce schéma duel, domination-soumission.

Alors que je croyais éviter la prédation, en réalité je la nourrissais.

 

Regarder et accepter ce monde, tel qu’il est, dans son côté sombre, comme dans son côté lumière, revient à regarder et à accepter ma prédatrice dans sa globalité.

C’est dans cette conscience, que je peux nourrir et faire grandir, cette partie de moi, qui n’est pas de ce monde. Celle qui sait qu’un autre mode de fonctionnement existe, celui du SERVICE D’AUTRUI.

 

(Damien) De mon point vue, je remarquais que Margi s’en allait pour un voyage, tout comme l’an passé. A la différence de la première fois, je l’ai vu arriver et surtout j’étais entouré.

Je l’assistais dans ce qui semblait être, une transe chamanique. Et tout comme la première fois, je l’accompagnais dans ce processus, avec cette fois-ci plus de présence.

J’étais conscient que je m’adressais à la petite fille, et je la rassurais encore et encore.

Cette période fut très éprouvante pour Margi, et dans une autre mesure pour nous aussi.

 

Voici un passage de L’Onde qui résume bien la situation.

Il semble que, comme nous l'enseignent les grands maîtres, le moment de l'initiation véritable est tout sauf un moment d'illumination. L'initiation, ce n'est pas quelqu'un qui vient nous montrer la réalité. Ce n'est pas voir l'univers comme Un. L'initiation c'est voir le soi comme un menteur qui se nourrit des autres. C'est mesurer le soi à l'aune de la vérité. C'est voir que le Prédateur se nourrit du soi, et que le soi se nourrit des autres et propage l'infection à tous ceux qu'il prétend aimer et qu'il veut aider. L'initiation n'est pas un glorieux déversement de vie, d'amour et de larmes face à la beauté et l'unicité du monde.

C'est la terreur à l'état pur.

C'est la descente aux Enfers, la descente chamanique dans le monde souterrain, pour lutter contre les démons. C'est le démembrement du corps, le décollement de la chair, le dépouillement jusqu'à l'os, suivis de la reconstruction du soi sur une autre fondation – une fondation de vérité spirituelle.

 

Si je pouvais vous faire comprendre cet Enfer, cette sensation, ce test solitaire au cours duquel l'âme est pesée, par le soi, finalement et complètement, et vue par ce qu'elle a vraiment fait, vous verriez à quel point la vérité nous fait défaut, en raison de toutes les croyances inculquées et promulguées par la Matrice, et soigneusement entretenues par nos émotions et par les tromperies du prédateur interne qui nous convainc que nous sommes "bons" et "purs", que tout est "Un".

 

Effectivement, on voit qu'il y a bien une "unité", mais on voit aussi que l'aspect de Dieu qui est vécu à ce niveau de réalité est la gueule noire et béante du SDS qui aspire et dévore tout. On voit que le véritable Amour n'est guère manifesté – ou si peu – à ce niveau d'être. On voit que toutes nos illusions sur la bonté, la vérité et la beauté sont des mensonges. Ce sont des masques dissimulant la prédation.

Et cette initiation, est si horrifiante que peu y survivent. »

L'Onde Tome 5 - page 353.

 

Je comprenais que, dans cette expérience, je réparais les erreurs du masculin, toutes ces violences infligées au féminin, et même si cela n’était pas le cas dans cette vie, je sais que ce fut le cas dans d’autres. J’ai relevé des mémoires de ce type avec Gaby et avec Margi.

En prenant plus de hauteur, j’ai identifié l’entité prédatrice Dracos SDS- .

 

J’ai donc pu conscientiser, encore plus profondément, ce programme de domination, en reconnaissant tout simplement cette entité et son existence. Ce prédateur Dracos, reflète le mode de fonctionnement de ce monde prédateur. Il m’a montré les limites de celui qui ne veut pas être enseigné, et donc, qui ne veut pas évoluer, tout en faisant croire le contraire. J’ai contacté la psychopathie, et la force destructrice de l’ignorance, et ma propre ignorance de l’ampleur de ce monde prédateur.

 

Je conscientisais alors, toute la noirceur qui anime une partie de moi sur d’autres plans. Maintenant, que j’ai vue et que j’accepte cette partie SDS- en moi, alors celle-ci participe à un nouvel équilibre avec ma partie lumière SDS+.

