"CERNer" la matière noire - par Hélène R

 

Voici dans la première partie, ce que j'ai pu apprendre concernant les avancées scientifiques sur la matière noire et l'énergie noire, et dans la seconde partie, la découverte des intentions occultes de ces recherches dont le pôle se trouve en Suisse au Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire (CERN).

La matière noire pourrait aussi être nommée "matière transparente", car invisible, elle est insensible aux forces électromagnétiques et à la force nucléaire forte. Pourtant, elle s'agglomère facilement et crée une force de gravité qui attire les atomes. Elle serait donc extrêmement dense et aurait fonctionné comme un catalyseur dans la formation des structures de l'univers. Elle aurait fourni le squelette autour duquel les atomes de matière ordinaire se sont agglomérés pour former les galaxies.

 

Simulation permettant de "mettre en lumière" les filaments de matière noire

grâce auxquels les galaxies ont pu se former

 

 

Les scientifiques se démènent pour identifier la matière noire. Ils ont cherché avec Arecibo, le plus grand radiotélescope au monde construit dans la jungle du Costa Rica qui, jusqu’à son démantèlement en 2020, permit d'observer de nombreuses galaxies avec leurs nuages d’hydrogène.

 

 

Les résultats de ces études ont exclu qu'il pouvait s'agir de gaz, de matière compacte et de matière ordinaire. Elle n’était donc constituée d’aucun élément connu du tableau de Mendeleïev.

 

Alors, ils se sont tournés vers l'intelligence artificielle. La Nasa fit travailler une "machine cosmologique", soit 3000 ordinateurs connectés ensemble pour réaliser 13 millions de millions d'opérations arithmétiques par seconde ! C'est la puissance de calcul nécessaire pour simuler artificiellement l'univers et ses mécanismes. Ils ont compris que la matière noire est le creuset de toute matière originelle (carbone, hydrogène, azote) donnant naissance aux étoiles ainsi qu'à toute forme de vie terrestre. Donc sans matière noire, rien ne pourrait exister, mais paradoxalement, rien ne prouvait qu'elle existe.

 

Elle est le nouveau Graal de la physique des particules et la course contre la montre continue de plus belle. Si la science pouvait capturer ne serait-ce qu'une particule de matière noire, la plus grande énigme de la physique moderne serait résolue. D’innombrables scientifiques se tirent la bourre, espérant se voir décerner un prix Nobel.

Dans le tunnel de Fréjus (de part et d'autre de la frontière franco-italienne), des laboratoires sont enfouis sous 1700 m de roche pour qu'aucune autre particule indésirable ne vienne perturber l'expérience. (La matière noire, quant à elle, parvient sans problème à traverser cette épaisseur de roche.)

 

Plusieurs années d'expériences et un savoir de pointe ne leur ont pas suffi pour identifier une seule particule de matière noire. Mais les chercheurs ne baissent pas les bras pour autant ; si elle est impossible à capturer, alors fabriquons-la !

 

Direction Genève, où 10 000 chercheurs se sont lancés dans les plus grandes expériences scientifiques de la planète sur les atomes, les particules et la matière noire : c'est dans un tunnel de 27 km de circonférence à 100 m sous terre, qu'a été construit le plus puissant accélérateur et briseur de particules. Il a été créé par le CERN. Pour cette opération spéciale sur la matière noire, le détecteur de particules est immense. C'est comme s’ils avaient bâti la cathédrale de Paris 100 m sous terre !

 

Ils propulsent deux faisceaux de particules qui, dans un très bref instant qui se mesure en milliardième de milliardième de seconde, entrent en collision dans un petit espace de l'ordre d'un millième de milliardième de cm. Ils font donc des expériences sur l'infiniment petit pour comprendre l'infiniment grand. Le coût de cette installation : 9 milliards d'euros !

 

Qu'en est-il de leurs expériences ? Il leur faut un million de milliards de collisions pour la production d'une particule de matière noire. Mais au final, celle-ci n'est pas encore reconnaissable parmi d'autres particules. Pour l'instant, l'invisible n’est toujours pas visible.

