Fiche de lecture « Ces mondes qui nous gouvernent » - par Sabine B

 

Laura Knight-Jadczyk, éditions Pilule Rouge, 2006, 503 pages.

 

Comment pouvoir faire une fiche de lecture relativement simple pour ce livre de Laura Knight, tant ses recherches embrassent de très vastes sujets.

Je commencerai par rendre hommage à sa manière de faire, car la qualité principale de son travail de haute voltige est la rigueur apportée à chacune de ses recherches afin de ne pas être trompée, manipulée, soumise à des erreurs d’interprétation, si bien qu’elle vérifie encore et encore, remet en question, revérifie…

 

Ses recherches s’appuient sur trois points :

Son expérience personnelle de mère de famille de 5 enfants : les évènements qui ont émaillé le cours de sa vie et qui présentaient « une Grande Étrangeté » et sa pratique d’hypnothérapeute ; ses innombrables lectures dans des champs très variés (histoire, physique, biologie, extraterrestres, enlèvements, psychologie…) ; enfin les dialogues avec les Cassiopéens.

 

Ces dialogues avec les Cassiopéens sont intervenus après 2 ans de pratiques de la planche OUIJA avec son collègue Frank, mais qui canalisait alors des entités dont les messages ne présentaient pas d’intérêt. Elle a néanmoins insisté jusqu’au jour où le premier message Cassiopéen est arrivé, dont le style changeait du tout au tout « enfin quelqu’un qui s’exprime bien ». Son idée, pour ne pas influencer les messages reçus ou pour déjouer toute transmission éventuelle par un satellite en stationnaire au-dessus de sa tête, fut d’être à plusieurs personnes jouant le rôle d’antennes de réception pour être sûre que la manipulation mentale simultanée sur plusieurs personnes soit rendue plus difficile pour ceux qui auraient pu envoyer les messages avec de mauvaises intentions. Ainsi commença en 1994 les dialogues qui jusqu'à ce jour continuent.

Ceux-ci corroborèrent ces expériences vécues et ses lectures. De plus lorsqu’elle rencontra son futur mari, Arkadiusz Jadczyk, physicien et mathématicien de renom, ils unirent leurs compétences pour affiner d’avantage leurs questions et obtenir la fameuse connaissance qui protège.

 

Les recherches de Laura sont entièrement partagées au travers de ses écrits, forum, et sites sur internet, dont le fameux SOTT (Signes of the time : signes des temps). Elle a compilé tous ces écrits au travers de nombreux livres dont la série en 8 tomes de l’Onde, la Science Antique, l’histoire secrète et autres ouvrages…

Le livre « Ces mondes qui nous gouvernent » est une synthèse de ce qu’elle a appris avec les Cassiopéens au sujet des extraterrestres, des rapts, de la 4ème dimension SDS, de la situation dans laquelle l’humanité se trouve. Elle a été très éprouvée par ce qu’elle a appris sur les modalités de la prédation du consortium (gouvernement + 4D SDS). Je dois dire que moi aussi j’ai été éprouvée par cette lecture dense qui demande beaucoup de concentration, et de réflexion. Le sujet est hard car il faut du courage pour aller chercher la vérité de la réalité, telle qu’elle a été aussi révélée par Dom Juan le Nagual, à l’anthropologue Carlos Castaneda.

 

Pour faire court : nous sommes une expérience, nous sommes de la nourriture, nous sommes prédatés, trompés, utilisés pour être hybridés, étudiés, clonés, bref, une horreur ! Cependant des renforts arrivent disent les Cassiopéens, ils disent aussi que tout est expérience et leçon. Que tout dépend du point de vue avec lequel on regarde les choses.

 

Partant du sujet complexe des rapts par des extra-terrestres, en ayant fouillé en long, en large et en travers tous les cas possibles, décrypté les actions de COINTELPRO (Counterintelligence program – programme de contre-espionnage), questionné les Cassiopéens sur les différentes races qui interfèrent avec l’humanité, elle en est arrivé à proposer de développer ce qu’elle dénomme « la quête du Graal ».

 

J’ai repris ci-après (phrase entre guillemets) ou synthétisé, les passages qui me semblent être les plus éclairants de la vision de Laura pour suivre son cheminement réflexif tenant compte de ses expériences et des nombreuses recherches effectuées pour l’écriture de ce livre, inspiré notamment par Gurdjieff, Ibn Arabi et bien d’autres, mais aussi pour comprendre cette quête et voir ce qui se joue actuellement afin de traverser ce chaos provoqué sciemment.

Il y a 7 niveaux de densité auxquels correspondent différents niveaux de conscience. Le niveau 7 étant celui de l’absolu, de l’unité, du Un… A partir du 6ème il y a une division entre Être et Non-Être, ou encore, marche/arrêt, allume/éteint, ombre/lumière, fonctionne/fonctionne pas… La partie Non-Être réfléchit la partie Être. La partie Être développe d’infinis potentiels, comme la partie Non-Être.

