Notre rencontre approche à grands pas - par Diane P

 

Je fais un retour de vie, avec un regard Léo, sur des événements qui ont guidé et accompagné ma quête.

À 25 ans en congé de maternité (infirmière), je me questionne sur le sens de ma vie. Je me sentais comme la coche d’un engrenage qui sert à faire tourner le mécanisme d’une horloge; je ne pouvais accepter qu’être ça. Donc solution, un stérilet et retour au travail avec recherche d’explications.

 

J’ai cherché dans les sciences cosmiques. J’y ai redécouvert l’âme et la programmation du subconscient, un peu d’Eckankar et le « Aum ». Puis, est venu la rencontre dans un centre spirituel, en mon intérieur EUREKA (j’ai trouvé). Le prêtre qui animait ce centre enseignait d’autres connaissances.

 

Élevée dans une famille très catholique, j’avais cessé de pratiquer au décès de mon père (en toute logique). Il avait tellement demandé sa guérison qu’il n’a pas obtenue, donc pas vraie cette religion; par contre, j’avais la nostalgie de croire.

 

Ce prêtre m’a fait connaître les Dialogues avec l’Ange de Gitta Mallasz que j’ai scrutés. Par contre, sa priorité d’enseignements était la Parole de Dieu (Bible) ainsi que la prière, l’adoration et l’eucharistie. Que de travail avec les écrits de Laura Knight (l’Onde) et les écrits de Sand & Jenaël pour réorienter mes concepts et faire le ménage dans mes croyances.

 

En lien avec ce centre, suite aux prophéties annoncées et les bouleversements à venir, il mit sur pied des centres d’évangélisation et des projets de ferme pour survivre et traverser ces périodes apocalyptiques. La peur supervisait ces décisions même si le but recherché était de procurer une nourriture saine et bio et aussi d’apprendre à travailler ensemble pour construire le Royaume de Dieu.

 

Mon conjoint et moi avons offert de vivre un projet de ferme chez nous. C’était du jardinage et de l’élevage de lapins. Chaque ferme avait un nom spirituel. La nôtre qui au hasard de synchronicités qui se sont présentées à mon conjoint, pris le nom de Mater Dolorosa (Notre-Dame des Douleurs). Avec une très grande réticence, je l’accueillis chez-moi; elle eut même sa statue et sa grotte. Aujourd’hui, je puis dire que quelque part, il y avait une de mes alters qui lui était apparentée.

 

Au cours de ces 22 années de projet de ferme, on s’est apprivoisé, Mater Dolorosa et moi, à travers plusieurs accidents majeurs vécus par mes enfants :

  • À 4 ½ ans, un de mes fils se fit attraper par la faucheuse à foin. Il vécut une NDE. On le ramena. Mais que lui a-t-on programmé, car il a choisi d’être prêtre. (ordonné il y a 3 ans).
  • Ma fille ainée a eu un accident grave de moto; alors les hôpitaux, j’ai connu.
  • Ensuite, mon conjoint a vécu une longue maladie de sept ans entrecoupée de miracles et de grandes souffrances. J’ai dit que pour moi, ce fut l’homme de douleurs devant qui on se détourne la face. Je n’avais pas besoin de la Sainte-Face de Jésus-Christ, je l’avais près de moi.

Après son décès, est venu un temps de recherche « New Age » Amour & Lumière pour apprendre le discernement :

  • Vivre dans le cœur (Drunvalo Melchizedek).
  • Vipassana. Là en méditation, j’ai entendu à l’intérieur de moi, une si grande colère qui hurlait !
  • Personocratia. Quelques ateliers, prises de conscience de quelques peurs et avons formé un groupe de partage pour approfondir (Normand et Normande étaient présents)
  • Joël Ducatillon. PMT, Eau diamant.

Toujours, la lecture des dialogues de Sand & Jenaël et l’Épopée d’Hélène m’aidait à faire le tri et le discernement.