 

D’après les médias officiels, ces scientifiques auraient aussi fait appel à la NASA pour tenter une ultime expérience depuis la Station Spatiale Internationale (ISS) valant 100 milliards de dollars (10 fois le CERN). Officiellement, toujours aucune découverte n'a été déclarée.

 

Mais l'ISS, n'est-elle pas un gigantesque canular où les soi-disant astronautes passent leur temps à faire des numéros de cirque pour dévier notre attention de la réalité ?

 

Astronautes en apesanteur s'amusant à gober des m&m's dans une vidéo sur la matière noire

 

Pour plus d'informations sur la pseudo-réalité de l’ISS, voir la vidéo de Roch Sauquere de 50mn20 à 1h06 : https://www.youtube.com/watch?v=XQSbOwFVMNQ

 

À force de rechercher cette matière invisible, les scientifiques sont tombés sur un os, une deuxième inconnue qui accentuait leur ignorance :

 

Le physicien Michel Spiro, voulait déterminer quand l'univers s'arrêterait de grandir. Pour cela, il devait trouver comment mesurer la vitesse de l'expansion de l'univers. Plafonné à sa vision réduite et linéaire, il fut surpris de découvrir que l’univers grandissait toujours plus grâce à une force incroyable qui provoque son expansion infinie : elle fut nommée "énergie noire".

 

D’après ses recherches, l'univers fonctionnerait grâce à deux forces invisibles et complémentaires :

- une matière noire qui agglomère les particules (représentant environ un quart de l'univers),

- et une énergie noire qui au contraire disperse les particules (représentant les trois quarts de l'univers).

 


 

Michel Spiro conclu ironiquement que toutes ces recherches ont en fait permis de connaître l'ampleur de notre ignorance de façon relativement précise : 95 % !

 

"Finalement, on en sait moins que ce que l'on croyait.

Une découverte, ça n'augmente pas forcément nos connaissances, ça augmente la conscience de notre méconnaissance !" Etienne Klein

 

Et comme le précise l'astrophysicien Wiston Benbow du projet VERITAS :

 

"Comprendre ce qu'est la matière noire est un des plus grands enjeux du 21e siècle en astrophysique et en physique en général. Si vous sortiez de chez vous et que 95 % de la matière vous échappait, vous seriez un peu paniqué !"

 

Curieusement, ce chiffre correspond aux 95 % des pensées que l'humain croit être siennes mais qui proviennent des entités habitant des mondes encore invisibles à nos yeux.

 

La conclusion évidente est que l'humain ne connaît rien des forces obscures qui modèlent son univers.

 

 

Mais que cache cette folie des grandeurs ?

 

Le plus intéressant est effectivement d’enquêter sur la partie immergée de l'iceberg de ces recherches qui tournent à l’obsession. En allant directement sur le site officiel du CERN, nombre d’informations occultes sont en fait dévoilées pour celui qui cherche.

Les scientifiques de cet institut se présentent ainsi :

 

Au CERN, notre travail vise à mieux comprendre de quoi est fait l'Univers et comment il fonctionne. Pour cela, nous mettons à la disposition des scientifiques un complexe unique au monde d'accélérateurs de particules leur permettant de repousser les limites de la connaissance humaine.

 

Repousser les limites de la connaissance humaine ferait implicitement référence au fait que ces élites scientifiques ont pour but de développer un savoir non humain.

Quant au logo du CERN, il parle de lui-même. Il ressemble à une torsade de fil barbelé observé depuis la tranche. Il nous renvoie au fait de "Cerner" (encercler, emprisonner, limiter) la conscience d'une partie de l'humanité.

 


 

 

Cette clôture renvoie aussi aux ceintures de Van Allen qui sont au nombre de deux et qui maintiennent l'illusion électromagnétique du True man show terrestre.

 


 

 

Et en observant le cercle de gauche, il met en évidence les trois 6 superposés du 666 – symbole Illuminati si souvent affiché par les stars. Tout y est, même le pouce !

 


 

En occident, ce geste signifie "ok", "approuvé" ou "apprécié". Il a été popularisé dans la fin des années 60 par le lieutenant des affaires publiques de la NASA. En d'autres mots, faire ce signe signifie donner (consciemment ou inconsciemment) son consentement pour être emprisonné dans les boucles temporelles de 3e densité !

