29 - Apprendre à Être avant de vouloir faire - par François Y

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Bonjour Sandrine et Jenaël,

 

Dans mon précédent message que je vous ai envoyé sur l’ECOLEO le 1/10/2018 (Texte n°28), je me suis rendu compte que quelque chose ne collait pas de ma part dans ce message. J’ai répondu à chaud après l’écoute de ce cahier N°16 et je ne l’ai pas lu dans une bonne énergie. Je me suis rendu compte moi-même de mon erreur, je n’avais pas suffisamment pris le temps d’expliquer ce que je voulais exprimer. J’avais ressenti ce cahier comme une attaque impitoyable sur GéGé et je n’ai pas compris la profondeur du cahier N° 16. J’ai donc relu et réécouté ce cahier que j’avais ressenti comme un peu brutal et j’ai ressenti une autre énergie et toute sa profondeur. Cependant, si vous jugez utile de diffuser ce message du 1/10/2018, joignez-y mes remarques.

Je vous propose ci-dessous un nouveau message qui reprend plus en détail certains points que je voulais exprimer.

Au plaisir de vous lire.

 

° ° ° ° °

 

Bonjour les Léos,

 

Apprendre à Être avant de vouloir faire est quelque chose de primordial que j’ai envie de développer en profondeur en rassemblant ce qui est dit à ce sujet dans les enseignements du réseau Léo, en y apportant l’intégration de mes expériences de vie et en essayant de faire une synthèse de tout ceci afin que les lecteurs du réseau Léo puissent mesurer l’importance d’Être avant de vouloir faire. Cet aspect est essentiel et largement souligné dans les enseignements du réseau Léo. 

 

 

A - Vouloir faire avant d’être.

 

Vouloir faire avant d’Être est le fonctionnement habituel de tout le monde mais ce fonctionnement est bien sûr à moduler en fonction de notre évolution de conscience. Avoir des diplômes, se marier, avoir des enfants, construire une maison, posséder des biens matériels, rechercher une sécurité affective, se sentir aimé, assouvir ses besoins sexuels est le fonctionnement dit "normal" de tout humain.

Il ne sait que faire une chose en général, c’est vouloir faire, accumuler toute sorte de biens matériels et de sécurité affective et autres et n’a absolument pas conscience de ce que veut dire "Être" .

Vouloir faire n’est en gros que la conséquence du déroulement de nos programmes karmiques et croyances SDS et cela constitue notre fonctionnement habituel dans la matrice 3D.

Pour ceux qui désirent cheminer en voie SDA, il faut apprendre à Être avant de vouloir faire et pour y arriver, il y a un préalable. Ce préalable est de savoir et d’intégrer que l’on est soumis à la prédation hyperdimensionnelle d’une part et ensuite de comprendre que nous devons nous défaire de nos programmes et de nos croyances SDS.

 

Citation N° 1 :

[…] L'humain est donc obligé de reconnaître avant toute chose, la prédation hyperdimensionnelle qui sévit au travers de son ego pour s'en défaire, afin que l'Univers lui laisse poursuivre son existence.[…] (Dialogue N°37).

Citation N°2:

« […] Conséquemment et progressivement durant son cursus d'incarnation, l'humain devrait apprendre à se défaire de ses schémas de prédateur "SDS" afin de conduire son Âme vers l'expérimentation "SDA"[…]. (Dialogue N° 36).

Citation N° 3 :

[…] Celui qui se destine au Service à Autrui ne peut donc faire l'impasse d'un long et consciencieux travail de libération karmique durant sa vie actuelle.[…] (Dialogue N°38).

 

Voilà au moins trois conditions nécessaires pour apprendre à Être avant de vouloir faire et conduire ainsi notre âme vers l’expérimentation SDA.

La première condition en amont qui consiste à savoir et intégrer que l’on est soumis à la prédation hyperdimensionnelle est un préalable des plus essentiels à prendre en compte avant toute chose puisqu’il conditionne presque toutes nos pensées, émotions et comportements qui se déclinent en aval. Il en va de notre libération.

 

 

B – Peux-on se déprogrammer de nos programmes SDS ?

 

Certains pourraient en douter, après tout, et pour ne plus en douter, quoi de mieux que d’expérimenter la chose.

J’avais évoqué dans mes messages que j’étais sorti de mes dépressions chroniques, il y a une douzaine d’années et de ma misogynie, il y a une trentaine d’années.

Quelques expériences postérieures m’avaient conduit à penser que je m’étais débarrassé de ces programmes SDS. Une expérience récente va me le confirmer. Je vais vous raconter cette expérience, non pour vous raconter ma vie personnelle, mais pour m’en servir pour étayer le fait que l’on peut se défaire de programmes SDS très lourds.

