Commentaire laissé après : Victor - Suite à l'évaluation réalisée par Christine H
Quel dommage que pour étayer une théorie, on en vienne à utiliser la population des personnes cherchant à maigrir, en la qualifiant de "publique fragile et complexé"-je cite.
On va se bousculer devant les cabinets de psy, car cette population est vaste : 7 femmes sur 10 et 1 homme sur 2, selon une étude de l'INSERM* !
Cependant, après lecture attentive du site de Yza Vénusia, résolument conçu sur le mode humoristique, voire souvent au second degré, je n'ai pas décelé de névroses patentes.
Pour moi-même, qui fait partie de cette nombreuse famille, après examen approfondi de ma psyché, il me semble arriver à maintenir une personnalité à peu près équilibrée....
Plus sérieusement, certes le poids peut être une prison de chair, comme il est dit dans le commentaire. Mais cela peut être aussi un instrument d'évolution, comme le rappelle Gitta Mallasz dans l'un des dialogues avec l'Ange :
"Celui qui est sur Terre sans poids, est sans Voie
La Matière que vous avez assumée, c'est le Poids"
Et si le poids est une prison de chair, que dire de la prison érigée par les jugements hâtifs et péjoratifs ?
* INSERM: institut national de la santé et de la recherche médicale ;étude réalisée en 2012, sur 3 ans.
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