 

Une des facettes de ce dispositif géant qu’est le CERN, serait d’agir en synergie avec le projet HAARP, les 5 et 6 G, les injections de nanopuces, etc., dans le but de limiter la conscience humaine en l’isolant d’un savoir occulte.

 

 

Petit historique sur la Suisse et les nazis

 

Les indices précédents sont confirmés par les faits historiques, qui pour beaucoup rejoignent l'opération Paperclip :

 

L'opération Paperclip a été une manœuvre menée par l’état-major de l’armée américaine, pour exfiltrer en toute discrétion près de 1500 scientifiques originaires de l’Allemagne nazie. Avec l'entrée en guerre des États-Unis, est créé un camp d'internement à Fort Hunt en Virginie en 1942 pour interroger les prisonniers de guerre allemands ayant des connaissances techniques et scientifiques. 600 interrogateurs avaient pour mission de leur soutirer des informations.

 

En juillet 1945, un mémorandum confidentiel de l'état-major américain recommande que « ces esprits talentueux et rares, à la productivité intellectuelle hors du commun, soient placés à notre service ». Tous ces scientifiques nazis sont donc exportés aux USA afin d'exploiter leurs connaissances, notamment en matière de psychiatrie et de contrôle mental (projet MK-Ultra des années 50, dévoilé en 1975, qui est le nom de code d'un projet de la CIA visant à développer les techniques de manipulation mentale).

 

Grâce à ces scientifiques, l’armée américaine développe de nombreux missiles balistiques, mais démarre aussi un programme de recherche spatiale dans le cadre de la “course à l’espace”. Ainsi, en 1960, plus de 80 “prisonniers de paix” sont intégrés aux équipes de la toute jeune NASA, pour travailler sur les premiers programmes spatiaux américains.

 

https://www.chosesasavoir.com/quest-ce-que-loperation-paperclip/ https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Paperclip

 

Le premier directeur de la NASA jusque dans les années 80, Kurt H. Debus, est donc un ancien nazi nationalisé américain. Depuis 1995 déjà, les médias grand public révèlent l'existence de l’opération Paperclip impliquant des campagnes de vaccinations, des prélèvements d’ADN et la création d'une nouvelle race humano-alien (voir l'épisode "Opération paperclip" de la série Xfiles).

 

Cet aparté historique donne tout son sens aux quelques lignes d’introduction de la page "Notre histoire" sur le site du CERN :

 

Les origines du CERN remontent aux années 1940

Un petit groupe de scientifiques visionnaires d'Europe et d'Amérique du Nord estiment nécessaire que l'Europe dispose d'une infrastructure de recherche en physique de calibre mondial. Il s'agit d'endiguer la fuite des cerveaux vers l'Amérique, qui avait commencé durant la Deuxième Guerre mondiale, et d'offrir un moyen d’unifier l'Europe d'après-guerre. https://home.cern/fr/about/who-we-are/our-history

 

Les cerveaux nazis de l’opération Paperclip ne seraient donc pas tous partis aux Etats-Unis, ils auraient aussi trouvé refuge en Suisse !

La Suisse, et plus précisément Genève, semble être la plaque tournante de technologies qui dépassent les connaissances scientifiques humaines. Ces technologies seraient donc inspirées par une idéologie nazie transdimensionnelle qui actuellement, étend son emprise grâce à la politique satanique mondiale.

 

Claus Schwab, "la marionnette toute puissante" qui sort de l'ombre, est lui-même imprégné de la culture nazie. Il n'est autre que le fondateur et président du Forum Economique Mondial qui planifie et impose la dictature mondiale nommée Grand Reset (https://www.youtube.com/watch?v=FPaWt9agYoY). D’ailleurs, les mises en scènes sataniques de la cérémonie du tunnel du Gothard (https://www.dailymotion.com/video/x5z229t) nous indiquent clairement que la Suisse est un pays clé pour mettre en œuvre leur plan.

 

 

Le terrier du lapin blanc

 

En continuant à suivre les signes, voici une découverte d’envergure : le détecteur de particules le plus important du CERN se nomme... Alice ! (https://home.cern/fr/science/alice)

 

Plus de 1000 physiciens et ingénieurs de 30 pays différents ont contribué à la construction du détecteur. Il mesure 16 m en hauteur et 26 m en longueur. Ses ambitions : étudier la matière nucléaire dans un état extrême de température et de densité, la « soupe » de quarks et de gluons qui aurait existé, quelques microsecondes après le Big Bang.