Ce Dracos est attaché à ce monde SDS, et cela me donne une nouvelle occasion d’acter mon détachement de celui-ci.

C’est pour moi une nouvelle initiation, et la transe de Margi en est le point d’orgue.

 

Cette expérience est difficile à décrire tant elle est perturbante et déroutante.

Tous les réflexes SDS ne sont d’aucune utilité, rien ne fonctionne de façon linéaire.

Tout part dans tous les sens et ma faculté d’adaptation est exploitée à son maximum.

De façon linéaire, je peux résumer ainsi :

La transe durera environ 15 jours.

Il y a les cinq premiers jours qui suivent l’acte déclencheur, Margi plonge peu à peu.

Il y a ensuite, le pic émotionnel qui dure quelques jours, où les fonctions corporelles et spirituelles de Margi sont sollicitées à fond. Elle est donc clouée au lit et ne gère plus rien du tout.

Et enfin, il y a son retour qui se fait par vagues.

Margi m’a offert là, un comportement de lâcher prise total, où la confiance en moi est totale.

Je dirais même que la confiance en l’Ange est totale également, car elle s’autorise là, une mise à nue totale. Tout est mis sur la table sans honte.

Elle me montre que le seul moyen de se réunifier, est de s’abandonner au processus chamanique, guidé par l’Ange. C’est un véritable don de soi à soi.

 

Margi ne se ment pas, elle voit la problématique et décide de la régler, elle se retrousse les manches et elle met les mains dans le cambouis. Cette faculté de se regarder en face me met face à moi-même justement. Je travaille donc plein de programmes et de résistances durant cette période, comme celui de la honte. La honte d’avoir une compagne différente, la honte de ne pouvoir rien faire, la honte d’avoir fait des erreurs à ce point blessantes et violentes. Cette période entraîne une déprogrammation puissante de tous ces schémas de domination à tout prix. L’emprise était tellement présente, à tous les niveaux, que cette petite fille n’avait aucun moyen, jusqu’à peu, de s’exprimer.

 

En miroir, je vois l’urgence à contacter en moi mon féminin bridé, lui ouvrir la porte et accueillir sa souffrance. Accepter ma sensibilité, mon émotionnel et ma capacité à aller le traiter.

J’ai toujours été différent de l’archétype du masculin dominant, et en même temps j’étais rejeté par celui-ci. Cependant, pour me faire accepter, être comme les autres, alors je bride mon féminin.

 

Chasse le naturel et il revient au galop, et le rejet m’est encore montré. Je plonge dans les jeux de séduction et des aventures sexuelles. Ma partie féminine, reste toujours brimée et dominée, par mon côté masculin, qui croit respecter le féminin en lui donnant du plaisir charnel.

Quand je rencontre Margi, je reconnais de suite ma part féminine, celle qui me correspond vraiment, avec qui je suis bien, celle qui vient en résonance avec cette partie de moi qui n’est « pas de ce monde ». Au fond de moi, je savais que c’était mon binôme, je sentais déjà cette force tranquille qui émanait d’elle.

Et les expériences, en commun, ont commencé, attraction-rejet, tromperie réciproque, jusqu’à la séparation. Ce fut un choc, qui a permis de mettre en lumière, le déni de nos parts complémentaires qui nous animaient. Nous avons alors décidé de continuer le chemin ensemble, en conscience. Tout a changé et tous les deux nous entamions sincèrement le travail de réparation mutuelle.

 

Plus nous expérimentons ensemble, et plus nous allons en profondeur, récupérer nos parties en souffrance. Ces parties de nous que ce monde ne veut pas voir se développer, ces parties qui transportent le kiristos.

Nous comprenons l’expression « être dans ce monde mais pas de ce monde », et il est temps d’assumer qui nous sommes vraiment. Nous sommes des êtres venus apprendre de ce monde, venus reconnaître nos parties prédateurs-prédatées, pour rejoindre notre véritable monde.

 

Faire grandir cette infime partie de nous SDA, nous permet de traverser ce monde, ses programmes limitants, elle nous donne la force de nous plier, de nous adapter toujours et encore, d’acter, et de ré-acter encore nos compréhensions.