 

J’ai reçu, il y a quinze jours, une convocation me demandant de me présenter à une gendarmerie de la banlieue Toulousaine pour recevoir mon témoignage. Cette convocation a été adressée à une adresse ou je n’habite plus depuis douze ans. La fille de ma compagne m’a transmis le message me disant que j’étais convoqué le 28 septembre à 9 heures. Durant la semaine d’attente à cette convocation, je me doutais que cette affaire avait un lien avec mon ex-épouse que j’ai quitté il y a 21 ans et qui demeure en région Toulousaine mais je pensais que c’était pour un conflit qu’elle a actuellement avec un promoteur immobilier. Ce dernier veut lui reprendre une bande de terrain pour élargir un passage pour construire un lotissement. Cet agent est un escroc. Cette maison ne m’appartient plus puisque j’ai perdu ma demi-part sur cette maison, étant marié sous le régime de la communauté. Ma demi-part, j’ai été contraint de la céder à mon ex-épouse dans le cadre de la prestation compensatoire dans le jugement de divorce, mon ex-épouse ne travaillant pas. 

J’étais donc parti pour défendre mon ex-épouse dans cette affaire bien que n’ayant plus aucune correspondance avec elle depuis dix ans. J’ai été harcelé par mon ex-épouse depuis notre séparation, elle m’a créé des problèmes énormes par des accusations non fondées, des extorsions malhonnêtes mais malgré cela, j’ai pu constater que je lui avais totalement pardonné puisque j’étais prêt à la défendre pour une maison qui ne m’appartient plus.

 

J’ai 69 ans, j’habite dans l’Ariège depuis douze ans. J’étais parti serein à ce rendez-vous malgré mes difficultés visuelles pour conduire et je rencontre une jeune gendarmette fort sympathique et compréhensible.

Cette dernière me précise que mon ex-épouse a écrit à un procureur de la république en Normandie en lui indiquant que j’étais un hacker, que je l’avais empêché de percevoir un chèque de 3000 euros et que je l’espionnais. Je rentrais dans son ordinateur, lui bloquait son imprimante etc…

 

La gendarmette ne semblait pas trop convaincu des dires de mon ex-épouse et ne comprenait pas pourquoi intervenait un procureur de la république de Normandie. Je ne comprenais pas plus qu’elle. J’étais bien obligé de me défendre face à ces accusations en stipulant que mon ex-épouse était atteinte de troubles psychiatriques dès son adolescence. J’ai dû donner les noms de ses deux psychiatres, lui indiquer que j’avais ouvert un courrier non cacheté à l’époque à l’intention de son nouveau psychiatre indiquant que mon ex-épouse était atteinte de délires paranoïdes. Je suis persuadé que l’ancien psychiatre n’avait pas collé volontairement l’enveloppe pour que je prenne connaissance de l’état de mon ex-épouse. Ce dernier avait été convoqué par le conseil de l’ordre suite à une plainte de mon ex-épouse à son encontre et il ne voulait plus la suivre médicalement. Je le comprends. Il ne m’avait cependant jamais dit de quoi souffrait mon ex-épouse durant dix ans en se réfugiant derrière le secret médical.

 

Quand j’ai entendu le mot « Hacker » j’ai bien rigolé. J’ai même dit à la gendarmette que j’aimerais taper au clavier comme elle qui saisissait mon témoignage avec ses dix doigts. Moi, je ne tape qu’avec un doigt au clavier. Jenaël est deux fois plus performant que moi, il tape avec deux doigts. Je suis loin d’être un virtuose en informatique.

Tout cela pour dire que si ces accusations étaient intervenues trente ans plus tôt, j’aurais certainement réagi violemment, je serais tombé en dépression et j’aurais proféré des insultes misogynes à l’égard de mon ex-épouse. Plus rien de tout cela.

Non seulement, je lui ai totalement pardonné toutes ses entourloupes à mon égard mais je ne suis pas entré dans mes programmes de dépression SDS et je n’ai absolument pas eu l’ombre d’une pensée misogyne. J’ai largement compris ce qu’avait mon ex-épouse maintenant, grâce d’ailleurs en partie au réseau Léo. Elle entend des voix, a souvent cru que je voulais l’empoisonner et c’est ma fille ainée qui me l’a répété. Elle est sous l’emprise intensive de la prédation hyperdimensionnelle et n’a absolument pas conscience de cela.

 

C’est dur à gérer tout cela avec trois enfants, avec ses simulacres de tentative de suicide, seul à travailler et une fille handicapée sur les bras à l’époque. A cette époque, je n’avais aucun discernement, je ne comprenais rien de ce qui m’arrivait et j’étais souvent dépressif. C’est pour vous dire que la connaissance est essentielle, je parle avec mes tripes, mon expérience. Ces expériences d’ordre psychologiques, aussi dures soient-elles ont été d’un grand secours pour me réveiller, un catalyseur pour mon évolution de conscience.

 

 

C - On peut se déprogrammer de nos programmes SDS.

 

Quoi de mieux que les expériences et la prise de conscience à l’appui de mes lectures comme Krishnamurti à l’époque pour commencer à se réveiller.

Je ne conseille pas forcément Krishnamurti, c’est compliqué à lire, un peu mental mais il m’a amené à me poser les bonnes questions sans me donner les réponses. Les réponses, j’ai fini par les trouver en moi et maintenant, c’est plus facile encore à comprendre avec le réseau Léo. Je m’appuie sur cet enseignement du réseau Léo qui, à ma connaissance, est le plus pertinent à ce jour même si je ne suis pas d’accord sur certains points non essentiels. Cet enseignement me fait progresser dans mes prises de conscience et c’est cela l’essentiel. 

