Enseignements d'Isabelle Padovani


 

Pour vous faire votre propre avis et exercer véritablement votre discernement, il est conseillé de visionner les vidéos avant de lire ce commentaire.

 

Isabelle Padovani a le mérite d'avoir profondément expérimenté les informations qu'elle partage. Elle offre un outil ludique et pédagogique permettant de conscientiser à quel point nous sommes manipulés par nos différentes "peursonnalités". Les extérioriser et leur donnant un corps, une voix et un nom est une bonne idée, et tous les processus qui s'en suivent sont certainement d'une grande aide pour mettre de l'ordre dans sa vie, mais ce qu'elle présente n'est qu'une étape d'un processus.

 

Et le prochain palier, celui qui chamboulerait toutes les certitudes thérapeutiques, est celui de considérer la véritable emprise du prédateur. Car ces différents personnages représentent effectivement tous les masques que peut utiliser le prédateur. Mais l'essentiel est de découvrir quelle est l'entité qui se cache sous le masque et qui s'exprime à travers les différentes voix. Qui tire la leçon de ces expériences, qui prend une décision, un compromis à appliquer ?

 

Tant que l'on ne l'a pas identifié, et que l'on ne s’entraîne pas ardemment à cette tâche, le prédateur reste le roi de son royaume !

 

Et Isabelle Padovani est l'exemple parfait de la thérapeute-enseignante managée par son prédateur qui véhicule de belles vérités entrecoupées de beaux mensonges.

Cet effet ce yo-yo incessant est une technique très efficace pour semer la confusion : ce qu'elle partage à propos d'Ama ou à propos du second plan (état d'éveil) dans lequel il ne sert à rien de se complaire tant que l'on à pas réglé les "problèmes" du premier plan (monde de la 3D) sont des vérités.

 

Mais par exemple une phrase passant ni vue, ni connue telle que "Si en moi, ça ne parle pas avec tendresse, ce n'est pas une part très éveillée, ce n'est pas une part très spirituelle" est une affirmation issue d'une programmation de CNV (Communication Non Violente), technique basée sur le déni du prédateur. Ou encore expliquer par la métaphore "rester sous les cailloux" que si dans une relation, nous avons exprimé nos besoins et qu'ils ne sont pas nourris par le partenaire, alors nous n'avons rien de plus à y faire, sauf souffrir inutilement… est un autre réflexe de fuite de la prédation.

 

Mais là où le bât blesse très gravement, c'est justement dans la conférence sur le couple. Elle n'aborde que la place et les besoins de la femme avec une exigence extrême vis à vis de l'homme. Elle met sous la responsabilité de courants spirituels pervertis le fait que rien ne sert de chercher ailleurs tant que l'on a pas compris la leçon, puisque celle-ci va d'une manière ou d'une autre se représenter.

 

Donc son prédateur l'incite à esquiver la loi universelle cyclique et karmique en lui faisant croire qu'il faut mettre un terme à la relation puisque l'autre n'est pas à la hauteur de ce qu'elle vaut. Elle les fait donc défiler un à un et porte son choix sur l'homme qui se plie à ses exigences et rend ainsi son prédateur heureux !

 

La cerise sur le gâteau de sa prouesse SDS, vient lorsque (malgré la précision que chacun suit le chemin qu'il désire) elle expose la capacité intrusive de son prédateur en démontrant par A+B à une personne livrant ses difficultés de couple, qu'elle doit quitter son compagnon!

 

On voit donc à nouveau comment le mécanisme de la prédation, au travers de nombreux thérapeutes, parvient à programmer une foule d'individus. Ces mécanismes jouent également sur le programme "orgueil" des thérapeutes, qui au lieu de les inciter à se remettre en question, continuent à diffuser leurs enseignements, qui du coup acquièrent une force de programmation supplémentaire.

 

Nous avons donc choisi de publier ces trois vidéos car après la première plus technique et moins démonstrative de sa part SDS, nous avons éprouvé le besoin de fouiller un peu plus, et nous n'avons pas été déçus quand nous en sommes arrivés au sujet brûlant du couple ! C'est là que l'on peut se rendre compte qu'une personne, bien qu'ayant vécue de profonds chamboulements et paraissant en émerger avec des clés, peut s'avérer être un danger public ou plus objectivement une parfaite leçon de l'emprise SDS pour ceux qui sauront en tirer profit...

