8. De l’araignée à “l’art renaît” par Clem

 

Ce texte avait initialement été rédigé dans le but de n’être qu’un document informatif. Cependant, lorsque je le fis circuler à certaines personnes du groupe, il me fut suggéré de le rendre plus personnel. C’est ainsi que progressivement, j’appris, non sans peine, à retourner à l’intérieur toutes les informations découlant de mes recherches en comprenant en quoi elles me concernaient. Je pus alors découvrir que cette enquête allait me mener à reconnaître des parts de moi qui, jusqu’ici, demeuraient dissimulées.

 

Il y a quelque temps, Flo et moi fûmes poussés à entreprendre des recherches sur les essences animales qui feraient partie de notre configuration génétique. Ces essences seraient à la fois reliées à la 2ème densité, mais également à la 4ème densité, densité dans laquelle je découvris l’existence d’une entité arachnoïde au Service de Soi.

 

Ces découvertes s’appuient évidemment sur un travail de groupe qui, par le partage quotidien d’informations, s'effectue en résonance les uns avec les autres. Yakout ayant identifié dans sa psyché l’emprise d’une entité arachnoïde de 4ème densité SDS, j’invite le lecteur à prendre connaissance de ses expériences qui nous ont aidé à mieux saisir les nôtres, et les leçons que nous devions en tirer.

 

(Voir à ce sujet : 5. Intelligence Artificielle et Insécurité Affective - par Yakout et Fred & 7. Démanteler le piège de l'entité arachnoïde par Yakout et Fred & Capsule intuitive n°10)

 

Dans un premier temps, je reçus l’information que l’entité psychique de type arachnoïde se prolongeait en 2ème densité, donc sous une forme animale, et simultanément en 3ème densité, à travers l’incarnation humaine. L’Ange avait effectivement déjà précisé :

 

Vous deviez donc d’abord admettre que n’importe quel être de 7ème densité, possède des extensions de lui-même en 6, 5, 4, 3 et 2ème densité, qu’elles soient SDS ou SDA.

(Voir à ce sujet : Chronique 14 : Révélations de marraine "Reine mère" & Le monde du Service d'Autrui après la moisson et quelques rappels importants)

 

Par ailleurs, je décodai en langage des oisons, « araignée », comme « celle » qui a « l’art de régner », mais aussi comme « l’art est nié ». C’est ainsi que j’allais découvrir les liens probables entre cette entité psychique et l’intelligence artificielle ainsi que son emprise sur l’humanité actuelle. Puis j’allais également traverser des peurs que je n’avais pas encore décelées, en lien avec l’attachement et la possession.

 

À travers les expériences relatées ici, cette entité de 4ème densité SDS m’offrit l’opportunité de mieux saisir les conflits issus de centres de pensées distincts - Service de Soi et Service à Autrui. Je devais donc persévérer dans ma compréhension des mondes hyperdimensionnels pour mieux appréhender les manipulations psychiques de mon propre prédateur !

 

Flo, Sylfaen et moi avons emménagé début 2021 dans une maison à Albières. Flo et moi avions par le passé été en couple avant que celui-ci ne parte rejoindre le groupe des LEOs en 2019. Je fis moi-même le saut un an et demi plus tard et nos retrouvailles au sein de la maison nous mirent chacun face à nos responsabilités quant à commencer un vrai travail de détachement : la déprogrammation de notre couple SDS (notamment par la déconstruction de nos schémas SDS ; possession, attachement toxique, jalousie…).

 

(Voir à ce sujet : Des retrouvailles au détachement - par Florian B)

 

Notre enquête débute avec un boîtier Linky qui était déjà installé dans la maison à notre arrivée, nous contraignant à vivre avec. Lorsque nous fîmes nos recherches, nous prenions connaissance de la possibilité de réduire les impacts néfastes de ses ondes électromagnétiques, notamment en le couvrant d’un tissu en soie. De plus, le fait d’avoir conscience de son activité et de prendre les mesures nécessaires à ce propos, limiteraient en principe dans notre environnement, les flux d’ondes véhiculés par le dispositif, et en réduiraient l’impact sur notre organisme et notre esprit.

