Les propriétés du Silicium Organique G5 - transmis par Gégé

 

Bonsoir les amis

Encore bravo pour le dossier silice et surtout la guidance de Jenaël (que du bonheur).

Voici en complément d'information une récapitulation de cette belle aventure - que je confirme comme exacte - réalisée par l'équipe très controversée de Christian Cotten, mais très bien faite.

Amitié

Gégé

 


 

Les propriétés du Silicium Organique G5

 

Note importante : les textes d’information présentés sur ce site n’ont aucune prétention à caractère médical ou thérapeutique. Les données exposées sur ce site visent à informer les consommateurs de la façon la plus claire possible sur les utilisations d’un produit dont les bienfaits pour le bien-être sont désormais très connus, et ce, à partir des témoignages d'utilisateurs, de scientifiques et de médecins. Bien que ce produit ne présente aucune toxicité, nous ne sommes pas responsables d'un usage du G5 qui aurait été prescrit par un médecin pour une raison autre qu'une complémentation nutritionnelle. Ces textes ont élaborés à partir de plusieurs sources, dont des écrits de l’inventeur du G5, M. Loïc Le Ribault.

Après utilisation par plusieurs centaines de milliers de personnes, on peut aujourd'hui résumer comme suit les principales caractéristiques du G5, selon les témoignages des consommateurs et de nombreux médecins ou pharmaciens et autres professionnels de santé.

- Son efficacité est prouvée par des tests officiels(1)et de multiples témoignages de médecins et d’utilisateurs, étayés par des documents de tous ordres (analyses de sang, radios, photographies, etc.)

- Il est assimilable par l'organisme humain et par celui des animaux et des végétaux. De nombreuses applications vétérinaires ont été réalisées sur du bétail (chevaux, vaches, porcs), des volailles (poules et canards), des poissons d'aquarium, des chiens et des chats.

- Il ne présente aucune toxicité (2).

- Il joue un rôle important dans la restructuration des fibres d'élastine et de collagène, dans les stades précoces de la minéralisation osseuse et dans le métabolisme général de l'organisme.

- Il possède la propriété de traverser le derme et l'épiderme pour diffuser ensuite dans l'ensemble de l'organisme et en particulier dans les organes ou parties du corps souffrant d'agressions diverses ou de dysfonctionnements.

- Il est compatible avec toute thérapie à laquelle sont éventuellement soumis les utilisateurs avant ou pendant son utilisation.

- Il accélère les processus de cicatrisation.

- Il est anti-inflammatoire.

- Il renforce les défenses immunitaires de l'organisme. Il dynamise, protège et régénère l'ensemble des cellules du corps.

- Il ne provoque aucun effet secondaire, même après utilisation durant plusieurs années consécutives.

- C'est un « anti-douleur », dont l'action est souvent perceptible au bout de quelques minutes seulement. Contre les piqûres de méduses, les coupures, les brûlures et les coups de soleil, notamment, son efficacité est telle qu'il a gagné dans les Caraïbes le surnom de « Pain Killer » (le « Tueur de douleurs »).

Le G5 peut être utilisé par les enfants en bas âge et les femmes enceintes.

 


Comment une molécule unique peut-elle avoir un champ d’action aussi large ?

 

Il est impossible de donner une réponse précise. On ne peut qu'émettre une hypothèse, compte tenu du fait que des études scientifiques prouvent que tout désordre de l'organisme provient au moins en partie d'un déséquilibre électrique cellulaire : on sait qu'une cellule en bon état est électriquement parfaitement équilibrée, avec son pôle négatif exactement aligné avec son pôle positif. Par contre, une cellule déficiente (suite à une agression, à une maladie, à la vieillesse, etc.) présente des pôles déséquilibrés, qui ne sont donc plus alignés.

Or le G5 est chargé à l'extrême en ions positifs et négatifs instables, qui ne cessent de « tourner » autour de chacune de ses molécules.

Le G5 pourrait donc intervenir dans l'organisme pour rétablir la polarité des cellules déficientes, libérant (ou échangeant) selon les cas des ions positifs ou négatifs. Il serait en quelque sorte un rééquilibrant ionique de l'ensemble de l'organisme, dont l'action donnerait ou contribuerait à donner aux cellules de celui-ci l'énergie nécessaire pour lutter contre tous les types d'agressions dont il est victime.

