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L’Information Universelle (Unis-Vers-Celle)
Dans ce document, l’idée principale était d’illustrer à travers quelques exemples, certaines faces du prisme de ce qu’est l’Information à caractère “Universel”. Suite à mes compréhensions, j’ai tenté de mettre en image ce que pourrait représenter une information tirée d’une leçon, lorsqu’un apprentissage est accompli, offrant alors un réel palier d’évolution à l’individu puis, jusqu’à son intégration, générant une modification dans le bagage personnel que transporte celui-ci tout au long de son cheminement.
L’Information peut être imagée à travers la comparaison du fonctionnement d’un orchestre. Quand un orchestre se prépare, avant de jouer une œuvre, les musiciens s’accordent tous ensemble afin de
pouvoir jouer de leur instrument sur la même fréquence. Le chef d’orchestre, représente alors le guide, qui possède la capacité (les connaissances) de diriger l’ensemble afin
d’accompagner les musiciens dans la lecture de l’œuvre pour qu’il puisse y avoir une harmonie entre chacun d’eux. Il est évidemment relié lui aussi, comme tout individu, à son émotionnel et son
mental mais, en suivant la partition pour accompagner l’ensemble des musiciens, il représente le canal idéal entre le créateur de l’œuvre et sa création afin qu’elle soit interprétée le plus
justement possible. Chacun des musiciens, joue la même partition, c’est l’information commune qui leur ait donnée à tous sans exception. Chacun des musiciens, possède un rôle attribué bien
défini, permettant au corps de profiter des singularités et de la diversité de chacun d’eux, dans l’objectif d’y apporter un équilibre vers ce but commun. Cependant, cela est aussi valable dans
le sens inverse où, c’est la singularité des instruments, pilotés par la sensibilité de lecture des partitions de chaque musicien, qui permettra à l'Œuvre d’avoir lieue. La “meilleure place” tout
comme la pire n’existent pas car c’est parce que le soliste existe, que le percussionniste peut l’accompagner pour lui donner le bon rythme et lui permettre d’être dans les temps. L’un ne peut
exister sans l’autre. Leur seul différence vient de leurs différents rôles, et de leurs perceptions qui diffèrent lorsque ceux-ci sont amenés à jouer, mais permettant encore une fois d’équilibrer
l’ensemble et de faire vivre l’œuvre à travers une diversité de sonorités. C’est cet “Unisson” qui permet à tous les musiciens d’avoir une fréquence commune, et donc de pouvoir jouer ensemble en
profitant de la même information !
Chaque musicien joue donc, à la place qui lui est parfaitement destinée afin qu’il puisse en tirer un maximum pour son expérience personnelle, et offrant à l’Œuvre sa singularité
en abondance dans le but de ne faire qu’Un avec l’orchestre. La partition, est l’Information Universelle qui habite les musiciens, en décidant d’accepter l’entière responsabilité
qu’ils ont de ne jouer que leur partition, sans venir faire intrusion sur celle d’un autre musicien, afin de parvenir à cette Ascension commune.
Exemple 1 :
Un individu qui suit un cursus scolaire, apprendra dès son plus jeune âge que : 1 + 1 = 2
Cependant, en apprenant à utiliser différentes règles d’arithmétique qui lui seront transmises par son professeur, l’élève pourra effectuer multiples gymnastiques mathématique et comprendre qu’en
appliquant une division : 4 / 2 = 2
Quand celui-ci aura apprit ses tables de multiplication, il saura que : 0,25 x 8 = 2
Enfin, lorsqu’il se sera suffisamment entraîné, il réussira à combiner ces différentes règles entre elles : 0,5 x 2 + 3 = 4 ; 4 / 2 = 2
Ces différents calculs obtenant le chiffre 2 en tant que solution, permettent d’apprendre et, de montrer à l’élève qu’il existe déjà 3 manières contenant des procédés uniques arrivant au même
résultat, tout en empruntant une réflexion et un chemin différent pour y arriver. L’Information ne change pas, c’est la voie empruntée pour y arriver qui diffère en fonction du choix posé par
l’individu.
