5. Mémoires de mutilations génitales, bourreau et victime - par Christelle M

 

Il y a quelque temps, le père des enfants et moi remarquions que notre fils ainé Avimaël grinçait des dents encore la nuit, et cela depuis plusieurs années. Je vais voir chez Jacques Martel :

 

Grincement de dents – bruxisme :

« Le grincemenr de dent, ou bruxisme, est une colère inconsciente qui remonte à la surface, une rage refoulée qui s'exprime souvent la nuit.(...) Les enfants sont très souvent affectés de bruxisme : c'est en bas age que j'apprends les jeux de pouvoir et les différentes relations d'autorité qui existent.( …) Comme une porte mal graissée, le grincement de dents met en lumière ma peur (…) et le bruit exprime une forme de gémissement intérieur, me sentant sous l'emprise d'un maléfice, envouté. »

 

Alors j'ai cherché, le plus objectivement possible, ce qui aurait pu causer un trauma chez cet enfant. Un seul événement m'est venu en tête, non sans douleur à admettre. Il me fallait reconnaître pleinement ce trauma que j'ai longtemps mis sous le tapis par le poids de la culpabilité (encore elle ! elle se cache partout) : A l'age de 13 mois nous décidons de faire circoncire l'enfant, le père étant d'origine juive, la tradition oblige ! Totalement ignorante et inconsciente du sens de cet acte, j'accepte la circoncision. Au moment de cet acte, j'ai été horrifié, d'autant plus que je me retrouve à tenir le bébé pour limiter ses mouvements. Mes parents nous avaient reproché cet acte "barbare" , ce qui provoquait ma colère, la colère qui sous entend le déni de la vérité.

Moi aussi j'ai été choquée (même si je le niais) et j'ai décidé que le deuxième enfant ne subirait pas cela.

Le circonciseur était un rabbin ,Mr Lieberman ( = préférable/aimer – homme), qui demanda 500 € + frais du voyage en train + repas = ça fait cher l'histoire... et cerise sur le gâteau : il était « Maître Reiki » alors que nous avions passé le niveau 1 reîki. Y'a pas de hasard : les programmés appellent les programmeurs !

 

Mais c'est bien plus tard que j'ai compris le sens de cet événement que je refoulais pour l'accepter et l'intégrer. Il s'agit d'un alter, sur une autre ligne temporelle, qui participe à un rituel satanique sur enfant, en tant qu'assistant (ou dirigeant). Sous la programmation de cet alter bourreau, j'ai reproduit aveuglement un consentement à une mutilation. Et puisque je cherche la vérité, j'ai l'opportunité de transmuter cette mémoire-programme sds en l'acceptant telle qu'elle est.

 

Dans le chap 66 La voie du Fou, Laura knight évoque les circuits d'imprégnation ou stades de développement qui se construisent lors de la petite enfance et la circoncision.

 

"Tout traumatisme au cours de ce stade [ 1er circuit oral-passif-receptif] peut causer un retrait mécanique inconscient face à tout ce qui peut menacer la sécurité physique.

J'ai beaucoup refléchi à ce circuit spécifique, en raison du problème de la circoncision. J'en suis arrivée à l'hypothèse que le credo monothéiste judéo-chrétien était un programme de contrôle majeur. [...] Quel meilleur moyen de susciter une méfiance profonde, subconsciente, envers les femmes – sans parler d'une terreur écrasante à la seule mention de la douleur et de la souffrance qui pourrait résulter de la rupture de l'alliance monothéiste -- que de mutiler le pénis d'un petit garçon, quand tout ce qu'il veut, lui, c'est être bien au chaud dans un nid douillet, et remplir son bedon du lait chaud et sucré de maman ? Quelle ruse abyssale ! "

 

Avant ma prise de conscience, ce passage me dérangeait beaucoup et pour cause !