 

« Divers chemins peuvent produire des effets différents dans des individus différents, selon leur immuable nature intérieure. Ceux dont la nature intrinsèque est de se tourner vers l’Être, suivent le chemin du développement de la faculté de voir et de choisir l’alignement sur l’infini potentiel de création, devenant ainsi les conduits d’Être que Dieu choisit de manifester à travers eux. Ils ne voient pas seulement que la limitation est une illusion mais ils agissent consciemment : ils utilisent ces connaissances pour générer de l’énergie et de la lumière.

Ceux dont la nature intrinsèque est tournée vers le Non-Être suivent le chemin de la limitation de l’Être infini en posant qu’eux, dans leur état d’ignorance et de subjectivité, savent mieux que Dieu comment il faut réparer la création. »

 

C’est alors qu’apparaît dans ces conditions la spiritualité « amour-lumière » qui inclut même que « le simple fait de savoir que toute division est illusion, permettra d’atteindre les objectifs de « l’ascension », ce qui est le plus sournois des mensonges ! […] Le plus difficile à discerner ce sont les nombreux chemins spirituels « mélangés » qui forment les concepts d’Être de manière à mener l’aspirant sur le chemin de Non-Être ».

 

Ainsi, l’Être qui choisit ce chemin (d’Être) va voir tout le champ des Centres de Pensées qui influencent la création et va choisir ceux qui magnifient ou dynamisent la Création et l’Être, et ensuite « une boucle de rétroaction sélectionnant ce futur probable sera établie ». Plus le champ de vision est étendu, plus nous sommes à même de discerner si nos impressions émanent des centres de pensées de l’Être ou du Non-Être.

« A ce stade l’individu peut alors « donner forme » à ses émotions et diriger ses actions de manière à devenir une unité capable de transduire* efficacement les énergies cosmiques dans cette réalité-ci. Il s’agit d’une utilisation des connaissances qui engendre de l’énergie, qui génère de la lumière ».

*En génétique : transfert d'une information génétique d'une cellule à une autre par l'intermédiaire d'un vecteur (comme un virus par exemple).

 

Poursuivons :

« Pendant le développement de la boucle de rétroaction, l’être humain - canal de la création - devient un participant actif dans la création de son propre futur par l’acte du choix de sa plateforme d’observation et de l’étendue de ce qu’il accepte pour « réel » : subjectif ou objectif. En outre, étant donné que l’énergie de l’être est modifiée par « l’afflux d’énergie cosmique » qui passe à travers lui, étant donné qu’il perçoit des expressions créatrices d’infinis potentiels de plus en plus nombreuses, et choisit celles sur lesquelles il souhaite s’aligner, il devient alors colinéaire de ces autres expressions d’Être – d’autres unités organiques sans doute différentes par leur compositions, mais pareillement conscientes du Potentiel infini - et il est alors capable d’interagir avec elles d’une manière qui étend davantage et transforme l’énergie de transduction.

 

Cela peut aboutir à une amplification exponentielle de la transduction des énergies d’Être qui peuvent alors complètement modifier la nature physique de l’unité organique. Tout comme une canalisation d’eau se mouille de l’eau qui la traverse, ainsi l’être humain qui a entrepris le processus d’alignement sur l’Être se sature des énergies supérieures qui se manifestent à travers lui. Ce processus mène à l’infiltration de la nature organique du vaisseau, ce qui aboutit à la transformation, c'est-à-dire que la « matière dormante » de l’unité organique est éveillée et fait de celle-ci un participant à part entière de l’Être, au lieu d’un poids que l’âme doit porter ou chercher à rejeter. L’énergie du véhicule organique est dès lors dans les termes décrits dans la fameuse formule d’Einstein. »*

* E=mc2 où E est l’énergie, m la masse et c la vitesse de la lumière. Ainsi 1 kg de matière représente 8,988×1016 Joules (10 avec 16 zéro).

 

Poursuivons encore :

« La personne qui s’aligne sur le Non-Être suit le même processus mais dans la direction opposée. […] Le centre de pensée du Non-Être est d’une certaine nature – la subjectivité contractile – qui exerce une traction plus ou moins « gravitationnelle » - un désir d’absorber et assimiler les énergies d’âme de l’Être – pour pouvoir nourrir sa propre nature contractile. Même s’il suscite en principe un champ complet de conscience, il ne peut voir l’Être que comme un traitre à son propre besoin de ne pas exister. Le résultat en est un individu qui proclame sans doute que tout est illusion, mais dont les actes – ou plutôt l’absence de ceux-ci – trahissent le profond état immuable de Non-Être. A cause de sa nature intrinsèque, il y a une forte tendance, exercée par le Non-Être, à anéantir et empêcher l’Être et la Création – tandis qu’il est incapable de prendre conscience qu’il existe qu’en vertu de l’Être et de la Création en action !

