Le Réseau GLADIO, est-il lié aux attentats et aux autres attaques de 2015 à 2018 ?

 

Ou comment suis-je devenu l’enregistreur et le messager de ces terroristes de l’ombre ?

(Par Marc Delantre)

 

En 2008, je n’étais qu’un petit informaticien, mais connu auprès de certains, pour accepter des missions compliquées et techniquement risquées. J’avais alors été approché par le crime organisé européen. Préférant me sortir de cette situation, j’avais été trouver les autorités françaises, qui m’ont demandé d’y rester comme informateur sous couverture. J’ai enregistré cette organisation sur MP3.

 

C’est alors que je me suis rendu compte que celui qui me poussait à rentrer dans ce milieu était à la fois un très haut policier belge, non musulman, mais qu’il avait surtout des idées très terroristes. Il se disait très fier du 11 septembre 2001. Cela n’était alors pas mon affaire.

 

En 2009, un homme qui dit appartenir au Mossad, les services secrets israéliens, me contacte pour me sortir de cette situation. A cette époque, je ne me posais pas de question. J’étais seulement content, qu’une organisation veuille me sortir des rizières. Le Mossad, ou du moins ce que je crois être le Mossad, me rapatrie donc en Belgique, où ils m’installent dans une ancienne banque, achetée rien qu’à cette occasion. C’est une chose dont je suis certain, l’agent avait encore les papiers d’acquisition entre ses mains.

 

En 2011, le haut officier tente de me réduire au silence. Le présumé Mossad me sauve de cette situation et m’explique les raisons de leur protection. Je les enregistre sur MP3. Il s’agit bien d’une protection contre le haut officier, qui pour eux, est un terroriste international important, mais en échange de cette protection, ils me demandent de ne pas porter de plainte contre le haut officier, ce qui pourrait entraver ou mettre fin à l’enquête du présumé Mossad à l’égard du haut officier. C’est du moins l’explication qui m’est donnée et enregistrée.

 

Cependant comme leur rôle semblait ambigu, je me suis souvent posé la question ; qui entre l’officier et moi, était le plus protégé. Cette question n’a pas vraiment trouvé de réponse.

 

D’après le Mossad, la spécialité du haut officier de police est l’Intelligence terroriste, la fourniture de vrais faux documents à destination des terroristes et surtout d’avoir participé à l’élaboration du 11 septembre 2001, avec un terroriste très connu. Toujours d’après le présumé Mossad, et c’est important, il est très proche de tous les réseaux de crime organisé, terroristes, extrémistes et de beaucoup d’autres choses. Mais à ce stade, ce présumé Mossad aurait pu très bien être aussi du côté du haut officier. De plus, cet agent me disait que je leur servais, mais à quoi, je n’en savais rien.

 

En 2012, l’agent responsable de ma protection est assassiné. Mon épouse disparaît également, sous l’intervention d’un professionnel apparemment lié au crime organisé international. Ce dernier aurait d’ailleurs pu appartenir tant à un côté qu’à l’autre, voire même d’un troisième. Disons qu’un professionnel, roulant en voiture blindée, avec une arme dans la boîte à gants et des faux papiers belges dans son portefeuille, cela correspondait au contexte, mais cela ne donnait pas son appartenance.

 

En 2013, je me retrouve seul face à une organisation qui me traque, mais dont je ne mesure pas du tout l’importance et dont je ne connais pas le nom. Ils savent que j’ai des enregistrements MP3 et ils me surveillent de très près pour savoir ce que je vais en faire. Je fais alors l’objet de multiples intrusions à domicile, parfois en pleine nuit, alors que je promène mon chien. Ils rentrent chez moi et analysent mon ordinateur, alors que mes portes, et mon ordinateur sont verrouillés. Rien ne les arrête et ils cherchent à savoir ce que je compte faire des infos dont je dispose et surveiller mes rapports avec le contre-terrorisme et les services secrets belges.

 

Ils me filent à pied, comme en voiture, écoutent mon appartement, ma voiture et mes lignes téléphoniques. Ils me suivent même sans filature visible. Cela m’angoisse. Je ne comprends pas, mais cela ne m’arrête pas. Avec d’autres témoins, dignes de foi, je rencontre la police contre-terroriste et les services secrets belges. La police antiterroriste ne veut pas croire en mon dossier, malgré mes preuves.

 

Les services secrets ont l’attitude opposée et ils me demandent de trouver des preuves supplémentaires, ce que je fais, en risquant ma vie.

 

Je rencontre d’autres membres de ce présumé Mossad, que j’enregistre à nouveau sur MP3. Ils me confirment toutes les informations déjà reçues, mais en ajoutent beaucoup d’autres. Je comprends que ce présumé Mossad enquête et traque le haut officier depuis la fin des années 90. Ils me délivrent le nom de code de cette opération et ils me montrent la cache avec les dossiers. A nouveau, j’enregistre tout, mais l’ensemble de ces informations rapportées aux services secrets belges ne changent rien. Ceux-ci ne reçoivent pas, de la Justice belge, le droit de mener l’enquête.

 

Cependant, les services secrets belges confirment que ces pseudos agents du Mossad leur sont connus pour leurs orientations et leurs activités Israéliennes, mais ils n’avaient pas connaissance qu’il s’agissait du Mossad. Toutefois, d’après eux, cela aurait pu bien être le cas. En tous cas, ils ne contestaient nullement ma protection que la Belgique n’aurait jamais eu les moyens de me proposer. Je ne peux pas contester cette protection qui a été enclenchée à plus d’une reprise et je ne peux pas nier non plus que ces pseudos agents du Mossad, soient d’origine israélienne. Toutefois, il n’est pas impossible, et cela me paraît même fort probable que cette pseudo protection, soit aussi un très gros moyen de me contrôler de très près. En tous cas, ils ne voulaient pas que je touche de près ou de loin au haut officier, et rien que cela, est de toute évidence louche.

