Acte 2 et enseignement par l’animal - par KarPhil

 

6 Mars :

Nous regardons la vidéo partage « rencontre à la maison d’Albières part. 3 » et soudain une prise de conscience m’arrive. En effet lors de la transmission de nos textes aux Léos le 4 mars, Karine écrit :

« Merci au conseil de Sand (dans mon rêve) qui me dit « n’attise pas le feu », cela m’aide au quotidien dans mon attitude vis-à-vis de Philippe »

Je comprends qu’une autre pièce se joue. Pendant mon enfance et adolescence ma sœur n’arrêtait pas de m’attiser dans le but de me faire punir ou gronder par mes parents. Karine reproduit cela (sans le savoir) de temps en temps quand par exemple mon prédateur se manifeste et que je me mets à l’écart pour me recentrer : elle vient et me dit que mon prédateur est présent et insiste.

Nous en avons parlé et comprenons que l’occasion de mettre en pratique la méthode du « I.C.U, je te vois » est à saisir. Le lien karmique reste aussi à dénouer.

 

13 Mars :

Nous conversons avec Karine sur notre envie de retourner à Albières et regardons les disponibilités éventuelles de location pour le mois d’avril pour une durée d’une semaine. Nous proposons à Christelle M. de partir avec nous.

Cassandre rentrant de la danse je lui fais part qu’elle manquera une séance car nous allons sûrement partir une semaine à Albières. La réaction de son prédateur est immédiate et fait la tête et montre une grande déception.

 

14 Mars :

Karine me reparle de notre projet d’aller à Albières et trouve qu’une semaine cela fait beaucoup et que Cassandre manquera une séance de danse (Karine rappelle qu’il y a un grand investissement pour le spectacle de fin d’année). Elle n’est pas au courant de ma conversation de la veille avec Cassandre.

J’ai des réponses comme « c’est toi qui décides, on n’a pas parlé de partir une semaine… »

Je lui dis que la prédation s’en mêle et que ceci se manifeste avec celui de Cassandre. Je lui dis Stop, et que ce sont que des spéculations et que de toute façon rien est encore fait et qu’il faut voir avec Christelle. Et que l’on a déjà parlé de partir une semaine : « le plus important c’est notre cheminement ».

 

4 Avril :

Suite de la vente de la maison :

Je constate que malgré l’annonce très détaillée que j’ai mise en ligne sur le bon coin, tous les éventuels acquéreurs me posent toujours des questions lors des visites ou même par mail (sur les travaux effectués, le DPE, le prix du foncier…) or tout est déjà précisé avec beaucoup de détails.

Karine m’informe que son frère, qui a fait des études dans l’immobilier, lui a dit que l’annonce était digne d’un CV et que ce n’était pas normal qu’elle ne soit encore vendue malgré les visites nombreuses et enthousiastes (au vu de toutes ses prestations et son emplacement). A ce mot de C.V, Karine comprend qu’il s’agit du programme de contrôle encore actif chez moi, mais je n’arrive pas encore à le voir à ce moment-là. Alors elle me dit d’afficher à l’écran la fameuse annonce et de bien la regarder. C’est alors que je prends conscience que tout était devant mes yeux depuis 2 mois et que je ne le voyais pas : ce programme du contrôleur et du perfectionniste. Je pouvais maintenant le conscientiser. Cela me fait sortir quelques larmes.

Le soir même nous avons un appel téléphonique d’une contrevisite de la veille qui s’avère positif. Par conséquent nous lançons les démarches administratives.

Les larmes auraient-elles fait leur effet ???

 

5 Avril :

Les futurs propriétaires désirent revisiter avec un ami. Là je dis c’est pour moi, un contrôle arrive. En effet, l’ami en question restaure des maisons du même type que la nôtre et les revend. C’est alors que tout est passé au crible. Je vois alors le programme qui se joue et je l’accueille en répondant aux différentes questions. A la fin de l’entrevue nous confirmons le rendez-vous pour la signature du compromis de vente.

Au moment de me coucher, je suis pris d’une énorme douleur au plexus qui m’empêche de respirer. Je sens ma cage thoracique tendue, comme si de l’intérieur on y gonflait un ballon pour l’écarter. Cela dure une vingtaine de minutes. La peur du prédateur !?! ou une déprogrammation en cours ?