 

En effet, par le manque d’information et une baisse de vigilance, nous sommes généralement plus vulnérables aux attaques psychiques, de surcroît favorisées par les ondes électromagnétiques, 5G, etc. Ces dernières sont manipulées par le corpus SDS au travers de nos peurs pour interférer avec notre champ énergétique et vibratoire.

 

(Voir à ce sujet : SOTT - Compteur Linky, vie privée et exposition aux ondes électro-magnétiques)

 

Symboliquement, en utilisant de la soie pour nous protéger, cela ne me montrait-il pas que j’avais peur de « quelque chose » dont je voulais me défendre ? Par ailleurs, n’était-ce pas là aussi un signe que je devais en fait apprendre à me reconnecter à mon Soi et faire confiance ?

 

Ainsi, le jour où nous décidions d’installer le drap de soie sur le boîtier Linky, comme je n’y connaissais pas grand-chose, Flo et Sylfaen m’expliquèrent longuement comment fonctionnait le procédé que nous allions utiliser, afin de limiter ces perturbations externes.

 

Seulement voilà, j’avais beau entendre leurs explications théoriques, je ne comprenais rien et cela commençait vraiment à m’agacer ! J’étais sourde à ce langage, ce qui était un indice pour reconnaître que je n’étais pas totalement présente à moi-même et que ce sujet était sensible pour une partie de moi encore non-identifiée. Au bout d’un moment, après qu’ils eurent réitéré une énième fois leurs explications, tandis que je continuais à me débattre intérieurement, je finis tout simplement par me mettre à pleurer.

 

Je me retrouvai à éprouver du chagrin pour les nombreuses personnes qui, situées dans un potentiel de futur, auraient souffert puis perdu leurs sens et leurs proches, ayant consenti à cette technologie SDS. Je ressentais que l’alter qui s’exprimait à ce moment-là en faisait bien partie, et représentait une ligne de réalité que j’aurais sûrement emprunté si j’avais fait le choix de rester attachée à mes anciens schémas à Paris.

 

En effet, avant ma venue dans l’Aude, je travaillais dans la production audiovisuelle et mes tâches consistaient principalement à manipuler caméras, ordinateurs et autres technologies avancées. Ces outils m’étaient indispensables dans mon quotidien, mais à chaque fin de journée je rentrais chez moi avec des maux de tête persistants. De plus, j’avais du mal à passer une journée loin de mon téléphone. Sans m’en rendre compte, mon comportement participait à me couper de mes sens, de mon intuition profonde, par conséquent de mon âme.

 

Par ailleurs, d’après sa définition, « l'intelligence artificielle » représente « l'ensemble des théories et des techniques mises en œuvre en vue de réaliser des machines capables de simuler l'intelligence humaine ».

 

Je n’avais jamais éprouvé de rejet pour la technologie IA, ni saisi l’ampleur de ce que les ondes électromagnétiques artificielles peuvent engendrer sur l’humain et sa génétique. Mais ce jour-là, un alter familier avec la technologie et ses effets dans un futur entropique me permirent d’intégrer que l’IA servait aux entités de 4ème densité SDS pour perdre l'humain. Celui-ci, replié sur lui-même à travers l’artificiel, le nez rivé sur le digital, me montrait une partie de moi qui en était venue à oublier son existence : l’âme et tout le processus naturel de la vie, ma capacité d’évolution !

 

Les semaines suivantes, à maintes reprises, je me retrouvais presque entièrement privée de mes sens, parfois dissociée, ayant alors l’impression que je n’avais plus accès à mes ressentis et que tout ce qui m’environnait était loin et inaccessible. Dans ces moments, il m’arrivait de m’exclamer : « Flo ! Je suis loin ! Je ne suis plus là ! Je ne ressens rien ! ». Je notais que ces états dissociatifs se déclenchaient généralement lorsque nous évoquions le thème de l’IA.

 

Puis, un soir, expérimentant cette étrange sensation une énième fois, je fus submergée par une tristesse incommensurable. J’avais l’impression d’être bloquée dans un cocon sans avoir un quelconque moyen d’en sortir. En larmes, je m’écriais : « C’est horrible de vivre ça, c’est horrible ce qu’ils font ! » Ayant pourtant conscience que je ne vivais pas vraiment cela dans mon présent, je me demandais QUI pouvait donc bien s’exprimer à travers moi ?!