 

Tout le monde connaît les moyens du Mossad, mais je n’avais pas l’impression que cette cellule en disposait, même s’ils en avaient la philosophie. Je me suis souvent demandé à cette époque, lors de ces intrusions, si les intrus étaient d’origine israélienne ou d’origine belge sous la conduite du haut officier. De nombreux faits ont toujours mené à la conclusion qu’il s’agissait de belges, mais qui ne travaillaient pas pour l’Etat belge.

 

En effet, les services secrets, mon fournisseur Internet et moi-même, avions rapidement identifié que les auteurs de ces intrusions, écoutes et filatures, étaient équipés de radios militaires ou de police belge. Pourtant, les services officiels confirment n’y être pour rien. La Justice belge sait apparemment qui sont ces intrus, ces espions et choisissent de fermer aussitôt le dossier.

 

J’ai alors, à cette date, été empoisonné à deux reprises, non dans le but de me tuer, mais pour m’empêcher de me tenir debout, pendant une semaine. La première fois l’avait été en présence de ce professionnel du crime organisé en 2012 et la seconde en 2013 alors que j’étais en rapport étroit avec l’anti-terrorisme et les services secrets belges. Comme pour les attaques ultérieures sur mon informatique, j’aurai dû comprendre que le but de ces empoisonnements était triple :

- Me faire peur

- Me faire comprendre la puissance de mes ennemis

- M’empêcher d’investiguer ou d’essayer de comprendre.

 

C’était d’ailleurs déjà le cas lors de la tentative pour me réduire au silence en 2011, situation dont le présumé Mossad m’avait de suite sauvé.

 

Les services secrets belges ne lâchent pas le dossier et m’aident à ouvrir une nouvelle plainte auprès d’un nouveau tribunal. Cependant, je suis forcé, sous la pression de quitter le pays.

 

2014, je suis envoyé à Madagascar, en Afrique, où je suis accueilli et financé par la famille de l’un des plus hauts magistrats de Belgique, très impliqué dans mon dossier depuis ses débuts. Cette famille connait mes relations avec le présumé Mossad avant que je ne leur en parle. Je me demande alors qui m’a envoyé à Madagascar ; la justice belge, le haut officier, ce présumé Mossad, ou les trois réunis ?

 

16 Septembre 2014, je ne suis pas au courant, mais en Belgique, un commissaire de police commence apparemment une enquête sur mon dossier ouvert avec les services secrets. Trois heures à peine, après son passage près de mon ancien domicile, mon ordinateur à Madagascar est rendu inutilisable et l’un des principaux sites Internet dont je m’occupe et connu du haut officier, est complètement détruit, jusqu’au compte client chez un hébergeur national belge. Celui-ci commence par nier l’existence de ce site vieux de 12 ans et dont il ne retrouve aucune trace. Pour ma part, je ne peux que constater la puissance de tir illimitée des gens qui m’attaquent, sans être alors au courant de la visite de ce commissaire à mon ancien domicile.

 

Ces attaques dureront une quinzaine de jours. Puis, elles prennent fin. Trois jours après, le commissaire dont la visite à mon ancien domicile avait provoqué ces attaques, me contacte et me demande si je suis prêt à rentrer en Belgique. Il dit que la justice veut m’entendre, mais il dit surtout vouloir prendre mon matériel informatique, sans lequel, je ne sais pas travailler. Je lui demande s’il est prêt à me protéger et il refuse. Je mets des semaines à réfléchir sur ce que je vais faire et finalement, je renonce. Je ne veux pas prendre ce risque. Le juge d’instruction en charge du dossier, ferme donc aussitôt celui-ci.

 

Janvier 2015, c’est alors qu’en Europe, les attentats peuvent commencer ;

 

  • Charlie Hebdo, à Paris, plusieurs journalistes sont assassinés. Parmi les terroristes, les témoins constatent qu’il y a des hommes cagoulés qui ont plus l’air de militaires ou de policiers en services que de terroristes. On en reparlera jamais, mais ils étaient bien là. En revanche, les pseudos islamistes laissent bien en évidence leur carte d’identité.
  • L’hyper casher, à Paris, prise d’otages avec plusieurs morts. Là aussi, les caméras de surveillance dévoilent l’existence au sein des otages des personnes qui n’ont ni l’air d’otages, ni celui des terroristes, mais plutôt d’agents en charge de l’organisation.
  • La descente dans une cache de terroristes à Verviers en Belgique. Les polices franco-belges, y retrouvent du matériel et des équipements de police. Les autorités expliquent cela par l’intention des terroristes d’attaquer la police. C’est en effet arrivé plusieurs fois depuis, mais, strictement jamais en utilisant du matériel de police.
  • Les attentats de Paris, organisés depuis Bruxelles, font 130 morts. Le haut officier choisi, au lendemain de ces attentats, un nouvel avatar dont la signification est « esclave du mal ».
  • Les attentats de Bruxelles, le 22 mars 2016, sont réalisés dans la même lignée que ceux de Paris.

Tout cela m’amène à penser que je suis directement lié à ces attentats sans trouver de liens solides. Les trois premiers ont un lien avec des policiers, ou du moins, le même style de professionnels que pour mes intrusions en 2013. Les deux derniers sont liés à la Belgique de manière évidente et provoquent chez le haut officier un changement d’avatar en lien avec les esclaves du mal. Il se produira alors 3 événements apparemment liés :

 

  • Le 13 juillet 2016, je dépose une nouvelle plainte pour terrorisme, auprès de la Commission sur les attentats de Bruxelles. En effet, je suis convaincu que mon dossier, est en lien avec tous ces attentats et je constate, que l’un des experts à cette Commission sur les attentats est l’un de mes experts en contre-terrorisme en 2014.
  • 27 heures plus tard, le 14 juillet, a lieu, l’attentat le plus sanglant sur le sol européen, l’attentat de Nice, 80 morts au passage d’un camion de 20 tonnes qui fonce sur le piétonnier face au feu d’artifice.
  • 27 heures plus tard, à nouveau, cet attentat sera revendiqué par l’agence Amaq de Daesh, pourtant le terroriste n’a pas de lien avec Daesh.