 

10 avril :

Veille du départ pour aller chez les Léos. Nous recevons un courrier du Gaz signifiant que notre compteur indique le même chiffre que celui relevé il y a 3 mois, soit en novembre 2018 et qu’il faut que nous les contactions afin de voir où se trouve le disfonctionnement.

Pour rappel, début décembre nous avons mis notre maison en vente. Ce que l’on peut comprendre c’est que nous recevons l’énergie (puisque notre chauffage fonctionne) mais que nous ne pouvons pas être contrôlés sur l’énergie que nous utilisons.

Nous avons rendez-vous à 18 h pour signer la promesse de vente et juste avant de partir je m’aperçois que la roue avant droite de la voiture a une crevaison lente due à un boulon ! J’appelle alors un ami dont le prénom signifie « serviteur de Dieu » afin de réparer ce pneu au retour de notre rendez-vous. Tout ça pour freiner le rendez-vous et aussi nous empêcher de partir le lendemain chez les Léos.

 

11 avril :

Nous avions fait part à Christelle M il y a un mois de notre souhait de repartir voir les Léos et souhaitant elle aussi les voir, nous convenons de partir ensemble.

Jeu karmique et prédation, Christelle en position de mère possessive.

Arrivés à la location Christelle prend la grande chambre avec lit en 140 et nous prenons la chambre avec lit 120 et lit superposé pour Cassandre. La nuit pour nous est difficile et ne pouvons dormir ainsi car le lit est trop petit avec un matelas incurvé ; par conséquent nous sommes dans l’obligation de dormir séparément.

 

12 avril :

Je remarque que Christelle fait une critique à Karine par rapport à l’éducation de Cassandre, cela me rappelle ma mère qui donnait des leçons sur la façon dont il fallait éduquer.

Je joue avec Cassandre et me tord la cheville droite. Au sujet de l'entorse, c'est l'énergie qui se « tord » dans la cheville et ma structure de support est déformée, un changement obligatoire pour mon mieux-être.

 

13 avril :

Les Léos vont se promener et je me trouve contraint de me poser alors que l’envie malgré ma cheville me pousserait à partager. Mais j’écoute Eli qui me dit de me reposer. C’est alors que je me retrouve seul dans le jardin des Léos et une fatigue m’envahit et je m’endors près de deux heures, puis je me réveille et pense à Karine car pour une fois nous ne partageons pas ensemble et je constate que c’est une épreuve qu’elle doit vivre seule. Conduire dans une région qu’elle ne connait pas…

Justement Karine m’apprend que cet après-midi-là, alors que tout allait bien, après avoir visité le sarcophage de Mü, elle a été prise de pleurs sans vraiment savoir d’où cela venait puis d’une grande tristesse. Peut-être était-ce parce que nous ne partagions pas ensemble. En tout cas il lui semblait que je lui manquais, comme une mort de très loin (sur un autre plan).

Le soir, Karine et Christelle rentrent. Christelle me fait part du comportement d’une personne du groupe dans le déni (qui ne veut rien entendre à la prédation) et qu’une colère l’avait envahie face à cette situation. Karine a voulu relater les faits posément, sans mettre en cause les dires de Christelle, mais celle-ci rétorque vigoureusement et ignore les propos de Karine et tourne la tête vers moi. C’est alors que je reprends les propos de Karine avec mes mots et remets tout le contexte dans le bon ordre, je m’aperçois que le message passe et que la réaction de Christelle est comme celle d’une mère attentive à son enfant et ignorant la belle-fille.

Karine me fait remarquer mon positionnement lors des repas depuis notre arrivée à la location, en effet je me trouve en face de Christelle.

 

14 avril :

Nous nous réunissons tous les quatre afin de mettre à jour le jeu karmique que joue Christelle, à savoir la mère possessive. En effet, sans s’en rendre compte elle ignore Karine quand elle lui parle, lance des pics…. Christelle reconnait aussi voir le jeu, mais cela crée une tension jusqu’au lendemain.

Je remarque lors de cette réunion que je me suis placé en face de Karine pour converser, je prends conscience que je dois lui laisser sa place afin de créer l’équilibre du féminin et du masculin.