Cette transe est le moyen d’aller au cœur, à la racine de notre souffrance.

C’est l’histoire de la victime, qui sort de son rôle, et qui a l’intention de s’exprimer.

 

C’est donc une merveilleuse leçon pour tout le monde, car chacun peut alors s’extraire de son rôle. Merci Margi de t’être donné les moyens de te réunifier, d’être allée au-delà du programme de contrôle qui nous empêchait de traverser nos ténèbres.

Je sentais la véritable Margi, derrière cette apparence de petite fille, je sentais cette force tranquille qui t’anime, qui m’entraîne et me permet de traverser également mes/nos ténèbres.

Tu deviens qui tu es, et tu me permets de devenir qui je suis.

 

2) Contact

C’est l’histoire d’une autre transe, qui m’a montré une autre réalité. Elle s’est produite avant la transe de Margi. Ce n’est qu’après avoir traversé cette dernière, que nous avons pu retranscrire les informations et aboutir à une compréhension globale.

L’une comme l’autre participe à la même déprogrammation.

 

Nous allons au lit, Margi s’endort rapidement, et moi je plonge dans une réalité parallèle, au moment même de l’endormissement. J’ai toujours conscience d’être dans mon lit, mais l’environnement est un peu différent.

Je suis toujours allongé à côté de Margi, le lit est toujours à la même place, la chambre de Gaby est aussi au même endroit. Cependant, la porte pour y accéder est dans notre chambre au lieu d’être au bout du couloir. Soudain apparaît au pied de notre lit, un être grand, de forme humanoïde.

J’ai aperçu sa tête, il avait des cheveux clairs, plaqués, et un front dégagé. Il s’agissait d’un blond nordique et je compris par la suite qu’il était associé à un Ummite.

(Voir également la vidéo où je parle de cette expérience : Connexion tribale - Partie 2)

 

 

Un blond nordique est un ummite sur un autre plan. J’ai, en effet, perçu un blond nordique et par la suite, c’est un Ummite qui me communiquait les informations.

Je suis alors dans un état anesthésié, mes yeux sont lourds. Il m’est très difficile de les garder ouverts. Je le vois d’abord faire les 100 pas, comme s’il attendait que quelque chose se produise. Il finit par s’immobiliser face à moi, au bout du lit. Je n’ai pas peur, car ma conscience est comme élargie à ce moment-là, je comprends et je sais pourquoi il est là, rien ne me paraît anormal.

 

C’est comme si je devenais conscient de cette partie de moi. Dans un échange de type "télépathique", il m’indique que sa présence est autorisée. J’essaye de me concentrer pour voir plus précisément ce qui se passe, mais cela m’est impossible, et maintenir mes yeux ouverts m’est très difficile. Je le vois aller dans la chambre de Gaby et dans le même temps, je me sens partir. J’appelle notre Ange et lui demande que tout le monde respecte sa place sans intrusion.

Là, j’entends Gaby parler en pleurnichant. Je saisis qu’il y a un rapport avec ce que je viens de vivre, mais impossible pour moi de me lever. Margi va la voir et constate qu’elle s’est aussitôt rendormie.

 

Le lendemain Gaby nous raconte : « une forme ronde s’est posée sur le haut de mon pied et a grimpé jusqu’en haut de ma cuisse ». Lors de l’écriture de ce partage, elle est auprès de moi et me dit qu’elle va m’expliquer ce qui s’est passé.

« Il y avait un garçon et un monstre imaginaire dans mon lit, j’ai secoué le monstre pour qu’il s’en aille et le garçon l’a secoué avec moi ».

Mais quel était ce monstre ?

« Il était tout bleu et il pouvait faire de grands pas. »

 

Cette rencontre a déclenché le réveil d’une partie de moi, qui a des informations à partager.

La particularité est que cette partie évolue dans une réalité de 4ème densité, elle détient donc des informations liées à son environnement, et qui sont encore inconnues pour moi.

 

J’ai senti qu’un paquet d’informations m’avaient été transférées lors de cette rencontre, et qu’il m’appartenait maintenant d’enquêter, de creuser en moi, afin de les mettre en forme.