En fait, ces trois événements ci-dessus sont liés, mais je ne le comprendrai qu’en 2018. En fait, depuis 2014, juste avant mon départ pour Madagascar, mon ordinateur principal, ainsi que mon téléphone, avaient été complètement piratés, pour suivre le moindre de mes mouvements et pour suivre tout ce qui se passait sur mon ordinateur et tous mes déplacements.

 

En septembre 2016, la Commission sur les attentats de Bruxelles, rentre de vacances et se penche alors réellement sur mon dossier. Il naîtra alors la plus importante arme Internet au monde, Mirai botnet. Celle-ci est en fait le fruit d’une évolution antérieure liée elle-aussi, à mon dossier :

 

  • Septembre 2012, alors que l’agent du Mossad a été assassiné et que mon épouse a disparu, les hackers qui allaient être à la base de Mirai botnet, commencent leurs activités de manière officieuse sur Internet, sous le nom de v-DOS en Israël. Il faut très sérieusement noter que l’origine de V-DOS est bien israélienne, ainsi que cette cellule du pseudo Mossad. C’est un fait vérifié et pourtant sur le terrain, il est difficile de voir ce lien. Ils proposent en effet, des attaques DDoS de puissance industrielle, parmi les plus importantes au monde et destinées donc, à attaquer des serveurs d’entreprise ou d’Etat pour les rendre inaccessibles.
  • Septembre 2014, alors qu’une enquête pour terrorisme, vient de commencer en Belgique, à la suite de mon dossier ouvert avec les services secrets belges, v-DOS commence ses activités de manière officielle sur Internet et même à facturer ses prestations d’attaque DDoS, toujours depuis Israël. Celles-ci sont encore devenues plus puissantes que précédemment et participent d’ailleurs à faire pression sur moi, pour que je ne rentre pas en Belgique à la demande de la Justice. Je vois d’ailleurs que l’origine de ces attaques Internet est bien d’origine israélienne.
  • Septembre 2016, v-DOS disparait et laisse place à Mirai botnet en commençant sa première attaque contre la société Krebson Security aux USA, qui est à l’origine de la plainte menant à la disparition de la société v-DOS. En effet, Israël, à la demande du FBI, arrête brièvement 2 hackers à la tête de v-DOS, mais dès leur sortie, Mirai botnet attaque Krebson Security, le 21 septembre 2016, heure belge, alors que la Commission sur les attentats à Bruxelles va faire ce jour-là sa rentrée officielle.

Il se passe alors sur 7 mois, plusieurs événements directement liés à la naissance de cette arme Internet, Mirai botnet. En effet, cette organisation ne fait jamais rien sans l’avoir prévu longtemps à l’avance et Mirai botnet était en fait destiné, malgré qu’il s’agisse de l’arme Internet la plus importante au monde, uniquement à la communication que cette organisation terroriste voulait établir avec moi.

 

Mais résumons : J’ai apparemment été protégé par le pseudo Mossad (Israël), de 2009 à 2012. L’arme Internet Mirai botnet a une origine israélienne certaine et mon dossier suit, de 2012 à 2016, celui de cette arme Internet Israélienne. Et jusqu’à ce jour, en 2018, c’est bien Mirai botnet qui fait un lien constant entre moi et cette organisation terroriste mondiale dont le siège est en Belgique. Et tout cela est absolument certain et se prouve aisément, puisque je suis en plein milieu.

 

  • 19 octobre 2016, je reçois un courrier de la direction générale de la police belge, qui dit que mon dossier est suivi.
  • 3 heures après, mon serveur Internet, qui se trouve dans le giron de la société Dyn DNS à Manchester USA, est détruit par des hackeurs de haut vol. Mais, en fait, ces hackers qui appartiennent toujours à cette même organisation, savaient très bien que j’avais un autre serveur en préparation, puisqu’ils contrôlaient mon ordinateur à distance. Ils savaient donc qu’il n’y avait en réalité aucun danger pour mon activité.
  • 20 octobre, je relance aussitôt mon nouveau serveur sur celui que j’avais en préparation aux Pays-Bas. Je suis tout content de croire que j’ai réussi à contrer mes attaquants, alors que je n’ai été que manipulé, et je me mets à insulter un groupe de personnes, dont le haut officier, au sujet de ces hackers.
  • 21 octobre, Mirai botnet, se met à attaquer la société Dyn DNS à Manchester USA, où se trouvait donc mon serveur. Cette attaque gigantesque est la plus importante au monde et paralyse tous les principaux sites américains, dont les réseaux sociaux. Le Président Obama doit donner une conférence pour calmer la population. Moi, je me dis seulement qu’il était étrange que mon serveur se trouvait là 48h auparavant, mais je ne fais pas d’autres rapports avec moi sur le moment. Cette attaque était en fait destinée à faire comprendre au monde qu’une nouvelle arme impitoyable venait de naître et devait me faire comprendre, à moi, plus tard, que j’étais intiment lié à Mirai botnet, à cette attaque et à l’organisation, qui l’avait provoquée.
  • 1er novembre 2016, mon ordinateur, mon nouveau serveur aux Pays-Bas et le GSM de ma compagne font l’objet de plusieurs petites attaques simultanées. Celles-ci viennent de Belgique et j’y sens quelque chose de personnel, puisqu’elles ont lieu à l’instant même, où ma compagne et moi, sommes en train de faire des courses et que nous ne sommes pas connectés, ce qui n’est pas fréquent. Nous nous en apercevons à notre retour à la maison et je résous toutes les attaques, mais encore une fois sans comprendre, ce que j’avais à comprendre.
  • 9 novembre 2016, moment exceptionnel, nécessaire pour m’aider justement à comprendre. Ma compagne est en ville aux Philippines, et elle se fait accoster par un couple d’inconnus qui lui fait part d’une procédure pour trouver un utilisateur inconnu sur un GSM. Une fois rentrée à la maison, elle me parle de cette étrange rencontre, que je comprends tout de suite, comme des agents appartement à cette puissante organisation en lien avec ces attentats. Nous suivons la procédure reçue et nous trouvons en effet, un utilisateur inconnu. Celui-ci a pour image, l’avatar du haut officier belge et un pseudonyme, en deux partie, la première partie est l’anagramme de son prénom, la seconde fait un lien avec Mirai botnet ! Nous ne parvenons pas à effacer cet utilisateur inconnu, mais je commence à faire les liens qui me paraissent tellement extraordinaires. Tout cela est tellement orchestré comme s’il s’agissait d’un film et cela ne faisait que commencer.
  • 10 novembre 2016, nous sommes donc obligés de nous rendre dans un magasin pour faire supprimer cet utilisateur. Le technicien nous informe que ce GSM est tout à fait asservi en outil d’espionnage, caméra, micro, GPS et applications. Je fais tout supprimer. Il ajoute que le GSM avait dû être emprunté discrètement à ma compagne car il est impossible d’ajouter cet utilisateur sans avoir le GSM en main. Nous voilà, complètement certains d’être sous le contrôle d’une énorme organisation aux moyens illimités, en relation avec les attentats et Mirai botnet.
  • Fin décembre 2016, Mirai botnet se met à se connecter sur mon nouveau serveur à la manière d’une fréquence, d’un signal continu et relativement stable. Je contacte le FBI. Nous échangeons 450 emails, dont 150 reçus. Le FBI me confirme la gravité de la situation, mais ils ne trouvent rien sur mon serveur. Je leur souligne qu’ils doivent probablement chercher dans mon passé et non, sur mon serveur, mais c’est une piste qui ne semble pas les intéresser.