Alors Oui, pour ceux qui douteraient, on peut se déprogrammer des programmes SDS. C’est une certitude ! Je pense que mon témoignage est important. Penser ou croire que l’on peut se déprogrammer en lisant ou en écoutant les autres ne suffit pas, il faut le faire, il faut le vivre, en mesurer les résultats et c’est cela l’intégration de la connaissance. Et il faut en passer par là pour prétendre commencer à cheminer en voie SDA.

 

 

D - On peut se déprogrammer de nos croyances SDS.

 

Les croyances SDS vous enchaînent dans l’egregore de la matrice 3D, dans votre prison et c’est un immense frein pour notre esprit créatif. Certaines croyances génèrent un manque de confiance en soi et nous induisent des doutes.

J’ai expliqué comment j’ai pu me déprogrammer d’un grand nombre de croyances. Voir message 27 - Le jugement, les croyances, le scientisme – paragraphe G à H.

 

Je vais prendre un exemple concret pour expliquer ce que sont ces croyances SDS.

Combien de fois ai-je entendu cette expression populaire à l’encontre des autres et de moi-même.

Cette expression est la suivante :

« Tu es toujours aussi con, tu ne changeras jamais ! »

 

Quand dans votre jeunesse, vous entendez cela à de nombreuses reprises venant de personnes différentes, vous finissez par y croire, vous finissez par douter de vos capacités, vous finissez par perdre confiance en vous. C’est ce qui m’est arrivé mais je suis loin d’être le seul.

Cette croyance comme toutes les croyances est erronée, sans fondement, dangereuse, néfaste pour notre évolution de conscience, pour notre esprit créatif. C’est mon expérience évolutive encore qui m’indique que cette croyance est erronée. Tout le monde peut évoluer, grandir en conscience, devenir plus intelligent, c’est-à-dire tendre vers plus de conscience SDA.

 

Citation :

[…] La 5ème densité, même si elle englobe les vibrations de la 3ème densité, deviendra une dimension de création exprimée par la conscience supérieure, et ceci seulement lorsque nous serons libérés de nos croyances limitantes. […] (Dialogue N° 10).

 

 

D- Les communautés de lumière.

 

Citation :

[…] De cette façon l'humain perdu dans sa recherche spirituelle, va à la recherche d'une porte de secours pour trouver de l'aide. Il est ainsi attiré par l'idée d'une collectivité spirituelle, afin de "s'en sortir ensemble". Fleurissent alors dans certains endroits sur la planète, des lieux appelés "communauté de lumière ou îlot de lumière".

Même si certains de ces lieux ont une existence légitime et honorable, beaucoup d'autres sont administrés par des personnages complètement noyés dans leur propre illusion égotique. Sous des prétextes de co-création avec des entités angéliques, qui ne sont en fait que des illusions sortie de l'astral, ces personnages à coups de pendules co-créatifs se permettent d'exploiter leurs semblables à des fins personnelles. Ces îlots de lumière ne sont finalement qu'une version moderne des ghettos du Nouvel Ordre Mondial qui mettent en scène les bourreaux et les victimes du "New-Age". […] (Dialogue N° 27)

 

Je vais être encore plus critique dans mon approche sur ces communautés Amour et lumière, bio-écolo et d’éveil spirituel etc... Je n’en ai cependant jamais fréquenté physiquement.

Je dirais que toutes ces communautés ne peuvent aboutir qu’à des guéguerres d’ego tôt ou tard, qu’à un cheminement sectaire et que tout cela ne peut conduire qu’à un échec retentissant. Il est, je dirai, mathématiquement impossible de cheminer en voie SDA dans ce style de communauté.

Pourquoi ?

Parce que la première condition pour que cela réussisse demande d’abord d’Être et non de vouloir faire. L’équipe Léo le dit et je suis absolument d’accord.

 

Être, c’est notre partie SDA qui s’exprime et qui est aux antipodes du vouloir faire. Ce n’est pas du tout le même monde. Pour Être, il faut préalablement et obligatoirement commencer par se déprogrammer de nos programmes et croyances SDS, ne plus être dans les peurs, dans la recherche de sécurité, dans l’attachement, la culpabilité, dans la dépendance à l’argent et aux biens matériels.

Connaissez-vous des communautés de lumière qui ont intégré et appliqué le fait qu’il fallait d’abord apprendre à Être avant de vouloir faire ?

Je n’en connais pas personnellement mais toutes finissent en queue de poisson avec des batailles d’ego. Cela veut tout simplement dire que ces communautés n’ont pas intégrées cette chose essentielle qui est d’apprendre à Être avant de vouloir faire.

 

Au début, pour être honnête, je ne croyais pas à ce projet d’ECOLEO sous forme de communauté pour les raisons citées ci-dessus. Pourtant, je l’ai souvent rêvé et je ne suis pas le seul parmi les lecteurs. 