Exemple 2 :
Un joueur de foot arrive dans la surface de réparation. Il souhaite tirer dans son ballon et marquer dans les cages de son adversaire pour obtenir un score positif, afin que son équipe puisse se qualifier pour le prochain match du célèbre “Tournoi Léonin” ! Grâce à ses entraînements intensifs de haut niveau, il s’est entraîné de manière assidue pour qu’au moment venu, il soit préparé au mieux à ce type d’action.
Dans le schéma ci-dessus, les flèches noires attestent de son entraînement longuement répété et, formant le total de ses tirs déjà réalisés. Celles-ci sont représentatives des
expériences déjà traversées. Ces tirs, représentent ses différentes expériences, étant à caractères “positifs” aussi bien que
“négatifs” mais, lui ayant permis de s’améliorer à chaque fois ; développant son sens de l’intuition ainsi que son discernement, et lui
offrant donc la possibilité d’apprendre à mieux calibrer sa force de frappe en fonction de l’angle de tir, d’élargir sa vision de jeu ainsi que de nombreux autres atouts. Son discernement obtenu
au cours de la traversée de ses expériences, est délimité par la zone violette. Il existe évidemment une infinité de tirs possibles
représentés par le cercle vert. La zone rouge et la flèche rouge représentent les tirs à caractère d’expérience dit “négatif” et la zone bleue à caractère d’expérience dit “positif”.
Les tirs que celui-ci a raté, sont aussi importants que ceux qu’il a réussit à envoyer dans les cages car, ils lui ont permis de se remettre en question et donc de rééquilibrer
sa vision de jeu (son discernement), tout en acquérant des techniques (des connaissances) à travers un apprentissage, lui permettant de comprendre pourquoi la
mauvaise maîtrise de son geste n’envoyait pas le ballon dans les cages là où il le souhaitait. C’est parce qu’il NE SAVAIT PAS qu’il a décidé d’APPRENDRE.
Cependant, peu importe la qualité de son tir lors de ses entraînements, il donne le meilleur de lui même car il sait se rappeler des sacrifices qu’il a fait, ainsi que des connaissances qu’il
acquiert à chaque instant, en pratiquant puis ré-ajustant son geste. Il a décidé d’apprendre sans relâche en se pliant à un entraînement physique intensif, des critiques à
longueur de journée de par son entraîneur, une alimentation stricte et de nombreux autres sacrifices. Cependant, il n’est porté par qu’une seule envie : celle d’apprendre !
Il accepte, peu importe la douleur morale comme physique, et sans jamais se justifier des conséquences de celles-ci, que “Tout Est Leçon” ayant toujours gardé en tête que la
seule manière de s’améliorer est de passer par cet apprentissage, qui saura lui apporter une fondation stable et solide, pour le soutenir dans sa foi les moments
de doutes venus, l’empêchant de ressentir tout sentiment de culpabilité.
L’information, représentée par la flèche jaune et imageant la frappe du joueur, sera portée par l’intuition de celui-ci le moment décisif
venu, afin d’évaluer la distance du tir, ainsi que l’impact souhaité en fonction de l’angle choisi. À ce moment du jeu, il n’y a plus aucun critère émotionnel ou mental qui doit interférer entre
le joueur et le ballon, car, suite à son entraînement, il est parvenu à maîtriser ses émotions et son calme pour effectuer son geste d’une seule traite.
Celui-ci nécessitant souplesse et précision via un geste rapide, concis, et sans accrocs dans l’objectif d’y apporter un impact conséquent.
