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1) L’école SDS.
(MimiDam) Lors de notre arrivée à Roquefort de Sault nous apprenons que le nouveau directeur de la seule école du coin est le fils de notre propriétaire. Tiens tiens, alors que l’on se posait sérieusement la question de mettre ou non Gabrielle à l’école (SDS), voilà que notre supra-conscience nous guide vers ce schéma. On nous fait comprendre que d’inscrire Gabrielle à l’école d’Axat permettra d’atteindre le quota et ainsi le sauvetage de l’école.
Nous décidons de vivre cette expérience proposée par notre guidance et inscrivons Gabrielle au mois de juin 2018, correspondant à la fin de l’année scolaire dernière, date à laquelle nous emménageons dans la maison Audoise. Durant tout l’été nous réfléchissons à ce choix et au fur et à mesure des intégrations de nos mémoires et des libérations que cela générait, on sentait que l’expérience de l’école devenait inutile.
En effet cet été fut très riche en reconnaissance karmique. La conscience que nous avons au moment de la rentrée est plus riche et plus ouverte que celle que nous avions à l’inscription. Cependant nous actons cette expérience qui est utile, afin de savoir de quoi on parle, pour nous permettre ainsi de trouver l’équilibre. Le premier jour est intense et après quelques pleurs nous «laissons» Gabrielle à l’école (SDS). Gabrielle connaissait le directeur et son fils qui est lui même inscrit, de plus elle a visité l’école plusieurs fois avant de faire la rentrée et nous parlait de l’école avec un sentiment de joie où elle se sentait grande d’être écolière. Alors pourquoi ses pleurs ? Nous appliquons la connaissance et nous nous questionnons de la leçon à intégrer. C’est l’occasion de faire le point et finir de couper quelques liens d’attachement. Il est décidé qu’elle ira un jour sur deux et que le matin, car elle n’a pas trois ans et elle pourra ainsi s’adapter. Lors de notre premier bilan nous comprenons que c’est notre rapport au patriarcat qui se finalise ici. Alors que nous avions mis en lumière nos attaches à celui-ci, il convenait de constater qu’il était partout et que l’école (SDS) est l’une de ses tentacules les plus conditionnantes. Au travers de cette rentrée nous pouvions intégrer la prise de conscience de son utilité et ainsi finir d’intégrer son enseignement.
(Damien) Je sentais une dissonance dans le fait d’imposer à Gabrielle un cadre éducatif alors que nous étions en train précisément d’en sortir. Je voyais également la nécessité de faire cette expérience alors pourquoi cette contradiction. Je comprenais que certaines prises de conscience n’étaient pas finalisées et que cette expérience est un moyen qu’a trouvé notre supra-conscience pour nous faire comprendre l’envergure, la profondeur et l’origine de nos conditionnements pour ainsi mettre en lumière la totalité de cette emprise patriarcale.
Il était temps d’assumer nos choix et ainsi trouver l’équilibre afin d’accueillir l’inimaginable.
Plus rien ne peut désormais nous enfermer car avec cette expérience, nous avons intégré la vibration de l’équilibre et nos prédateurs ont ainsi compris et deviennent ainsi ouvert au changement inconnu. Voilà pourquoi notre guidance nous a mené vers ce schéma où les prédateurs étaient obligés d’expérimenter car c’est le seul moyen pour eux d’intégrer véritablement la leçon.
L’acceptation de cette expérience a permis d’intégrer toute l’utilité de ce patriarcat et de son enseignement et c’est porté par la conscience de son équilibre que nous pouvons sortir de cette école SDS et être SDA enseignable.
