La prédation : distinguer l’essentiel de l’inessentiel - par Manon

 

Ce matin, Je ressors de chez une amie, comme d’habitude nous n’avons pas arrêté de fumer. Je me sentais mal mais en même temps détendu, j’ai actuellement encore un mal de tête pas possible. Ici, j’adopte son mode de vie sans me respecter moi puis que je mets mon corps en sourdine. A la fois mon prédateur me lâche car je profite du moment mais en même temps il m’empêche encore une fois de m’affirmer mais surtout de mettre des limites « non, cette dose de drogue est excessive je dois me mettre une barrière ». Ce mal de tête venait me signifier que je n’avais pas respecter mes limites mais aussi que je n’avais pas posé ce qui m’encombrais la tête. L’oubli de soi se manifeste dès lors que je me retrouve auprès d’une autre personne. Je m’adapte et adopte son comportement de vie au lieu de m’écouter, du coup je suis en quelque sorte « dans » l’autre mais je perds complétement le pilote de la machine ! Je fais n’importe quoi. j’ai aussi cette peur de montrer qui je suis, par peur de la confrontation et par incertitude « suis-je sûr de qui je suis et de ce que je veux faire ? suis-je sûr de ce que je pense et de ce que je dis ? »

 

Elle comme moi éprouvions des sentiments et difficultés similaires quant à notre l’avenir. A savoir, dois-je postuler pour un Master l’année prochaine sachant que les études ne m’intéresse plus qu’à moitié ? ou, est-ce que je dois faire une pause en risquant de perdre la possibilité d’être psychologue sachant que le métier m’attire? Auquel cas , Est-ce que je suis capable de prendre le risque d’être livrée à moi-même ? Qu’est ce que je veux réellement dans le fond ? ou plutôt, qu’est ce que je ne veux plus ?

 

Une partie de moi souhaiterait faire une pause pour me recentrer ( nécessité d’avoir du temps pour prendre une décision réfléchi et être en accord avec mon aspiration profonde) mais aussi pour voyager un peu ( besoin d’oxygène, de ne pas rester sur les bancs de la facs ou en grande ville dans un 20m carrée). L’autre partie ne voudrait pas perdre la possibilité de pouvoir devenir psychologue ( une partie de moi en a réellement envie mais la plus grande partie est lassée et dépitée par les études qui m’ont beaucoup déçu. J’ai aussi l’envie de m’extraire du système SDS, le métier de psychologue me pose d’autres soucis que j’expliquerai par ailleurs).

 

Depuis petite j’ai l’habitude que tout me soit dû, je suis en quelque sorte une « enfant gâtée » et même un peu « pourri gâtée » . De ce côté-là je suis rattrapée par mon prédateur car je perds la notion de valeur, l’importance de l’argent, la préciosité d’avoir et même tout simplement d’être. Je n’ai ainsi pas été confronté à des difficultés d’ordre financière ni livrée à moi-même. Je me sens « à demi adulte » , une partie de moi voudrait se libérer de l’aide financière de mes parents car je me sens redevable et prisonnière car ils attendent que je réussisse mes études et que j’ai une situation stable pour lâcher leurs attentent qu’ils ont vis-à-vis de moi. J’aimerai être libre quitte à être confrontée au manque mais suis-je capable de quitter ma place d’enfant gâtée pour me livrer à moi-même même s’il y’a le risque d’aller droit dans le mur ?

 

Aujourd’hui j’ai pris conscience que tout m’était dû et que j’avais oublié l’importance de l’argent mais aussi que je me perdais dans l’inessentiel. Je vais vous expliquer ;

J’étais ainsi chez mon amie, nous avions parlé très longuement et nous avions bien exposé la problématique du choix ( choix important à prendre pour notre avenir et nos difficultés à se confronter à la vie en prenant notre indépendance notamment en coupant le cordon avec la mère).

 

Nous étions là en train de dire qu’on était dans une impasse, qu’on était dans le mal etc. Oui d’accord mais en attendant nous agissions pas, nous nous droguions pour oublier la situation. Mon prédateur adorait ce confort, je me confortais dans l’idée qu’on était deux dans le même bateau et donc que c’était un excellent moyen pour ne pas agir et rester dans la plainte.