De mon côté, je réalise tout de suite des outils de contrôle qui me permettent d’afficher de manière graphique le nombre de connexions de Mirai botnet sur mon serveur. Ces applications m’affichent, sur l’un de mes écrans et donc de manière continue une ligne rouge, qui monte ou descend de manière très visuelle, selon le nombre de connections reçues par heure par mon serveur. Le nombre moyen de connexions évolue entre 150 et 250 par heure.

  • Janvier et février 2017, ma compagne et moi, sommes au milieu de marécages, en visite sur une autre île des Philippines. Nous ne sommes pas connectés. Au matin, je veux quand même trouver un moyen de me connecter, pour savoir comment se comporte Mirai sur mon serveur. Lorsque j’y parviens, je vois que la ligne rouge du nombre de connexions montre de très fortes pointes d’activité que je ne mets pas longtemps à comprendre. Cette organisation, me montre via Mirai botnet que non seulement, ils contrôlent entièrement Mirai botnet, mais que surtout ils nous surveillent nous, puisque la fréquence de Mirai sur mon serveur dépend de notre activité au milieu de nulle part et surtout sans Internet ! je contacte le FBI, qui me répond simplement qu’ils nous savent surveillés… avec quoi ? un satellite ?
  • 22 mai 2017, je vois que Mirai botnet rentre subitement en haute activité sur mon serveur, à plus de 1000 connexions par heure alors que son niveau normal, à cette date est de +/- 150 connexions par heure. Cette haute activité se maintient pendant 4h30 et je cherche à comprendre. Lorsqu’elle retombe à son niveau normal, je regarde ce que j’aurais pu faire pour provoquer le mécontentement de cette organisation, mais je ne trouve rien.

Puis, je vois l’actualité. Donald Trump vient d’être accueilli en Israël, par Benjamin Netanyahu. Leur rencontre eu lieu à 11h02 du matin, heure belge… et Mirai aussi était rentré en haute activité à 11h02 du matin !

 

Je comprends que Mirai est peut-être en train de m’avertir d’un attentat terroriste imminent. Je contact le centre belge de la menace terroriste, qui me demande un rapport. Celui-ci me demande des heures et peu après son envoi, c’est l’attentat à Manchester en Angleterre, à l’Arena. De nombreux morts dont des enfants. Plus tard, la CIA dira que le terroriste qui s’est fait exploser, a été formé en Belgique.

 

De plus, cette organisation qui ne laisse rien au hasard venait de commettre un 4e attentat un 22 du mois, dont celui de Bruxelles, mais surtout il venait d’avoir lieu à Manchester UK alors que Mirai avait « fêté » sa naissance par sa gigantesque attaque sur les USA sur la société Dyn DNS, à Manchester US ! Deux fois Manchester, cela ne savait pas être un hasard.

 

 

Et cet attentat n’était pas non plus une coïncidence puisque 50 autres allaient suivre et tous allaient être signés de la même manière, par Mirai botnet sur mon serveur. En voici la liste :

Première série d’attentats

  • Manchester (UK), attentat à la bombe. Le terroriste a été formé en Belgique.
  • Londres, signé 2h30 avant l’attentat, puis nouvelle signature identique lors de la revendication. Fausses ceintures explosives et couteaux en céramique.

 

 

  • Paris, attentat idiot et manqué contre une voiture de police.
  • Bruxelles, attentat manqué et idiot. Une bombe incendiaire dans une gare.
  • Halamish (Israël), attentat au couteau, par un Palestinien. Signé 1h40 avant.
  • Hambourg (Allemagne), attentat au couteau, par un Palestinien. Signé 1h avant.
  • Levallois-Perret (Paris), attentat à la voiture bélier contre des militaires. Signé le même jour.
  • Barcelone (Espagne), attentats sur 3 jours, explosion, couteau et voiture bélier. Les terroristes portent de fausses ceintures explosives. Attentats signés peu avant la première explosion. Un terroriste a reçu un coup de fil de la police 2h avant l’attentat à la voiture bélier.
  • Bruxelles et Londres, deux attentats manqués et idiots contre des policiers.
  • Edmonton (Canada), attentat au couteau et voiture bélier. Signé à la minute près.
  • Bâle (Suisse), attentat au couteau. Signé à la minute près.
  • Gare de Marseille (France), attentat au couteau. Signé à la minute près.
  • Las Vegas (Etats-Unis), tuerie de masse à l’arme automatique. Signée à la minute près, à trois reprises sur différents fuseaux horaires. Revendiqué par ISIS, sans lien avec ISIS. Le tueur se suicide.