 

Au final, Isabelle Padovani, à l'image de beaucoup d'enseignants de sa pointure, est assurément l'une des plus habile programmatrice de la matrice reptilienne. Sous son camouflage de praticienne en communication non violente, et munie de techniques de programmation psycho-visuelle telle la PNL (programmation-neuro-linguistique), elle se sert de son charisme, de son élocution, et de la fameuse technique hypnotique des postures "énergétiques zen". Ce principe de base de la "manipulation psychique", sert à éloigner son public de la réalité de la perversion de notre monde. Jamais et en aucune façon, elle ne fait allusion à la réalité de l'intrusion dans le psychisme humain, de la manipulation transdimensionnelle par le corpus prédateur de 4ème dimension. Elle évite soigneusement de distinguer les autres dimensions de réalité qui pilotent la conscience humaine. Cette négligence démontre bien qu'elle est bel est bien sous l'influence de son prédateur attitré.

 

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Commentaires: 2
  • #1

    annick (lundi, 05 décembre 2016 20:43)

    AAAAhhhhh, merci Hélène d'avoir transmis les vidéos au réseau Léo! :D

    Maintenant, j'apprécie grandement les messages d'Isabelle, et ses vidéos, je pense les avoir toutes vues, sauf celles sur le couple justement. Si j'ai bien compris votre ressenti, le "je" qui perçoit les différents aspects de la personnalité (les personnages très parlants dont elle parle), serait le prédateur? Notre EN-JE ne serait donc quasiment jamais présent puisqu'il laisserait la place au prédateur à 99%?
    Pauvre de nous!

    C'est vrai que la conscience d'un prédateur aux commandes de notre vie "misérable" (misérable d'ignorance) ne m'est apparue que récemment dans ma quête de sens à cette existence.

    C'est d'abord la lecture de vos dialogues, ensuite Anton Parks, les différentes web tv ainsi que Calogero et Rachel + des personnes que j'ai rencontrées, qui m'ont fait envisager la prédation.

    Au départ, je pensais que vous exagériez tous, que c'était parti d'une idée qui s'était répandue comme de la poudre. Quand je vois les similitudes de thèmes de conférences à un instant T, cela m'a toujours fait penser à un fil de linge gigantesque sur lequel l'on puisait des idées qui étaient "dans l'air du temps".

    J'ai récemment retenu une phrase d'Eric Emmanuel Schmitt qui dit: "croire, c'est habiter l'ignorance". J'ai longtemps cru, maintenant, je fais comme vous, j'expérimente.

    Et là où l'enseignement d'Isabelle me permettait de "tendresser" avec moi-même, je sens qu'il y a autre chose. Sans doute mon prédateur qui me refile sans cesse la pilule bleue! Depuis vos dialogues et vos vidéos, je digère de moins en moins la pilule bleue mais ce n'est pas pour autant que d'essayer d'ingérer la rouge me fait du bien!

    Alors je ne cesse de travailler sur moi-même, afin d'allier la possibilité d'un prédateur de 4ème dimension, et la continuation d'une existence que je veux profitable à bien des points de vue.

    J'ai des enfants, une école de danse, des amis, et beaucoup de joie dans ma vie.

    Je vous remercie pour tous vos partages et croyez bien que j'évalue le travail que vous faites sur vous et que vous partagez généreusement dans ce réseau Léo.

    Je n'oserais vous souhaiter un joyeux Noel puisque j'ai lu d'où ça provient mdr, je concluerai donc en souhaitant à tous... de lever notre verre à nos prédateurs!!

  • #2

    alicia atmaja (mercredi, 07 décembre 2016 11:27)

