Le 3 mai 2018
Bonjour le réseau Léo,
Voici un questionnement et un partage d’expérience d’enquêtrice.
Si le fait de faire des enfants, fractalise mon âme =1 ou plusieurs enfants, ces enfants n'ont ils pas été une part de mon âme sur un autre plan trans-dimensionnelle ? Et donc en les enfantant, je peux les reconnaître comme tel (mon père, fille etc comme ton histoire Sand). Dans ce cas, je peux rassembler mon âme ?
Si je ne les enfantais pas, comment pourraient ils revenir à moi ou moi à eux pour que je puisse me rappeler ?
De ce fait, faire des enfants, n’est il pas nécessaire pour se reconnecter à ses parts en 3eme densité ?
Si chaque rencontre (ou en partie) est une part de notre âme, est ce que le fait de le reconnaître sans s'en souvenir, suffit à reconstituer l’entièreté de celle ci ?
Mes intuitions m'ont amené à penser que l'un de mes fils, était mon père, que mon compagnon était mon frère. Ce ne sont que des intuitions des ressentis liés à des comportements.
J’ai aujourd'hui la conviction que mon 2eme mari a dut être proxénète, au vu de ses comportements envers les femmes et moi sa prostituer. Tout mon cheminement jusqu’à sa rencontre ne fait aucun doute :
Très jeune (4-5 ans), j’ai su pratiquer l’auto sexualité en utilisant la queue d'un gros aristochat. J'en avait honte mais cela était plus fort que moi (prédation). Ma famille était pudique et je regardais peu la TV (j’ai 51 ans). Par la suite, à 5 ans, dans un centre aéré, je me suis retrouvée avec une camarade au cours d'une ballade en forêt, face à un homme en érection qui nous a proposé de lui embrasser le sexe en échange de 5 francs. A l’époque 5 fr représentait une belle poche de bonbons... je l'ai fait et l'autre petite fille s'est enfuit.
Plus tard, je me suis questionnée sur mon action et je m'en suis voulue et je me suis trouvée perverse (prédation). J’ai même employé le terme « putain » quand adulte, j’observais mes pulsions. Entre cet épisode et mes 16 ans, j'ai été agressé plusieurs fois (sans gravité) dans la rue. Un homme nu sous son imperméable, me montra ses bijoux de famille ; deux jeunes m'attrapèrent et je fus sauvée in extremis par un vieille homme réagissent lentement car il croyait que l'on chahutait ; puis vers 15 ans début d'attouchement par un ami de la famille que j’appréciai particulièrement car il m’instruisait sur beaucoup de sujet qui à l’époque, m’intéressais. Je me suis révoltée et très vite je l'ai dit à mes parents, qui ont coupé toute relation ; vers 30 ans, nous nous sommes rencontrés alors que je tenais un bar restaurant et que j’étais en intense de divorce et lui bien marié (35 ans de + que moi). Il m'a proposé de m'entretenir en échange… vous devinez quoi !
A 16 ans j'ai rencontré celui qui deviendra mon 1er mari et à l'époque, je ne concevais pas avoir une relation sexuelle avec un homme avec qui je ne finirai pas ma vie. Depuis toujours, je voulais me marier et avoir une multitude d'enfants. Le 1er homme serait celui que j'épouserai et avec qui j'aurai des enfants. Donc mariage à 19 ans, 1er enfant à 20ans, 2eme enfant à 22 ans et avortement du 3eme à 23ans car lui n'en voulait plus.