C'est sans doute ce qui explique la sensation de chaleur, ou de froid, ou de picotements électriques, que certains utilisateurs ressentent circuler dans leur corps, parfois quelques minutes seulement après absorption ou application de G5.

C'est, en tout cas, la seule explication possible en l'état actuel des connaissances.

Mais, après tout, voilà près de cent ans qu'on essaie de comprendre - en vain  - comment agit l'aspirine...

Le G5 n'est donc pas un médicament au sens médical, pharmaceutique et juridique du terme, mais un "complément alimentaire"  (devenu par décision européenne un "Cosmétique" depuis le 31 décembre 2009, pour, sans doute, 12 à 18 mois...) renforçateur des défenses naturelles de l'organisme. C'est ce qui expliquerait les résultats obtenus grâce à lui par nombre de médecins dans le traitement des affections les plus variées.

 

1. Tests officiels réalisés selon les normes américaines (37 CFR § 1, 132) par le professeur Jean Cahn, directeur de l'Institut Sir International, professeur de pharmacologie et de neurobiologie à la faculté des Sciences et à la faculté de Médecine de Pavie (Italie).

2. Tests officiels réalisés par le laboratoire Evic Ceba en 1995 et 2004, en conformité avec la Directive européenne 86/609/CEE du 24 novembre 1986 et par l'Agence Française du Médicament (Ministère français de la Santé) en décembre 1995.

 

 

Le Silicium Organique G5, composition

 

Famille : Organo-silicié (ou silicium organique).

Dénomination scientifique : Monométhyl silane triol.

pH : environ 6,6.

Aspect : limpide et incolore, exempt de tout corps étranger.

Saveur : légèrement âcre.

 

Composition des produits prêts à emploi

G5 Original liquide - Ingrédients pour 90 ml : eau, monométhylsilanetriol (Silicium : 10,35 mg), phosphate de potassium (phosphore, 13,5 mg soit 1,7% AJR, potassium 20,25 mg). Conservateurs : E214 - E218.

G5 liquide SANS CONSERVATEUR : idem ci-dessus, sans conservateur.

G5 gel : eau, hydroxyéthylcellulose, monométhylsilanetriol, conservateurs : Sodium Hydroxyméthylglycinate, Diazolidinyl Urea

 

Durée de conservation

Récipient ouvert : un an après ouverture. 4 semaines pour le G5 sans conservateur.
Récipient non ouvert : quatre ans. Deux ans et demi pour le G5 sans conservateur.
Il n'est pas nécessaire de conserver le G5 dans un réfrigérateur.
Ne pas boire directement au flacon.

 

Législation

Le Silicium Organique G5 liquide faisait partie de la liste officielle des compléments alimentaires autorisés en Irlande et en Europe, par dérogation de l'administration irlandaise en date du 11 juillet 2005. Depuis le 31 décembre 2009, le G5 est classé comme "Cosmétique", pour une période transitoire de 12 à 18 mois, le temps nécessaire à quelques études complémentaires sur le MonoMéthylSilaneTriol en tant que source de Silicium Organique. Sa distribution est parfaitement autorisée en France.

 

 

Silicium Organique G5, la posologie

 

 

1. Voie orale – Silicium Organique G5 liquide

 

Le Silicium Organique G5 est présenté sous deux formes : liquide et gel.

Le Gel est utilisé uniquement en applications externes (utilisation possible sur les muqueuses).

Le Liquide peut être utilisé, selon les besoins, par voie orale et en applications externes par pulvérisations, compresses, compresses étanches, dans les yeux, les oreilles, par micro-lavements vaginaux et anaux(1).

L'approche est différente selon que les utilisateurs sont « bien portants » (ou supposés tels) ou au contraire souffrent d'affections déclarées ou de séquelles de celles-ci.

Dans le premier cas, les utilisateurs les plus habituels conseillent une cure simple simple destinée à une « remise en forme » générale ; dans le second cas, les utilisateurs doivent inscrire leur cure dans le cadre du traitement médical qu'ils suivent par ailleurs avec leur médecin et ce, avec son accord.