Je sais que les écoles ECOLO existent sur d’autres plans vibratoires avec des niveaux de conscience bien plus élevés que les nôtres même si je n’ai pas de remontée de mémoire précises à ce sujet. Je sais que c’est réel quelque part et que ça marche ! Il n’y a pas qu’une seule dimension vibratoire comme la nôtre, il y en a à l’infini et dans des densités différentes. Il y a beaucoup de place pour celui qui désire grandir en conscience.

 

Ce qui me pousse à adhérer favorablement à cette idée de communauté, c’est que me suis rendu compte qu’il était impossible tout seul, isolément, de se défaire d’une grande partie des croyances, des programmes SDS, des peurs, du karma etc…. Je dirais que compte tenu de l’efficacité de cette matrice générée et gérée par la prédation hyperdimensionnelle, c’est une tâche impossible.

 

Alors, l’ECOLEO, cela pourrait être une expérience fabuleuse à condition d’avoir commencé à travailler sur soi, non par les paroles, mais par les actes. Les résultats concrets sont les bienvenus. Beaucoup se précipiteront vers cette ECOLEO parce qu’ils exprimeront l’envie de vivre en communauté, de cheminer en voie SDA, parce que ce sera plus amusant, plus distrayant et exaltant. Mais n’y a-t-il pas des mobiles secrets qui se dissimulent et qui nous poussent à rentrer dans une communauté ? 

Besoin de sécurité, désir de fuite, d’affection, de ne plus être seul etc…. Et lorsqu’il y a ce genre de mobiles secrets, il y a forcément le prédateur caché pas très loin derrière.

 

L’exemple de GéGé est particulièrement révélateur. Je comprends parfaitement l’état d’esprit de GéGé, je dirais même que quelques années en arrière et peut-être encore maintenant, j’aurais certainement agi comme lui, je suis aussi lui quelque part mais sans les sous. GéGé, sans le vouloir consciemment a donné une bonne leçon à l’équipe Léo et il est nécessaire de toujours en retirer les enseignements. Ce n’est pas une attaque de mon prédateur de ma part, non, bien au contraire. Je m’exprime avec ma partie SDA et avec cette partie, il n’y a pas de prédateur derrière, il y a ce besoin d’établir la transparence, la clarté, l’échange. C’est un échange et dans un échange, on confronte nos points de vue, on est d’accord ou pas, ce n’est pas un problème, au contraire, c’est dans nos points de vue différents que peut jaillir plus de compréhension, c’est un moteur d’avancement. Il ne faut pas craindre de montrer tout désaccord à partir du moment où on l’exprime avec notre partie SDA, ou l’on exprime notre vérité avec respect. Je sais que l’équipe Léo comprend parfaitement cela.

 

Concernant notre ami GéGé, j’ai regardé à nouveau partiellement les vidéos. Je remarque qu’il a une grande ouverture d’esprit, il reconnaît ses peurs, ses erreurs, il se fait passer pour un candide, se mets en mode apprentissage, il flatte beaucoup, surtout Hélène mais explique-t-il comment s’est-il déprogrammé de ses programmes SDS, de ses croyances SDS, de son karma, de ses dépendances psychologiques, de sa dépendance à l’argent ? Peut-être mais je ne l’ai pas remarqué dans les vidéos. Il parle beaucoup de sciences, d’orientation écologique, d’iode et d’argile verte mais il ne dit pas tout et cela, je l’ai remarqué et je peux le comprendre face à la caméra. Moi aussi, je ne peux pas tout dire sur le réseau internet. J’ai détecté chez lui beaucoup de croyances scientistes, c’est mon domaine aussi les sciences. Il est un scientiste avant tout de par sa formation et il est aussi un scientifique. C’est un technicien aussi, il a un esprit créatif et j’ai appris des choses intéressantes avec lui.

 

Il faut comprendre aussi que lorsque que l’on a de l’argent, c’est plus difficile de s’en séparer que lorsque l’on n’en a pas mais faire don d’argent, c’est aussi une très grande initiation. Cependant, toute donation faîte avec son cœur doit être exempte de toute contrepartie et là, à mon avis, il a raté quelque chose d’essentiel pour son évolution de conscience. Il a été rattrapé par ses peurs, ses doutes, par sa recherche de sécurité, par l’angoisse d’aucune garantie de retour affectif, par ses alter prédateur. 

 

C’est le lot de tout le monde et moi y compris Ce n’est pas un jugement, une condamnation, c’est un constat de ma part et je peux aussi me tromper. Se faire conseiller par son notaire ou ses amis thérapeutes ne pouvait que le conduire à démissionner du bureau. 

 

J’ai été surpris par le manque de vigilance de l’équipe Léo alors qu’ils sont spécialistes dans le domaine de la prédation hyperdimensionnelle. Tout le monde fait des erreurs, moi le premier. Hélène et Nina avaient cependant entendu le signal d’alarme comme quoi du monoxyde de carbone CO se répandait dans la pièce. Sandrine et Jenaël aussi à mon avis. GéGé n’était manifestement pas encore prêt à faire le grand saut dans l’inconnu comme beaucoup d’autres.