A 22 ans, j'ai commencé à avoir des pulsions sexuelles pour d'autres hommes alors que j'adorais mon mari. J'ai bien sur mi cela sur le compte du besoin sexuel car lui était rarement en demande et moi oui. Alors j'ai pris un amant d'un soir mais ne supportant pas le mensonge, je l'ai dit à mon époux. Mes arguments l'on convaincu (prédation) mais lui n'étant toujours pas en demande, j’ai renouvelé l’expérience. En fait, je n’étais bien que dans l’excitation de la passion du début (lovebit). Je lui disais tout et je n'ai jamais eu le sentiment de le « tromper ». Il ne pouvais me satisfaire ! Et puis il eu un 3eme et un 4eme avec qui cela fut platonique. Quand l'échange se fit au niveau sexuel, cela fut instructif. (Malgré que j'ai toujours su aborder le corps des hommes sans jamais avoir vraiment communiqué à ce sujet car jamais un homme m'a dit « j'aime ça, j’aime être caressé là , etc ». Normal, si un de mes alters était prostitué… et je n’ai jamais eu d’orgasme en dehors des pères de mes enfants et de mon compagnon).
Donc j'ai dit « c'est plus possible ! ». Mon mari était excité du fait qu'il savait mes aventures et à ce moment là il était en demande ; je ressentais la perversité.
Déjà depuis la date de l’avortement, je plongeais dans une dépression (déjà abordé à 16 ans avec une TS). J'ai donc suivi une psychothérapie très tôt du à des symptômes qui aurait pu me tuer (aphtoses géantes) qui ont commencé juste après mon mariage. Cette psychanalyse m'a permis de comprendre que je mourait de culpabilité. (voir Jacques Martel et les aphtes)
Par la suite, quand j'ai annoncé ma séparation à ma mère, elle m'a traité de « putain ».
J’ai travaillé dans un bar ; j'ai eu une multitude de propositions sans céder mais souvent le désir était présent et les gens jasaient car nous étions 2 femmes et très aimables avec nos clients ; des bruits ont couru... Je vous laisse imaginer...
Entre la séparation de mon 1er mari et la rencontre de mon 2eme, je suis tombée follement amoureuse d'un homme qui lui aussi m'utilisait comme bon lui semblait et moi « lovebite » étant…, je fondais et acceptais tout. Il avait 15 ans de plus que moi. Je voulais du « sérieux » ! J’ai donc rencontré un prince dans sa bx « blanche » qui m'a tout proposé, mariage, enfants et bien sur l'autre est revenu à la charge, comme de bien entendu !
J'acceptai les propositions de cet homme plein de promesse et de 17 ans mon aîné. Cela était rassurant, je croyais voir la sagesse. Malgré cela, je me souviens d'avoir eu l'intuition de faire une erreur. Un jour qu'il m'apportait des fleurs, je me mis à pleurer. Je n'avais plus le droit à l'erreur. Voilà ce que j’entendais (prédation) « prend cet homme, fait des enfants et tais toi ». Ce que j'ai fait.
Très vite, j'ai réalisé mon erreur mais je me suis tellement fait peur en me retournant un couteau vers le cœur après une dispute lié au sexe que j'ai tout verrouillé. Je ne voulais pas replonger dans la dépression, j'avais arrêté la thérapie. Lui m'a hypnotisé. Je peux le dire aujourd’hui. J’étais programmée pour faire 2 enfants de plus, et me soumettre au sexe qu'il m'imposait, je peux dire que j'ai été violé.
Cet homme était maçon et sortait des compagnons de France. Il connaissait la franc maçonnerie et faisait de la magie noire. Il avait gravé sur la maison que nous rénovions le symbole illuminati (un œil). A l’époque, ignorante, occupée à protéger ma vie et celle de mes enfants, je n'ai pas compris l'importance de tout cela. LA MANIGANCE DES PREDATEURS !
Et puis plusieurs choques se sont produit qui m’ont bousculés : la mort de ma mère, l'enfoncement de mon père dans la maladie Alzheimer forme de levy et surtout alors que j'aidais une amie dans la même situation, elle même m'a fait prendre conscience de ce qu'il se passait chez moi (miroir).
Ce bourreau accentuait ses violences verbales, physiques sur ses propres enfants et sur mon père. De plus, il manipulait mes aînés et eut des gestes et comportements insidieux envers ma fille aînée.