 

Ne m’étant absolument pas stoppée dans ma consommation de cigarettes et de drogues, je ressortis de chez elle avec un mal de crâne pas possible et du tabac dans le ventre. De là je décide de faire les courses. Mon prédateur crois toujours bêtement que je vais résoudre mes maux de tête en mangeant. Il y’avais de ça mais c’était aussi une nécessité car derrière j’avais réellement envie de prendre ma santé en main, de reprendre les manettes de ma vie sans me laisser influencer par le mode de vies de mes amis. Ici, il me fallait manger sainement, me reposer et arrêter de fumer pendant un bon moment.

Ma guidance m’invitait à prendre conscience de la valeur de l’argent et m’encourageait à prendre mes responsabilités pour devenir plus autonome.

 

Je fis mes courses en privilégiant la qualité notamment en vue de transiter vers un régime cétogène ( Ce qui n’est pas facile en vu de ma difficulté de m’affirmer devant les autres et mes troubles du comportements alimentaire) . Je fis mes achats au marché sans difficulté puis lorsque j’arrivais au magasin bio, je commençais à sélectionner des produits aucunement essentiels. Comme par le plus grand des hasards c’est à ce moment là que ma carte fut refusée à la caisse ( elle n’avait pas été refusé pour mes premières courses, celle qui m’étaient de première nécessité) . J’ai à ce moment là un billet de 50 euros dans mon portefeuille que j’avais réservé pour ma séance chez le psychologue. La vendeuse me demanda si j’avais du liquide et par automatisme je lui donne mon billet alors que je voulais vraiment le garder pour ma séance chez le psychologue . Ici il me suffisait de reposer les articles et de le garder pour ce qui avait réellement de l’importance pour moi c'est à dire ma séance chez le psychologue mais comme mon prédateur avait peur de paraitre « con » devant tout le monde ( il y’avait personne dans le magasin mais le lieu même du magasin m’exposait à une pression sociale inconsciente) je n’ai pas pu m’interposer.

 

Je repars en colère parce que je n’avais pas « bien agis ». Je me fait à ce moment-là rattraper par le prédateur de la dureté qui sévère, m’assaille de culpabilité, d’auto reproches et ne me donne pas le droit à l’erreur.( l’acte étant pourtant insignifiant, il n’y avait là aucune gravité dans mon acte). Je comprends alors que les impôts sont passées par là ( - 670 euros) ce qui au passage me met une claque pour que je me confronte au réel. Le prédateur perché croyait pouvoir continuer sur son nuage de fumée sans jamais se confronter aux soucis d’ordre matériel. Il croyait pouvoir acheter tout et n’importe quoi sans se soucier de vérifier les finances parce que bien sûr « tout est cool dans la vie et tout va toujours bien pour lui ». Celui-ci aime me faire perdre de vue l’essentiel de façon à ne jamais se confronter à la vie. Il m’invite à rester bien dans la lune dans un univers fait de rêveries. Il phase beaucoup…

 

Je me retrouve bloquée entre deux de mes plus gros prédateurs, celui qui veut se soucier de rien « profiter » et agir sans conscience par un simple coup de folie ( prédateur perché) et l’autre qui est extrêmement jugeant et exigeant cherchant à me punir et à me rendre coupable pour tout en permanence ( prédateur de la dureté) . Le prédateur de la dureté reprends la manette après le prédateur perché en me jugeant pour que je ne puisse pas prendre moi-même les manettes de la machine. De cette façon, il m’empêche d’avancer et d’agir ce qui par voie de conséquence nourrit le prédateur perché.