Pour reproduire la soupe primordiale de quarks et de gluons, il faut pouvoir chauffer la matière jusqu’à une température 100 000 fois plus grande que celle qui règne au centre du soleil et la comprimer en exerçant une pression équivalente à 100 fois le poids de la Terre sur une tête d’épingle !

Alice pourra apporter des éclairages nouveaux sur les questions fondamentales telles que l’organisation ultime de la matière soumise à l’interaction forte et l’état de la matière dans les premiers instants de l’Univers.

 

Alice héberge la chambre à échantillonnage temporel la plus grande du monde

 

Le détecteur à photon d’Alice

Un œil à facettes qui concentre toute l’Intelligence d'Alice (IA)

 

Ces recherches titanesques tournent apparemment autour d'un point central : comprendre et maîtriser les derniers états de la matière avant sa désintégration, puis ses premiers états lors de son apparition.

Leurs expériences ne consisteraient-elles pas essentiellement à trouver, voire améliorer (puisqu’ils en savent bien plus que ce qu'ils laissent paraître) une technologie qui permettrait de démoléculariser et remoléculariser la matière d'un côté et de l'autre d'une porte dimensionnelle ? "Alice" pourrait bien s'avérer être une "stargate" qui serait en mesure de télescoper un organisme dans un autre espace-temps.

Voici un autre extrait provenant du site du CERN qui confirme l’objectif de ces "candidats à la matière noire" :

 

Les candidats à la matière noire sont souvent présents dans les théories portant sur la physique au-delà du Modèle standard, telles que la supersymétrie et les dimensions supplémentaires. L’une de ces théories évoque l’existence d'une « vallée cachée », un monde parallèle fait de matière noire ayant très peu de chose en commun avec la matière que nous connaissons. https://home.cern/fr/science/physics/dark-matter

 

 

Des expériences risquées

 

Ne maîtrisant pas les potentialités de la matière noire – fonctionnant avec l’énergie nommée "faible" – pour créer une brèche dans l'espace-temps et désintégrer la matière, ils font donc appel à la force qu'ils nomment "forte". Celle-ci permet la fission nucléaire. Ne se produisant pas à l'état naturel, la fission – par opposition à la fusion – est contre nature. Quand elle est déclenchée, la réaction peut devenir incontrôlable et provoquer l’émission d’ions radioactifs de plus en plus nombreux. C'est le cas lorsqu’une bombe nucléaire explose.

 

Une de leurs expériences consiste à générer des trous noirs miniatures grâce à certains quarks qualifiés d' "étranges" qu'ils nomment "étrangelets" :

 

Ces étrangelets, qui constituent une nouvelle forme hypothétique de matière nucléaire constituée des quarks « étranges » (quarks S), suivant la terminologie adoptée par les physiciens, ont été découverts en 1999 par le physicien Horatiu Nastase, de l’université Brown. Il suggéra, dès les premières expériences de collisions entre ions lourds conduites au Brookhaven National Laboratory (BNL), que ces réactions nucléaires pourraient produire un nouvel état de la matière, déclenchant la destruction de la Terre suite à un effondrement gravitationnel semblable à celui se manifestant dans un trou noir.

https://www.cairn.info/revue-ethnologie-francaise-2015-1-page-55.ht

 

Comme tous les accélérateurs de particules, le LHC du CERN est considéré par la loi française comme une "installation nucléaire de base". D’après certains spécialistes, le risque que représente une telle installation est largement minimisé :

 