Le jour ou j'ai rencontrais mon compagnon d’aujourd’hui, j’étais encore mariée mais j’avais une répulsion évidente à son égare tout en ressentant qu'il avait quelque chose à me transmettre. Un jour que nous déjeunions tous les 4, cette amie, mon mari et lui (j'essayai de les caser entre célibataires), dans la conversation, il dit très énervé « de toute façon le mariage n'est qu'une forme de prostitution... la femme devient la pute de l'homme qu'elle épouse ». Personne a relevé, ou fait mine d'entendre. Moi, cela m'a choqué mais là j’ai compris le message.
Après ma séparation, j’ai retrouvé cette homme.
Avant notre 1er échange physique il m’a dit « il n’y aura pas de jalousie, ni d’exclusivité ni possessivité entre nous !» J’en ai pas cru mes oreilles… avec tout ce que je venais de vivre !
Cela fait 12 ans que nous partageons notre vie et je me suis bien débarrassée de la dépendance affective des hommes, il m’a bien aidé.
Pour finir l’histoire de ce deuxième mariage, j’ai demandé le divorce. Je ne pouvais plus dormir avec mon bourreau, mon corps se bloquais dés que je m'allongeais à ces cotés. Je ne pouvais plus vivre cette situation de violence, de manipulation. Quand je lui ai annoncé ma décision, il m'a dit « on ne pourrait pas faire une dernière fois l'Amour ? ». (La prédation) Du dégoût, je n'avais que du dégoût !! Quand la séparation fut consommé, j'ai perdu 10 kg et mes aînés mon dit « nous avons retrouvé notre mère qui n'était qu'un zombi ». Ils ne s'étaient jamais révoltés contre lui. Heureusement qu'ils avaient un père exemplaire !
Après avoir visionné une multitude de document, écouté et lu les dialogues avec mon ange ; avoir avancé dans le livre MK (que je lis au compte gouttes) et après avoir écouté ce cahier 7.3 sur la sexualité, j'ai ressentis la nécessité de partager ce que je viens de faire comme travail de reconstitution.
Je ne vois pas avec des images claires mais je ressens la justesse dans la prise de conscience en mettant bout à bout tous les indices et les synchronicités. (Sûrement que j'en oubli). Un autre indice :
Une bague en toc que j’ai acheté dans un super marché, il y a 30 ans. Il y a 15 ans avec tous les bouts d’or qui traînaient, je l’ai refait faire… Incroyable ce que cela représente, non ?… Et j’ai toujours vu le symbole de l’Amour et ne l’ai jamais quitté ! Dois je le faire maintenant ?
Une natte de plage peinte par une amie qui voulait la jeter et que je trimbale depuis 30 ans (7 déménagements) et qui est au bout de mon lit et qui a jamais quitté cette place. Une Geisha non ?
Aujourd'hui encore, je ressens mon prédateur qui me manipule à travers cette énergie sexuelle. Je ressens des pulsions à des moments où au contraire cela ne devrait pas exister : hier en lisant MK dans la description d'abus ou quand je vois des animaux se reproduire.
J'ai aussi le souvenir d'avoir eu une pulsion face à mon fils aîné quand il avait l'age de 1 an et qui s’est mis à avoir une érection sans raison apparente. J'avais lu Françoise Dolto, qui expliquais que nous avions des pulsions animales et que les animaux se reproduisaient entre membres de la même famille et que chez l'homme civilisé, cela lui était interdit car il devait par sa conscience maîtriser ses instincts bestiaux.
En écrivant, je ressens toute la détresse de cette libération de conscience par les larmes qui coulent.
Comme la connaissance libère !!!
Toutes ces années à chercher sans véritablement trouver. C’est surtout que, je ne voulais pas entendre et croire ce que je pressentais. Maintenant, je réalise que le processus est entamé.
Depuis 2 mois, je suis en régime cétogène et depuis 1 mois je prends de l’iode (7 gtes).