(Mimi) Comme l’explique Damien cette expérience m’a permis de finaliser ma sortie de cette cage dans laquelle je me débattais sans comprendre le message ou l’enseignement qu’elle me donnait. Il s’agissait de se calmer et d’essayer de comprendre pourquoi je suis en cage et ce chemin fut réellement entrepris depuis que je suis en binôme avec Damien et plus encore depuis notre arrivée sur le réseau Léo. J’ai alors commencé à faire un véritable choix celui de la voix SDA. Cela m’a menée à me révéler et c’est maladroitement et avec cette envie de bien faire que j’ai voulu l’acter en coupant abruptement avec les relations que je voyais comme énergivores et m’empêchant de chercher en moi la vérité. Je compris au vu de la violence des premiers retours que je faisais les choses à l’envers cependant cela fonctionne aussi mais il convient d’être motivée. Je commençais à comprendre les dégâts qu’avaient occasionnés cette emprise non comprise. Je travaillais alors ardemment à la reconnaissance de mes mémoires karmiques qui ont permis d’intégrer réellement l’enseignement de ces attachements qui me donnaient l’illusion d’exister. Petit à petit je sentais les liens en moi et je comprenais alors que ce sont ceux-là qu’il me fallait couper. Cependant et alors que j’avais pris le temps d’expliquer à ma mère mon choix SDA et que j’avais constaté qu’elle acceptait celui-ci, je reçois une lettre d’elle qui s’inquiète pour moi et qui se demande si cela est mon choix personnel et que ce n’est pas en cessant toute relation avec ma famille et amis que je pourrais m’en sortir car cela me mènera à la dépression. Je comprends que son prédateur surfe encore sur ma maladresse d’avoir voulu couper les liens extérieurs alors qu’il convenait de le faire à l’intérieur.
Je me lance donc dans la rédaction d’une lettre où je précise cette maladresse et qu’il ne s’agit pas de ne plus la voir mais d’avoir un nouvel échange véritable si elle le désire et que ce choix est fait en mon âme et conscience.
Voici maintenant le récit de la matinée où j’ai envoyé cette lettre et des signes évidents qui ont permis la sortie des lionnes de leurs cages.
a) Prémices :
Déjà la veille au soir quand je dis à Gabrielle qu’il faut qu’elle s’endorme rapidement car le lendemain il y a école elle me réponds «oh c’est pas encore fini !» je ressentais qu’elle me montrait mon incohérence, en effet je n’aimais pas l’emmener à l’école mais je m’étais engagée et avec toute cette pression autour de moi je me laissais persuader que c’était bon pour elle comme pour moi !
Sur la route de l’école on se retrouve par deux fois derrière des voitures qui freinent sans arrêt et klaxonnent à chaque virage, montrant leur peur et leur sentiment d’insécurité, finalement elle nous laisse passer devant. Je comprends que ces voitures me montrent ce que je fais actuellement, j’acte mon choix SDA et après je freine et reviens presque en arrière, mes peurs m’empêchent d’avancer car je les laisse prendre le dessus, voire je les nourris, je prends conscience que je laissais les commandes à mon prédateur, je le reconnais alors et quand je fais appel à ma supra-conscience je constate que la voiture nous laisse passer et nous sommes libérés de cette tension d’insécurité.
b) Sortie de la prison originelle :
Arrivés à l’école j’emmène Gabrielle jusqu’aux casiers et déjà juste devant la porte j’entends une dame qui parle de «prison», ensuite j’invite Gabrielle à aller voir la personne ou l’enfant avec qui elle s’entend le mieux pour éviter que sa petite moue se transforme en pleurs, elle va vers la dame qui aide la maîtresse, je m’apprête alors à sortir mais la porte est fermée à clé et la clé n’est pas dessus comme habituellement, je suis obligée d’attendre la maîtresse qui était occupée avec un autre enfant pour enfin sortir, elle m’explique que c’est pour la sécurité. Je comprends que j’étais dans une prison et que j’en sors.
c) Marché vers la nouvelle vie libérée :
Me voilà sur le marché je vais acheter des œufs, le monsieur part chercher la monnaie dans son camion et n’est plus visible à son stand, son voisin l’appelle à plusieurs reprises quand il revient avec la monnaie il me confie que sur ce marché il ne peut pas être tranquille et qu’il ne peut même pas aller pisser. Je comprends que mon prédateur ne me laisse pas tranquille et qu’il faut que je redouble de vigilance afin de le reconnaître dans ses multiples rôles. Ici la symbolique de l’œuf est celle de la vie où plutôt la nouvelle vie libérée.
d) La poste et communication juste :
Je vais ensuite à la poste pour envoyer la lettre à ma mère. Cette poste fonctionne aussi comme une prison , on ne peut y entrer et en sortir sans que le déblocage de la porte soit fait par la «douanière de la matrice».