 

  • Londres (UK), bombe incendiaire. Signé en temps réel.

 

 

L’identification de l’organisation terroriste

 

C’est à la mi-octobre 2017, qu’en Belgique, on reparle, par hasard (?), de l’affaire des Tueurs du Brabant et que j’ai alors 2 coups de fils majeurs à 2 heures d’intervalle ; l’un officieux avec un agent de la Justice fédérale belge ; l’autre avec un ancien agent de cette organisation. De ces deux coups de fil enregistrés sur MP3, il ressort que l’organisation contre laquelle, je me bats depuis près de 9 ans porte le nom de GLADIO.

 

GLADIO est une émanation de l’OTAN et de la CIA et dont la vocation (Wikipedia) première était de défendre l’Europe contre l’URSS. Elle trouve son personnel, le plus souvent sans leur laisser le choix, au sein de l’armée, la police, les renseignements, mais aussi, les bandits, les terroristes, les déséquilibrés et les extrémistes de tous bords, et donc « simplement connus » de la police et donc identifiés. Cibles très faciles de GLADIO.

 

Mais, dans les années 70-80, avec la fin de la guerre froide, GLADIO s’est tournée vers des opérations de terrorisme, un peu partout en Europe, dont les Tueurs du Brabant en Belgique. C’est donc en octobre 2017, que la population belge découvre que les Tueurs du Brabant étaient des anciens des forces spéciales belges, ce que la Justice belge tentera rapidement de cacher, ce qui démontre encore une fois la totale inconscience de la Belgique face au terrorisme, que GLADIO génère à travers le monde.

 

 

Dans les années 90, l’Europe demandait la dissolution de GLADIO, mais ces deux coups de fils m’apprennent que GLADIO n’a jamais été dissout, ce qui est aussi confirmé par de nombreux experts internationaux. GLADIO n’est dans les années 90, devenu que beaucoup plus discret et ils se sont répandus à travers tous les pays de l’OTAN, pour devenir la force à la fois la plus plus secrète et la plus puissante du monde avec un accès illimité aux moyens d’intelligence, d’espionnage, de surveillance de l’OTAN, de la CIA et du MOSSAD.

 

Le haut officier prend alors sa réelle fonction. Il en est plus que probablement le chef, puisque le présumé Mossad m’a dit que le haut officier était déjà lié au 11 septembre 2001, ce qui lui a certainement permis de prendre de l’importance au sein de GLADIO. De plus, sa position et sa puissance même au sein de la police belge, lui permettent d’être à la meilleure place pour recruter, voire par la force, de nouveaux membres de Gladio. De plus, celui qui est à la base de toute cette histoire et qui semble disposer de moyens extraordinaires, est encore le haut officier. Enfin, pour m’avoir choisi moi, pour enregistrer ainsi toutes les opérations de Gladio, sans n’avoir à rendre de compte à personne, est encore le haut officier, qui ne peut être dès lors qu’à la tête de Gladio, impression qui m’est également confirmée, au téléphone, par l’ex-membre de Gladio.

 

Seconde série d’attentats

  • Malte, assassinat de la journaliste maltaise, Daphne Caruana Galizia. Signé en temps réel sur mon serveur. La journaliste a d’ailleurs été assassinée, car elle était sur la piste de Gladio, dixit, l’expert de Gladio, Sibel Edmonds. Et voilà donc, que moi, qui suis le pion de Gladio, sur l’échiquier de la terreur, je suis toujours vivant, ce qui confirme encore une fois, que pour m’avoir choisi pour ce rôle, il faut vraiment que cela soit le chef de Gladio, qui l’ai choisi ainsi.
  • Manhattan (Etats-Unis), attentat à la voiture bélier et fausses armes (jouet). Signé en temps réel.
  • Texas, Eglise (Etats-Unis), tuerie de masse à l’arme automatique. Signée en temps réel. Le tueur, un ancien militaire, se suicide.
  • Blagnac (France), attentat à la voiture bélier. Signé en temps réel. Le frère du terroriste travaille pour le police.
  • Argentine, le sous-marin disparu… qui n’a pas disparu, mais qui aurait été piraté. Signé en temps réel sur une semaine.
  • Saint-Pétersbourg (Russie), explosion à la bombe incendiaire. Signée en temps réel.
  • Kaboul (Afghanistan), attentat à l’hôtel Intercontinental… Autre puce car commencé par l’une de mes actions.
  • Gent (Belgique), attentat idiot par un Afghan, contre des policiers. Signé en temps réel. Cet attentat a été exécuté exactement 1h après que j’ai averti les autorités d’une menace importante visible à mon écran et qui avait commencé quelques heures auparavant. C’était la première fois qu’à la suite d’une alerte de ma part, il se produisait exactement une heure plus tard un attentat, même raté. Je l’avais remarqué et fait remarquer à mes correspondants, sans comprendre que cela allait dorénavant être le cas, pour tous les autres attentats qui allaient suivre.

 

Cependant cette immense activité de Mirai sur mon écran et qui avait donné lieu à mon mail, avait pour but d’attirer mon attention sur tout autre chose. Cette importante activité de Mirai commençait à la minute même de l’ouverte d’une conférence contre les armes chimiques à Paris et cela marquera aussi le début des attaques chimiques.