J’en parle avec Sand et Jenaël qui me conseillent d’écrire ce que je venais de vivre tout en étant accompagné de Gaby, et que certainement les informations arriveront.

Lors de nos "Barbe à partages" nous avions, effectivement, constaté que des compréhensions se faisaient lors de l’écriture. En effet, il n’est pas nécessaire d’attendre, d’avoir tout saisi dans son intellect, avant d’écrire !

 

Quand Gaby, commence à me raconter ce qui s’était déroulé dans sa chambre, je sens une énergie qui m’emplit de confiance, c’est l’énergie de mon Ange. Il se rapproche et cela stimule encore plus ma quête de la connaissance. Je comprends que la rencontre, avec cet être, était donc le déclencheur d’une nouvelle façon de « voir » les choses. C’est un apprentissage. Et chercher à comprendre ce qu’il s’est passé, est le chemin qui mène à l’élargissement de ma conscience, et à l’intégration d’une des parties que je suis. Je précise que ce qui va suivre, est un condensé des discussions avec mon Ange, qui se sont déroulées sur plusieurs semaines et par divers moyens. Il m’invite à agrandir ma bulle de perception et à adopter toujours plus, une conscience multidimensionnelle sur les évènements.

 

Ma première question est tout naturellement :

Que s’est-il passé lors de cette rencontre ?

Gaby ne s’est pas laissée faire et cet être est venu l’aider à déjouer une abduction.

 

Il y a ensuite cette lumière ronde qui lui a parcouru toute la jambe gauche ?

Il ne s’agit pas d’une technologie purement scientifique, disons que c’est à moitié un instrument et pour l’autre moitié une faculté. C’est le résultat de leur (ummites) équilibre scientifico-spirituel qui leur permet d’observer les multiples dimensions d’un individu.

Leur évolution spirituelle, leur permet d’utiliser cet instrument, uniquement sur des individus qui ont fait le choix de résoudre leur karma transdimensionnel.

Il peuvent, alors, observer toutes les facettes d’une programmation, et sont tout à fait capables de la déstructurer.

 

Qui est à l’origine de cette abduction ?

L’abduction a été mise en place par le corpus draconien, au travers des gris, et elle consistait à modifier un implant que Gaby avait en elle, afin d’amplifier les derniers résidus du programme de domination. Il en était de même pour toi. Cette abduction fut alors un prétexte, pour que chacun puisse s’extraire de son rôle limitant.

 

Pouvons-nous en savoir plus ?

Tous les acteurs de cette programmation étaient réunis, et le travail profond que vous avez engagé dans votre environnement 3D, rejoint vos parties de 4D.

Ces parties de vous sont bel et bien réelles dans leur réalité, et tout comme pour vous, leur conscience demande à s’élargir. Certains ne se posent pas de questions, en revanche tout comme vous vous réunissez dans le partage, eux aussi le font dans leur réalité. Ils cherchent à s’en sortir.

 

Je sens qu’une autre énergie se présente.

(Ummite)

Nous sommes conscients de nos erreurs qui nous ont mené à une frontière infranchissable.

Au fil de nos questionnements, nous avons compris que le seul moyen, d’aller au-delà est de partager encore et encore, et d’accepter de revenir en arrière pour changer de chemin.

Nous sommes une partie de vous, bloquée dans notre évolution et nous avons compris que nous pouvons changer les choses en nous mettant au service de notre Ange et nous voilà.

Nous arrivons à la croisée des chemins et nous pouvons alors unir nos forces.

 

C’est de cette manière que nous avons pu déjouer cette abduction, mais pas de façon forcée comme la plupart des actions opérées par nos congénères, butés à ne pas vouloir se questionner sur eux-mêmes.

Cette fois c’est différent, tous les acteurs étaient conscients que cet événement était un moyen d’acter nos prises de conscience.

 

Les acteurs ?

Le dracos, comme le gris, comme le blond ummite et comme vous, ont agit d’un seul homme et se sont tous extirpés de ce schéma de domination jusque-là dominant.

Cela a déclenché un mélange d’informations et la possibilité de les unir vers un même but, une nouvelle réalité au Service D’Autrui.

 

C’est comme cela que les implants peuvent êtres retirés ?