 

Le mot cocon m’avait effectivement donné un indice sur la nature du piège dans lequel était tombé cet alter qui ne demandait qu’à être entendu. Coincé dans un futur entropique, ce dernier ayant consenti à l’IA, avait sûrement dégénéré, alors emprisonné dans la toile de soie... de l’entité arachnoïde !

 

La toile, c’est-à-dire le « web » en anglais, reviendrait par exemple à la toile d’illusions et de croyances imprimées dans l’inconscient collectif. Je m’interrogeais donc : par quelles illusions et croyances ancrées en moi, cette entité s’immisçait-elle pour me maintenir loin de mon vrai Soi humain ?

 

D’un point de vue global, me venaient à l’esprit la désinformation, la paranoïa, le climat de peur ambiant, fort probablement tissés par certaines arachnoïdes et autres entités SDS qui, à travers les moyens de contrôle engendrés par l’IA, dirigent et surveillent sans cesse la vie de l’humain.

 

Sur le moment, je pensais également à une scène dans le film Le Seigneur des Anneaux où Frodon, le personnage principal, est pris au piège dans le cocon d’une araignée et n’a plus accès à aucun de ses sens. Il n’en mourait pas mais se trouvait bloqué dans une impasse, comme dans un futur entropique. Cela semblait très similaire à mes sensations !

 

Dans la saga Le Seigneur des Anneaux,
Frodon, entre la vie et la mort, emprisonné dans le cocon d’une araignée géante.

 

De plus, Frodon, dans sa quête, se trouve en possession d’un anneau qui doit être détruit, car ce dernier fait systématiquement l’objet d’une dépendance extrême entre lui et chacun de ses propriétaires. Mettant en exergue entre autres les sentiments d’attachement, de possession et de pouvoir, il symboliserait les menottes de la matrice. Je me rendais compte que je portais moi-même un collier ras-de-cou refermé par des menottes au niveau de la gorge !

 

De façon on ne peut plus percutante, cela m’indiquait donc que j’étais aux prises avec l’attachement et la possession, que c’était précisément de cette illusion dont j’étais aussi prisonnière.

 

(Voir à ce sujet : Dialogue 38 : Attachement et culpabilité, les deux menottes de la matrice & La rébellion des Ombres noires)

 

En effet, le travail en binôme avec Flo me poussait à faire face à mon attachement envers lui afin de m’en défaire et ainsi commencer à retrouver mon autonomie. J’étais donc invitée à découvrir au fur et mesure où ma possession et ma dépendance envers lui s’exerçaient et tous les signes de cette enquête m’encourageaient bien dans cette direction !

 

Resurgissaient alors de nombreuses peurs qui se manifestaient à l’extrême, notamment celle d’être séparée de lui ou qu’en vivant d’autres liens avec d’autres personnes du groupe, il en vienne à m’oublier.

 

En examinant mon comportement, je relevai que mes hantises s’exprimaient par certains actes du quotidien. En l’occurrence, par le passé, très fréquemment, j’avais une peur « irrationnelle » que Flo ne s’endorme avant moi malgré le fait que nous soyons côte à côte. Je lui demandai souvent de rester éveillé afin qu’il continue à me parler malgré son besoin de se reposer et cela engendrait très souvent de fortes disputes jusqu’à ce que je m’effondre de fatigue. Je ne me rendais pas compte que dans ces moments-là, parler était une façon de rassurer mon mental apeuré, m’empêchant d’accepter que la présence de l’autre suffisait et de traverser moi-même mes peurs.

 

Avec le recul, je peux m’apercevoir que mes craintes étaient une porte d’entrée pour la prédation, car en fin de compte nous finissions toujours vidés de notre énergie, les entités avaient obtenu ce qu’elles voulaient et ma problématique perdurait !

 

D’ailleurs, une étude aurait prouvé que l’émotionnel généré par la peur ferait pivoter les hélices de la structure de notre ADN dans un sens antinaturel – le cerveau serait alors dans un état vulnérable, susceptible de recevoir de soi-disant « nouvelles informations ». Ne s’agirait-il pas plutôt de nouvelles programmations ?