Il y a plusieurs personnes et je patiente car je dois acheter un timbre. A chaque fois qu’une personne voulait sortir elle essayait d’ouvrir la porte sans succès jusqu’à ce que la douanière la laisse partir. C’est à mon tour, je demande un timbre pour le courrier que je lui tends, elle me pose alors la lettre avec le timbre en vrac dessus et je ne comprends pas tout de suite que le timbre n’est pas collé, c’est alors qu’elle me dit que c’est à moi de me débrouiller pour mettre le timbre. Et je comprends alors qu’une communication juste avec le prédateur une fois reconnu, mène à la sortie de la prison et donc à l’autonomie, en effet je peux sortir de la poste la porte est débloquée de suite.
Nous discutons ensuite de cette matinée et nous prenons la décision de faire sortir la petite lionne de sa cage école où elle y sera restée trois semaines, nous rugissons de bonheur tout au long de cette journée qui aboutit à l’écriture de ce récit.
e) Expérimentation d’une communication juste.
En fin de soirée je reçois un mail de mon frère qui m’impose sa venue dans 5 jours alors que j’avais décliné une première invitation un mois auparavant. Il explique qu’il s’impose un peu car ses disponibilités l’y oblige. Je ressens clairement une attaque du corpus sds à la lecture de son mail et je lui réponds que sa façon d’imposer sa venue ne me convient pas et lui formule clairement que je ne souhaite pas le voir. Sans réponse de sa part je décide de le joindre par téléphone et après une vive discussion j’accepte qu’il vienne, incapable de lui dire non. Après coup je comprends que je suis retombée dans le rôle de sauveur (me persuadant qu’il comprendrait la nécessité du travail de reconnaissance karmique pour libérer nos âmes). Je ressens à cet instant que je me suis mise dans un piège, j’ai peur, peur d’être jugée et incomprise par mon frère et je me sens coupable d’imposer à Damien et Gabrielle cette intrusion SDS.
Face à ces hésitations et peurs d’assumer mes choix Damien me pousse dans mes retranchements et m’invite à regarder à l’intérieur de mon Etreté les attaches par lesquelles la prédation passe avec autant de facilité. Je suis ballottée, un coup je suis trop dans l’extrême « moins » et je coupe sans faire le travail intérieur et un autre coup je suis dans l’extrême « plus » et me rattache pour essayer de recoller les morceaux. Il fallait que je trouve l’équilibre pour enfin trouver la communication juste et ainsi acter la leçon de la Poste. Je demande à ma supra-conscience de me guider et c’est là que je reconnais qu’il (mon frère) était Jean 1er de brabant, frère de Marie de Brabant et qu’il était venu sauver sa sœur en 1277 et juger Pierre de la Brosse et assister à son exécution.
Le lendemain notre supra-conscience nous mène jusqu’au restaurant du Grand Duc (Jean 1er de Brabant). Nous sommes accueillis malgré l’heure tardive mais le menu que l’on souhaitait prendre nous est refusé et nous dégustons alors le premier menu de la carte devant une fontaine abandonnée qui ne jaillit plus. On comprend rapidement que l’on a commencé la rencontre avec mon frère, en effet le restaurant le représente, le fait qu’il nous permette de manger signifie qu’il y a communication, le refus de la formule que l’on désirait signifie que notre choix ne sera pas accepté, la fontaine abandonnée signifie un émotionnel trop important sans jaillissement ou sans émotion qui permettrait de l’évacuer un peu. Nous discutons de ces signes pendant le repas et un jeune chat vient nous voir, il met même sa patte dans mon assiette. Je comprends qu’il représente la jeune léonine qui est en moi et son insistance me fait reconnaître mon choix SDA et me prouve que je suis bien accompagnée et qu’il faut oser mettre les pattes dans le plat. Au moment de partir nous apprenons que ce jeune chat est arrivé un jour au restaurant et que les propriétaires ne voulaient pas le prendre chez eux, cependant il est apprécié par les clients de part sa présence agréable et équilibrée.