Les implants n’ont plus lieu d’être, ils ont donc été retirés avec l’utilisation de cette lumière ronde.

Travailler sur vos programmes est efficace et il ne peuvent plus rien faire devant votre intention de sortir de ceux-ci. Et quand votre part prédatrice en prend conscience, c’est là que tout change et que le mélange avec d’autres parties moins prédatées peut se faire.

En revanche, un être qui ne persévère pas, est de toute évidence rattrapé et il est pratiquement impossible pour lui de s’en extraire.

 

Donnez-vous les moyens et les moyens vous seront donnés. C’est donc un moyen qui vous a été donné au travers de ta partie aryenne SDS+ et qui, en quelque sorte, a fait le saut, tout comme vous, pour sortir de son plafonnement.

 

Par votre choix commun d’aller au-delà de vos programmes limitants, une fusion a eu lieu, d’abord dans ta génétique et ensuite dans ta réalité. De nouveaux codes génétiques vous parviennent et vous pouvez ainsi, lire et intégrer beaucoup plus d’informations qui sont logées dans votre génétique. Ce qui était étouffé, peut alors respirer et tu ressens ce soulagement, cette légèreté. Garde les pieds sur terre et laisse-toi aller à ce processus qui est naturel, cette curiosité qui, quand elle est canalisée, est un fabuleux outil pour rester éveillé.

 

Je comprends, que notre investissement sincère, dans la quête de la Connaissance, entraîne des répercussions sur d’autres plans où d’autres parties de nous-mêmes, sont à l’œuvre également.

Nous nous rejoignons, nous fusionnons, nous nous mélangeons.

C’est une prise de conscience globale, où chacune de nos parties s’est donnée les moyens de sortir d’un schéma de prédation.

 

Nous étions prêts à unir nos forces. Même si cette action s’est produite avant la période de transe de Margi, nous comprenons que si nous sortons de toute linéarité, alors tout s’est produit en même temps. Chaque partie de nous s’occupe d’agir dans son environnement, toutes guidées par l’Ange.

Nous pouvons continuer notre travail avec plus d’outils, adaptés à la situation.

 

Je ressens la présence de ces êtres galactiques, et ils nous indiquent qu’il est temps, à présent, de procéder à une communication plus précise. Le temps de l’observation est révolu. Place aux partages transdimensionnels et donc à la vision multidimensionnelle de toute chose.

 

Voici un passage du livre science antique de Laura Knight qui illustre bien ce que je perçois :

Le moyen de revenir en arrière pour activer l’ADN nécessaire à entrer en contact avec les centres supérieurs n’est pas la manipulation génétique, ce qui serait voir la question au travers de la lentille des influences de la Matrice. Le moyen de revenir en arrière est le retour à l’ancienne science spirituelle, le vrai Œuvre alchimique qui, par le réchauffement du creuset, le néo-cortex, recâble le cerveau de manière à rétablir et réparer les anciennes connexions avec les centres supérieurs. C’est la fusion du “centre magnétique”, l’établissement de l’insoluble, du réel “Moi”. C’est une “modification génétique” dans le sens d’un renforcement de la boucle de rétroaction avec le Centre de Pensées de l’Etre plutôt que le Centre de Pensée du NonEtre. Grosse différence.

 

Q : (A) Quelle partie d’un humain s’étend en 4e densité?

R : Celle qui est régie par la glande pituitaire.

Q : (L) Mais encore?

R : Psychique.

Q : (A) Y a-t-il des séquences particulières d’ADN qui facilitent la transmission entre densités?

R: Addition de brins.

Q : (L) Comment peut-on ajouter des brins?

R : On n’ajoute pas, on reçoit.

Q: (L) D’où les reçoit-on ?

R : Interaction avec onde qui approche, si vibration est alignée.

Q : (L) Comment sait-on si cela se produit ?

R : Des changements psychophysiologiques se manifestent.

Q : ...Il semble que de nombreux individus venus à cette période-ci depuis le futur en retournant dans le passé par l’intermédiaire du cycle d’incarnations de manière à ne pas contrevenir au libre-arbitre, aient sélectionné avec soin des corps ayant un ADN particulier qu’ils activent peu à peu de manière à ce que leur Moi de 4e densité ou encore supérieur, puisse se manifester dans cette réalité-ci. Est-il possible à ces énergies de se manifester dans des corps qui ont été éveillés ou alignés en 3e densité ?