Nous mangeons dehors et Cassandre met la table, elle nous place en ligne et Christelle en face. Nous mettrait-elle à notre vraie place ? Notre famille en trinôme ? (Bien sûr, Karine a demandé à Cassandre de remettre les assiettes face à face…)

Nous avions prévu de faire des recherches de logement lors de notre séjour à Albières en vue de notre déménagement. Comme Christelle est venue avec nous et qu’elle nous a fait part de son souhait de faire de même, nous allons ensemble chez un propriétaire visiter deux logements.

Le soir venu, Christelle me demande de lui prêter la voiture (il s’agit de la voiture de Karine) pour aller à la mairie d’Arques prospecter des logements. Je lui réponds non mais lui dit qu’on peut l’amener. Elle me rétorque autoritairement qu’elle désire son autonomie car elle n’a ni téléphone, ni véhicule. Je lui réponds alors qu’elle peut utiliser mon téléphone librement.

 

15 avril :

Christelle nous fait part de son envie de rediscuter de la réunion de la veille. En effet, elle nous explique avoir passé une mauvaise nuit où elle s’est vue dans notre réunion de la veille en tant que victime face à un juge (moi) en disant que je défendais Karine (or Karine ne s’est pas exprimée).

Mais elle n’a pas voulu reparler du jeu karmique qui se jouait car elle estimait qu’il y avait d’autres couches dessous à voir. Karine et moi avons ressenti un leurre pour détourner la possibilité d’un dénouement.

 

Karine me fait part de son envie de rentrer, qu’elle ne se sent pas bien.

 

16 avril :

Dans la voiture sur le retour, arrivant à quelques kilomètres de chez nous, Karine évoque la nostalgie de notre région et vente ses mérites par rapport à l’Aude. Christelle à son tour renchérie sur sa région (prédation quand tu nous tiens).

 

Le jeu karmique se joue jusqu’à notre arrivée.

 

29 avril :

J’écoute un dialogue avec mon ange et en écoutant une phrase qui parle de « reprendre sa part féminine » me fait tilt et je me dis que c’est ça qu’il faut que je fasse. Un quart d’heure après, j’ai la confirmation par ma sœur qui me contacte afin que je lui trouve une glace de rétroviseur du côté conducteur pour son véhicule

En sortie Vtt, je rencontre un homme qui récupère son âne et son chien qui sont partis chez son voisin et il me dit « Le vieux est parti, tout le monde suit ». Je comprends : ma vie d’avant avec tous les gens qui suivent la voie entropique.

 

Le 5 mai 2019 :

Rayure, une messagère féline

(Karine)

Cela fait quelques jours qu’un chat est apparu dans notre vie, plus exactement une femelle. Elle a investi notre jardin et miaule sans cesse. N’étant pas farouche et plutôt collante, nous en déduisons qu’elle devait « appartenir » à des voisins du lotissement qui ont déménagé sans elle. Elle semble toujours affamée.

En réfléchissant à la situation, on note que cette chatte arrive « chez nous » après notre retour d’Albières, à la confirmation de la vente de la maison et à la conscience que le détachement matériel n’est pas encore conscientisé chez moi.

 

 

Il se trouve en plus qu’une année en arrière, nous « luttions » contre l’invasion féline qui sévissait dans le quartier et envahissait notre havre de paix, notre territoire interdit d’accès à l’ennemi n°1 : le chat ! Nos excuses étaient pourtant louables : ces bestioles griffues sont des vrais vandales, des parasites qui font de nos jardins et jolies terrasses des terrains minés d’excréments !

Bref, le calme était enfin revenu jusqu’à l’apparition de Rayure (c’est le nom que lui a donné notre fille). Mais contrairement à ses confrères celle-ci se laisse caresser. Le piège est donc tendu : une minette affectueuse qui n’a plus de foyer et qui miaule à vous fendre le cœur (elle se perche sur le rebord de la fenêtre et nous regarde manger, quel supplice !) et Cassandre qui ne jure que par elle. Les warnings clignotent : programme attachement enclenché. Un briefing familial s’impose : « non Cassandre, on ne déménagera pas avec elle », ce chat n’appartient à personne, on lui donne à manger seulement si on a des restes et basta !

Après recherches sur le thème du chat, on comprend qu’elle est arrivée à point nommé et certainement pas par hasard (après tout elle avait le choix d’élire domicile ailleurs).