J'ai réduit mon activité professionnelle car je ne me sens plus en adéquation avec ce que je fais (yoga du rire).
JE VOIS LES CHOSES TELLEMENT DIFFEREMENT.
Quand je rentre dans une maison de retraite et que je suis présente au service du goûté, je vois le poison qu'ils ingurgitent et je les vois dépérir. Je détecte le jeu du prédateur qui m'envoie plein de demande d'intervention alors que j'ai le souhait d’arrêter depuis maintenant 2 ans. Je vois le comportement des autres qui flatte mon ego pour que je continu mon activité.
Depuis des années, je dit que mes valeurs sont liberté, vérité, et intégrité... que des mots… finalement j’ai été manipulée et je n'ai pas été assez vigilante pour déceler la vérité de se monde même si je voyais bien qu'il y avait des choses qui clochaient car mon intuition est bien présente.
J'ai toujours été transparente et authentique même trop franche. Dans un des partages avec Gégé, Sand tu exprimes la notion de bienveillance de communication sans violence. J’ai beaucoup aimé tes propos (je ne peux pas les répéter texto). Là encore, c’est un principe de manipulation new âge. J'ai participé à plusieurs modules cnv et même si cela aide à se connaître et à fouiller en soi, les formateurs oublient les relations trans-dimensionnelles et donc ils musellent en parti la parole en limitant l'expression à ce qui est acceptable d'être entendu.
Je me suis souvent livrée et j'ai remarqué que cela aidait les autres à en faire autant surtout sur des sujets tabous comme le sexe, la mort, l'argent et surtout sur des faits appelés « paranormales » que beaucoup vivent mais taisent par peur, ignorance ou culpabilité.
Il y a quelques années que j'ai commencé à rentrer dans le new age (reiki, cnv, psychologie positive, respiration consciente, et yoga du rire) mais sans convictions (sauf yoga du rire que je pratique depuis 8 ans). J'ai organisé des salons bien être avec un plein de technique, de méthode et des thérapeutes. Des soi niant pour des soi niés…
J'ai ressentis les egos sur développés, les mensonges envers eux même, l’appât du gain etc... donc... STOP !
Cette conscience a progressé, quand j'ai entamé (il y a 4 ans) des jeûnes de 8 jours chaque année en vivant chaque jeûne dans des circonstances différentes et analysant les effets. Le jeûne intermittent était pour moi naturel. Je « petit » déjeune plus depuis plus de 10 ans. Mais la découverte du poison « sucre » a été une révélation. Et c'est en faisant des recherches sur l'alimentation et le fonctionnement cellulaire que je suis tombée sur l'eau diamant et une vidéo de Ducatillon qui parlait de vous... Et hop ! J'ai installé mon école sur mon grand écran et depuis 2 mois, je découvre et je suis boulimique de connaissance.
Toutes les questions en moi qui restaient sans réponses parce que je ne voulais pas savoir, s’éclaircissent. J'étais dans l’espoir d'un monde meilleurs et me battait contre du vent. L'ESPOIR AUGMENTE LE DENI ! C’est le brouillard.
Maintenant, je comprend mieux et même si je me débattais déjà avec celui que j’appelait mon saboteur en moi que je nommé Teuse (il s'appel Teuse... mdr !) après avoir visionné les comprimés du bonheur de Daniél Sevigny.
Prédateur est plus approprié car je vais plus en profondeur dans le travail surtout en terme karmique que j'avais complètement occulté tellement cela me paraissait incongru.
Mais le prédateur fait peur dans la conscience collective formatée par le corpus sds. L'homme n'a pas de prédateur. N’est ce pas ?
Je l'ai expérimenté en changeant saboteur en prédateur dans des discussions avec des amies en cheminement. « Oh ! T’exagère ! »
Me voilà sur la route sda et j'ai conscience qu'elle va t’être longue et semée d’embûches car j'ai entamé le travail de détachement et là, je pleurs souvent, même si envers ma famille (plus) mon compagnon et biens matériels, c'est déjà bien avancé. Le plus dur c'est mes 4 enfants à qui j'exprime mes nouvelles prises de consciences et mon souhait de lâcher les traditions mensongères de cette société.
