Jouissance et culpabilité (ou piège du Prédateur) - par Suy

 

Une fois de plus, mon fils a fait office de miroir pour me dévoiler un de mes alters... et pas des moindres. Parce que je viens d'avoir ma réponse quant à ma problématique depuis deux ans, évoquée lors de mon dernier témoignage...

 

Depuis avant-hier soir, il fait des crises à répétition, avec cris et obsessions en répétant en boucle "Je veux ma télé, je veux ma télé !" quand je veux le coucher ou "Je veux garder ma couche pour jouer avec maman, je veux..." lorsque je veux le changer parce qu'il a fait caca ou encore "Je veux dormir, je veux dormir !" le matin alors qu'on est à la bourre pour aller à l'école et que je lui ai accordé plus de 20 min supplémentaires à rester auprès de lui après la sonnerie du réveil.

Et dans ces moments-là, ça s'agite fortement en moi et ça finit par me rendre dingue...!

 

Alors parfois, j'arrive à parer une réaction que je considère dans l'après excessive - et qui me fait culpabiliser -, en mettant par exemple du papier dans mes oreilles pour moins entendre ses hurlements, ou en m'enfermant dans la salle de bain en attendant qu'il se calme et que je reprenne mes esprits... vivant seule avec mon fils, je ne peux déléguer ou même me permettre d'aller faire un tour pour me changer les idées... non.

Bref, cette fois-ci, il m'a prise de court...

 

Je l'ai allaité jusqu'à maintenant mais depuis quelques semaines, depuis qu'il dort certains week-ends chez sa grand-mère, il n'est plus en demande et lorsqu'il réclame, c'est par automatisme et ça ne dépasse pas quelques secondes... mais ce matin, alors que j'étais dans un demi-sommeil (les grasses matinées ne sont plus qu'un lointain souvenir depuis plusieurs années !), il s'est fait pressant à me réclamer puis à exiger par des cris et des pleurs de plus en plus puissants "Je veux téter, je veux téter...!!" Dur dur, j'ai senti une fois de plus que quelque chose en lui cherchait à me faire exploser, à me faire entrer dans le jeu malsain de la victime et du bourreau...

 

Je l'observais, totalement manipulé par cette force (entité) qui s'exprimait à travers lui, pure marionnette de son Prédateur qui faisait tout pour obtenir du mien l'énergie nécessaire à sa sustentation ("suce/tentation")... cette fois-ci, sachant qu'il était tôt et que les voisins dormaient, la colère est montée très vite en moi (peur de déranger le voisinage, de ce qu'il peuvent s'imaginer de ces cris, etc.) et je l'ai menacé plusieurs fois de fessée s'il ne se calmait pas... ce qui n'a eu évidemment aucun impact puisque lorsqu'il est dans cet état, rien ne le calme, il n'entend rien... il est juste comme "possédé".

 

Mais sur le coup, je me suis tellement sentie démunie, acculée, agressée que j'ai mis ma menace à exécution... ce qui ne l'a pas pour autant calmé... juste effrayé... et moi... ben ça m'a juste plombée. Parce qu'après la pseudo-jouissance de l'instant où mon Prédateur a pu s'exprimer lui aussi en réaction à cet autre, s'en est suivie l'ombre de la culpabilité ("bienveillance" prônée à-tout-va oblige !), culpabilité que je ne connais que trop bien mais cette fois-ci, je lui ai fermé la porte dès son apparition. Sachant qu'elle n'était là que pour m'enfoncer davantage, faire en sorte que je crois en mon rôle de bourreau... et surtout éviter que je ne questionne au-delà de cette manifestation dans ma réalité...