1. Pulvérisateur, flacon compte-gouttes ou mini-poire à lavement doivent être vierges de toute utilisation antérieure. Les compresses ne doivent pas être réutilisées (risques de macération).

 

1.1. La cure d'entretien ou de remise en forme

 

Nous avons vu que le « capital silicium organique » diminue de façon inéluctable avec le temps.

Toute affection ou déficience de l'organisme peut donc être combattue avec un apport de silicium organique, le G5 joue ce rôle. Une ingestion ou une application locale de G5 résoudra donc le problème ou apportera un soulagement, mais la décroissance du stock de silicium organique se poursuivra après cet apport ponctuel.

L'idéal est donc de suivre des cures régulières de G5, qui rechargeront constamment l'organisme en silicium organique, permettant de maintenir constamment un meilleur état général et une défense de l'organisme plus efficace contre toute agression.

La cure consiste en l'absorption quotidienne de G5 pendant 1 à 3 mois ou 3 à 6 mois.

La quantité moyenne est comprise entre 1 et 3 bouchons par jour, selon les besoins (30 ml 1 à 3 fois par jour).

Il est souvent conseillé de commencer par un bouchon quotidien, et de voir au bout d'une semaine si des résultats bénéfiques se font sentir au point de vue de l'état général.

Si ce n'est pas le cas, il convient d'augmenter la dose journalière à deux bouchons (soit 2 fois 30 ml) puis, si aucune amélioration ne s'est encore fait ressentir au bout d'une autre semaine, de passer à trois bouchons par jour. Dans la majorité des cas (90 %), un bouchon (3 fois 10 ml) permet d'obtenir une remise en forme très sensible.

Celle-ci se manifeste de multiples façons, telles que la reprise du sommeil et d'un appétit normal, un meilleur équilibre nerveux, une énergie accrue, etc.

La première cuillère est absorbée de préférence le matin à jeun et les autres (midi et soir) vingt minutes au moins avant les repas. Nombre de consommateurs du G5 conservent le produit dans la bouche 1 à 3 minutes en le « mâchant » avant de l'avaler.

Les utilisateurs habituels déclarent qu'il est important de suivre la cure sans interruption pendant 1 à 3 ou 3 à 6 mois, plus si le besoin s'en fait sentir, même si la remise en forme paraît très satisfaisante au bout de quelques jours.

La souplesse d'utilisation du G5 est telle que chacun est libre de l'utiliser à sa guise et selon les besoins qu'il ressent.

 

N.B. : le G5 est compatible avec n'importe quelle thérapie éventuellement en cours. Toutefois, si celle-ci oblige l’utilisateur à absorber des médicaments (allopathiques ou homéopathiques), il est souvent conseillé, pour une meilleure efficacité du G5, de prendre celui-ci séparément (par exemple 15 à 20 mn avant l'absorption des médicaments).

Il arrive parfois que, quelques secondes ou quelques minutes après l'absorption de G5, on ressente des picotements ou une sensation de chaleur diffuse dans le corps ; il s'agit d'un phénomène normal, et l'impression se dissipe au bout de quelques minutes.

Les picotements et/ou la chaleur sont parfois localisés dans une partie très précise du corps ; en ce cas, il convient de mémoriser la zone de l'organisme ainsi « désignée », qui correspond vraisemblablement à une affection locale quelconque, connue ou non, et d'en avertir son médecin traitant.

 

1.2. La cure accompagnée d’un traitement médical

 

Il s'agit d'une cure identique à celle décrite précédemment, mais effectuée sous surveillance médicale avec analyses et contrôles spécifiques (analyses de sang, radios, examens cliniques, etc.).

À échéances régulières (3 à 6 mois), les bilans à disposition du médecin permettront à celui-ci de décider si la cure est suffisante ou doit être poursuivie, les doses maintenues, diminuées ou augmentées, et si le traitement complémentaire (avec d'autres formes d'utilisation de G5 et/ou de médicaments) est adapté ou doit être modifié.