 

En fait, je ne m’en rends pas tout à fait compte, mais Gladio vient de changer complètement de stratégie avec moi et avec lui-même. Cela faisait déjà 6 mois que Gladio enregistrait ses attentats sur mon serveur, d’abords, peu de temps avant qu’ils ne se produisent, puis au moment où ils se produisaient. Maintenant, Gladio allait choisir de me placer comme l’élément déclencheur de tous les attentats, en choisissant l’une de mes tentatives pour alerter le monde, comme étant le point de départ d’un nouvel attentat, même si parfois, ceux-ci avaient été prévus par eux précédemment.

 

Je comprends ce changement de position, comme étant devenu le seul moyen à leurs yeux de rendre mes mails encore plus convaincants. Ils me font passer de simple enregistreur de leurs attentats, à un statut de Messager.

 

Je n’ai avec Gladio aucun contact direct si ce n’est via Mirai botnet avec lequel, ils communiquent avec moi et avec le reste du monde, dans la mesure où je transmets systématiquement ce que je vois. Je dois cependant, y ajouter mon décodage personnel, à ce que Mirai m’indique, dans la mesure où je suis le seul à pouvoir le faire. Et c’est cela qui allait me transformer davantage en Messager de Gladio.

 

  • Kaboul (Afghanistan), attentat à l’ambulance piégée. Signé en temps réel. Plus de 100 morts.
  • Leicester (Angleterre), explosion. Signée en temps réel, commencée lors de la publication de mon histoire.
  • Washington (Etats-Unis), attaque chimique par lettre empoisonnée à une base militaire américaines. Signée en temps réel, commencée lors de l’envoi d’un mail à Edward Snowden. Une base américaine car Snowden est américain.
  • Kabul(Afghanistan), attentat à la voiture piégée contre un convoi australien. Signé en temps réel, commencé lors de l’envoi d’un mail à Julian Assange. Cette opération cachait celle sur Skripal. Convoi australien car Assange est australien.
  • Vienne (Autriche), double attentat au couteau. Signé en temps réel, commencé lors du lancement d’une pétition et d’un fond participatif.
  • Salsbury (Angleterre) Affaire Skripal + meurtre de son ami. Attaque chimique. Signée en temps réel sur 15 jours et commencé lors de l’envoi d’un mail à Julian Assange.
  • Tihanges (Belgique) 30 Voitures incendiées à une centrale nucléaire. Attentat signé en temps réel et à la suite de mon appel à RT television.
  • Carcassonne/Trèbes (France). Prise d’otages meurtrière. Signée en temps réel, car j’ai écrit que les policiers et militaires étaient rarement tués. Cette opération cachait celle de Kemerovo en Russie.
  • Kemerovo (Russie) Incendie d’un centre commercial. Signé en temps réel, car j’ai appelé RT Television. Opération à relier aux voitures incendiées en Belgique et au dernier tweet de Julian Assange portant sur le timing lié à cet incendie.
  • Munster (Allemagne). Attentat à la voiture bélier, commencé alors que j’écrivais au Président de cette région. Signé en temps réel.
  • Syrie. Attaques chimiques, en fait la suite des attaques chimiques contre la base américaine et contre les Skripal et déjà prévues lors de la conférence contre les armes chimiques de Paris ! Signées en temps réel.
  • Algérie. Explosion d’un moteur d’avion. Attentat commencé lors de l’envoi d’un mail à un grand nombre d’autorités. 257 morts ! Signé en temps réel.
  • Mali. Attaque d’un centre de l’ONU. Attentat commencé lors de l’envoi d’un mail au Secrétaire-Général de l’ONU. Signé en temps réel.
  • USA. Explosion d’un second moteur d’avion. Attentat commencé lors de l’envoi d’un second mail au Secrétaire-Général de l’ONU. Signé en temps réel.
  • Afghanistan. Double attentat commencé lors de la mise en ligne de ma première vidéo. Signé en temps réel.
  • Toronto (Canada). Attentat à la voiture bélier, commencé lors de l’envoi d’un mail à propos du double attentat et envoyé à l’ambassade d’Afghanistan à Ottawa (ce qui explique pourquoi le Canada). L’attentat correspond en tous points au scénario d’attentat décrit dans ma vidéo. Signé en temps réel.
  • Shaanxi (chine). Importante attaque au couteau sur des enfants. Signée en temps réel.

Le 20 avril, j’envoie ma première vidéo sur Internet https://vimeo.com/265741563, et cela a ceci pour conséquence :

 

  • 20 avril, le meurtre du DJ Avicii (Je suis un ancien DJ, mais je ne vois pas le lien avec Gladio)
  • 22 avril, double attentat à Kaboul, dont je suis averti à partir du 21.
  • 23 avril, l’attentat de Toronto, provoqué lors de l’envoi de mon mail à l’ambassade afghane à Ottawa (Canada), 7h avant l’attentat, et concernant les attentats de Kaboul. Le scénario de l’attentat à Toronto est celui décrit, en exemple, minute par minute, dans ma vidéo. J’avertis de suite les autorités de Toronto, qui cachent pourtant la vérité au public. Gladio fait une différence entre catastrophes (fausses catastrophes, en réalité provoquées) et les attentats. Pour provoquer les premières, ils n’ont pas besoin de l’accord de l’OTAN, mais pour les attentats, ils doivent avoir cet accord. Je suis bien à l’origine du timing de cet attentat à Toronto, mais pas de la décision qui avait été prise, suite au fait que le PM Trudeau avait catégoriquement refusé de participer à la frappe contre la Syrie, le Canada sentant probablement quelque chose de louche dans la chronologie des faits depuis l’affaire Skripal. Mais pour l’OTAN, ne pas participer à une frappe relève de la rébellion et l’accord pour l’attentat a donc été donné. La tête de Gladio l’a ensuite organisé pour le faire correspondre à mon mail.
  • 27 avril, l’attaque massive au couteau conte une vingtaine d’enfants en Chine. Je ne vois pas non plus, de lien, mais j’ai bien l’enregistrement, comme les autres attentats.
  • 29 avril, le crash d’un avion-cargo militaire en Lybie, suite à un mail envoyé.
  • 30 avril, triple attentat à Kaboul dont la cible première sont les journalistes, car une journaliste vidéo de Toronto m’avait fixé un RDV, qu’elle a ensuite annulé, prenant peur face au dossier. GLADIO, n’a vraiment pas aimé et exécuté l’un des pires attentats contre les journalistes, tué par un journaliste vidéo portant une ceinture explosive !