L’action, n’est donc autre que physique car c’est à travers un dur labeur venant d’un travail pénible, soutenu et acharné que celui-ci a expérimenté dans le but d’acquérir un apprentissage lui
offrant un tremplin d’évolution à son parcours sportif et personnel. Son tir rentre dans les cages, car c’est en apprenant qu’il a gagné en confiance et a obtenu la capacité de
dépasser sa peur de ne pas réussir le moment venu. Il décide donc de faire le choix de devenir créateur de sa propre réalité, en traversant ses peurs qui se
manifestent à travers sa propre bulle de perception, et propres à son incarnation. Sans expérimentation, il n’y a aucun efforts, aucune investigation personnelle, et donc aucune leçon qui peut
être tirée par l’individu pour la continuité de son évolution. Cette leçon a été tirée de multiples expériences, lui imposant temps, patience et
persévérance avant de la traverser et de pouvoir l’ajouter à son bagage personnel. C’est en passant par cet apprentissage, qu’il peut décider de transmettre à celui qui voudra
apprendre à son tour, ce qu’il a tiré de cette longue épreuve, car elle fait désormais intégralement partie de son propre vécu, et de ses images précieuses appartenant à son bagage personnel.
Le don de l’Aigle - ch.2 “Voir Ensemble” - Carlos Castaneda
“Je lui racontai la grande passion de don Juan pour la poésie. Souvent, quand nous n’avions rien d’autre à faire, je lui lisais des poèmes. Il les écoutait selon le
principe que seule la première strophe (et parfois la deuxième) mérite d’être lue; il trouvait que le reste était de la complaisance de la part du poète. Sur les centaines de poèmes que je lui
lus, il en écouta très peu jusqu’au bout. Au début, je lui lisais ce que j’aimais; mes préférences allaient à une poésie abstraite, alambiquée, cérébrale. Ensuite, il me fit lire et relire ce
qu’il aimait, lui. A son avis, un poème devait être dense, si possible bref. Et il fallait qu’il soit construit à partir d’images précises,
poignantes, d’une grande simplicité.”
L’Onde Tome 2 - ch.16, p277 - Laura Knight Jadczyk
“J’avais vécu un processus d’apprentissage jalonné d’expériences qui m’avaient toute fait grandir. J’avais appris ce qu’il ne fallait PAS faire… en le faisant. Et,
d’une manière très concrète, telle est la raison d’être de la douleur et de la souffrance. Elles sont une sorte de système de guidage qui nous maintient sur la voie de l’apprentissage. L’enjeu
est d’être capable de discerner entre un chemin qui procure un confort matériel immédiat mais qui mène ensuite à une grande souffrance psychique ou de l’âme, et un chemin
qui, temporairement, peut être physiquement inconfortable mais qui mène ensuite à la paix du cœur.”
L’Onde Tome 2 - ch.16, p285 - Laura Knight Jadczyk
“Je dois admettre que, parfois tout cela m’effrayait un peu aussi. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, ni les évènements dont j’étais le centre. Tout ce que je
savais, c’est que je suivais, une sorte de “voie”, et que je ne pouvais agir autrement car, étrangement cela m’aurait été impossible. C’était un peu comme de “marcher sur l’eau” : je me voyais au
milieu d’un immense océan ; je savais qu’une certaine voie m’était destinée, mais chaque pas en avant résultait autant d’un acte de foi que d’un judicieux examen de chaque probabilité. Je sentais
assez nettement où se trouvaient les “appuis” dissimulés juste sous la surface de l’eau, mais il ne m’était pas permis de les voir avant d’avoir lancé le pied en avant pour le pas suivant. Je
savais qu’à tout moment, je risquais de découvrir que mon pied ne rencontrait PAS de soutien, entraînant alors ma chute dans les abysses.”
unknown - 695003
“To learn how to choose between what is right, and what is easy. Very few people accept life as it is, as most of them do not even accept to go through the easiest
ordeals that are offered to them.”
“Apprendre à choisir entre ce qui est juste, et ce qui est facile. Peu de personnes acceptent la vie comme elle leur est présentée, puisque la plupart d’entre eux
n’acceptent même pas de traverser les épreuves les plus faciles qui leurs sont proposées.”
Dans mon prisme, j’ai pu remarquer qu’une information contenue dans une leçon s’applique universellement car, étant reliée à son origine : la Source de “Tout Ce Qui Est” ;
celle-ci est dénuée de tout jugement. N’ayant aucun genre ou caractère émotionnel et scientifique, celle-ci n’est que “Ce Qu’Elle Est” : une loi faisant partie de l’Univers et
mise à disposition des chercheurs de Vérité. Chaque expérience, apportant une clé libératrice supplémentaire à l’individu lorsque la leçon est intégrée, et tirée de par un apprentissage, élargit
automatiquement le discernement de celui-ci, tout en lui imposant l’obligation de traverser ses peurs : pratique essentielle à l’évolution de son cheminement personnel.