 

Après-coup, je me suis tout de même enfermée dans la salle de bain. J'ai senti mon cœur battre la chamade, mon plexus serré, ma respiration saccadée... tous les symptômes qui parlent de quelque chose qui vibre en profondeur et pas encore dépassé. J'ai alors fermé les yeux et ai demandé à ma supraconscience de me délivrer le message qui allait m'aider à y voir plus clair... qu'avais-je à entendre, à mettre en lumière dans mes profondeurs ? Et là, j'ai laisser venir, en même temps que mes larmes, ce qui allait s'imposer comme une évidence...

Ce fût un rêve qui refit surface... un cauchemar (réminiscence d'une autre vie ? Vie parallèle ?)...

J'étais un homme et je me trouvais dans une sorte de désert, sur le toit de ma camionnette blanche, lanterneau ouvert et je craquais une allumette que je balançais à l'intérieur du véhicule... où j'avais préalablement balancé de l'essence... de là, je récupère mon fils qui est à l'avant côté passager, je le prends dans mes bras, et ouvre la portière latérale d'une main... et là, il me serre fort dans ses bras en me disant avec sa petite voix "canin" (mot qu'il utilise depuis petit pour avoir un câlin)... je sens que, malgré la confiance qu'il a en moi, son père, il a peur et pressent ce qui l'attend. Je le prends alors très fort dans mes bras, tout en sachant que j'irai jusqu'au bout... ressentant même alors beaucoup d'amour pour lui. Et là, je le dirige vers la porte à moitié ouverte du fourgon d'où s'échappe de la fumée... et je me réveille... choquée !

C'était si réel, si horrible, si à mille lieues de ce que je pourrais faire dans cette vie là... mais n'ayant pas à ce moment-là connaissance des alters et autres, j'ai eu peur de chercher plus loin et d'admettre que je pouvais être au fond ce père criminel... psychopathe ! De là (toujours dans l'accueil des messages de mon Moi Supérieur), un souvenir me revient en pleine figure ! Pour bien appuyer tout ça...

 

J'étais petite et sur le mur, il y avait une mouche. Lorsque j'approchais mon doigt, elle s'écartait légèrement mais ne s'envolait pas... petit à petit elle ne s'écartait même plus et j'ai pu la prendre sur mon doigt... je lui faisais faire l'ascenseur de haut en bas du mur... elle était comme apprivoisée. Et là... je me rappelle lui avoir arraché délicatement les deux ailes dans une sorte de plaisir, de toute-puissance telle qu'on peut la ressentir étant gamin lorsque pour une fois, on décide de quelque chose et que personne n'est au-dessus de nous...

Lorsque le "tranchage" a été fini, j'ai pris conscience de toute l'horreur que j'avais faite et je me suis sentie coupable, à un point ! J'ai eu honte d'avoir pu faire du mal à cette petite mouche qui m'avait laissée l'approcher et même lui faire du mal (parce qu'à aucun moment elle n'avait tenté de s'échapper ou de manifester quoi que ce soit... comme si elle avait été là -programmée ?- pour l'expérience qui allait suivre).

 

Ce jour-là, j'ai pris conscience que j'avais un monstre en moi et j'allais alors tout mettre tout en œuvre pour l'étouffer... surtout qu'à ce moment là, je ne pouvais que m'identifier à mon monstre n'ayant pas le recul nécessaire et la Connaissance que j'ai aujourd'hui des manipulations tangibles et non-tangibles... Et là, en même temps que j'écris... je reprends connaissance d'un autre souvenir qui a eu lieu quelques années plus tard... (!)

 

Là ça va être un peu foutoir peut-être car j'analyse vraiment sur le coup. Donc, un peu plus grande, au bord de la piscine avec ma sœur, nous voyons une ribambelle de libellules autour de nous et à la surface de l'eau. Là, j'émets le souhait qu'elles se rapprochent de nous... ce qu'elles font. Comme hypnotisées, elles viennent une à une près de moi, se posent tout à côté ou dans ma main... et là, je montre à ma sœur... avec le sentiment de partager avec elle mes expérimentations : je leur arrache les ailes à tour de rôle, elles se laissent faire... pareil, comme si tout est était fait pour que cette expérience ait lieu... ma sœur est subjuguée, elle n'en revient pas... à aucun moment elle me dit que c'est mal ce que je viens de faire (puisqu'effectivement, cela se fait tout en douceur, avec la "participation" de ces volants !). Je ne sais plus si elle a participé au massacre ou non, je me souviens juste avoir emmené les troncs chez moi, les avoir bien regardés et avoir ressenti du dégoût... de ce que je voyais. De ce que j'avais fait.