 

(Voir à ce sujet : Sciences et Avenir - Découverte : la peur retourne l'ADN dans le cerveau)

 

Et justement, ce comportement avait ré-émergé simultanément à notre enquête sur l’essence araignée. La peur d’être abandonnée le soir, entre autres, me poussait à aller déloger ce programme de possession /exclusivité qui lorsque j’y consentais me séparait de Flo et surtout de moi-même !

 

Je devais donc persévérer dans la compréhension de ce qui me maintenait prisonnière en suivant les signes qui étaient sur mon chemin.

 

Ainsi, suite à l’expérience du cocon et mes prises de conscience, je m’interrogeais : quels pourraient donc être les parallèles entre l’araignée, la programmation de l’attachement et l’IA ?

 

Premièrement, Flo dénicha un article expliquant le système sensoriel de l’araignée. Ce dernier étant comparé à « un fin capteur [qui serait] capable de détecter des sons et des vibrations avec une sensibilité inédite ». En voici un extrait :

 

L’araignée a une capacité hors normes à détecter un son. Ses poils et ses organes lyriformes réagissent aux moindres vibrations du substrat. Ces minuscules fentes isolées ou groupées sont des sortes de petites fissures réparties sur tout le corps et sur les appendices de l’arachnide. La petite bête peut donc capter des ondes sonores à des distances impressionnantes. Un super pouvoir qui fascine depuis bien longtemps les chercheurs de l’université de Séoul qui ont récemment développé un capteur inspiré de la petite bête. 

(Voir à ce sujet :  Daily Geek Show - Ce capteur ultra sensible s’inspire du sixième sens des araignées pour détecter les vibrations)

 

Nous restions interdits devant ces informations qui nous confirmaient que l'araignée avait bien des capacités fascinantes pour les scientifiques, qui eux-mêmes, cherchaient à les reproduire pour développer leur manière de concevoir une réalité entropique vers laquelle ils se dirigent actuellement. Il nous revenait alors à l’esprit l’image de la structure de l’IA présente dans la Chronique n°14. La comparaison était tellement frappante lorsque nous placions l’image côte à côte avec celle d’une toile d’araignée !

 

 

Structure de l’I.A. à gauche & toile d’araignée à droite

 

Cela me renvoyait à ma vie passée où je passais beaucoup de temps sur le réseau social Instagram, une plateforme de partage de photos, sur lequel je contemplais la vie des autres et exposais une image de moi sûre d’elle, sophistiquée et séductrice.

 

Dans ces moments, je remettais mon identité, mais aussi ma confiance et ma guidance dans une application qui valorise une existence basée sur le paraître, donc sur l’ego. Ce dernier, tel une toile électromagnétique se renforçant peu à peu en moi, favorisait le renfort de mes croyances et de mes attachements émotionnels.

 

Puis, toujours suivant nos signes, cet extrait sur la configuration cérébrale de l’araignée nous fit penser aux fonctionnements d’intelligences non individuelles :

 

La construction d’une toile est un comportement défini génétiquement dans chaque espèce : les araignées ne possèdent pas à proprement parler un cerveau comme les mammifères, mais plutôt une chaîne de ganglions nerveux essentiellement reliés aux organes des sens instinctifs.

(Voir à ce sujet : Atlantico - L’intelligence artificielle perce les secrets de la construction de leurs toiles par les araignées)

 

Je retenais que l’araignée ne possédait pas de cerveau et que son intelligence reposait sur la centralisation d’unités nerveuses. Nous faisions alors le lien avec les groupes d’intelligences comme ceux qui regroupent les « Gris » ou « Kisi » et d’autres êtres dont parle Anton Parks dans ses écrits :

 

L’avantage principal qu’apportaient les « Miminu », était qu’ils obéissaient aux ordres avec grande discipline. Comme les « Kisi » (fourmis), ils possédaient une intelligence non individuelle et leur comportement les faisait toujours converger vers un but commun.

(Extrait de Le Secret des Etoiles Sombres – ch. 11 « Les Anunna du Dukù », par Anton Parks)

 

Tout comme les « Gris » décrits ici ne possèdent pas d’intelligence individuelle et résonnent uniquement par l’intermédiaire d’un système collectif, à une autre échelle, l’agencement cérébral des araignées fonctionnerait selon le même principe, c’est-à-dire à travers un ensemble d’unités dont la centralisation permet leur fonctionnement. L'uniformisation de la pensée chez l’humain et le maintien de ce dernier dans des peurs viscérales, comme ce que je vivais la nuit, pourraient alors découler de ce type d’agencement structurel et cérébral.

