Témoignage 107 - Hélène B.

Commentaire suite à l'article d'Hélène et David : Chapitre V - Les clés du pouvoir féminin

Bonjour à toute l'équipe LEO

"C'est parce qu'ils ne se souviennent pas de ce qu'ils sont que vos frères de la lumière pauvre ont échafaudés avec votre aide un singulier scénario" (nazisme) ainsi s'exprimait l'être de lumière qui visitait Anne Gévaudan et Daniel Meurois dans le livre "Par l'esprit du soleil". Le cycle des réincarnations, la loi d'entropie, l'oubli de qui nous sommes peuvent nous donner une réponse à l'état du monde d'aujourd'hui.

L'être humain s'identifie à son corps, à ses biens, à ses rôles, à sa religion, à sa race... bref à tout sauf à ce qu'il est vraiment : un être spirituel, une âme, qui anime un corps physique.

Dès que l'homme oublie sa nature originelle, son niveau de conscience chute, ainsi que son niveau vibratoire. Dans le jargon de l'enseignement du Raja Yoga on dirait le passage de la

conscience d'âme à la conscience du corps.
Les chrétiens ont appelé cette chute de niveau de conscience, le péché origine l; Adam et Eve ont été chassés du paradis terrestre au moment où ils se sont identifiés à leur corps physique.

Le niveau de conscience illimité devient limité en s'identifiant à la matière. Ce grand changement de niveau de conscience engendre la dualité et par voie de conséquence les conflits. Avec l'identification au corps physique nous voyons apparaître l'attachement, les peurs, les frustrations, l'arrogance...

Quand les désirs restent inassouvis la violence, la colère jaillissent, l'amour s'exprime sous forme d'attachement et de possession. Chaque être humain subit les influences et les exigences de l'autre, si bien que les liens de l'attachement deviennent de plus en plus oppressants. La convoitise, l'avidité, la jalousie, l'ego poussent les hommes à s'affronter, à se séparer, à se diviser.

L'entropie des valeurs spirituelles suit la chute du niveau de conscience. Quand l'homme vit en étant conscient de sa dimension spirituelle, il est respectueux du soi et des autres, il voit l'autre comme son frère spirituel issu de la même source que lui.

Branché à la source divine illimitée, sa joie, son bonheur, son contentement viennent de l'intérieur et ne sont pas dépendants du corps de l'autre, de ses possessions, de ses rôles, des médias, du monde des divertissements... il aime, il s'aime et il est aimé en tant qu'être divin.

Le remède à la prédation, à toutes les formes de négativité est l'AMOUR, l'amour inconditionnel : facile à écrire beaucoup beaucoup moins à mettre en pratique !!!

A l'aube de cette nouvelle année, paix, lumière, bonheur à tous, que la vérité triomphe enfin.

Hélène B