 

Sans oublier la période Khubya, L. Dureau, Myrha et « les crânes de cristal »; je fis l’acquisition de quatre crânes. Quelle déception et prise de conscience que de réaliser cette prise de pouvoir par le corpus prédateur pour manipuler et détruire encore une fois l’humanité. Il me fallait acter, « décide ou décède » : pas facile. Même si j’avais mémoire de m’en être bien servi du temps de l’Atlantide pour guérir. À chacun (entité cristalline), j’ai parlé pour leur dire que mon choix était SDA et que par suite de la prise énergétique que fait le corpus prédateur par leur entremise, je me devais de détruire leur enveloppe (le réceptacle cristallin). À la masse, j’ai fait éclater et détruit chacun; ensuite, je suis allé jeter le tout au fleuve.

 

De la tristesse, cet acte m’a rappelé que j’ai peut-être été un sacrificateur car j’avais l’impression de mettre à mort mes enfants (liens d’attachement).

 

Chacun de mes 4 enfants m’a bien enseignée.

Il y a 4 ans, la benjamine a donné naissance à une fille, belle enfant aux cheveux noirs tout frisés comme son père sénégalais. Deux semaines plus tard, elle vient à la maison pour un temps de relevailles. Sa fille avait la tête rasée (coutume de purification musulmane). Je ne le savais pas. Ce fut un CHOC qui résonna en moi comme une mémoire de camp de concentration, de mutilation du féminin associé même à l’excision clitoridienne. Je lui dis alors : « COMMENT as-tu pu laisser faire ça ? » (la mère pouvait arrêter ça et dire non). Mais, si je retourne le miroir, combien de fois ai-je laissé faire par peur de, par croyances, par ignorance ?

 

Aujourd’hui, je fais SILENCE envers mes enfants. J’ai tant de fois fait ingérence dans ce qu’ils devaient croire, tant transmis de fausses programmations spirituelles, alimentaires et soins de santé que maintenant, lorsque j’aurai intégré dans mes cellules ce qu’est SDA, cela rayonnera et je pourrai et saurai comment leur dire ma vérité.

 

Il y a 2 ans, lors d’un voyage en Louisiane, j’ai visité LA PLANTATION LAURA (exploitation créole de coton et canne à sucre construite vers 1840). Des mémoires de souffrances et d’esclavage ont remonté. C’est à cet endroit que j’ai vraiment conscientisé la prédation. La richesse du propriétaire qui s’évaluait selon ses propriétés, sa production mais surtout ses têtes de bétail. Et dans sa liste de bétail figurait le nombre d’esclaves, marqués au fer rouge du proprio, en cas d’évasion. Sur les photos, on voit dans leurs yeux tellement de tristesse, de désespérance qui résonne en moi ainsi qu’une COLÈRE. Oui du bétail pour faire vivre, servir et prospérer ces prédateurs propriétaires.

Dans ce même temps, un de mes fils choisissait comme conjointe une américaine d’origine noire (donc des ancêtres esclaves).

 

J’ai aussi vécu une histoire d’amour qu’aujourd’hui je puis dire LOVE BITE, avec toutes ses joies et peines qui ont bien nourri mon prédateur et qui m’a aussi bien enseigné sur mes alters, séductrice, prédatrice et sauveuse, puisque je désirais qu’il soit un binôme; donc ingérence à vouloir qu’il lise et s’intéresse au Réseau Léo (À quelle page es-tu rendu ?). Il trouvait peu de temps pour lire.

J’accepte maintenant de lâcher prise.

 

C’est depuis peu que j’accueille vraiment mon prédateur comme l’enseignant. Je le voyais comme l’ennemi, Machiavel, le marionnettiste. Je lui dis merci pour l’enseignement et me redis : VIGILENCE.

 

À bientôt,

 

Diane P

Cénacle de Québec

Écrire commentaire

Commentaires: 0