 

En marchant, j’appelai ma mère ( un moyen pour mon prédateur de ne pas me faire ressentir ma colère mais de l’extérioriser immédiatement ). Je lui expliquai que j’étais en colère d’avoir payé avec mon billet que je voulais conserver pour ma séance chez le psychologue et qu’il ne me restait plus assez de sous pour tirer de l’argent. Je lui demandai alors s’il était possible d’avancer mon argent du mois d’avril pour que je puisse en avoir assez pour le RDV. Celle-ci me suggère de faire un virement via mes différents comptes et que si ça ne fonctionnerait pas elle se proposait de me faire un virement depuis son propre compte. Ici je rejoue le jeu de l’enfant, place que je souhaite pourtant quitter mais que j’entretiens toujours avec cet appel, j’aurai dû avoir seule l’idée du virement d’un de mes compte à mon principal .

 

On s’échange deux trois mots, je lui redis à l’occasion que j’aimerai investir dans une voiture avec l’argent que j’ai de côté sur mon livret A. Je souhaite prendre mon indépendance en envisageant cet achat pour pouvoir me mobiliser facilement pendant les grandes vacances mais aussi pour m’ouvrir des possibilités quant à mon future choix. Elle me répondit « pourquoi faire ? Tu n’en a pas besoin tu seras dans une grande ville pour les études l’année prochaine ! » Je lui rappelai une nouvelle fois que je ne savais pas où j’allais être l’année prochaine et que je ne comptais pas rester à Lille, je lui dis que j’avais envie de changer d’endroit. Je n’ai toujours pas osé lui dire que je n’avais pas entrepris l’inscription sur e-candidat et que j’étais dans l’incertitude quant à la poursuite de mes études. Avoir une voiture signifierai avoir la liberté de pouvoir partir, Je sens que ma mère a peur que je m’éloigne d’elle ( coupe le cordon) et que je dévie de la trajectoire qu’elle conçoit pour moi ( réussir mes études et me savoir en sécurité).

 

De nombreux signes et de nombreuses personnes m’ont orientés vers le choix de la poursuite des études; Une amie m’a dit que j’étais animée par les stages que j’avais pu faire quand j’en parlais et que par conséquent je devais m’accrocher car elle était sûr que j’étais faite pour être psychologue , une autre s’est carrément osée à aller justifier à la prof mes absences en cours en lui expliquant que j’étais faite pour ça, que ça m’animait mais que simplement j’étais dans le mal en ce moment mais que ce n’était pas par manque de volonté ( ce qui est en partie faux), Mon beau- frère m’a clairement expliqué que tous ses potes qui avaient arrêté leurs études avaient galéré dans la vie et galèrent encore aujourd'hui, que ce n’étais clairement pas un bon choix d’arrêter ou de faire une pause, qu’il fallait que je continue surtout que c’était un métier d’avenir et qu’étant donnée le contexte sanitaire même une année sabbatique était une mauvaise idée, que ça allait être compliqué de trouver un travail correct ou un travail tout court, que j’étais bloqué et que je n’avais pas d’autres choix que de poursuivre mes études et de m’accrocher encore un peu.

 

Tout cela ne m’a pas vraiment été d’une grande aide, j’avais le sentiment qu’au-delà de leur conseils bienveillant et avis éclairant , leur prédateur voulait prendre la décision à ma place pour me protéger et ils semblaient tous savoir mieux que moi ce qui était bon de faire. Je me retrouvais alors dans une situation infantilisante ou je me sentais incapable de prendre la moindre décision. Je patauge toujours dans la semoule.

 