 

Je reviens sur le bruxisme d'Avimaël. Je l'avais informé que son trouble nocturne exprimait une colère et une peine enfouies en lui à cause de quelque chose qui l'avait fortement blessé. Ni lui, ni moi ne pouvions comprendre à ce moment là. Puis après mes prises de conscience et recherches, le moment opportun s'est présenté pour échanger, c'est lui qui aborde le sujet de ses grincements de dents. Je lui parle donc de la circoncision, du traumatisme provoqué par le fait de couper un bout de son pénis, de la culpabilité que je portais jusqu'à présent, …. Il a semblé avoir compris.

Aujourd'hui, je ne sais pas s'il grince encore des dents la nuit. L'important était de parler du sujet sensible avec l'enfant, afin de dévoiler les non-dits qui pesait sur nous.

 

Plus tard, le sujet de l'excision (jumelle de la circoncision) se présente par le film « Fleur du désert » : « l'autobiograhie d'une nomade somalienne excisée à 3 ans, vendue en mariage à 13 ans. Elle s'enfuit d'Afrique, et devient top model américaine puis porte-parole de l'ONU contre les mutilations génitales féminines ». Vu le sujet, le premier reflexe est de refuser de voir ce film, c'est un sujet douloureux. Et puisque ce reflèxe de rejet est celui de la polarité sds, je décide de visionner le film pour apprendre quelque chose. En effet, au moment de la scène cruciale subie par la petite fille, je pleure (aussi en ecrivant) sur cet abus douloureux, je pleure la douleur physique et psychique de toutes ces petites filles et aussi celle des petits garçons mutilés.

 

La circoncision (latin : circumcisio, « fait de couper autour, découpe ») désigne, dans sa forme la plus répandue, l’ablation totale ou partielle du prépuce, en supprimant ainsi ses fonctions et laissant le gland du pénis en permanence à découvert.

 

Une excision est, dans son sens le plus général, l'ablation d'une partie de tissu biologique. Le terme est plus communément utilisé pour désigner l'ablation du capuchon voire du clitoris en entier, pratique également connue sous le nom de mutilation génitale féminine (MGF). L'excision du clitoris, qui est une MGF, implique l’ablation de la partie externe prépondérante du clitoris (clitoridectomie) et de son capuchon. Elle est parfois accompagnée de l'ablation des petites lèvres et de la suture des grandes lèvres.

 

La circoncision n'est pas considérée, par les autorités, comme une mutilation génitale masculine. Pourquoi ?

 

Je comprends la peur-peine-colère de ces jeunes enfants : ils sont encore confinés dans leur bulle-monde d'innocence et l'adulte vient briser violemment cet état au nom de la tradition. Les hommes circoncisent les garçons, les femmes excisent les filles, par la programmation de générations en générations. Le trauma de la mutilation, la douleur physique et psychique, le choc, le sang coulé de la victime innocente, nourrissent les êtres prédateurs du Service De Soi de 4e densité, c'est le principe de l'abus rituel satanique.

 

Interférer sur l'intégrité physique d'un jeune corps n'est pas anodin pour le corpus prédateur. D'autant plus s'il s'agit de la partie la plus « sensible » du corps : l'organe sexuel. C'est comme si, par les mutilations, on rajoutait des nœuds au déjà gros programme collectif qui contrôle l'humain : la sexualité. La sexualité qui, entre autre, a généré la CHUTE de l'humain en 3e densité du Service de Soi, selon les Cassiopéens.

 

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Commentaires: 1
  • #1

    Amatsunico (lundi, 03 juin 2019 19:43)

    Bonjour Christelle, Suite à ton message, j'ai pensé t'envoyer une info des plus importantes et très peu connue sur la circoncision chez les juifs, qui pourra t'éclairer encore plus, et tous ceux qui la liront, sur cette pratique et sa vraie raison d'être, dans ses effets traumatisants et recherchés sur ces petits sans défense!
    Bonne écoute.
    https://www.youtube.com/watch?v=ITFzhOX0UuE