 

GéGé, je l’aime bien cependant, il a un côté altruiste, il aime aider financièrement mais il y a quelques conditions cachées à cela. Eh Oui, l’argent, c’est le pouvoir sur ce monde et c’est un grand frein pour cheminer en voie SDA si on s’y accroche et si l’on s’en sert pour dominer ou manipuler les autres même avec un enrobage SDS+. En a-t-il suffisamment pris conscience et a-t-il intégré les remarques de l’équipe Léo ? On les connait ces conditions : Se faire aimer, apprécier, être reconnu, avoir un retour d’affection ou plus encore. Ou sont les actes concrets indiquant qu’il a entamé un réel travail sur lui ? C’est cela qui me semble important pour entrer dans le bureau de l’ECOLEO.

 

 

E - Critères d’admission au bureau de L’ECOLEO.

 

Je ne partage que mes idées, mes points de vue, je sais que l’équipe Léo a déjà pensé en très grande partie à ce que je vais dire mais je vais exprimer ces points pour les lecteurs du réseau Léo, pour les associer à cette réflexion. Il y a ceux qui lisent, il y a ceux qui lisent et qui répondent de temps en temps comme Mireille, Coka, Ikam, Nicole et bien d’autres. L’important est de lire et d’avoir les bonnes réponses en soi. Je dirais donc que pour être admissible dans le bureau de l’association, il y a, il me semble, quelques conditions nécessaires à intégrer.

Cela va peut-être vous choquer mais pour être admissible au bureau de l’ECOLEO, il y a quelques critères à respecter, à intégrer et je rejoins la fermeté de Jenaël.

 

Il ne faut jamais s’emballer dans tout projet, il faut savoir dans quel état d’esprit on le fait, il faut envisager d’entrée toutes les difficultés en sachant que les difficultés ne sont pas insurmontables. L’énergie d’exaltation n’est jamais la bonne énergie pour la réussite d’un projet quel qu’il soit !

Il faut satisfaire à un examen de passage. Et la difficulté réside dans les critères d’admission car ils sont difficiles à vérifier. Il ne suffit pas d’apporter de l’argent, d’apporter ses connaissances spirituelles et spécificités diverses, il faut savoir pourquoi on apporte tout cela, dans quel état d’esprit on le fait. Esprit SDA ou SDS ? 

Cet argent, c’est un don et chaque membre du quorum doit en déterminer l’utilisation par un vote. Cela est un fonctionnement SDA.

L’argent du donneur ne lui appartient plus, il est mis à disposition de l’ensemble du bureau.

 

Il faut que les personnes entrantes au bureau aient ce profond désir d’évoluer en groupe dans la voie SDA et qu’elles renoncent à leurs désirs personnels. Il faut qu’elles aient acceptées, intégrées de faire ce grand saut dans l’inconnu. Un but commun consistant à la consécration de son évolution de conscience, d’un travail personnel soutenu, régulier et cela en groupe. Chaque participant doit avoir ce même but, cette même aspiration. Je dirais qu’il n’y a aucune hiérarchie à instaurer, qu’elle soit d’ordre spirituelle comme le maître, financière ou autre. Il y a un quorum ou chaque voix compte d’une manière égale, ou le nombre minimal de voix doit être requis pour qu'une délibération puisse être validée.

 

Il faut bien comprendre que l’union fait la force à condition d’aller tous ensemble vers un même objectif, une même aspiration. Sinon, c’est le contraire qui se passe, les forces deviennent contraires et c’est l’échec de la communauté. Plus personne ne doit tirer la couverture à soi mais chaque membre doit soutenir la couverture en cercle en la brandissant bien haut comme un symbole d’unité. Et sur cette couverture, il est inscrit : ECOLEO.

 

Alors je pensais à une lettre d’engagement, à un protocole d’admission précis réalisé par un ensemble de personnes comme un quorum stipulant les engagements à respecter et les comportements soumis à exclusion. Le contractant signerait cette lettre en en mesurant toute les implications comme faire le grand saut dans l’inconnu, en prenant le temps nécessaire avant de signer avec la mention « Lu et approuvé ». 

 

 

F - Intégration de l’échec.

 

GéGé demandait une reconnaissance de dette au cas où le projet ECOLEO échouerait.

Je vais peut-être choquer encore mais il faut intégrer cette notion d’échec temporaire d’entrée dans le protocole d’admission.

Pourquoi ?

L’échec n’est pas quelque chose de négatif, il doit être perçu comme temporaire et non définitif. L’échec fait partie intégrante de la réussite. Il faut souvent de nombreux échecs pour réussir et il est évident qu’il y aura des échecs puisque nous sommes immergés dans une matrice SDS mais il faut prendre ces échecs comme un moteur d’évolution, quelque chose d’utile et nécessaire pour devenir encore plus fort.

 

Imaginons une cabane sur une île pour nous abriter et construite par chacun d’entre nous. On fait une première cabane et puis un vent de 100 km/h arrive et détruit notre cabane. Nous pleurons tous en rond de désespoir sur cet échec puis nous décidons d’en construire une autre plus solide. Nous reconstruisons la cabane en tirant les leçons de ce premier échec. On refait la cabane plus à l’abri, plus solide mais une tempête avec des vents de 200 km/h arrive et détruit la cabane. On ne pleure plus, on se dit, on n’a pas encore tiré toute les leçons. On réfléchit un peu plus. On dit tous ensemble : On va la refaire cette cabane, avec des matériaux plus souples, une forme plus aérodynamique en tenant compte des vents dominants ! Un ouragan du style Géraldine arrive et la cabane a résisté. C’est pour dire que les échecs enseignent et donc il ne faut pas voir l’échec comme une catastrophe, une fatalité,  comme une chose épouvantable et en faire une dépression. Il ne faut jamais baisser les bras et il faut envisager l’échec, et là je pousse le bouchon un peu loin, mais il faut envisager l’échec comme une bénédiction.