Je n'ai plus jamais recommencé.

 

C'est fou cette histoire quand même... parce qu'avant qu'une mouche ou plusieurs libellules viennent auprès de vous se poser dans votre main, au moment où vous en posez l'intention... pour se laisser saisir sans broncher, il en faut !

... C'est pourquoi je me dis que tout cela a pu réellement être orchestré de plus haut. Parce que mine de rien, la culpabilité qui a découlé (surtout du premier épisode) a dû certainement être un jalon important quant à la suite de mes aventures sur cette planète...

 

Ce qui est drôle (car en écho !), c'est que lors de mon dernier témoignage, je parlais du rôle de bourreau... et que vient cet épisode ce matin qui me permet d'intégrer encore davantage cette notion-là ! Comme pour équilibrer encore plus la balance quant à ma position de victime, ressentie fortement tout au long de ma vie.

 

Autre chose qui m'apparaît de plus en plus clairement : on se dit que, en réaction à une attaque, on n'est pas bourreau pour autant puisqu'on se défend seulement... et pourtant, si en retour l'on est capable de projeter cette violence, c'est que l'on a cette "graine" en soi. Et ça ne sert à rien de le nier... juste à renforcer les stimuli extérieurs dans notre réalité... qui se produiront et se reproduiront jusqu'à ce qu'en émerge une prise de conscience, l'acceptation sans jugement... et peut-être, à force de persévérance et de vigilance : la transcendance.

 

Comme une partie répond à l'autre (un extrême à un autre extrême) et qu'une situation ne naît pas de nulle part... si nous nous trouvons face à une situation qui nous place dans un état de bourreau, c'est que nous vibrons cela quelque part en nous... Ce qui m'amène à conscientiser encore davantage le pourquoi d'une situation récurrente qui se présente face à moi depuis 2 ans avec persistance et de façon... extraordinaire (inexplicable par moment) :

 

en effet, ça a commencé il y a 2 ans donc, j'étais en voiture pour rentrer chez moi, je venais de déposer mon fils chez sa grand-mère, quand, au feu rouge, mon regard se porte sur le rétroviseur central et rencontre celui d'un homme, dans sa voiture juste derrière moi. Je tilte mais bon, je laisse couler. Le feu passe au vert : j'avance et là, je regarde de nouveau et voit que le type n'avance pas et qu'il s'agite dans son véhicule, tête baissée, comme s'il notait quelque chose de vital sur un papier...

Je me fais la réflexion que les klaxons derrière lui ne devraient pas tarder à siffler puis d'un coup, il se remet en marche toute vitesse et se met à me coller au cul. Je vais sur l'autre file pour qu'il me double mais il se range avec moi. Je zigzague un temps... et il zigzague avec moi. Je comprends alors que je suis suivie. Angoisse.

À un moment, sans crier gare (je ne mets pas mon clignotant) je me range sur la gauche, devant un garage... il fait pareil !! Je commence sérieusement à baliser et prends mon téléphone portable pour enregistrer un message vocal afin de noter sa plaque d'immatriculation. Là, il sort de son véhicule et vient vers moi, je le regarde du coin de l’œil (j'ai des lunettes de soleil) sans faire mine de quoi que ce soit puis d'un seul coup, comme s'il reprenait ses esprits, semble se rendre compte de la situation, et encore un peu désorienté, remonte dans sa voiture et repart...