 

  • 2 mai, (graphique 2) j’avertis une 4e fois les Nations Unies (la première avait provoqué le crash de l’avion en Algérie, 257 morts. La seconde, une attaque terroriste massive contre une base de l’ONU au Mali. La troisième, l’explosion d’un moteur de la SouthWest airlines. Sur tous, il n’y a aucun doute avec la chronologie de mes mails.) Ce nouveau mail à l’ONU provoque :

       - 2 mai 10-11h, un attentat massif à Tripoli.

       - 17h30, un nouveau C-130 se crashe après le décollage.

       - 23h30, un avion de police se crashe en Colombie.

       - 23h30, une étrange explosion dans une fête juive en Angleterre.

       - 3 mai, 08h45, un avion russe se crashe après le décollage.

       - 16h30, nouvel incident identique à la Southwest airlines.

  • 4 mai, mon serveur rentre de nouveau en alerte maximum, mais l’origine (IP) de cette alerte est Toronto. Manifestement GLADIO reste déterminé à de nouveau attaquer Toronto et je les avertis. Seulement, manifestement, GLADIO ne reçoit pas l’autorisation de frapper une deuxième fois le Canada. Ils laissent pourtant le niveau d’alerte au maximum. Ils vont se retourner vers une cible où ils ont vraiment un blanc-seing, Kaboul, mais à nouveau, ils veulent lier ce nouvel attentat à l’un de mes échanges.
  • 7 mai, j’ai un « expert » en terrorisme, assez désagréable dans ses réponses et qui semble douter de tout. Il n’en faut pas plus pour GLADIO, qui me lit en permanence (y compris maintenant) pour se mettre en colère. Pour GLADIO, douter de moi, c’est douter de GLADIO. Ils ont donc enclenché l’attaque qu’ils voulaient faire à Toronto, mais à Kaboul.
  • 9 mai, double attaque simultanée à Kaboul auprès de 2 commissariats de police. En effet, GLADIO n’aime pas la police qui participe à raconter n’importe quoi à la population. J’avais prévenu la police de Toronto de surtout dire la vérité à la population. L’agent qui avait pris note de toutes mes déclarations et rapports sur les circonstances de l’attentat de Toronto, avait vraiment été ravie de ma déposition, me couvrant de mercis. Mais je lui avais dit qu’habituellement, ce genre de version est rapidement, rangée dans un tiroir fermé. Aucun état membre de l’OTAN ne peut mener une investigation contre GLADIO. GLADIO est une sorte de mafia, d’armée de l’ombre, de main du diable pour l’OTAN.

 

  • 10 (04h)-11 mai (15h), journée repos, je dois quitter mon bureau et mon île pour 24h. Seul GLADIO travaille à me suivre à la trace pour que je ne m’évade pas dans la nature ou que personne en profite pour me sauter dessus.

 

LES FAITS DU 11 & 12 MAI 2018

 

  • 11 mai, 15h38, j’ai un long entretien téléphonique avec un réel journaliste d’investigation de TheStar.ca. Cela semble beaucoup plaire à GLADIO.
  • 11 mai, 16-17h, en réponse à cet appel, je prépare un mail avec une présentation du dossier.
  • 11 mai, 22h56, RT Television m’envoie des mails.
  • 12 mai, je prépare en anglais, un nouveau résumé de l’attentat de Toronto, avec le lien sur la décision du Canada de ne pas participer aux frappes.
  • 12mai, 12h32, j’ai une nouvelle réponse, un peu désagréable, d’un autre expert en Intelligence. J’ai l’habitude.
  • 12 mai, 12h58 et 14h19, je lui réponds, et je lui précise que s’il continue de douter de ma fonction, pour GLADIO, ces derniers pourraient lancer un attentat.
  • 12 mai, 14h30, GLADIO vient de décider de lancer une nouvelle attaque.
  • 12 mai, 20h45, attentat de Paris au couteau. Manifestement, cette décision a été prise contre la France, car elle venait de prendre position contre les USA dans le dossier nucléaire avec l’Iran. La France est même le maitre d’œuvre du sauvetage de l’accord Iranien. Attentat donc accordé et exécuté en fonction de mon timing.

 

Soit près de 1500 morts et des milliers d’autres victimes en près de 50 attentats et attaques en 11 mois, tous organisés par Gladio, et tous signés, de la même manière, sur mon serveur Internet…

 

…auxquels, il faut ajouter au minimum tous les attentats depuis début 2015, réalisés par Gladio et auxquels certaines alertes et autres attentats font référence…

 

…auxquels, il faut encore ajouter, toutes les attaques chimiques et autres (fausses) catastrophes depuis 2015 et celles en 2017, que je n’aurais pas encore décelées dans les signatures depuis le début des enregistrements.

 

 

Le but de tout cela

 

Avant de préciser le but derrière tout cela, il faut que j’en précise à nouveau le contexte. Pour réaliser tous ces événements et ces attentats ; pour la préparation que cela demande et parfois en quelques heures ou en quelques minutes ; pour ma surveillance continue et pour celle de Mirai ; pour suivre l’actualité ; pour être présent et invisible dans tous les pays, il faut une véritable armée. Et il n’est pas trop de dire qu’elle utilise des moyens gigantesques et qu’elle est tellement secrète que personne au monde ne la connait alors qu’il est évident, ce dossier en apporte la preuve, qu’elle existe réellement.