Pour les affections lourdes, les doses quotidiennes recommandées par les médecins sont généralement comprises entre 3 et 9 cuillères à soupe par jour, parfois jusqu'à 3 fois plus (1 à 3 fois 30 ml par jour, jusqu'à 30 ml toutes les 3 heures, voire 30 ml jusqu'à 9 fois par jour)

Dans le dossier Exemples d'utilisation, nous donnons quelques exemples de situations où l'utilisation systématique de G5 buvable est fortement recommandée par de nombreux médecins ou fait l'objet de témoignages détaillés de consommateurs.

 

2. Compresses étanches – Silicium Organique G5 liquide

 

Imbiber de G5 un (ou plusieurs) morceau(x) de coton (ou de gaze) d'une taille correspondant à la surface du corps à traiter.

Afin d'éviter l'évaporation, recouvrir le coton ou la gaze d'une feuille de plastique alimentaire assurant une bonne adhérence et conserver pendant la journée ou durant toute la nuit.

N.B. : souvent, on ressent une impression de légers picotements (généralement qualifiés d' « électriques »), de chaleur (Cf. témoignages n° 41, 89) ou au contraire de froid, qui diffuse dans l'organisme. Ce phénomène est normal. Mais il arrive aussi qu'aucune sensation ne soit perceptible (ce qui ne signifie nullement que le G5 n'agisse pas !.

Les compresses provoquent parfois l'apparition de démangeaisons ou de rougeurs. Si celles-ci sont localisées exactement à l'emplacement du plastique, il s'agit d'une allergie à celui-ci et il convient de changer de marque. Si elles apparaissent sur toute la surface de la peau en contact avec les compresses, il s'agit dans la plupart des cas des conséquences du phénomène de macération. En ce cas, diminuer le temps d'application des compresses ou essayer les massages.

Rougeurs et/ou démangeaisons peuvent être accompagnées d'une sensation nette de chaleur interne très localisée, voire de douleur ou d'une élévation de température ; c'est généralement le signe que le G5 a déjà produit son effet (parfois après une seule application). En ce cas, il convient d'arrêter les compresses et d'observer l'évolution de l'affection durant quelques jours (consultations médicales, analyses de sang etc.).

 

3. Compresses – Silicium Organique G5 liquide

 

Imbiber de G5 un (ou plusieurs) morceau(x) de coton (ou de gaze) d'une taille correspondant à la surface à traiter, puis appliquer sur la peau.

Souvent, on ressent une impression de légers picotements (généralement qualifiés d' « électriques »), de chaleur ou au contraire de froid, qui diffuse dans l'organisme. Il est également fréquent que la sensation de froid soit suivie d'une sensation de chaleur, ou l'inverse. Ce phénomène est normal. Mais il arrive aussi qu'aucune sensation ne soit perceptible (ce qui ne signifie nullement que le G5 n'agisse pas !.

Au bout de 20 minutes environ, enlever le cataplasme et laisser la peau sécher à l'air libre.

L'opération peut être renouvelée aussi souvent que nécessaire si la gêne ou la douleur persiste.

 

4. Tamponnements – Silicium Organique G5 liquide

 

Imbiber de G5 un morceau de coton et en tamponner pendant 5 à 10 minutes la surface à traiter.

 

 

5. Vaporisation – Silicium Organique G5 liquide

 

Remplir de G5 un vaporisateur n'ayant jamais servi, du type de ceux qu'on trouve en pharmacie. Vaporiser ensuite toute la surface à traiter. Laisser sécher à l'air libre ou masser légèrement (avec des mains propres !) jusqu'à pénétration complète du produit. Renouveler l'opération aussi souvent que nécessaire.

N.B.: ne jamais réutiliser un vaporisateur ayant contenu un autre produit ! Utiliser toujours un vaporisateur neuf, exclusivement réservé à l'emploi du G5 !

 

 

6. Massages – Silicium Organique G5 gel

 

Étaler une mince couche de gel sur la peau puis attendre quelques minutes sans y toucher. Masser ensuite légèrement jusqu'à pénétration complète du produit. L'opération peut être renouvelée aussi souvent que nécessaire. Si des rougeurs ou des démangeaisons se manifestent, arrêter le traitement.