J'attends un peu, reprends mes esprits moi aussi puis redémarre. Je remonte la rue puis là, je l'aperçois de nouveau... qui la redescend maintenant ! Je rentre à toute allure chez moi, m'enferme...

 

Commence alors un véritable calvaire pour moi (qui sera aussi le début de la plus grande des Initiations) : peur, phobie sociale et claustration. Et aussi, pour bien couronner le tout : Traumatismes qui refont surface (viols, violences), peur accrue de la mort (peur que je n'avais jamais connue jusque-là malgré des expériences très dures qui me l'ont faite côtoyer. Tout me revenait en pleine gueule, tout ce que j'avais voulu occulter, nier ou encore minimiser !), mémoires de persécution (qui rejaillissaient dès que je mettais un pied hors de chez moi), rencontres malsaines avec des pervers narcissiques (certains m'amenant à ouvrir les yeux définitivement sur ce monde corrompu où pouvoir et argent peuvent acheter le silence d'un homme, ou enfreindre la loi en payant grassement - à coup de billets - une poignée de flics sur les Champs-Élysées ou encore en me montrant comment dépenser plus de 60 000 euros au Poker en une nuit sans notion aucune notion de la valeur argent et donc de tout le reste...).

 

... Mon Ange m'a toujours sauvée de situations extrêmes... dans lesquelles je me suis mise au départ - connaissant pourtant intuitivement la dangerosité de certaines - mais dont mon âme était friande... Sans doute cela m'a permis de lever le voile sur la face noire cachée du monde (que je pressentais au fond mais que beaucoup de monde tait ou nie).

 

J'en reviens maintenant à ma précédente affaire : pendant 1 an, j'ai vécu cette angoisse permanente de rencontrer un psychopathe... angoisse exponentielle puisque souvent (pourtant je me cloîtrais beaucoup !), j'avais à faire à un individu vibrant cette énergie... une personne étant proche de moi à ce moment-là a pu elle-même le vérifier (ex : apparition soudaine dans notre champ de vision alors que nous étions dans une station service - elle dans le véhicule, moi à la pompe -, sorti de nulle part, un homme "entité ?" qui vient directement vers moi me demander de l'argent pour manger, d'une façon très désorganisée et pressante et où l'on a, elle comme moi, senti un prétexte (à ?), ce même bonhomme ne demandant rien aux personnes autours et disparaissant aussitôt.)

 

Quelques jours après l'épisode de l'étrange filature, j'ai une nouvelle fois été amenée à rencontrer cet homme... qui m'attendait en voiture à l'embranchement d'où il m'avait perdue de vue la première fois, tous phares éteints... puis démarrant lors de mon approche... cette fois encore, je réussis à le semer... j'ai aussi cru l'apercevoir peu de temps après remontant ma rue, à pied cette fois, pareil, l'air tout désorganisé (physiquement et dans l'énergie... MK ?)

J'ai fini par poser une main courante contre lui. Lorsqu'il a vu ma détresse, le policier a fait une recherche sur ce fameux numéro d'immatriculation... et a pu me donner l'identité de cet "homme"... Il résidait non loin de chez-moi (à quelques rues parallèles plus bas) et en effet, j'ai pu par la suite localiser son véhicule dans les parages. Jusqu'à ce que je laisse pendant près de deux mois ma voiture en stationnement ailleurs, ayant même peur de conduire et de le rencontrer de nouveau avec ce véhicule qu'il connaissait parfaitement.

 

Les choses tombant à pic, c'est pile le moment où le père de mon fils est revenu "loger" chez nous pour quelque temps, me permettant de me mouvoir à ses cotés, de me sentir un peu plus rassurée. Mais surtout... de bien tenir éloignée de moi cette angoisse que je n'osais pas aller visiter !