 

Il ne faut jamais avoir peur de l’échec, l’ignorer, c’est encore un concept New-Age comme avoir la confiance aveugle ou inconditionnelle en autrui.

Partir dans l’idée que ça va être un échec, c’est ne pas partir du tout, mais envisager qu’il puisse y avoir un échec, c’est l’intégrer au départ. Tout échec constitue un jalon de la réussite, il ne faut pas voir l’échec comme une fatalité, un renoncement mais comme un apprentissage. 

 

L’échec fait partie de l’école de la réussite, renforce la réussite. L’échec enseigne énormément, c’est un facteur qui conduit à la réussite. Il ne peut pas y avoir une solide réussite sans échec. Il faut intégrer d’entrée que tout échec partiel se manifestera et sera un très grand apprentissage pour se renforcer. Celui qui n’a jamais subi d’échec peut difficilement comprendre ce que je dis.

 

Ainsi, il n’y aurait pas de lettre de reconnaissance de dette à présenter par celui qui apporte les finances dans le cas ou la communauté ne marcherait pas, ou il y aurait un échec, ou au cas où. Les contractants s’engagent à un travail sur soi continu et assidu, il en va du salut de leur âme, ce n’est pas une contrainte pour eux, c’est une bénédiction.

Ce travail personnel réalisé en groupe demande une totale transparence, le dévoilement de ses mobiles les plus secrets, le démantèlement de son karma, la déprogrammation de ses peurs, de ses programmes SDS d’attachement, de culpabilité, de prédateurs d’énergie en tout genre, de dépendance psychologique aux autres et cela demande effectivement d’avoir confiance entre nous mais pas une confiance aveugle.

 

Par contre, je n’ai jamais pensé un seul instant que Jenaël puisse être un guru, pas plus que Sandrine ou Hélène.

Pourquoi ?

Parce qu’un gurou est un programmeur mental avant tout.

Le monde pullule de gurous de tout poil à tous les coins de rue, dans la politique, les médias, la télévision, dans le vente, dans la publicité, dans la spiritualité, dans l’enseignement etc… Je ne suis pas spécialiste des gurous en spiritualité mais ils ne parlent jamais, à mon avis, des entités hyperdimensionnelles prédatrices qui nous pilotent et se nourrissent de nos énergies, ils ne disent pas comment se déprogrammer du karma, de nos programmes et croyances SDS etc…Ils n’aiment pas que l’on critique leur enseignement, que l’on relève des contradictions. Ils ne disent jamais comment se libérer de notre prison comme le fait l’équipe Léo.

Le réseau Léo est tout le contraire de cela et c’est bien ce qui m’a attiré sur ce site, la déprogrammation à la matrice 3D. D’ailleurs, ils sont dans le même processus que Krishnamurti quelque part, la déprogrammation avant tout.

 

 

G - Quelques difficultés à relever dans le cadre de l’ECOLEO.

 

Je pense que l’équipe Léo y a pensé et je vais lister quelques difficultés à surmonter dans une communauté qui désire cheminer dans la voie SDA.

Pour commencer, je remarque que personne n’a le même niveau de conscience et c’est normal, chacun de nous est unique et il y aura forcément ceux qui avanceront plus vite que les autres, soit par leur plus grande motivation, soit par un plus grand acquis de par leurs fractales d’âme et d’autres qui resteront plus en arrière. Ce qui est important, c’est que chacun puisse évoluer de manière soutenue à son rythme.

 

C’est comme dans une grande école, il y aura ceux qui seront en CP et ceux qui seront en terminale sauf qu’en plus, nous serons tous des adultes et pas des enfants d’âge différent. Il faudra encourager ceux qui se sentiront largués par rapport aux autres, Il y aura encore ce qui chercheront à vouloir faire, ceux qui ne feront pas les efforts nécessaires. Il y aura des cours théoriques sur des thèmes bien précis et des cours pratiques en groupe pour vérifier la compréhension et l’intégration de ces cours. Chacun aura intégré un niveau de responsabilité conséquent. Chacun aura des spécificités, des facilités dans un domaine comme évacuer les peurs, d’autres dans le démantèlement des croyances, d’autres dans la résolution du karma et la psychologie. Mais il ne faut pas que cela reste une spécialisation, il faut s’ouvrir aux autres domaines à tour de rôle. Ne pas bouder certains domaines en prétextant que ce n’est pas mon truc, que ça me rebute comme les sciences par exemple mais avoir une ouverture d’esprit pour s’intéresser à d’autres domaines. Les préjugés sur un domaine particulier, les doutes sur notre apprentissage sont des freins à l’ouverture d’esprit et à la connaissance.

