Quand le 5% (EN-JE) s’en mêle à mon insu - par Normande D

 

Bonjour à tous les Léos.

 

Je suis à saisir encore davantage depuis mon adhésion au Réseau Léo sur quel chemin ma fractale d’âme s’est mise de la partie pour me faire prendre conscience de ce qui pouvait se cacher derrière ma pensée. Je vous fais part de ce qui m’amena à croire dur comme fer que c’est la force de ma pensée qui m’aida à vivre mes expériences sans y voir la magie de l’En-JE au départ.

 

Vers l’âge de mes 10 ans, en 1964 je fus invité à me rendre en ville (Québec), pour accompagner une de mes tantes à une entrevue d’emploi pour une des plus grandes Cie D’Assurances sur la VIE. Moi qui vivait dans une petite municipalité de campagne, facile de comprendre à quel point j’étais impressionnée. Je me souviens avoir eu cette pensée : C’est ici que je veux travailler un jour. (Formatée SDS, pour gagner des $$).

 

A 17 ans j’obtins un emploi à cette Cie d’assurance sur la VIE. Cependant le jour suivant l’appel pour mon nouvel emploi, je me retrouve à l’hôpital dû à un accident de voiture.

 

Encore aujourd’hui, je ne peux dire ce qui se passa pendant deux jours, j’étais ailleurs (coma). Bien sûr maintenant je sais que j’étais dans l’astral et je me demande si on ne m’avait pas récupéré pour me garder en vie (garde-manger oblige). Les évènements marquant ont été d’entendre la voix de mon frère dire : « Ah! Non je ne suis pas capable de voir ça. »

 

J’eus la pensée suivante : « Qu’est-ce que je peux bien avoir pour qu’il dise cela? » Je n’ai aucune douleur et je suis à l’urgence. Un médecin demande à mon père si j’avais mes menstruations…? Je saigne et il songe à m’enlever la rate. Immédiatement ma pensée : « Non, vous ne m’enlèverez rien. »

À mon réveil, deux jours plus tard j’ai pris conscience que ma pensée avait fait son œuvre : ma rate était présente! Ceci se passa en 1971, et c’était ma 2e visite à l’urgence en l’espace d’un an. J’avais failli y laisser ma peau pour une appendicite et péritonite aiguës. Un oubli médicale d’installer un drain pour s’assurer que l’infection soit contrôlée me ramena une semaine plus tard pour quelques heures à l’urgence.

 

Pressé de former une belle famille SDS, je me suis mariée (anneau = engagement envers la matrice) et accoucha de deux filles. Je me suis divorcée 7 ans plus tard. Comme c’est souvent le cas, c’est à ce moment que je commençai ma quête spirituelle. Je me réfugiais dans diverses lectures sur le pouvoir de la pensée positive, le jeu de la vie… et c’est lorsque je découvris les enseignements de Omraam Mikhaël Aïvanhov, qui m’amena à penser et désirer rencontrer un maître: « Suis-je obligé de me rendre en Inde pour que quelqu’un réponde à mes questions sur la réincarnation? »

 

En 1989, se présenta à moi un nouveau conjoint qui m’invita à rencontrer un prêtre qui avait réponse à presque tout.

 

Je fis la rencontre de ce prêtre SDS + de l’Église Catholique, pas comme les autres, qui m’enseigna, comme par hasard, le pouvoir de la pensée et surtout surveiller ce que l’on pense et dit. Sous cet égrégore, je pratiquai l’imposition des mains en groupe sur toute personne qui avait besoin de guérison; je fis méditation et prières. Je m’y plongeai (moi qui nage dans 5 pieds d’eau max) pour faire du bénévolat à l’intérieur de cet organisme en abandonnant le marché du travail quelques années plus tard et surtout avec la croyance de sauver mon âme et mon corps puisqu’il nous préparait aux évènements apocalyptiques annoncés dans la bible.

 

Les années passent et les conjoints love-bite aussi. Je m’éveillé au bouddhisme par l’intermédiaire d’un nouveau conjoint ; je connu Thich Nhat Hahn. Par contre comme j’étais saturé de toute forme de cérémonies et, Dieu sais qu’il y en a suffisamment pour nourrir les prédateurs dans toutes les religions, je cherchais encore… et laissa tomber. Aucun doute que cette pulsion venait de mon âme.

J’ai aussi fait les 10 jours de méditation de Vipassana sans me rouler par terre. (Il semblerait que cette expression nous vienne du domaine équestre puisqu'elle ferait référence aux roulades que les chevaux font sur le dos pour se masser et se procurer du plaisir. L'expression a donc conservé la notion de plaisir, cette dernière étant aujourd'hui celle que l'on éprouve en riant.)

 

C’est en 2015 qu’une pensée claire pour une demande à l’univers me vint à l’esprit : je tourne en rond et là j’ai besoin de rencontrer un guide qui va, une fois de plus, répondre à mes questions. On me présenta une personne qui est devenu mon binôme et à mon tour je lui (binôme) ai fait prendre connaissance d’un premier dialogue sur le Réseau Léo qui m’avait été référé par Diane, amie connue dans le même organisme de ce fameux prêtre spécial en 1989, et retrouvée après de nombreuses années.

 

L’En-Je connaissais le véritable chemin que j’avais à prendre. Je suis davantage consciente de ce qui se passe dans mon intérieur en appliquant le miroir avec mon binôme essayant de voir encore mieux la prédation et travaillant sérieusement en trio avec Diane.

 

Je suis reconnaissante envers mon En-Je et le Réseau Léo pour m’avoir fait saisir que mes pensées ne viennent pas toutes de moi. Merci à tous mes enseignants visibles et invisibles du passé, présent et futur.

 

Normande

Cénacle Québec

 

Écrire commentaire

Commentaires: 0