C’est cet élargissement du discernement, qui permet à l’individu de faire confiance en son ressenti, afin de détecter une dissonance dans l’information qui lui est partagée ou faisant office de
début de prise énergétique quand celle-ci a lieue lors d’un échange. C’est parce que l’individu en question a lui même traversé une épreuve, acquérant des connaissances, qu’il peut, suite à une
prise de recul suffisante, détecter cette dissonance nuisant irrémédiablement à l’authenticité de l’information et, ne la laissant plus circuler librement.
Cette dissonance, est synonyme d’incompréhension de par celui qui la partage, et est généralement pilotée par des croyances émotionnelles ou mentales parfois en corrélation avec un pilotage de la
prédation ne permettant plus à l’information de suivre son évolution naturelle.
Étant pilotée par l’émotionnel ou le mental, celle-ci ne respecte donc pas les lois universelles du “libre arbitre” et ne lui permet plus de participer à l’évolution naturelle de l’Univers,
devenant donc une déduction basée sur un pourcentage d’informations projetées. C’est donc les croyances, et le contrôle appliqué par l’individu
sur celle-ci, qui l’empêche de traverser l’expérience, et de la vivre jusqu’au bout ainsi que comme elle se doit d’être vécue. Il doit comprendre que c’est en arrêtant de gesticuler, de remuer et
de se débattre, qu’il parviendra à surmonter l’épreuve qui lui est attribuée à son chemin de vie personnel. C’est le fait de rester immobile et d’accepter, contre vents et marées ce qui vient sur
son chemin, qu’il réussira à trouver sa propre voie de sortie.
Le fait de vouloir convaincre l’auditoire peut représenter un pilotage de la prédation, mais prouve surtout que la leçon n’est pas comprise ou même atteinte. Il faut du temps, et
savoir persévérer, avant de parcourir le chemin qui mène à la compréhension finale de la leçon. Une fois intégrée, elle offrira à l’individu qui vit l’expérience jusqu’au bout,
la possibilité de voir ce détail insignifiant, rééquilibrant automatiquement le fossé qu’il y avait entre ce qui était (compris) jusqu’alors, et ce qui se doit d'être vu comme
tel, de par cette nouvelle compréhension.
Digérer l’information, permet donc de la partager correctement car, une fois la leçon intégrée, celle-ci agit comme une définition : elle possède des mots qui contiennent un sens
bien précis. Si les mots ne sont pas ceux qui lui sont attribués, alors elle ne pourra avoir le sens qu’elle se doit d’avoir, et sera dénaturée de son essence.
C’est pourquoi une Information Universelle contenue dans une leçon représente un vecteur court avec un impact conséquent. C’est un détail, qui de par sa transparence permet d’ébranler un
“container” de croyances et de voir ce qui doit être vu comme il doit l’être. L’expression “apprendre sa leçon par cœur” pourrait exprimer symboliquement que l’information
“parle au cœur” , elle n’a donc aucune justification ou démonstration à avoir : elle n’est que “Ce Qu’Elle Est”. C’est une pièce retrouvée d’un puzzle incomplet, celle-ci
s’emboîte donc sans avoir besoin de forcer, dans l’empiècement qui lui est parfaitement adapté.
Quand l’expérience est traversée par l’individu, acquérant donc cette information suite à l’intégration de sa leçon de par son apprentissage personnel, c’est un cycle qui se termine pour en
débuter un nouveau : l’information retourne à son origine.
Il faut comprendre alors que l’information intégrée acquiert un “poids” dans le bagage personnel de l’individu, lui permettant de témoigner de sa foi. C’est
parce que celui-ci expérimente PHYSIQUEMENT sa réalité à travers son corps physique, et en interprétant divers facteurs rentrant en contact dans sa bulle de perception, qu’il
peut voir ce poids s’attribuer à son bagage personnel. Car, c’est quand la leçon est véritablement comprise pour “Ce Qu’Elle Est”, que l’Ensemble est alors rééquilibré, offrant à l’individu de
nouvelles expériences pour son cheminement personnel et, contenant un nouveau potentiel créateur élargissant les champs du possible pour l’évolution de son âme.