Certains diront, c’est impossible, ça ne marchera jamais. Si j’étais parti de ce principe, je n’aurais même pas pu m’ouvrir au réseau Léo et vous écrire tout cela en ce moment.

 

Dans cet état d’esprit SDA, il devient absurde de se comparer les uns aux autres et de porter des jugements. La prédation hyperdimensionnelle est encore présente sur chacun de nous, nous sommes donc fragile et il est nécessaire d’avoir cette vigilance de tous les instants. La confiance là-dedans, je dirai que c’est essentiellement d’avoir confiance en soi, c’est primordial, être convaincu que l’on peut se déprogrammer, que l’on peut évoluer et grandir en conscience. Avoir confiance les uns envers les autres, je dirais Oui, il faut bien sûr partir avec cette optique, sur ce principe, c’est une évidence mais il faut toujours rester vigilant, connecté à son soi supérieur qui nous donnera toujours l’intuition d’un danger éventuel, il ne faut pas faire une confiance aveugle parce que l’autre étant encore soumis à la prédation hyperdimensionnelle peut nous dévier de notre chemin même s’il n’en a pas conscience. Tout le monde peut chuter du jour au lendemain étant encore sous l’emprise du prédateur et donc la confiance aveugle ou inconditionnelle n’a pas de place, elle a sa place dans les communautés de lumière style New-Age puisque le guru exige cette confiance aveugle.  La confiance aveugle se manifeste lorsque nous sommes coupés de l’intuition, de notre soi supérieur. La personne va dire que je doute d’elle, je dirais non, je ne doute pas de la personne, de ses potentialités SDA, on peut simplement l’alerter de l’emprise de son prédateur sur elle. 

 

 

H - Réseau Léo virtuel ou ECOLEO réel.

 

Je vais comparer ces deux modes en dégageant les avantages et inconvénients.

Le réseau Léo virtuel avec ses enseignements, ses vidéos comme nous le connaissons perd en interactivité mais touche plus de monde. L’ECOLEO réel, physique est forcément plus interactif mais touche moins de monde, c’est un cercle restreint. Les deux sont utiles et à mener en parallèle.

Cependant, une même pensée s’exprimera autant dans le virtuel que le réel. La source pensée est la même et sujette à la prédation dans un cas comme dans l’autre. On ne peut pas dire que le virtuel est mieux que le réel ou vice versa, c’est différent, complémentaire. Il est vrai que c’est plus sympathique de se retrouver ensemble, de se voir en chair et en os mais c’est aussi plus difficile. Si on voit une personne obèse, trop maigre, trop vieille ou trop jeune, avec un accent ou la façon de s’exprimer qui nous déplaît, on peut avoir tendance à avoir des à priori, des préjugés, des jugements. Ces choses ne transparaissent pas dans le virtuel mais risquent de se manifester immanquablement dans le réel. Il faut donc voir au-delà du physique, voir la personne en tant qu’âme, c’est encore une autre difficulté à surmonter. Quand c’est virtuel, on a l’impression qu’il manque quelque chose, que c’est froid, distant et on a envie de se retrouver, de faire une équipe, c’est tout à fait humain mais je dirais que c’est encore plus difficile. Au niveau virtuel, on ne dit pas tout, on se restreint dans nos échanges sur le réseau internet car d’autres oreilles non éveillées peuvent lire et donc on se restreint dans l’échange.

Dans le réel, les échanges sont plus profonds mais plus restreints de par le nombre de personnes impactés.

Cette histoire d’école ECOLEO me passionne quelque part, c’est aussi mes quelques rêves qui s’expriment.

Dans cette ECOLEO, il y a l’implication d’une plus grande responsabilité, on doit se responsabiliser sur sa propre évolution mais aussi sur l’évolution des autres. Chacun est amené à avoir une approche commune et infaillible et c’est aux antipodes du fonctionnement dans la matrice 3D.

Quelque part, il faut surmonter l’insurmontable, notre planète est de toute façon en péril. Surmonter l’insurmontable, c’est ce que j’ai fait quelquefois et c’est comme cela que l’on avance. Le réseau virtuel risque de disparaître à terme et donc, je pense que cette ECOLEO est une bonne idée, surtout dans la conjoncture actuelle d’effondrement financier, économique, sociétaire confirmant cette fin de cycle. Cela pourrait même aider à faire ce grand saut dans l’inconnu.

 

Être, c’est notre partie SDA qui s’exprime, c’est la transparence, l’écoute, la vérité, le respect de soi et des autres, c’est devenir créateur, c’est être dans l’instant présent, c’est apprendre à Être ensemble avant de vouloir faire ensemble, c’est apprendre à redevenir au service d’Autrui, c’est apprendre à s’accepter et accepter l’autre et nous amener à la vibration neutre du pardon. 

C’est accueillir l’Ange en soi, c’est devenir enseignable, c’est s’abandonner à notre Être intérieur qui se dévoile et nous guide, c’est être capable d'accepter de retrouver la souveraineté de son Être intérieur, c’est embrasser la Connaissance.