N.B.: pendant une demi-heure après chaque application de gel, éviter de mettre la surface de peau traitée en contact avec des produits corrosifs ou toxiques (ex. : liquides ou poudres à laver, insecticides etc.).

 

 

Petite histoire du G5...

 

 

1. Les travaux de Norbert Duffaut

 

En 1957, Norbert Duffaut, chimiste organicien de l'Université de Bordeaux, réussit à synthétiser une molécule de silicium organique, stabilisée avec de l'acide salicylique. Cette molécule va rapidement être appliqués en médecine sous l'appellation de « DNR » (Duffaut Norbert Remède). G1 et G2 vont rapidement être appliqués en médecine sous l'appellation de « DNR » (Duffaut Norbert Remède).

Au début de 1958, Duffaut rencontre le docteur Jacques Janet. Spécialiste de gastroentérologie, celui-ci va utiliser le DNR en l'appliquant grâce à l'appareil d'ionocinèse (« cytotron ») mis au point par le professeur Jacques Breton(1). Ensemble, ils vont effectuer de très nombreuses applications de DNR, notamment dans le traitement des maladies cardio-vasculaires, des rhumatismes et des cancers. De nombreux articles parus dans des revues spécialisées témoignent de leur succès (cf témoignage n° 61).

Néanmoins, malgré d'innombrables démarches auprès de tous les organismes officiels français responsables de la santé publique, Duffaut ne réussit jamais à faire seulement tester le DNR par ceux-ci : il se heurte à une totale indifférence. Plus tard, le docteur G.R. Rager entreprend à son tour d'expérimenter le DNR sur les maladies cardio-vasculaires. Les résultats (Cf. témoignage n° 62) obtenus sont tels qu'en 1967 l'Académie de Médecine lui attribue le Prix J. Levy-Bricker pour récompenser ses travaux sur l'utilisation des organo-siliciés en thérapeutique humaine. Mais le découvreur du DNR, lui, est « oublié » et n'est pas honoré du moindre laurier.

Sans trêve, Duffaut poursuit ses expérimentations en tous domaines : maladie de Carré, cholestérol, hypertension, cirrhose du foie, entérocolite hémorragique du chien, mastose, asthme, bronchite chronique, etc. Il démontre aussi que les patients atteints de cancer auxquels on applique des organosiliciés supportent mieux les effets secondaires de la chimiothérapie et de la radiothérapie, et ne souffrent ni de brûlures ni de chute des cheveux. Ce sont des milliers de malades qui sont ainsi traités avec succès des affections les plus variées.

 


2. Les travaux de Loïc Le Ribault

 

Géologue de formation, Loïc Le Ribault est en France un des premiers utilisateurs du microscope électronique à balayage (M.E.B.). En 1970, il met au point une méthode permettant, grâce à cet appareil, de déterminer l'histoire géologique et la provenance des grains de sable(2). Dans deux articles publiés en 1972 à l'Académie des Sciences, il démontre que certains cristaux de quartz portent à leur surface une pellicule de silice amorphe soluble dans l'eau(3).

Après étude de plusieurs milliers d'échantillons, il prouve la présence fréquente de micro-organismes (tels que bactéries et Diatomées) à la surface des grains de sable(4). Plus tard, il démontre que l'amorphisation superficielle des quartz détritiques est due à l'action conjuguée de ces micro-organismes (par l'intermédiaire des acides organiques qu'ils sécrètent) et d'actions mécaniques et/ou chimiques diverses caractéristiques du milieu sédimentaire dans lequel ils évoluent.

Afin d'étudier plus précisément le rôle des micro-organismes dans le cycle biologique et géologique du silicium, il met au point en 1975 un procédé permettant de récolter les dépôts de silice dus à leur action. Il sera démontré ultérieurement que les solutions ainsi obtenues contiennent un pourcentage important d'organo-siliciés. C'est au cours de ces expériences qu'il découvre fortuitement l'efficacité thérapeutique de ces derniers.