R : Le SDA tend à suivre le processus selon le cours naturel des choses. Le SDS tend à altérer les processus de la création pour parvenir à ses fins (c’est-à-dire des enlèvements et/ou de la magie noire .

Source : https://www.reseauleo.com/médiathèque-1/bibliothèque-de-leo/

 

3) Bilan

Il n’y a qu’une seule manière de résumer ce partage, c’est : l’Unité Tribale en action. Elle est à l’origine de notre rassemblement et nous guide vers la sortie de ces schémas limitants. Elle est le fruit de nos guidances supérieures qui forment la conscience plurielle sur un autre plan. C’est le chemin vers notre réunification, vers le rétablissement de notre génétique originelle. Nous avons compris que celui-ci, comporte une multitude d’étapes, durant lesquelles nous recevons de nouveaux codes génétiques qui sont autant de nouveaux outils de travail. A l’image, de ces transes qui furent le moyen de travailler plus en profondeur et, par là même, de transcender les limites jusque-là imposées par notre génétique.

Elles ouvrent de nouvelles possibilités et mettent à disposition de nouveaux outils pour continuer le chemin vers une réalité au Service D’Autrui.

 

Au fur et à mesure de nos actions, nous constatons que le nécessaire nous est à chaque fois donné.

Cette abondance, dont tout le monde parle, est bien là, mais pas comme certains le croient encore.

L’Ange nous envoie ce qu’il faut, juste ce qu’il faut pour nous transformer.

 

Ces transes-formatrices en sont l’exemple, elles nous ont mis face à des parties de nous-mêmes qui demandaient à être conscientisées. Voir notre rapport à l’autorité, notre côté rebelle et soumis, était donc le début de notre transformation. Aujourd’hui, le cercle vicieux des schémas limitants de domination-soumission n’est plus entretenu, et il perd de son emprise : c’est un cap dans notre déprogrammation grâce à son action multidimensionnelle.

 

Nous apprenons au quotidien à discerner les ruses du prédateur, c’est indispensable, afin de pouvoir appliquer nos compréhensions. Ce qui n’était que dans le mental, s’intègre dans nos cellules et nous transforme. Toutes les expériences sont alors une fabuleuse opportunité de faire grandir nos parts SDA. Voilà ce qui se produit continuellement sur ce chemin. Nous avons donc vécu, et vivons une série d’évènements qui, tour à tour, nous invitent à acter, décider, ré-acter, re-décider de notre véritable façon de vivre.

 

Nous comprenons que toutes les parties de notre Etreté, corps, âme, esprit, ont besoin que nous les respections, que nous prenions soin d’elles : la prise d’iode, de silice, le jeûne intermittent, l’alimentation cétogène, les activités au sein du groupe, transforment notre corps.

Les différents partages nourrissent notre âme et favorisent la libération émotionnelle.

Nous pouvons alors entendre notre esprit, notre supra-conscience et nous laisser guider.

 

C’est de cette manière que nous réduisons l’emprise du prédateur et donc les programmes limitants. Notre génétique peut alors se transformer et nous réveiller toujours plus aux multiples réalités. Ça secoue fort, très fort même, au fil des épreuves.

 

Le travail continue bien sûr, cependant les choses sont complètement différentes. En effet, là où hier nous subissions, aujourd’hui nous agissons. Nous acceptons nos capacités et nous les développons chaque jour un peu plus, au sein de l’école des Leo.

 

Hulahup Barbatruc ...

 

Da'Margi (cen11)

 

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Commentaires: 2
  • #1

    Sylfaen (cénacle 56) (vendredi, 17 janvier 2020 16:01)

    Que d'informations contenues dans votre partage! Mes cellules vous en sont reconnaissantes . La résonance est forte, et me permet de conscientiser certaines transmutations qui ont lieu en moi en ce moment.. merci fraternel donc.

  • #2

    Jules (samedi, 25 janvier 2020 11:16)

    Merci pour le partage de ces leçons, clair et accessible...
    A toute �.