 

Cependant, la rapidité des décisions, autrement dit la réactivité aux événements semble venir d’un seul homme, commandant son armée, qui je le rappelle, ne roule sous aucun drapeau. Ils ne sont pas Islamistes, ni radicaux, mais ils semblent réunis pour une même religion, le terrorisme sur commande. Beaucoup d’entre eux ont été enrôlés de force. Je ne parle pas des terroristes sur le terrain, qui eux aussi ont été enrôlés et/ou manipulés, mais qui contrairement aux autres, ne s’en rendent pas compte, ou ont été drogués pour le temps nécessaire à la réalisation de l’attaque et pour ensuite oublier ceux qui les ont poussés à la réaliser.

 

Mais donc, un seul homme à la tête de tout cela, c’est ce que les faits et la réactivité de cette organisation semblent démontrer.

 

Cet homme, je crois le connaître. Disons que c’est une quasi conviction, puisque jamais il ne m’a confirmé noir sur blanc ou verbalement être à la tête de GLADIO. En revanche, jouant avec les faits, il me l’aurait démontré à plus d’une reprise, mais juridiquement, chacun de ces faits, comme chacune de ces signatures d’attentat ne formerait aucune preuve. C’est l’ensemble des événements qui constitue la preuve et non, un seul de ces événements, pris de manière isolée.

 

Rien que pour imaginer cela, il faut un super cerveau, puisqu’en un an, attentat après attentat, événement après événement, qu’il soit une attaque, ou un événement personnel, entre lui et moi, il est parvenu à constituer la preuve de l’existence de GLADIO et à la placer sur ma seule personne et sur mon serveur Internet. Encore une fois, les deux sont indissociables pour que la preuve existe.

 

Mais pour être arrivé à une telle situation ; pour avoir placé en moi sa confiance ; pour être certain que je n’abandonnerai jamais quels que soient les événements dont je serai dès lors l’unique témoin, l’homme à la tête de GLADIO devait et doit me connaître mieux que personne. Il devait aussi avoir la possibilité de me ramener sur le chemin qu’il est le seul à connaître au cas où je m’en écarterais.

 

Pour être certain de cela, il doit l’avoir expérimenté sur moi, dans le passé et presque à m’avoir habitué à ce genre de situation. Cela n’est dès lors possible qu’au travers d’un seule personne que je connais en effet très bien et qui était aussi depuis plus de 20 ans, l’unique cible de cette cellule de ce présumé Mossad ayant assuré ma protection. C’est aussi la même personne qui me forçait en 2008 à rentrer dans le crime organisé, ce qui n’est rien d’autre que GLADIO.

 

Donc, si la tête de GLADIO me connaît d’une telle manière, c’est également vrai dans le sens inverse. Je le connais aussi très bien, même si je suis le pion et lui le maître. Et je devine donc sa motivation et son objectif.

 

Il a en effet, tout du super cerveau. C’est un stratège et il adore ce genre de scénario. Il a d’ailleurs conçu cette histoire comme un film et je le reconnais bien là. Il est capable de revêtir une quantité de rôles distincts, sans que les uns et les autres ne s’en rendent compte. Il a tout du parfait agent, pouvant travailler autant pour les uns que pour les autres, sans soulever de soupçons et même écarter ceux que moi, par mes accusations, aient pu soulever. C’est un professionnel dans chacun des rôles qu’il joue.

 

Mais tout à une fin et je pense qu’il a décidé d’y mettre fin. Je pense qu’il veut détruire GLADIO qui n’a jamais eu la vocation d’enrichir ses membres non plus d’ailleurs. Je pense qu’il veut mettre fin à GLADIO avant que des attaques chimiques massives lui soient demandées. Il devient âgé et il n’a probablement pas l’intention de quitter ce monde sans un énorme coup d’éclat. Il a choisi une nouvelle cible en plus de ses cibles traditionnelles. Il veut probablement à la fois détruire GLADIO, mais aussi et surtout ceux qui ont utilisé GLADIO et qui continue à la faire.

 

Il est le glaive, ce que signifie GLADIO en italien, mais cette fois, il veut lui donner un mouvement de 360°, pour éliminer ceux, qui derrière lui, le commande depuis 20 ans et tout cela avant de se le retourner contre lui-même. Je pense que ce sont ses intentions.

 

De toute façon, vu qu’il a tout prévu dans cette histoire, à la manière d’un super cerveau ou d’un grand joueur d’échecs, il a dû prévoir un final qui sera terrible, mais je n’ai aucune idée de ce qui le composera.

 

Enfin, actuellement, le tracé de Mirai botnet sur mes écrans est devenu très interactif, dans les deux sens. Je comprends ce qu’ils essaient de me dire. De leur côté, ils lisent mes courriers au moment où je les écris. Ils ont donc connaissance de l’interprétation des graphiques que je donne à mes interlocuteurs. Ils veillent donc à suivre cette interprétation dans l’évolution du graphique. Résultat, le graphique devient presque aussi limpide que ne le serait un mail. On y lit très clairement les étapes liées aux attaques, à la presse, à mon activité et aux changements de pays.

 

A l’heure où j’écris ces lignes, j’écrirais, alors qu’ils me lisent, que nous sommes toujours dans une situation d’alerte, à 400 connexions de Mirai par heure, mais que je suis en attente de l’acquisition d’une nouvelle cible. Aucune cible, ni pays n’est défini pour le moment, du moins sur le graphique, mais cela peut changer d’une minute à l’autre.

 

Cela veut évidemment dire que nous parlons bien d’une terrible organisation qui d’une part me lit, m’écoute, me suit en permanence et qui ajuste le niveau de Mirai en fonction de ce que je fais et de ce qu’ils font, ou de ce qu’ils ont décidé de faire.

 

C’est assez diabolique et le mot est bien choisi, il s’agit du doigt de Satan, GLADIO, qui apparemment, veut se transformer en justicier, mais à la manière de Satan.

 

Marc Delantre

 

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