C’est aussi retrouver la complétude féminin/masculin, c’est devenir intègre, c’est avoir le courage d'acter et d'assumer chaque prise de conscience, c’est apprendre à utiliser nos ressources intérieures, c’est retrouver sa liberté d'Être. Être, c’est révéler notre Etre intérieur, c’est accepter d'accueillir l'Être multidimensionnel que nous sommes. 

C’est encore être en connexion avec son soi supérieur, c’est l’amour inconditionnel qui s’installe petit à petit, c’est l’amorce de cet inconnu, cet inconnu qui nous donnera une confiance inébranlable et une joie profonde et permanente.

C’est notre bulle de Paradis sur terre qui se forme, une bulle protectrice, une bulle magnétique qui enveloppe le lieu qui se constitue par nos vibrations et qui empêche la prédation hyperdimensionnelle de s’infiltrer dans cette ECOLEO. 

 

Une bulle magnifique qui se forme par l’élévation vibratoire de chacun d’entre nous, nous créons tous par nos énergies cette bulle de protection, il peut s’y former des trous si l’un d’entre nous est rattrapé par les peurs, le doute. L’entraide pour maintenir ce dôme de protection est donc essentielle tant que l’on est encore soumis à la matrice hyperdimensionnelle prédatrice en 3D.

 

François Y. (Inscrit au cénacle - dépt 09)

 

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29 Apprendre à Être avant de vouloir f
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Commentaires: 1
  • #1

    Vyninho (dimanche, 14 octobre 2018 19:12)

    Bonjour François et au réseau Léo!
    Même si cela va être répétitive, je veux redire en gros comme l'a déjà fait le réseau Léo:
    On est à une étape ou les choses se bousculent, et que chacun fasse son travail pour être admissible aux enseignements léonines sda.
    Ceux qui veulent se rendormir ou rebrousser chemin, pas de souci, tout le monde en prends pour son grade surtout celui qui n'a pas un certain potentiel de fibre sda en lui.
    Le réseau Léo n'est pas une thérapie ou un salon de decompression, c'est pour moi déjà une école de mystère et on l'a construit d'instant en instant avec les élèves/ candidats du moment.
    A nous de la faire vivre ensemble, elle se communique par la physique quantique donc au delà des frontières terrestres ou bien dimensionnelle dans/ par nos rêves, par nos fractales, par notre ouverture de conscience, par notre pouvoir créateur...

    Tout est une histoire d'interprétation sur ce qui ce passe dans notre vie ( la prédation y règne fortement pour certains qui ne sautent pas dans l'inconnu et qui se cachent dans les expériences des autres sans l'intégrer physiquement).

    C'est en expérimentant comme l'a fait le réseau Léo, qu'on peut apprendre, en tiré des leçons, qu'on peut voir des gens rentré dans le réseau et en sortir par la petite porte. Et cela arrive aussi bien dans notre vie quotidienne.

    Felicitations François ! tu as très bien remis les choses dans le contexte, donner des exemples comme à l'habitude et en donnant toujours ton opinion...
    Tout le monde peut être repris par la prédation hyper dimensionnelle, mais en gros lorsqu'on a certains niveau de conscience / connaissance, on arrive à ressaisir et donc reconnaître les choses qui nous limitent à notre cheminement ( on se réaligne automatiquement comme tu l'as si bien fait François).

    Mon avis en rentrant dans le reseau Léo ou en cheminement sda, on sait qu'on va recevoir des claques, qu'on va souffrir ( la souffrance du début pour certains qui permet de séparer les voies de chacun).
    Le réseau Léo et ceux qui font un gros travail sur eux même, grandir tout le temps en connaissance/conscience/un niveau vibratoire qui permet de reconnaitre ceux qui sont piégés par leurs prédateurs et programmes, attaquent inconsciemment le réseau.
    L'essence sda donne cette compréhension de l'exigence, la qualité, car c'est tellement devenu la norme vibratoire du moment, voir vital pour l'équilibre du réseau ( prototype d'école des mystères).
    Echange d'information, de connaissance, d'energie, de travail individuel et collectif.
    Il faut avoir cette confiance en soi, cette foi, à faire face à l'inconnu, à travailler sur soi, sur ses PEURS...
    Quoi qui ce passe! Ce sont des leçons, malgré les événements, les choses qui nous déplaisent, juste en tirer leçon et appliquer la connaissance nous permets de nous aligné avec notre soi supérieur, ça paraît simple pour celui qui ose se remettre en question ou bien celui qui à bien travaillé sur lui même.

    En conclusion, vivre sans effort comme dirait Krishnarmurti, c'est atteindre un certain niveau sda pour pouvoir continue sa quête avec cette foi inaltérable que tout est possible, que tout est simple, que tout est là juste pour apprendre...
    Car l'âme agît, il n'y a rien à contrôler, mais être pour qu'on attire ce qui est.
    Cette foi en sautant dans l'inconnu, dans la création d'une école - lieu ou autre pour cette fin de cycle.
    Revenons à l'essentiel, il n'y a rien à anticipé, seulement de faire ce qu'on doit faire suivant notre essence, voir de pré-faire, car tout arrive pour notre évolution et tout évolue. On est les créateurs du nouveau monde.

    Bon travail à tous dans la nouvelle Terre !
    Vyninho.