A l'époque, en effet, Le Ribault souffre depuis dix ans d'un psoriasis considéré comme incurable qui affecte ses deux mains. Amené à extraire des sables une solution très riche en silicium organique pour l'étudier au microscope électronique, il est obligé de malaxer celle-ci avec sa main droite. Deux jours plus tard, il constate avec surprise que le psoriasis a totalement disparu sur celle-ci, alors qu'il affecte toujours sa main gauche. Intrigué, cherchant un lien de cause à effet, il trempe aussitôt cette dernière dans une solution identique, avec l'obtention d'un résultat aussi spectaculaire, également deux jours plus tard.

Dès cette époque, Le Ribault commence donc à s'intéresser au rôle du silicium organique dans le traitement des affections cutanées et, en collaboration avec des amis médecins, effectue avec succès plusieurs centaines de tests jusqu'en 1982.

Avec surprise, les médecins constatent rapidement que les patients traités pour des affections cutanées se déclarent soulagés de leurs douleurs articulaires, ressentent un mieux-être général, et que pour ceux atteints d'affections virales les résultats des analyses de sang prouvent une guérison parfois spectaculaire ! Autrement dit, le silicium organique semble guérir une multitude d'affections...

D'ailleurs, certaines populations d'Afrique du Nord savaient depuis des siècles que, dans certains endroits très précis, des malades enfouis dans le sable se trouvaient rapidement guéris de leurs douleurs, notamment rhumatismales.

Le Ribault allait ultérieurement constater par étude exoscopique que ces « endroits très précis » contiennent justement des sables exceptionnellement riches en silicium organique...

 


3. La collaboration Duffaut - Le Ribault

 

En 1982, Duffaut et Le Ribault se rencontrent lors d'une manifestation scientifique à Bordeaux. Ce dernier vient tout juste de créer le C.A.R.M.E.(5), et dispose d'un matériel de microanalyse très sophistiqué.Immédiatement, les deux chercheurs décident de poursuivre ensemble leurs travaux sur les applications thérapeutiques des organo-siliciés. L'année suivante, la collaboration du chimiste et du géologue aboutit à la mise au point d'une molécule de synthèse particulièrement efficace dans le traitement des affections virales : c'est le «G4 » (encore appelé « DNV »), obtenu notamment grâce à l'adjonction d'hyposulfite de sodium.

Onze années durant, Duffaut et Le Ribault accumulent les preuves de l'incroyable efficacité des organo-siliciés dans la guérison d'un grand nombre d'affections, traitant (avec ou sans la collaboration de médecins praticiens), toujours gratuitement, des centaines de patients, essayant sans trève de perfectionner leurs produits.

En 1985, ils déposent un brevet international pour protéger les applications thérapeutiques du G4 et organisent à Paris en 1986 une conférence de presse dont le résultat le plus notable est l'indifférence absolue des autorités médicales. Par contre, l'information concernant le rôle de ces molécules dans la restructuration des fibres d'élastine et de collagène (Cf. témoignages 39 et 82) ne tombe pas dans l'oreille de sourds : dès 1987 et jusqu'à ce jour, le silicium organique constituera (clairement ou sous forme déguisée) le principe actif essentiel de la plupart des cosmétiques de grandes marques.

En 1987, Duffaut et Le Ribault informent (par document enregistré devant huissier) Jacques Valade, à l'époque ministre français de la Recherche, que ce produit pourrait peut être représenter un espoir dans le traitement du Sida, et qu'il est donc nécessaire de le tester immédiatement en ce domaine. Dix-huit ans plus tard, le ministre n'a toujours pas répondu.

En novembre 1993, Norbert Duffaut est découvert mort dans son lit. Les conclusions de l'enquête attribuent son décès à un suicide par empoisonnement. Étrangement, il n'a laissé aucune lettre pour expliquer son geste. Juste quelques mots dans la conclusion du manuscrit dérangeant qu'il s'apprêtait à publier :" Guérir tant de maux avec un seul produit, autrement dit avoir découvert la panacée, semblait impossible à trop de beaux esprits (...). Je n'ai pourtant ni rancoeur ni esprit de vengeance et je conçois très bien que les savants ne croient pas en ma découverte, mais je m'élève contre le fait qu'ils refusent de l'expérimenter sans l'avoir essayée."