Ce poids, représente une cristallisation intérieure, s’appliquant sur “l’Âme à Tiers”/matière car, il influe sur le Passé/Présent/Futur, résolvant par exemple certains chemins
entropiques empruntés par des alter du passé. De par cette libération, il permet une connexion plus forte entre son incarnation présente, et son Soi Supérieur. C’est encore un témoignage tourné
vers sa foi qui s’imbrique et s’applique dans son cheminement présent. D’où l’importance d’expérimenter afin de vivre l’expérience et participer à son propre processus d’auto codage en apprenant
via celle-ci.
L’Information Universelle vient donc toujours “d’en haut” car, étant connectée à des plans de densité supérieure de par notre Soi Supérieur, celle-ci est en corrélation directe avec la 7e
densité, le Tout, l’Un.
L’individu qui traverse un cycle complet tirant une clé libératrice à caractère universel, n’a donc plus la nécessité et le besoin d’expérimenter cet angle du prisme. Ayant perçu l’information
“Telle Qu’Elle” dénuée de tout jugement et comme part essentielle et universelle de l’Univers. Il est incapable de l’aimer ou la rejeter et celle-ci s’applique simplement comme une lumière sur
une zone d’ombre car celle-ci EST. Il n’y a aucune lutte, aucune remise en cause, puisqu’elle permet à l’individu de voir “Ce Qui Est”, sans l’illusion qui l’éloignait de la
Vérité.
Il y a tellement d’exemples et d’images possibles et tout cela peut paraître assez répétitif, mais comment vouloir arriver au but sans avoir appris. La compréhension est ce qui fait vivre l’expérience et ce qui permet donc de faire vivre l’Univers car, devenant Connaissance elle participe aux différents cycles de l’Univers.
Si celle-ci était atteinte en un claquement de doigts et sans efforts, la Connaissance n’aurait alors aucun sens. Sens, qui “Est Tout” et “Rien” à la fois. C’est en parcourant le chemin pour
“rentrer à la maison” que l’on peut alors comprendre que cette Connaissance est, ce qui permet à l’Univers de circuler et de nourrir librement “Tout Ce Qui Est” en respectant les lois de
l’Univers. Étant la seule source de “nourriture” dénuée de tout jugement elle permet l’apprentissage du “Tout” en passant par le “Rien”, le chemin vers la lumière en marchant d’abord dans
l’ombre.
On pourrait regarder un paysage avec une montagne d’un point de vue géographique bien défini. Toutes les descriptions seront justes en fonction des conditions météorologiques, des perceptions et
ressentis des individus mais, à la fin de la journée, la montagne restera toujours “Ce Qu’Elle Est”. C’est l’alpiniste qui veut la gravir qui devra se préparer et s’équiper de son matériel en
fonction. La montagne elle, ne bougera pas.
L’Univers ne peut bouger car sinon, nous serions tous leurrés et sur un chemin dissonant. Son ancrage atteste de sa transparence. C’est parce que celle-ci reste immobile qu’elle est
inébranlable. C’est à nous de nous adapter et d’accepter les processus, les épreuves pour soumettre et témoigner de notre foi et de notre engagement envers celui-ci. L’Univers
n’a aucun engagement envers nous, si ce n’est de nous donner la possibilité d’apprendre en expérimentant, et de nous mettre à disposition la Connaissance, car sinon nous serions dénués de notre
libre arbitre.
Comme un secret que l’on pense devoir garder, il faut en réalité être deux pour le construire.
C’est pourquoi la Connaissance se doit d’être partagée, à travers nos différents chemins d’évolution vers celle-ci, et vers “Ce Qui Est”.
Puiser la “Foi”, en cherchant sa voie, pour traverser celle-ci en appuyant sa foi…
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