Généralement, le chat représente :

- Patience, attente du bon moment pour agir

- Esprit d’indépendance et en même temps, appréciation des liens sociaux

- Esprit d’aventure, courage

- Profonde connexion, détendue, avec soi

- La curiosité, l’exploration de l’inconnu ou de l’inconscient

Tigré : apporte la chance, la lumière, donne une attitude joyeuse à la situation, même la plus critique !

L’animal totem du chat nous enseigne la patience, l’art du bon timing pour l’action et le courage d’explorer l’inconnu avec confiance. Ceux qui ont le chat comme animal de pouvoir ou totem peuvent être encouragés à développer leur équilibre entre indépendance et sociabilité. L’harmonie entre ombre et lumière, temps pour l’action et temps pour l’observation sont également des attributs du totem du chat.

 

Je comprends que ce chat est venu nous donner le parfait exemple à suivre en matière de comportement. Elle n’hésite pas à rester devant la porte d’entrée assise sur le tapis pendant des heures à miauler presque tout le temps, ne sachant pas si la porte s’ouvrira un jour, ni encore moins si on va la nourrir. Elle nous enseigne donc la patience et la persévérance. Elle n’a pas conscience de la notion de temporalité, ni de comment elle va survivre. Elle a juste une intention et elle fait confiance en la vie, car elle ne connait que ça. A la différence de nous, humains, qui sans cesse nous projetons et nous inquiétons du comment on arrivera à tel but ou tout simplement comment on va survivre. Et c’est justement en ça précisément que Rayure nous enseigne : elle ne connait pas la peur. Notre amie féline est donc venue nous aider à nous détacher pour prendre notre envol et trouver un nouveau logement dans l’Aude.

Autre indice, aujourd’hui, alors que j’écoute le dialogue 34 dans le jardin, Cassandre appelle désespérément sa nouvelle amie en miaulant. Ses imitations de miaulement m’irritent les oreilles malgré mes écouteurs. Je lui demande d’arrêter, sa technique n’ayant pas l’air de marcher cet après-midi. Mais elle continue en boucle ce jeu de « pleurs ». Je réalise tout à coup le lien entre ce que je perçois à l’extérieur comme un rabâchage de pleurs inutiles et contreproductifs et de ce que Sand est elle aussi en train de me rabâcher dans mes écouteurs :

- « Nous avions déjà compris que pleurer représente le premier symptôme de la dissolution des résistances de l'ego… », « L'un des secrets des "Madeleines pleureuses" qui accompagnaient Yeshua, était ce grand mystère qui met en œuvre l'énergie de transformation permettant la guérison, détenu par les Kadistu reptiliennes », « Les pleurs provoquent donc un déblocage de l'énergie accumulée et figée dans sa psyché, à cause de la résistance du champ magnétique de l'ego (cf. diag. 29). Cette réponse émotionnelle est liée à son sentiment d'impuissance à changer l'apparence des choses dans le monde extérieur. », « Là résidait donc un des secrets des "Madeleine pleureuses". Il s'agit de la force de la véritable prière, celle qui résulte de l'effondrement de toute résistance de l'ego… ».

Je comprends alors que je dois lâcher. Ainsi donc je laisse donc ma fille continuer de miauler/pleurer. Elle arrêtera d’elle-même finalement peu après. J’en conclus que Rayure sera encore à nos côtés tant que les leçons ne seront pas sues…

 

24 Mai :

Cette chatte n’était pas venue seule : Ce matin, j’entends un miaulement inhabituel. J’ouvre la porte-fenêtre de la chambre et j’appelle la minette. Elle sort de derrière la haie de romarin et se précipite pour rentrer. Comme je l’en empêche, elle tente par la fenêtre ouverte du bureau mais Karine s’y trouvant lui barre la route aussi.

 

Elle continue de miauler fortement devant la porte d’entrée. Nous comprenons qu’il s’agit d’un appel à l’aide. Cassandre, se trouvant dehors avec elle, nous crie qu’elle est en train d’avoir ses petits ! Dès que nous ouvrons la porte, la chatte en profite pour s’engouffrer dans le meuble à chaussures pensant y mettre bas ! Je saisis rapidement un carton et un vieux manteau afin de la mettre à l’intérieur. Nous plaçons le carton à l’extérieur à un endroit sûr et assistons à la naissance des chatons.

