Petits pas - par Pierrette

 

Bonjour à tous

 

Début juin :

Acter dans la matière en me délestent de mon travail, le marie n’ai pas d’accord  que je démissionne de tous les employeurs, on à encore deux crédit à  finir de payer … (s’il pouvait comprendre que bientôt les banques, sa suivra plus …) Grosse colère, plus il est en colère et plus je suis obstiné à avancer.

Le lendemain changement d’avis (son prédateur trouve une autre tactique) «  les sentiments de culpabilité  »

 

Après réflexion il « m’autorise » à en supprimer un ou deux car j’en prends toujours trop. Le travail de la semaine plus les maisons de vacances à nettoyer avant et pendant  l’été, une partie de moi est un vrai petit esclave du travail.

 

Comme je fais la mauvaise tête (l’alter qui n’est pas sûr de lui, a peur de parler de s’affirmer, il manque d’air, de liberté ‘’ la vraie’’ et ne peut pas le dire) Le mois dernier cela ma fait une douleur à la gorge, j’étais aphone.

 

Le mari ‘C’ me dit : on ne va pas se quitter pour ça, je ne veux pas (panique) !!! Dans la nuit passage aux urgences pour ‘C‘ grosse crise d’angoisses (trop fort la 4 D). Ils lui font souvent faire des cauchemarde, il se sent parfois tiré par les pieds… (je pense aux ombre noires). 

Culpabilité pour moi …, avance petit à petit (puisque je n’arrive pas à faire autrement)

 

Je me sans surveiller, épier ; on m’envoie le fils ainé ‘’par l’attachement‘’ pour me faire changer d’avis. Des intrus sur mon ordinateur sont détectés… et puis il veut s’avoir, s’intéresse au réseau Léo, pour mieux juger surement. 

Il ne peut comprendre, car ces recherchent ne l’intéressent pas ; on n’est pas sur la même voix. Je regarde des conneries peut être même que je fréquente une secte. Je veux changer lui à peur de tout perdre, l’esprit de possession ‘’ ma femme, mon chien, ma maison, son entreprise ‘’ de voir tout s’écrouler son monde battis à la sueur de notre travail.

La 3 D. quant tu nous tiens !

 

Pour ma part, plus que la peur de tout perdre (on ne sait que quand on à plus rien, je pense), ces la peur d’entrainer par mes actes la chutes matérielle et émotionnelle de la famille. On est ‘’ bien ‘’ formaté, pour nous freiner.

Je commence à me délester de quelques heures de ménage (Mon travail). Je m’informe, j’écris cherche une solution pour léser le moins possible ces deux employeurs (toujours la culpabilité).

 

Je dois faire beaucoup de choix, en serais je capable ? Je ment au autre et je me ment  à moi.  Pourquoi esse si dur de faire ce qu’on à envie de faire ?   

 

Peur, toujours ces peur, faire plaisir aux autres, ne pas contrarie, se plier ‘’tu peut me faire ça … tu sera mignonne‘’ ce sentir valorisée par ma façon d’être indispensable ; peur des questions d’autrui, que je prend pour des jugements ou comme des reproches …’’ des peurs de prédateur’’ et aussi pour le conjoint, peur de l’homme. Le masculin en général, encré dans la génétique et par le karma familial de génération en génération. La souffrance que mes actes peuvent engendrer me fend le cœur. 

 

Publicité sur la boite mail pour un livre ‘’L’au-delà sans peur‘’. Message : pas de passage s’il y a des peurs (j’en suis bien loin)

J’envoie les deux lettres d’arrêt de travail, les questions négatives fusent (l’alter). 

Je suis un camping car qui décent dans la vallée, cela répond à mes questions, ou esse le ‘’monarque‘’ qui m’invite à le suivre pour un retour en 3D ?

 

 

 

Début juillet :

Je commence à être pas bien depuis quelque temps, irascible, insupportable, au bord des larmes. Touts ces décision que je n’arrive pas à prendre me stresse, les souvenirs d’enfance, les vécu douloureux me montent à la tête ; la crise de la cinquantaine parait il !  Les un an de régime paléo qui agit, super ! Enfin une bonne nouvelle. 

 

Rdv. au docteur, attente au cabinet : quesque je vais bien pouvoir lui dire ?  Suis-je vraiment ‘’malade’’ ? Je ne peux pas parler des idées, exemple de recherchent du réseau Léo. Je ne veux pas me faire interner. En fait je ne veux pas assumer de parler de mes chois, de mes ressenti, peur du jugement. J’ai assez de souffrance en moi pour avoir les larmes aux yeux, J’angoisse, bref je déprime ; arrêt de travail de deux semaines.                                                               

J’ai hésité à consulter, non je peux tenir, je suis forte et que vont dire les gens ??                    Petit clin d’œil sur le coing de la pièce, des petites statuettes représentent ‘’blanche neige et les sept nains‘’. Me viens en tête la conférence de l’alchimiste Patrick  Burensteinas  ou il dit entre autres que les sept personnages représentent les sept couches qui nous maintiens en prison, ils accompagnent blanche neige pour en sortir. 

 

Tout acte a son côté positif, ici du repos et un côté que je voie négatif et épuisant (car je ne sais pas assez m’affirmer surement) Tous le monde y va de son ‘’bon sentiment‘’, de son meilleur conseil, certain plus étouffant que d’autre. Reviens sans cesse les phrases sur l’importance de garder le travail, de voir un psy, de l’attachement qu’ils ont envers moi…                          

Enfin du temps pour moi. Une nouvelle vidéo est sortie sur le réseau ‘’Tout simplement, écoute et observe ! partie 2‘’.

L’expérience de Christelle M. Je la vie, en différent, mais c’est moi sans la rupture avec la ‘famille’.  

Petit clin d’œil :

 

  

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Commentaires: 2
  • #1

    RZ (samedi, 06 juillet 2019 13:52)

    merci pour ton témoignage sa aide

  • #2

    Layla (dimanche, 07 juillet 2019 19:16)

    Merci pour ce super partage ! Tu creuses, tu creuses, bientôt la lumière :-D