En sortant du refus de retrait bancaire, Je tombe alors sur un SDF qui vend ses dessins et qui espère gagner quelques sous, je me refuse à lui donner de l’argent exprimant même « ça tombe mal là je n’ai plus rien » alors que concrètement il me restait de la monnaie. J’étais encore dans cet élan de colère ( du fait de devoir me soucier et gérer l’argent) et je ne voulais clairement rien donner. J’étais en fermeture. Ce faisant je comprends que je dis non à mon autonomie, le SDF m’ayant bien certifié qu’il vivait de ses dessins ( donc de ses créations, livré à lui-même et à ses compétences). Je me revois encore dire « non ça tombe mal j’ai plus rien ». Il m’arrive d’en donner mais là la colère que j’avais retournée contre moi m’a fait clairement me placer en position de victime « non mais moi aussi je suis fauchée » alors que ce n’est clairement pas le cas. C’est d’ici que vient la première incohérence dans mon comportement « comment je peux vouloir prendre mon indépendance si je n’encourage pas ceux qui vivent en dehors du système ? ». Mon prédateur colérique pris la moindre demande pour une agression, ici il y’avait de la colère dans mon regard comme si je m’adressais à moi-même « ne me soule pas à me demander encore des trucs laisse-moi tranquille ! » . Il représentait à la fois ce refus intérieur de prendre en maturité et en autonomie et en même temps la prise énergétique de l’extérieur : demandes extérieurs « il faut trouver un travail pour gagner sa vie ! tu n’as pas le choix ! », prises d’argent ( grosses taxe d’habitation ) , avis des autres concernant mon choix d’avenir ( une copine se permettant de parler à une professeur de mes doutes sans mon accords ) . Tout cela m’a rendu irritable et m’a fait dire « non », à la fois stoppe à l’influence de l’extérieur sur mes comportements mais en même temps non à l’ouverture aux autres.

 

En rentrant, J’effectue donc un virement de mon compte CASDEN à mon compte courant. Je suis très énervée parce que bien sûr mon prédateur purement SDS veut accumuler de l’argent, faire des réserves et est très retissant pour ce qu’il s’agit de la dépense. Il n’aime pas du tout le fait d’avoir plus rien sur son compte, il n’apprécie pas non plus la perte de plus de six-cent euros surtout qu’elle est abusive ! il en devient irritable ! J’effectue un virement de 100 euros pour avoir une sécurité, celui-ci est déjà un peu plus rassuré.

 

Cela me renvoie à la responsabilité, le fait de gérer ses comptes, de se soucier des problèmes matériels ( argent, bouffe) sans chercher à la fuir. Je me rends compte que la décision la plus intelligente que je dois prendre dois se faire en fonction de ce que je suis apte à faire. Suis-je capable à l’avenir de fournir de l’Energie dans la poursuite de mes études sachant qu’à l’heure actuelle je n’arrive plus à en fournir ? Suis-je capable d’assumer une décision d’année sabbatique sachant que mon autonomie est encore précaire et mes peurs très présentes ? Une impasse mène à un changement mais quel chemin vais-je emprunter ?

 

Est-ce qu’on essayerait pas de me faire croire que je ne suis pas assez adulte pour prendre une décision en connaissance de cause alors que c’est pertinemment faux ? Est-ce qu’on ne chercherait pas à me déresponsabiliser pour me faire prendre une décision par dépit ?

 

Par ce refus de carte bleu en course, j’ai pris conscience de l’importance du prix alimentaire et de l’importance de l’alimentation ;

j’ai su au cours du repas qui a suivi ces péripéties apprécier réellement les aliments car j’ai pris conscience de leur valeurs ( par leur prix et mon interdit bancaire). Je les ai choisi avec soin et avec qualité dans le but de me nourrir. Cette expérience m’a bien nourrit puisque je n’ai pas éprouver la difficulté à m’arrêter de manger comme je l’ai actuellement (en lien avec mes troubles du comportements alimentaires TCA). Mon addiction alimentaire (sous forme de compulsion) n’a pas pris le dessus. Elle est très en lien avec mon sentiment de manque constant et ma peur d’avoir faim ou de ne pas avoir assez de nourriture. Elle me fait oublier le sens de ce qu’est l’alimentation et j’en fais une drogue ainsi je me perds entre l’essentiel et l’inessentiel en perdant la valeur qu’ont les aliments. Elle sert à me nourrir pas à nourrir mes prédateurs, c’est pourquoi j’ai pris un coup en me rendant compte que s’alimenter correctement avait un coût car la nourriture était précieuse. J’ai su alors à ce moment là distinguer l’essentiel et l’inessentiel !

 

Privilégier les aliments de qualités c’est superbe mais il faut ne pas perdre de vue l’essentiel pour soi ( ici ce qui m’était essentiel c’était mon RDV chez le psychologue qui m’est d’une réel aide pas mes achats superflus ) auquel cas on tombe dans le superficiel, on achète démesurément et inutilement. Vouloir faire trop attention à la qualité de ce qu’on ingurgite peut amener à devenir excessif et finalement ne plus être dans la simplicité mais se perdre encore dans de l’inessentiel et du contrôle. ( la qualité de l’aliment n’est pas essentiel mais c’est de savoir pourquoi est ce que l’on mange ça et à tel moment qui l’est).