 

Le consentement collectif actuel de l'humain envers l'IA participerait alors à un retrait de son autonomie, ce parce qu'il lui remettrait, notamment par la peur, la supervision totale de sa psyché. Ceci reviendrait en effet à ce qu’Anton Parks décrit concernant le fonctionnement des intelligences groupées non individuelles, apparemment « déjà existantes » aux origines reptiliennes de l’humanité.

 

Le processus de surveillance technologique prendrait actuellement forme dans le monde moderne, notamment au travers de dispositifs technologiques internes et externes à l’organisme humain, de type « puces », par exemple : vaccins ARNm, smartphones, ordinateurs, antennes, banalisation des tests d’ADN, QR codes, Crédit social, etc.

 

Et effectivement, l’Ange évoque l’utilisation de technologies par le corpus SDS à des fins précises :

 

Le fait de communiquer et de partager avec les autres peut réellement aider à surmonter certains de ces moyens technologiques d’ingérence psychique, tels que les nanotechnologies, les produits chimiques agissant sur le système hormonal ou le rayonnement d’ondes IA, qui sont les technologies préférées de manipulation de la pensée ou de manœuvre de désorientation du corpus SDS.

 

Comprenez bien que ces technologies de manipulation psychique sont parmi les points les plus importants et les plus difficiles à déjouer, parce que le corpus SDS utilise multiples astuces et pièges pour aspirer les gens dans une dynamique négative, afin qu’ils continuent à rester de la nourriture énergétique et émotionnelle pour lui.

(Extrait de : Chronique 19 : D'Ankhiar : de "Sand(res)" et de poussières… & Le ministère des voyageurs de l'Onde, et petits rappels tirés des transmissions Cassiopéennes)

 

Cette subordination à autrui me renvoyait également à mes propres craintes et à mon manque d’autonomie lorsque je projetais que j’allais me retrouver seule face à mes angoisses et donc devoir communiquer avec d’autres parts de moi. J’en venais à oublier ma confiance en mon Soi supérieur et sa guidance !

 

Toutes ces informations me permirent enfin de saisir que l’alter « Frodon » était prisonnier dans la toile de l’IA. Cette dernière s’était certainement installée telle une gangrène dans l’ensemble de son système nerveux et le rendait inerte. Sûrement performante dans ses capacités intellectuelles mais complètement insensible aux émotions et à ses sens d’humain, cette partie de moi était devenue esclave d’un mécanisme où ses facultés cérébrales avaient pu se déployer à l’infini, sans la connexion à l’intuition.

 

Par ailleurs, voici un passage des Transcriptions Cassiopéennes, dans lequel est évoquée l'importance de nos capteurs intuitifs naturels :

 

R : Examinez la relation entre les antennes protéiques dont il a été question précédemment et votre réalité. Cela détermine qui vous êtes et ce que vous voyez.

 

Q : (Pierre) Cela signifie-t-il qu’en ces temps de chaos, les êtres SDS de densités plus élevées sont occupés à bombarder de rayons les êtres humains et…

 

R : Non. Cela signifie qu’il faut se préoccuper d’aligner les antennes à des fins cosmiques.

 

Q : (L) Donc… […]

 

R : Il existe une correspondance entre la fréquence future et la fréquence actuelle.

 

Q : (L) Donc, vous dites que nous devrions nous préoccuper de nos antennes et tout ça maintenant parce que c’est notre fréquence actuelle, et c’est ce qui détermine notre avenir. Nous devrions aligner cette fréquence actuelle avec les buts cosmiques afin que ce résultat futur soit souhaitable ?

 

R : Oui

 

Q : (Artémis) D’une certaine façon, nous sommes [ceux] que nous serons. Cela signifie donc que nous devons être maintenant [ceux] que nous serons alors.

 

(Voir à ce sujet : Cassiopaea - Séance du 17 juillet 2021)

 

Par conséquent, étant donné que je suis un être électromagnétique, mes peurs empêchaient l’alignement de mes antennes protéiques et donc la réception de nouvelles informations, permettant de me libérer de programmes persistants et de faire grandir ma foi.