    Je ... fusionne avec cette analyse!
    En fait, en écoutant Isabelle, que je connais depuis assez longtemps, c' est tout mon être qui se raidissait un peu, flairant "l'imposture", et j' éprouvais un mouvement de rejet immédiat, qu' ensuite je tempérais éventuellement pour écouter quand même ce qu' elle avait à dire, puisque la mode est à la communication non-violente( encore qu' il faudrait réfléchir si celle-ci ne cautionne pas une plus grande violence: celle faite à soi-m^me dans le déni de notre monde intérieur SDS...???). J' ai donc fait un effort ce jour en écoutant!
    En effet, il m' apparaît qu' Isabelle Padovani, demeurant figée au sein d' une vision psychologique,(et pseudo-spirituelle) néglige en totalité notre véritable nature spirituelle autant que l' emprise du Prédateur SDS que nous sommes aussi. Ce faisant, notre nature spirituelle est " engloutonnée" par "le côté obscur de la Force"(merci, maître Yoda!), SDS, qui nous harponne pour nous faire chercher toujours plus loin et ailleurs ce que nous sommes en notre éternité, en toutes nos dimensions, et nous pousse inexorablement à rester en cette matérialité, fut-elle psychologico-spirituelle, à nourrir en nous cette fausse lumière( nouillageuse!!!)issue des "enseignements" (pseudo-spirituels) de notre époque. Donc à nourrir en nous le SDS suprême des aspirants -spirituels: l' ego spirituel. Et nous continuerions ainsi à tourner en rond dans une cage où croît, certes, un très beau jardin, rendu d' autant plus attrayant que nous y aurions laissé travailler un beau jardinier, mais à quel prix? la perte de ce que nous sommes: une totalité vivante, composée d' une conscience SDA additionnée d' une conscience SDS. Point de sortie donc, le cercle vicieux se nourrit de ces énergies là, perverses et perverties par le système de prédation subtil véhiculé par des thérapeutes qui sont programmés(à l'insu de leur plein gré, mais certains mots le traduisent, tels que "programmation neuro- linguistique", non?)pour nous maintenir ad vitam aeternam en cette matrice!
    C' est comme si l' enjeu était d' assouvir sans cesse des besoins alors que nous devons passer du stade du besoin à celui de la Nécéssité, celle de revenir en soi, de cesser de focaliser sur l' Autre, celle de devenir Adultes, Créateurs de nos vies: être en Genèse, ce qui n' est possible qu' en nourrissant en nous l' étincelle de pure Lumière qui nous relie à la multi-dimensionnalité et à la Source. Ce qui pose la question quotidienne: que dois-je faire, aujourd'hui, que dois-je dire, penser, pour être et demeurer au centre de mon être, autrement dit au coeur du coeur? La centration est l' objet de notre discipline quotidienne, sinon, c' est la tentation SDS matricielle qui nous domine, et là, l' "autre", le conjoint, est une pièce maîtresse pour nous éloigner de ce centre puisque nous allons focaliser sur lui, et nous perdre, en quittant cette nécessité d" être pour soi, en soi! L' ego y trouvera son compte, et notre prédateur son régal.
    Le véritable enjeu du couple ne serait-il pas plutôt de débusquer, ensemble, ce jeu de la prédation qui s' y joue à merveille? Et par conséquent d' y inviter notre partenaire à jouer? Et de cesser de fuir notre réalité de partenaire en partenaire?Et la simple loi d' attraction ne nous pousse t-elle pas vers celui qui correspond à notre vision et à nos projections???Si l' esprit et le coeur (spirituel) sont ouverts, aucun doute que nous trouvions celui avec qui cheminer: en élévation et non en réponse à des besoins. Elévation, à savoir, croissance, reliance entre notre humanité et le monde spirituel, traversée hors de la Matrice SDS, cela et rien que cela! Alors, certes, le partenaire devra avoir, tout comme nous, le courage, la force, l' amour et aussi l' abandon nécessaires à cette tâche, la seule qui nous restitue à notre liberté ensevelie par les manipulations de nos consciences via notre ADN et autres moyens.
    Pilule rouge ou pilule bleue?
    Plus personnellement, et j' en ai déjà témoigné ailleurs, Amma m' a servie plus que je n' ai servi le corpus SDS à travers elle: nos rencontres(je l' ai suivie de 1993 à 2009) m' on déclenché la libération de nombreuses négativité, émotions et mémoires SDS, elles m'ont connectée au Coeur, et propulsée vers la recherche de l' autonomie et de la liberté: en effet, chacun décide de demeurer prisonnier d' un "maître" ou de se servir de lui comme d' un tremplin. Chacun, en tous cas, est à sa juste place et a la possibilité de trouver en lui...celui qu' il cherche!!! ce qui fut ainsi pour moi une belle étape, me donnant la force de poursuivre toujours, car, sans cet amour, je n' aurais jamais pu faire un pas de plus, tant ma désespérance était à cette époque, intense!
    Merci.