Ce qui est dur aussi c'est d'être seule sans retour de l'autre par rapport à mon cheminement. Pour l'instant mon compagnon écoute mes partages de découverte, cherche un peu et est beaucoup prédaté et nie cette prédation. Même si de temps en temps, il y a réveil entre deux anesthésie, il n'est pas prêt à ce détachement de l'ego, du matériel, de sa famille et de ses peurs et encore moins de se reconnecter à ses alters (il se souvient jamais de ses rêves). Il n'a pas encore vraiment conscience de ses chaînes invisibles et de l'avenir de ce monde.
Sand, Jenaël et Hélène, je ne suis pas un écrivain et je ne suis pas bonne en grammaire, orthographe et conjugaison. J'ai fait de mon mieux.
Si mon témoignage vous paraît pertinent et assez compréhensif pour apporter de l'eau au moulin du réseau Léo, vous pouvez le publier. Je sais, c’est peut être un peu long…
Merci pour vos écrits (j'aime pas le mot travail), partages… toutes cette œuvre. Une belle mission et combien difficile j'imagine...
Danièle A (Inscrite au Cénacle - dépt 16)
Petit retour du Réseau LEO
Merci Danièle pour ce sincère travail de mise à nu, un exemple de l'importance d'exprimer les choses à quelqu'un, en l’occurrence ici au réseau LEO.
Nous répondons à quelques unes de tes questions, les réponses figurant en couleur :
… ces enfants n'ont-ils pas été une part de mon âme sur un autre plan trans-dimensionnel ? Et donc en les enfantant, je peux les reconnaître comme tel (mon père, fille etc. comme ton histoire Sand). Dans ce cas, je peux rassembler mon âme ? Oui ! Tout en restant dans le détachement vis-à-vis d'eux, pour que eux aussi puissent expérimenter leur propre vie.
Si je ne les enfantais pas, comment pourraient-ils revenir à moi ou moi à eux pour que je puisse me rappeler ?
De ce fait, faire des enfants, n’est-il pas nécessaire pour se reconnecter à ses parts en 3eme densité ? Non. Agir ainsi serait leur refourguer (dans le sens remettre quelque chose dont on veut se débarrasser) notre responsabilité en tant que "quêteur de connaissance". Une multitude de personnes, autres que nos enfants, peuvent nous aider à reconnecter d'autres lignes temporelles que nous devons visiter afin de résoudre une problématique se répercutant dans notre quotidien.
Si chaque rencontre (ou en partie) est une part de notre âme, est-ce que le fait de le reconnaître sans s'en souvenir, suffit à reconstituer l’entièreté de celle-ci ? Oui !
L'objectivité dont tu fais preuve par rapport aux aventures de toute une vie, et spécialement par rapport à la "perversité" sexuelle, est très enseignante. Ton récit nous permet de constater comment ce programme qui touche de très nombreuses personnes – et qui est entretenu chez la plupart grâce à la culpabilité et la honte – débouche sur un terrain karmique soigneusement préparé depuis l'enfance afin de produire la récolte escomptée pour la prédation.
C'est effectivement en s'évertuant à analyser les tenants et aboutissants de l'instauration puis de l'entretien de ce programme dans sa vie, que l'auto-jugement peut perdre de son emprise et qu'enfin le plus important et le plus salutaire peut émerger et se réaliser : le partage des compréhensions de ses propres expériences !
Car c'est la manière de faire circuler l'énergie – en se libérant soi tout en permettant à autrui d'avancer grâce aux prises de conscience occasionnées par la lecture – qui est incontournable sur le cheminement confrontant du Service d'autrui.
Alors merci pour ta contribution à la mise en circulation de "l'énergie information" !
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