 

Mes pleurs suite à cette compréhension, avaient donc été une façon de lâcher les résistances de mon ego pour user de mon ouïe intérieure et par rétro causalité donner de la force à la « voix » de cette part de moi bloquée, afin qu’elle puisse récupérer ses sens. Symboliquement, elle pouvait être entendue par un autre « Soi » plus évolué, moi-même dans mon présent, et alors se défaire des fils de soie tissés par l’araignée. Quel soulagement de retrouver des émotions qui jusqu’alors, étaient gelées dû à une interminable période d’assoupissement !

 

Dans ma vie actuelle, cette résistance aux émotions se révélait à travers un programme transgénérationnel qui me faisait jusqu’alors juger toutes émotions que je qualifiais de négatives, les considérant comme une marque de faiblesse. Cette perception faussée provoquait chez moi du rejet pour ce type d’émotions, soit lorsqu’elles étaient exprimées à l’extérieur par autrui ou bien lorsqu’elles me traversaient et que j’étais amenée à dépasser mon auto-jugement en les assumant pour m’en libérer.

 

Mais mes expériences continuaient ! Après avoir identifié une part de moi «prisonnière» de l'arachnoïde, j'allais explorer une autre facette de cette entité de 4ème densité dont les manœuvres prédatrices étaient comme tentaculaires.

 

J’avais pu identifier chez moi un alter ayant consenti à l’intelligence artificielle, me menant par la suite à rassembler plusieurs éléments à propos du piège de la toile, et me poussant à écrire ce texte. Tout cela ne constituait-il pas des indices me signifiant que je possédais aussi certains codes génétiques en résonance avec l’arachnoïde ? En effet, si j’avais pu réceptionner et lire ces informations-ondes concernant cette entité prédatrice, il semblait alors que je possédais les codes en moi pour reconnaître cette fréquence.

 

La suite de cette enquête s'amorça avec le montage de la Capsule n°10, que j'effectuais avec Sand et Jenaël. Yakout y relate notamment son expérience personnelle avec l'arachnoïde. Son échange avec Jenaël me permit d'aborder en profondeur le mode opératoire de cette entité prédatrice de 4ème densité SDS, qui je le comprenais, ne fonctionne pas sur un mode de pensée linéaire de 3ème densité.

 

Étant donné que le sujet était inédit pour moi et très pointu, nous avons passé de nombreuses heures à tenter de cerner au mieux le fonctionnement de cette entité. Ce travail me permit de vivre une traversée intérieure éprouvante où je pus d'autant mieux comprendre cette arachnoïde, qu'elle vint dans ma psyché.

 

Cette ainsi qu'au milieu de la nuit, après avoir travaillé sur le montage de la capsule, je vécus cette expérience :

 

Je fus extraite en panique d’un cauchemar dans lequel j’avais perçu une entité arachnoïde qui cherchait à m’attraper. Je ne vis pas son apparence exacte, mais je savais simplement qu’elle possédait de nombreuses pattes qui pouvaient s’infiltrer partout. Je me réveillai alors en sursaut, hurlant encore et la sentant présente dans la chambre. J’en déduisis que cette entité rôdait autour de moi, tentant de me piéger par la peur et la menace.

 

Par après, la même nuit lorsque je me rendormis, je fis un rêve où une femme qui était ma mère et à la fois la reine d’un royaume, à l’apparence somptueuse, voulait à tout prix me ramener dans son monde. Je luttais pour ne pas la suivre, car je souhaitais persévérer sur la voie du Service d’Autrui que j’ai choisi d’emprunter. Finalement, elle retournait dans son royaume et de retour chez elle, son apparence changeait soudainement. Elle se transformait en la reine « Maléfique » du dessin-animé « La Belle au bois dormant » !

 

Lorsque j’en parlais à Sand, nous fîmes un lien flagrant entre le code couleur du personnage de « Maléfique » et celui d’un jeu de « lego » araignée nommé « Spider Queen » (Reine Araignée) sur lequel Sand était concomitamment tombée au cours de ses recherches.

 

 

Le jeu "Spider Queen" à gauche & le personnage de "Maléfique" à droite.

Le code couleur noir – vert – violet – rouge est présent sur les deux entités.