Bref (il y aurait tant à raconter !), pendant tout ce temps où ma voiture n'a pas bougé, celle de cet homme non plus. Comme restée intacte à la même place pendant un long moment... pour disparaître tout à fait. Est-t-il mort ? A-t-il déménagé ? Je ne le saurai peut-être jamais... j'ai même pensé que j'ai pu changer de réalité (de ligne temporelle)... puisque, chose étrange, un ami flic à qui je l'avais demandé, m'avait promis de se renseigner voyant que ça me tenait à cœur... et ne m'a plus jamais contactée... comme si cette réalité appartenait au passé et qu'insister pour remettre mon nez dedans ne ferait que créer ou recréer cette même réalité (cette même ligne de temporalité)...

Je ne sais pas comment bien l'exprimer mais j'ai ce profond ressenti que nous créons et recréons et ce, infiniment, Absolument TOUT (en tout cas en sommes capables) !

 

Alors, malgré mon immense curiosité qui m'aurait poussée à savoir, à comprendre... j'ai laissé tomber (du moins ce besoin de comprendre parce que cet épisode a pu m'informer sur bien d'autres choses... n'était-ce pas le but, le projet de ma supraconscience ?).

 

Donc pour en revenir à cette année des plus... inconfortables... à angoisser et à n'amener dans ma réalité que des stimuli à faire émerger cette angoisse, j'ai finalement cherché l'année d'après des solutions extérieures au problème : diverses thérapies (thérapie brève dite "miracle", hypnose, kinésiologie), Aïkido (pour pouvoir me défendre, avec la peur au ventre d'être attaquée !), rituels de magie, pierres protectrices... Certaines m'ont aidée à mettre en lumière plein de choses sans toutefois opérer de façon miraculeuse sur mon état ou mes angoisses... forcément, le travail à faire m'incombait. À moi et à nul autre.

Je peux dire que c'est la limite de l'exploration en mode SDS qui m'a amenée à cheminer dans la voie SDA. C'était ça ou alors ma vie n'avait plus de sens et je mourrais (mon âme s'atrophiait)...

 

Encore dernièrement, il y a deux jours, lorsqu'après avoir emmené mon fils à l'école, guidée, je me suis vue prendre une rue commençant par les lettres de mon prénom (que je n'avais pas remarquée jusque-là), je me suis trouvée nez à nez au bout de cette même rue avec un homme massif, l'air inquiétant, face à un grillage regardant sans bouger droit devant lui, c'est-à-dire dans ma direction...

 

Je savais que c'était encore une information, celle que j'attendais au fond en prenant la décision d'aller boire un café au bar du coin au lieu de rentrer directement chez moi...

Et en fait, tout se coordonne, tout s'ajuste... au fur et à mesure, des compréhensions se font et surtout des connexions entre différents épisodes de vie, rêves, sensations... c'est fou. Rien n'est linéaire lorsque l'on élargit notre perception, notre champ de Conscience... il y a des va-et-vient, des retours sur ce qu'on pensait avoir dépassé, puis des bons extraordinaires en avant... rien n'est figé, tout est mouvement. Mouvement en spirale... à l'image de notre galaxie. De notre Uni-vers... du Tout.

 

Aujourd'hui donc, je viens de mettre en lumière un alter et pas des moindres... un alter psychopathe qui n'avait pas été reconnu jusque-là.

On porte dans nos polarités TOUTES les informations. On ne peut être l'expression que d'une seule... une polarité inclut forcément l'autre, dans un ailleurs, existant au-delà de nos perceptions "d'individu", mais existant bel et bien.

À nous d'être le pont, l'arche, entre le visible et ce qui ne l'est pas. Entre le conscient et l'inconscient... pour ne plus être des individus actionnés, agis par-delà soi, mais bien Maître en notre vaisseau.

 

Tout un programme...

À bientôt,

Suy

 

Je me relis et constate avec amusement deux expressions : "... mes aventures sur cette planète" et "... Maître en notre vaisseau".

Quelque chose à creuser là-dedans ? Une petite voix et des éclairs d'information me susurrent que oui.

 

 

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