 

 

Après -midi :

Nous avions prévu de nous retrouver avec Christelle. Lors de cette nouvelle rencontre, nous lui faisons part de notre réticence à échanger avec elle au vu de ce qui s’est passé à Albières, mais que nous avions quand même accepté car notre but est de cheminer en SDA ! Nous devons aller jusqu’au bout et ne pas nous laisser happer par la prédation qui joue avec nos alters, en effet nous devons apprendre à nous en désidentifier. (Comme nous l’avait dit Sand lors de notre 1ère rencontre à Albières à peu près dans ces termes : « Quand on fait des groupes de partage on peut faire de belles rencontres ou ça peut finir au clash… »).

Pour confirmation de tout cela, quand nous conversions sur ce qui s’était passé à Albières et lorsque j’ai voulu revenir sur le sujet du jeu Karmique qui s’est joué toute la semaine (le rôle de mère « contrôlante »), Christelle a répondu encore la même chose : à savoir que je focalisais trop dessus et qu’il fallait voir autre chose dessous et qu’il y avait beaucoup d’alters là-bas.

 

31 Mai :

Je ne voulais pas encore envoyer nos écrits car les différentes réponses de Christelle et le comportement de la chatte présente parmi nous étaient là afin de me montrer ce que je ne voulais pas voir et intégrer.

En effet la chatte me remontre le schéma Karmique d’une mère possessive et manipulatrice en jouant de toute sa féminité. J’ai remarqué qu’elle essaye de m’amadouer, venant faire des câlins pour parvenir à ses fins (et sa faim). On remarque aussi qu’elle zappe Karine depuis peu (en gros : vous n’avez pas compris avec Christelle ? et bien on vous le ressert avec la Chatte !!!)

Il est important de noter que j’ai toujours eu de bons rapports amicaux avec les femmes et les attire (ne m’affirmant pas assez).

Je comprends que tout cela rejoint l’idée de devoir m’affirmer. Des schémas que je croyais finis du bon samaritain qui aide les autres et qui ne veut pas froisser.

J’ai déjà atténué tous ces schémas car le bon samaritain n’y est plus mais des bribes de pas blesser sont restées ainsi que la non-affirmation dans certaines situations (pas savoir dire NON).

 

Avec mon mental, j’ai pris conscience que je dois laisser la place au féminin, donc à Karine. Je le fais au quotidien mais le piège c’est que ça reste du mental et qu’il ne s’agit pas encore de conscientisation. Je comprends que tant que je n’aurai pas réussi à m’affirmer, mon comportement (ni celui de Karine) ne pourra changer.

Christelle ma transmis un miroir par son comportement où je n’arrivais pas à voir clair.

Dernièrement, Karine m’a fait remarquer que j’avais appelé la chatte d’un sobriquet que je lui donne à elle habituellement ! et là j’ai compris que le miroir s’agrandissait.

 

Il est toujours important de noter les propos des autres et les situations qui se rejouent. Je vois clairement et comprend le travail en profondeur à faire et apprend par tout cela des situations qui peuvent en cacher une autre (le voile).

J’ai déjà conscientisé certaines choses mais quand le voile est présent et que l’on nous montre plusieurs fois la même chose c’est bien d’avoir un binôme ou un groupe qui nous aide à mettre le doigt dessus pour le voir et l’intégrer (poupées russes).

 

 

A la fin de cet écrit je vais me reposer et pleure, je ressens un soulagement.

 

Passé cette libération, je comprends mon fonctionnement pour acter et conscientiser :

Je me centre et me sers de mon mental. Je fais alors appel à une colère intérieure de façon constructive vers l’objectif que je me suis fixé. A savoir donner sa place à Karine. J’ai fait de même pour d’autres programmes.

 

L’alchimie de notre couple se fera lorsque le féminin et le masculin se seront individuellement équilibrés (chacun doit d’abord faire son travail et communiquer à l’autre). Lorsqu’un certain équilibre sera établi notre binôme sera opérationnel pour passer à l’étape suivante.

 

Voilà pour l’instant nos compréhensions.

 

Merci à Christelle (et à la chatte) d’avoir joué son rôle.

Merci aussi à Damien et Margi pour leur aide à notre compréhension.

 

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