Résidents de Hawaii et désignés par la Cour comme « experts en physique et autres disciplines en science, technologie et éthique », Wagner et Sancho demandent de retarder le lancement des opérations au LHC tant que l’absolue sécurité du dispositif n’aura pas été prouvée. Dans un court article, Sancho, qui se définit comme cosmologue, applique au LHC un calcul des coûts qu’il calque sur celui qu’effectuerait un assureur : « Le risque minimal tel qu’il est calculé par le CERN compte 1 à 10 % de chances de voir la Terre disparaître. Dans le milieu des assurances, le “nombre de morts” généré par une catastrophe potentielle est calculé en multipliant le nombre de victimes possibles par la probabilité que l’événement ait lieu. Suivant un calcul similaire (8 000 000 000 x 1 – 10 %), le LHC provoquerait, techniquement, le plus grand holocauste de l’histoire. Il serait également le plus grand crime environnemental […], puisqu’il consisterait en la destruction de toutes formes de vie sur la planète »

https://www.cairn.info/revue-ethnologie-francaise-2015-1-page-55.htm

 

Le CERN tente de désamorcer ce scénario apocalyptique avec une comparaison quelque peu simpliste et enfantine. Il précise que l’énergie dégagée par les collisions est comparable à celle de deux moustiques dont les trajectoires se seraient croisées malencontreusement !

 

 

La matière Noire et la conscience

 

Discrètement, loin de toutes ces batailles et expériences démesurées qui utilisent des technologies sur-humaines, l'Intelligence Artificielle et la force forte, certains individus s’orientent dans une toute autre direction.

 

En 3e densité, notre organisme est soumis à la force forte – l'illusion électromagnétique. Plus nous nourrissons les illusions de cette réalité, plus le spin des quarks (protons et neutrons du noyau des atomes) tourne dans le sens horaire – le sens du temps Chronos. Cette rotation provoque une atrophie progressive des fonctions vitales.

 

Tandis que, par l’assimilation et l’application de la Connaissance, le spin de ces milliards de trous de ver s’inverse dans le sens anti-horaire – le sens du temps Kairos. Cette nouvelle rotation portée par la force faible apporte dynamisme et évolution. La force "faible", en fait extrêmement puissante, est difficilement "cernable", car elle est constituée de particules électriquement neutres : les neutrinos. Cette force faible n’est autre que l’énergie noire indissociable de la matière noire.

 

Les fameux filaments de matière noire détectés par les astrophysiciens à partir desquels se formeraient les galaxies, auraient pour rôle d’offrir une "ossature" aux réalités potentielles. En effet, lorsqu’une énergie-conscience "se pose" sur un filament, par sa spécificité à réceptionner et agglomérer des particules (phénomène de gravitation), la matière noire donnerait forme à certaines expériences et réalités.

 

Quant à l'énergie noire (ou faible), "Elle est distribuée de façon uniforme dans l’Univers, non seulement dans l'espace mais aussi dans le temps. Cette répartition égale signifie que [contrairement à la matière noire] l’énergie sombre n’a pas d’effet gravitationnel local, mais plutôt un effet global sur l'Univers entier." https://home.cern/fr/science/physics/dark-matter

 

L’énergie noire semblerait donc être vectrice des informations du champ informationnel. Elle serait le véhicule de notre énergie psychique et créative qui, par sa force d'expansion, atteint des réalités potentielles "en attente" – les filaments de matière noire – pour manifester une réalité.

 

Il est maintenant compréhensible qu’en 3e densité SDS, changer de ligne temporelle ou créer une réalité parallèle artificiellement est bien possible, mais restera toujours limité à des existences plafonnées et involutives pour l’âme. Les scientifiques et autres entités du CERN, obsédés par la maîtrise technologique de l’espace-temps, se privent automatiquement de l'accès à l’énergie et la matière noires (donc à la Connaissance) et tous ses potentiels de création. "Science sans conscience n’est que ruine de l’âme." Rabelais

 

Tandis que de nombreux peuples soi-disant sauvages et d’autres individus sans prétention, développent par l’accès à l’énergie noire, des capacités "naturelles" à modifier l’espace-temps.

 

Les anciennes cultures possédaient déjà une conception du cosmos plus réaliste que celle de la cosmologie moderne. La plupart de ces traditions puisaient leur connaissance, non pas dans le spectre "visible" de l'univers, comme le fait la science humaine au travers de sa technologie, mais en se reliant à leur Soi intérieur (leur Ange, leur lumière intérieure). Cette lumière intérieure n'est ni plus ni moins ce que les physiciens nomment l'énergie noire. Cahier de l’Ange n° 2.2

 

 

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