En arrivant à la voiture Damien constate que l’attache droite du silencieux du pot d’échappement a cédé. La voiture représente notre chemin de vie et les deux attaches par lesquelles est suspendu le silencieux représente nos deux polarités du passé, puisque situées à l’arrière, qui permettent la bonne respiration du moteur. La droite correspond au masculin donc à Damien et plus précisément au passé de Damien dans lequel sa respiration a cédé créant un déséquilibre de nos polarités.
Il comprend que ce passé correspond à Pierre de la Brosse pendu après avoir été jugé par les barons et notamment le Duc Jean 1er de Brabant et cela confirme donc que l’histoire se répète et qu’il s’agit de le reconnaître pour sortir définitivement de cette boucle de rétro-causalité. Le lendemain je décide d’envoyer nos part-âges à mon frère afin de donner l’information, comment n’y avais je pas pensé plus tôt. Appliquer la connaissance et partager l’information reste le meilleur moyen de se protéger et c’est tout naturellement et simplement que je décide de convier mon frère au restaurant. J’étais soulagée de le voir dans un lieu neutre et je m’axais corps-âme-esprit demandant à ma supra-conscience de me guider tout au long de cette rencontre afin d’être dans l’équilibre et en accord avec mon choix du chemin SDA.
Pendant cette rencontre, les échanges furent intenses sous couvert de faux-calme, mon frère s’en prend à Damien à un moment donné, c’est à « sa sœur » qu’il parle…
(Damien) Je comprenais que son programme le poussait à ignorer mes explications et que c’était encore son côté bourreau sauveur qui s’exprimait, en effet il ne m’a pas permis de m’expliquer jusqu’au bout mais j’ai pu lui dire que c’est moi qu’il venait voir sous couvert de recadrer sa sœur. Il ne s’agissait plus de me juger et de me pendre mais bien de venir rattacher Mimi par la force et l’imposition. Si l’on compare ses affaires et son patrimoine d’autrefois mis en péril par Pierre de la Brosse aujourd’hui Mimi représente ce patrimoine cette fois-ci génétique qu’il a bien l’intention de conserver. Je ressens donc l’inutilité d’insister car le terrain est miné, je me contente de le renvoyer vers nos part-âges et arrive à faire passer l’information de notre façon de libérer nos âmes par le décodage des signes qu’elle nous met sur notre chemin, mais il tourne la langue des oiseaux en dérision et m’explique que le sens des mots sont dans le dictionnaire.
Devant autant de fermeture d’esprit le silence est de mise. Gabrielle ressentant l’ambiance oppressante se met à pleurer et veut quitter la table, ce que je fis et elle m’explique qu’elle est dérangée par la discussion avec tonton.
Après avoir pris l’air je réussis à revenir à table et finis le repas dans une ambiance plus calme et avec le recul je comprends que celui qui reconnaît ses mémoires peut s’en détacher, même si celui, avec qui elles sont liées, continue à agir sous le contrôle de son programme karmique. Je me suis senti soulagé d’avoir pu être présent dans ce moment qui aurait pu anéantir l’équilibre de nos polarités mais qui a permis au final le contraire. Mes rapports avec lui sont clairement mis en lumière et partagés afin de permettre de voir derrière le voile (pour celui qui le veut bien-sûr) et de sortir des programmes. Au début je trouvais ça dommage qu’il refuse d’ouvrir son esprit mais en réalité cela est certainement le plus juste et le temps existe pour celui à qui il en faut pour accepter. Bonne route et merci.