 

J’ai pris aussi conscience de ma grosse angoisse de manquer d’argent par peur de manquer de nourriture ; ne pas avoir assez de nourriture auprès de moi me génère de l’angoisse et (sans doute dû à des mémoires anciennes de guerre et de pénurie alimentaire).

 

La peur du manque, les obstacles à prendre mon autonomie ainsi que ma peur de me confronter au réel sont encore très présents. C’est pourquoi je me questionne encore sur la question de choix et de la « bonne » décision à prendre. J’ai compris que les actes mêmes les plus infimes contribuent déjà à ma prise de décision car ensemble ils convergent vers un point dont j’ignore encore l’issus. Il ne s’agit pas de prendre une décision franche, celle-ci ne va pas venir par un coup d’Eureka, non c’est finalement l’ensemble de mes petits choix du quotidien (actions, paroles, dans quoi je mets mon énergie) qui me mènent petit à petit à la décision finale.

 

Je me rendais pas compte d’à quel point je persistais dans mes vieux schéma tant que je n’avais pas acté mes prises de conscience. J’étais illusionnée car le fait de voir mes prédateurs me faisait croire que j’avais compris et que j’avançais en réalité j’étais toujours face aux mêmes obstacle (difficultés d’ affirmation de soi, confrontation aux autres, peur de faire une erreur etc.)

 

Tiens ! je viens de recevoir un mail de la banque m’indiquant de « renforcer la sécurité de mes opération bancaires »

 

Manon (Cénacle - 59)

 


 

Retour de l'équipe LEO :

 

Bonjour Manon,

 

Étant donné que tu t’investis dans le partage de tes compréhensions, nous t'écrivons ce retour pour que tu puisses affiner ton travail. Ton texte n'est pas inintéressant pour le lecteur ordinaire, mais généralement sur le Réseau LEO, les gens ne sont pas ordinaires !

 

En effet, écrire pour que ce soit profitable aux autres, demande à tout enquêteur un effort de synthèse. Ce qui intéresse le lecteur, est comment tu parviens à fermer la porte à tes prédateurs psychiques, au lieu d'exposer en long, en large et en travers, leurs agissements. Et comment pourrais-tu reprendre ta vie en main ? En rompant une fois pour toutes, tous les liens toxiques avec les personnes qui veulent te conseiller et qui finalement t'épuisent.

 

En t’engageant sur le chemin de la Connaissance, tu devrais également te questionner sur l’intérêt de faire passer ton psy en priorité, plutôt que de développer ta propre intuition, ta connexion à ton autorité intérieure. Car cela, aucun psychologue ne pourra le faire à ta place, puisque ceux que tu rencontreras, seront tous sans exception, aussi inexpérimentés que toi ! Nous attirons toujours à nous ce que nous vibrons.

 

Comme tu le dis, Il est grand temps de distinguer l'essentiel de l’inessentiel, donc de prendre une décision ferme et définitive quant à tes choix dans ta vie !

 

L'étude du Dialogue 38 sur l’attachement et la culpabilité et la définition du Service de soi et du Service d’autrui peuvent être des outils pour aller dans ce sens.

 

Bonne enquête !

  

Écrire commentaire

Commentaires: 1
  • #1

    Manon (mercredi, 31 mars 2021 07:42)


    Bonjour l’équipe Leo,

    Je vous remercie pour ce retour éclairant. Effectivement, je m’en était pas rendu compte en l’envoyant mais il est vrai que je me suis beaucoup étalée sans vraiment rentrer dans le vif du sujet à savoir comment je fais avec la prédation et quels ont été mes déblocages et décisions par la suite. De ce fait, je comprends mieux en quoi ce n'est qu’intéressant pour des gens qui n’ont pas cheminés ni ne travaillent sur leur prédations.