Les configurations planétaires et cosmiques en cette fin de cycle - Pascal N

Bonjour au réseau,

 

Les configurations planétaires et cosmiques en cette fin de cycle sont autant de leçons de physique quantique qui nous dévoilent les mécanismes du processus électromagnétique de la Vie. En méditant pendant ma promenade du jour en forêt sur cet enseignement de l’Ange transmis à Jenaël, je suis venu à interroger mon « En-Je » sur le sens de l’ «affaire Macron-Benalla » qui depuis une semaine avait envahi l’espace médiatique et tenté de polluer la quiétude estivale s’installant à l’issue de la frénésie footballistique.

 

Immédiatement j’entendis « langue des oisons » en moi, avant de m’exclamer intérieurement comme tel Sherlock Holmes « Mais c’est bien sûr ! ». Alexandre Benalla, « ben Allah », le fils d’Allah, autrement dit du dieu sumérien Anu et de sa longue déclinaison en dieu imposteur (Yahvé, Zeus, Jupiter…). Ce prénom Ben qui vient de l'hébreu ben'yamin - Benjamin - est le « fils de la main droite » qui, autrement dit, est du côté de la chance, du bon augure. Mais comme tout est inversé dans la Matrice des illusions qu’est notre monde en 3-D, il est le fils de mauvais augure, soit Enlil et non Enki, le porteur du génome christique rédempteur et libérateur.

 

Tout naturellement sa « filiation maudite » à Jupiter, le « monarc » (anagramme de Macron) régnant, coulait de source, tel le fils adoptif de César, Brutus, qui le trahit et auquel il porta le dernier coup, en le poignardant le 15 mars 44 av. J.-C. Qui plus est, en ce lendemain d’éclipse, j’établis le lien avec Ganymède, ce fils du roi Tros (qui donna son nom à Troie) qui, étant le plus bel adolescent vivant sur la terre, fut choisi par les dieux pour être l'échanson et l’amant de Zeus (Jupiter) qui l'enleva en prenant la forme d’un aigle. Ganymède est sur le plan astronomique un satellite naturel de Jupiter (le plus grand du système solaire), une de ses lunes, avec pour nom international Jupiter III Ganymede. Ce même Jupiter, accusé par les poètes d'amours des plus illicites, en l’occurrence trois jeunes femmes vierges Io, Callisto et … Europe !

 

Je fis bien sûr le lien immédiatement avec l’éclipse lunaire de ce vendredi 27 juillet, éclipse se produisant à chaque fois que la Lune se trouve dans l'ombre de la Terre et appelée « lune rousse » ou « lune de sang ». C’est bel et bien le féminin magnétique oppressé qui se rappelle à l’être humain en ce mois de juillet 2018, qui voit le feu solaire brûler la terre et les êtres humains comme en Grèce, un des phares civilisationnels de la Matrice dévoyée, désacralisée.

 

J’ai remercié mon «  En-Je » pour cette compréhension des synchronicités et du clin d’œil adressé par l’univers à l’être humain en quête de vérité…

 

Bien à vous tous.

Pascal N (inscrit au cénacle - dépt 92)

 

 

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