(Mimi) Face à mon frère, je me suis retrouvée à devoir me justifier, il se faisait le défenseur de ma mère. Nous avons ensuite discuté des part-âges sur le réseau Léo qu’il n’avait pas pu lire jusqu’au bout. Je souhaitais en parler avec lui cependant il me dit que cela fait partie de ma vie privée et que c’est gênant. Après quelques tentatives d’explications du sens de ces part-âges il finit par me demander pourquoi j’ai cité son prénom dans l’un d’eux, selon lui c’est ne pas respecter sa personne et sa vie privée. J’ai compris qu’il voulais encore me déstabiliser au lieu d’essayer de comprendre et d’intégrer l’information que je lui partageais. Impossible donc d’approfondir sur mon choix de la voix SDA. Notre échange selon lui pouvait se faire sur la pluie et le beau temps aussi. Malgré sa gêne d’aller au cœur du sujet, j’ai pu lui dire ce que je ressentais, ce que j’avais compris sur moi-même et ce qui nous entoure, mais je voyais bien que la prédation était là et je m’axais à chaque instant.
(Mimidam) Je me rends compte qu’être dans la communication juste c’est pouvoir partager sans être en réaction. Et pour communiquer avec les autres de façon juste, il est d’abord nécessaire de se connaître soi-même et de savoir communiquer avec soi-même, avec son en-je.
Au travers de cette expérience j’ai compris que s’axer corps âme esprit est la base d’une bonne écoute des informations qui me parviennent, de la plus subtile (légère et invisible avec les cinq sens) à la plus dense (lourde et visible avec les cinq sens) et que cela permet de reconnaître la prédation et les attaques SDS. Je sais qu’il est inutile d’attendre que la même information se densifie pour reconnaître la prédation et qu’il convient justement de parer l’attaque dès les premières subtiles informations pour rester dans la communication juste. Je comprends également la trilogie infernale bourreau-victime-sauveur qui m’impose d’être en lutte et que la trilogie corps-âme-esprit permet à la supra-conscience de nous guider hors de ces rôles avec sa vision aboutie des tenants et des aboutissants.
Merci pour cette expérience riche d’enseignement qui a mis en pratique ce qui n’était qu’une théorie jusque là. Cette voie SDA est vraiment libératrice, je le ressens encore un peu plus au fur et à mesure de mon apprentis-sage, jusqu’alors un peu brutal, car désormais je peux observer et parer l’attaque avant qu’il y ait trop de dégâts.
2) Vers l’école SDA.
Ce 7ème part-âge s’intitule sortie du format-âge car une fois sorti des rôles de bourreau-victime-sauveur et axé corps-âmes-esprit le temps n’existe plus et seul le présent perpétuel est. Les âges nous permettent de comprendre que seul le présent peut accueillir l’inconnu et l’inimaginable. Nous continuons donc la sortie de ce format-âge toujours surpris par ce qui se trouve au-delà. Nous constatons que la sortie est en réalité une entrée où l’on comprend clairement qui l’on est et comment œuvrer sur la voie SDA. Tout se précise harmonieusement et notre binôme (bi-homme/femme) devient un nouvel Humain qui œuvre grâce à cette « sain-bi-ose ».
Nous observons que Gabrielle apprend tous les jours sans obligation d’activité ou autre contrainte. Elle nous surprend par son vocabulaire et sa capacité à l’employer dans des moments de prise de conscience dans lequel visiblement elle participe essentiellement. Alors que j’écris ces lignes elle me dit soudainement « tu sais papa je vais plus à l’école parce que tu n’es pas resté avec moi à l’école » je lui répond alors que je suis trop grand pour aller dans cette école et elle me répond du tac au tac « alors tu va redevenir petit et nous irons ensemble à notre école ».
Je n’en revenais pas de la pertinence de ces propos qui me confirment ce que notre supra conscience nous souffle à l’oreille depuis toujours. Aujourd’hui on préfère être l’école que faire l’école. En effet, par notre travail au jour le jour, découle une ouverture exponentielle de nos consciences qui sans nous en rendre compte nourrit nos Etretés et constitue une école inimaginablement adaptée à chacun.
MERCI LE RESEAU LEO.
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