Bonjour,
Il y a déjà un moment que j'ai fait votre connaissance et que je vous lisais sporadiquement. La semaine dernière une amie m'a envoyé le lien de votre dernière vidéo des "Retrouvailles à Graulhet" pour illustrer ce qu'est réellement l'épée de Mickaël. Comme c'est le dernier thème, il m'a fallu regarder toute la vidéo.
Or, tout était en résonance avec ce que j'ai expérimenté depuis à peine plus d'une année concernant la prédation dont j'étais conscient depuis longtemps (depuis la "Prophétie des Andes dans les années 80) mais dont les mécanismes occultes m'échappaient quelque peu.
J'ai toujours été considéré comme quelqu'un de pacifique et de "tolérant" mais depuis un an je vois des tentatives d'intrusion et de contrôle que je ne voyais pas auparavant ou auxquelles je consentais tacitement par "grandeur d'âme". Il a fallu que se manifeste une colère qui ne venait pas de moi pour que je prenne conscience de ce qui se passait et que j'y mette un terme avec une fermeté que je ne me connaissais pas. Cela s'est reproduit encore 2 fois au cours de la même année et j'ai fini par comprendre que cette colère venait de la dragonne que j'avais appelée quelques mois auparavant et qui depuis m'accompagne d'avantage au niveau de la matière que mon ange et mon guide qui se chargent de m'informer.
Cette première vidéo m'a donné l'envie de regarder les autres et j'ai donc tout téléchargé avec de visionner avec un plus grand confort que sur l'ordi.
J'en suis à la 4ème que j'ai arrêtée car il fallait absolument que je vous contacte pour vous parler de ce qui m'est venu tout à coup en conscience.
Je ne vais pas vous raconter ma vie mais il faut que vous sachiez que j'ai été conçu à Baccarat et que je m'y suis rendu tous les étés pendant 48 ans dans la maison familiale de mon grand-père maternel. Mon enfance a été nourrie de contemplation des cristaux, de ballades dans les sombres forêts aux senteurs de sapin et de crapahutage sur les rochers de grès roses ou vers les ruines de châteaux-forts de l'autre côté de la ligne bleue des Vosges.
En 2008 mes parents ont décidé de vendre la maison.
Ce fut pour moi un déchirement.
Mais j'avais enfin la possibilité d'acquérir quelque chose par moi-même ce qui ne m'était jamais venu à l'idée. Après une première tentative dans les environs de Lodève qui s'acheva en queue de poisson au moment de la signature du compromis, je m'en remis aux instances supérieures pour trouver le lieu qui pouvait me convenir.
Je vous passe les synchronicités qui se présentèrent.
Toujours est-il que fin 2009 je me retrouvai officiellement propriétaire d'une ancienne ferme et de 5 ha de terres dans la montagne noire. J'avais conscience de l'ampleur des travaux voire de l'impossibilité de les gérer seul mais rien n'y a fait : j'y étais poussé par quelque chose d'impérieux et je ne pouvais que m'y plier.
9 ans plus tard je suis en situation de surendettement à la BDF, le crédit immobiler souscrit a été suspendu et le lieu risque d'être vendu aux enchères.
Or je ne l'ai pas acquis pour mon seul profit. Mon idée a toujours été de le partager avec des individus en chemin.
J'en ai cherché mais je n'ai trouvé que des bisounours nuâgeux ou des personnes à l'ego spirituel sous-jacent derrière une apparence séduisante.
Ce que Gégé dit concernant la possibilité de créer une association pour fonder une SCI m'a fait tilt.
Ce serait exactement la solution que je cherche en cohérence avec l'appel auquel j'ai répondu.
Je tiens à être participant mais je ne me sens propriétaire de rien. Je me considère juste comme le gardien de ce lieu qui demande à renaître à une nouvelle vie et que j'entretiens juste en attendant mieux.
J'ai récemment rencontré une femme qui s'occupait de chevaux et qui cherchait un nouveau lieu pour eux car elle avait de gros soucis avec son propriétaire.
Sa détresse a, comme il se doit, réveillé le sauveur en moi et je lui ai de la ferme et des 5 ha de terre. Nous étions dans la Drôme en plein stage de clair-ressenti et au lieu de s'adresser à moi elle est allé interroger les organisateur pour savoir si c'était Ok. J'avais besoin d'être seul pour interroger ma petite voix et c'est ce que j'ai fait en rentrant chez moi. A ma surprise la réponse était non. Et je le lui dis alors qu'elle me demandait l'adresse pour pouvoir s'y installer dans les jours qui suivaient avec sa trentaine d'animaux. La personne un poil extravertie mais sympathique s'est alors transformée en harpie gémissante, me traitant de menteur alors que je ne m'étais en rien engagé vu qu'elle ne m'avait rien demandé officiellement.
Bien sûr j'ai tout de suite identifié un mécanisme de prédation...
Aussi je ne vous dis pas combien combien les autres vidéos ont résonné juste en moi.
Il est clair que je ne vous fais aucune proposition ni ne m'engage à quoi que ce soit.
Mais si j'ai été amené là ce n'est pas pour rien.
Peut-être, avant de mettre la charrue avant les bœufs, pourrions-nous commencer par faire connaissance...
Frédérick C
° ° ° ° °
L'équipe LEO :
Bonjour Frederick,
Indulgence envers toi-même serait le maître mot pour que tu puisses intégrer la leçon.
Effectivement, comme Jenaël, tu as initié un projet qui a été récupéré par des SDS. Et c'est parfaitement normal puisqu'il s'agissait d'une leçon pour apprendre.
Bien que tu croyais œuvrer au service d'autrui, l'orientation de ton projet ne l'était pas encore totalement.
Toutefois, nous n'allons pas te dévoiler les raisons tout de suite, parce que tu trouveras certainement des réponses dans les dernières vidéos de Graulhet et surtout dans le cahier n°15 (déjà paru) et les cahiers n°16 et 17 (à venir).
Alors encore un peu de patience et bonne quête !
A bientôt.
L'équipe LEO
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Frédérick (mercredi, 29 août 2018 23:44)
Merci les LEO pour votre réponse.
Que vous ayez capté que je manque un brin d'indulgence envers moi-même n'est pas sans m'étonner mais j'en conviens et je compte bien m'efforcer à plus de douceur.
Je sais bien que quelque chose m'échappe concernant mon projet sinon il se serait déjà concrétisé.
Je vais donc relire le cahier n°15 en attendant les n°16 et 17.
Je suis pas encore prêt à donner ma langue au chat alors je vais continuer à chercher.
Bien à vous
Frédérick