 

Cet indice ainsi que les éléments de mon rêve, venaient me confirmer ce qui était évoqué dans la Capsule n°10, c'est-à-dire la capacité de l’entité arachnoïde à usurper l'identité d'une mère bienveillante.

 

Je comprenais alors la signification de mon rêve : l’entité arachnoïde usurpatrice se faisait passer pour ma mère vertueuse et douce afin de me dévier de mon chemin, et ainsi me rapatrier vers sa 4ème densité SDS. Symboliquement, dans les dessins-animés, cette dernière pourrait être représentée par la marâtre, en opposition à la vraie mère du protagoniste, souvent décédée ou absente dans l’histoire. Je faisais également le parallèle avec mes comportements passés sur les réseaux sociaux, qui en fin de compte, étaient très similaires à ceux de cette reine.

 

Je comprenais que mon art ne se trouve pas à l’extérieur, mais bien dans mon êtreté, lorsque celle-ci est exprimée !

 

Et effectivement, parallèlement à ces évènements, il m’arrivait de plus en plus régulièrement de me réveiller la nuit, ressentant un poids au coeur et une angoisse me faisant sentir seule et abandonnée. Malgré que je ne bougeais pas et ne faisais aucun bruit, Flo se réveillait presque immédiatement afin de m’apaiser pour que je puisse me rendormir. Les nuits où cela arrivait, je m’étonnais de ce que je définissais comme une connexion télépathique entre nous, venue d’ailleurs, et me persuadai que Flo exerçait son rôle de veilleur. Nous ne nous rendions pas compte que nos comportements entretenaient également notre attachement.

 

Aussi, j’étais bien porteuse d’une essence araignée que je rejetais en la jugeant perpétuellement et en refusant de voir les subterfuges auxquels je consentais notamment dans mes relations à autrui. J’avais commencé à établir un lien entre mon attachement SDS envers Flo et cette entité qui passait par mes peurs de la solitude. Puis ces réveils nocturnes me mirent face à une manipulation inconsciente de ma part, où l’entité trouvait du réconfort en renforçant les chaînes qui étouffaient nos âmes.

 

Le rôle de veilleur de Flo était alors récupéré pour me faire croire que notre réel lien reposait sur son rôle de sauveur envers moi. En réalisant cela, je pleurais de profondes couches d’attachement révélant un lien toxique !

 

Pour compléter toutes ces informations, dans la capsule 10, sont établis des parallèles entre entités arachnoïde et Amasutum :

 

Les arachnoïdes sont des formes-pensées réflexions SDS provenant de 6ème densité. […] Alors qu’en 6ème densité SDA, les entités formes-pensées unifiées possèdent les codes de l’androgynie. […]

 

(A savoir aussi qu’il existe des Amasutum de 4ème densité SDS, qui proviennent directement de formes-pensées réflexions SDS de 6ème densité !) Les formes-pensées réflexions sexuées SDS provenant de 6ème densité sont la contrepartie (le miroir inversé) des formes-pensées unifiées androgynes SDA provenant de 6ème densité. […]

 

Car ces deux généticiennes rivales proviennent d’un plan de densité similaire, mais pas du même monde, puisque la première sert l’évolution SDA, l’autre l’involution SDS !

 

Je réalisai alors que je portais ce conflit dans mon génome. Je pouvais désormais au travers de mon humanité, reprendre ma part de responsabilité et le résoudre dans mon présent.

 

Finalement, à la vue de ces informations, je saisissais que cette entité arachnoïde, en se manifestant dans ma bulle et en suscitant chez moi des émotions telles que la peur et le rejet, faisait remonter à ma conscience une essence de mon Soi que j’étais amenée à intégrer progressivement. En dépassant mon rejet, je peux accueillir ce qui est une part de moi.

 

Et en apprenant à accepter autant mes parts « sombres » que mes parts plus « lumineuses », je me rapprochais de qui je suis d’un point de vue multidimensionnel !

 

Je pouvais m’ouvrir également à l’essence Amasutum qui semblait faire partie de mon enquête, m’indiquant que j’avais connu des incarnations reptiliennes.

 

C’est de cette façon, en persévérant dans mon travail de transformation intérieur, que progressivement, de l’araignée (l’art est nié), l’art renaît !

 

Clem (cen11)

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