 


4. Le « G5 »

 

Resté seul, Le Ribault poursuit les travaux. Jusqu'alors, pour que les organo-siliciés soient actifs, on devait leur adjoindre de faibles quantités de produits utilisés en allopathie ou homéopathie, produits qui étaient choisis de façon spécifique selon les affections à traiter. En outre, les organo-siliciés de ces premières générations ne pouvaient être utilisés que par applications cutanées (compresses, tamponnements, ionocinèse, etc).

En 1994, Le Ribault met au point une nouvelle molécule, testée depuis 1991, pouvant être utilisée sans rajout de complément médicamenteux quelconque dans le traitement de la plupart des affections. Autre nouveauté importante : sous forme liquide, ce silicium organique de cinquième génération (baptisé « G5 »), qui ne présente aucune toxicité, devient désormais buvable. Mais il peut aussi être utilisé sous forme de gel pour des applications cutanées.

Le G5 est un organo-silicié appartenant à la famille des silanetriols.

Devant les refus réitérés des autorités médicales de tester et d'agréer le G5, Le Ribault publie ses résultats dans la presse (Sud-Ouest Dimanche, 8 octobre 1995). Dans les jours qui suivent, des milliers de patients abandonnés par la médecine orthodoxe affluent chez lui pour obtenir du produit. D'octobre à décembre 1995, aidé par plusieurs médecins, il accumule ainsi une moisson d'informations et de documents d'un intérêt scientifique considérable.

Malgré cela (ou à cause de cela ?) l'Ordre des médecins et celui des pharmaciens portent plainte contre Le Ribault en janvier 1996. Celui-ci part donc le 18 mars 1996 pour les Caraïbes britanniques, où il obtient les agréments officiels autorisant l'utilisation du G5 en tant que médicament au sein du Commonwealth. Trois mois plus tard, il rentre en France pour essayer une nouvelle fois d'y obtenir les agréments officiels pour le G5. Mais un mandat d'amener a été lancé contre lui et il est immédiatement incarcéré le 12 décembre, en dépit du fait que pas une seule plainte de client n'ait été déposée contre lui.

Il est emprisonné neuf semaines à l'isolement, la principale raison donnée par le juge étant qu'il est nécessaire de... le protéger ! Le Ribault est libéré le 14 février 1997 par décision de la Chambre d'Accusation, contre l'avis du juge d'instruction qui persiste à vouloir le maintenir en détention. Mais il demeure soumis à un strict contrôle judiciaire et ses papiers d'identité ne lui sont pas rendus. Assigné à résidence, il lui est interdit de quitter le département de la Gironde.

Le 8 Avril 1997, suite à un nouveau dossier monté contre lui de toutes pièces par la Direction Centrale de la Police judiciaire, la police revient pour l'arrêter de nouveau. Il n'a que le temps de s'enfuir de France pour se réfugier en Belgique, puis en Grande-Bretagne, dans l'île de Jersey et enfin Irlande.

En septembre 1999, il crée une société qui fabrique le G5 sous son contrôle et, diffuse le produit dans le monde entier. Le mois suivant, un mandat d'arrêt international est lancé contre Le Ribault. Étrangement, ce mandat n'est pas transmis à Interpol. D'octobre 1999 à août 2003, Le Ribault poursuit ses travaux sur le G5 en Irlande.

Mais le 23 août 2003, un nouveau mandat d'arrêt international est lancé contre lui. Il quitte l'Irlande pour se réfugier en Suisse, où il sera arrêté le 21 novembre 2003, incarcéré à l'isolement, extradé en France pour y être jugé le 5 février 2004, condamné à six mois de prison ferme (déjà effectués...) et six avec sursis, et il est finalement libéré le 24 février 2004. Depuis, installé en Suisse, il a repris ses travaux sur le G5 et les applications de la microanalyse en tous domaines.

 

 

Dépliant résumé G5 en lien téléchargeable.

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Commentaires: 1
  • #1

    Pascal (jeudi, 07 mars 2019 13:00)

    Bonjour ,merci pour ce resumé fort complet.
    j'utilise le silicium G5 pour de l'arthrose au niveau de la cheville et comme vous le dites il se passe quelque chose ça bouge dedans c'est phénoménal de plus j'ai vraiment une sensation d'apaisement c'est genial.
    Je le recommande a tous ceux qui en doutent
    Merci.