 

Le puissant effort du Centre de Pensée du Non-Être d’absorber et assimiler toute création, alimenté par sa propre subjectivité contractile, pose certains problèmes tant pour lui-même que pour l’Être. Le fondement du Non-Être est un mensonge – c’est-à-dire que l’état de non-être absolu qu’il tend à atteindre est une impossibilité paradoxale. Le fondement de l’Être est le fait objectif que l’existence est simplement au travers de l’action ou de la mise en application des connaissances, ce qui génère de la lumière. C’est pourquoi l’essentiel du conflit est entre le mensonge et la vérité. Le centre de Pensée du Non-Être se dit à lui-même un très gros mensonge : qu’il n’existe pas ; et il fait semblant de s’endormir. De ce point essentiel nous voyons que la nature de la subjectivité est le mensonge. Mensonges et croyances à des mensonges – que celui qui y croit soit conscient ou non qu’il croit en des mensonges – participent de la même essence – subjectivité et Non-Être. Voilà l’importance ésotérique de la programmation que nous voyons autour de nous actuellement.

 

Le Centre de Pensée de Non-Être, dans son expression en tant que matière, étant « impressionné » par la conscience créatrice en action qui l’éveille partiellement et l’attire vers la création du monde organique, s’enroule autour de la conscience éveillée. Sa nature intrinsèque qui est de feindre le Non-Être agit « gravitationnellement » sur la conscience et la déforme et la tord à divers degrés de subjectivité. C’est une interaction de l’énergie de toute possibilité placée sous la lentille de la subjectivité de la matière qui produit les myriades de manifestations de l’univers matériel. […] Ces modes agissent d’une manière gravitationnelle pour attirer, replier et déformer la conscience à leurs fins. Le résultat en est la formation d’unités de conscience d’une grande puissance et d’une profonde intelligence rusée – bien au-delà de ce qui est imaginable dans notre propre réalité.

Ces unités de conscience font usage de leurs ruses pour assimiler des unités de conscience plus faible de manière à accumuler davantage de puissance contractile. Manifestement plus « denses » sont les unités de conscience « consommés », plus « nourrissantes » elles sont. Elles cherchent donc par leurs artifices, avec grand soin et patience, à manipuler les unités de consciences sélectionnées pour l’assimilation. Il s’agit d’une traque millénaire.

 

Ces seigneurs de l’entropie – si nous pouvons leur donner ce nom – en vertu de l’imposition d’une subjectivité intensifiée – sceau de l’influence du Centre de pensée de Non-Être- font interface avec le monde organique à un niveau « géographique ».

Puisqu’ils ont en quelque sorte une relation intime avec la matière, la conscience contractile de ces êtres peut affecter le territoire qu’ils choisissent de coloniser, elle est un peu comme un « nuage » le surplombant, nuage équipé de millions de filaments qui le relient à leur zone d’influence. Ceci est vrai également pour la matière dont sont formés les corps humains. C’est par l’intermédiaire de ces fibres éthériques que les Seigneurs de l’Entropie assimilent l’énergie. »

 

Bien j’arrête là les citations. Elles résument la vision de la création des forces entropiques qui nous assujettissent et nous soumettent à leur domination.

Pour échapper à cette « succion » Laura Knight nous montre l’intérêt de renforcer notre connexion avec l’énergie créatrice – le soi supérieur – pour créer une boucle de rétroaction avec les Centres de Pensée de l’Être et de la Création.

 

Pour finir, Laura nous montre que 7 milliards d’être humain constituent « une station de transmission ». « L’humanité est en train d’être manipulée de manière à devenir des batteries destinées à alimenter un « évènement » dont les forces entropiques espèrent qu’il aura pour résultat de faire d’eux les maîtres de la planète en 4ème densité. Que veut donc la Matrice ? De la force vitale ».

 

Alors attention à nous, à notre alignement, aux possibilités de transduire les énergies cosmiques alignées, à nous connecter à notre soi supérieur. Ne nous laissons pas entraîner comme ces foules se battant avec agressivité, même s’il semble que leur cause soit juste.

Observons l’accélération actuelle des mouvements de foule (antifa, climat, extinction, collapsologie, sauvons la planète, gilets jaunes, grèves diverses, parades LGBT…), afin que la batterie soit le plus chargée possible au moment de « l’évènement ».

 

Je vous invite à lire cet ouvrage pour comprendre les forces à l’œuvre dans cette époque où les choses s’accélèrent grandement.

 

Bonne quête,

Sabine B 

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