Témoignage 611 - Pascale G - Nous avons tous des compétences !

 

Bonjour au réseau et merci de m'avoir transféré le message qu'à laissé Jérôme L. suite à mon partage.


Les synchronicites sont bien présentes car j’ai justement visionné il y a 2 jours les vidéos en extérieur où Jérôme et Armelle sont venus vous rencontrer... je regarde les vidéos au feeling et il arrive très fréquemment qu’elles m’apportent des réponses ou des éclairages sur des problématiques que je traverse...
Sur ces dernières vidéos du Rialsesses, quand Jenael propose à chacun d’énoncer les compétences qu’il où elle pourrait apporter au collectif, je m’étais sentie mal (je ou mon prédateur ?) me disant de suite que je n’aurais pour ma part aucune compétence qui pourrait faire grandir ce collectif. Et le soir même, en lisant un texte d’Hélène évoquant son besoin de reconnaissance, je tombe sur ce que lui a dit Jenael sur le fait que pour diriger une arche il y avait besoin de rameurs. Cette réponse apportée aux interrogations d’Hélène m'a profondément touchée car au delà du fait que les doutes et exigences qu’elle a envers elle-même me semble totalement injustifiés, la sagesse de cette vision des choses, du canevas que lui propose Jenael est infinie.... et cela a alors apporté un baume sur ma propre tendance à la dévalorisation.... chacun et chacune, à partir du moment où il accepte de baisser les masques et laisse se manifester cette fractale de la conscience divine créatrice qui l’habite, est la touche unique venant cocreer le dessin infini de la Vie. 

Je m’étais beaucoup reconnue en Jérôme concernant la problématique de l’attachement que j’entreprends petit à petit d’amoindrir mais je sais que c'est entre autre par elle que je me fais happer. En fait, attachement (tout particulièrement aux enfants et aux animaux) et culpabilité sont mes chaînes les plus lourdes.
Depuis quelques jours j’essaie de mettre par écrit différentes choses qui me touchent mais ça part dans tous les sens (beaucoup de difficultés à synthétiser) et je n’arrive pas à coucher sur le papier ce que j’aimerais exprimer.... avec la prédation qui intervient beaucoup et cette tendance du coup à remettre à plus tard, j’ai besoin d’activer beaucoup plus en moi une certaine force et une certaine rigueur même si ces mots ne sont pas forcément bien choisis. 
Je sais qu’il serait à la fois plus simple mais aussi plus compliqué pour moi d’échanger en direct. Je laisse à mon guide intérieur le soin de me mener là où je dois être. En fait je pense que je suis encore beaucoup trop menée par mon ego et le ”je voudrais” même si je ressens fortement l’impulsion de mon âme à être enfin entendue...
 
J’ai commencé à lire les 9 lettres du Christ et je perçois quand je me pose à l’intérieur de moi la puissance bridée de cette force créatrice qui pousse, pousse tellement fort que mon corps, à travers ses cellules, crie sa douleur.
Et concernant justement toutes ces douleurs qui me traversent quotidiennement depuis quelques années, j’ai décidé de m’en remettre totalement à cette puissance créatrice pour les transmuter, et je sais que cela s’accomplira au moment où mon abandon à elle sera totalement sincère et entier. 
Je voulais aussi rebondir sur la publication de mon 1er écrit. Je l’ai relu à la publication et j’ai de suite vu qu’à la fin du texte je parlais de m’en remettre à mon An je.....
Une honte indiscible est montée en moi..... je venais de mettre au grand jour que celui qui me guidait en fait était le prédateur que je confondais encore avec ma conscience supérieure, et ce An, cet anunnaki, cette part reptilienne me faisait le ”cadeau”, si mon ego voulait bien arrêter de s’emballer, de se révéler au grand jour à travers mon inconscient....
Après être passée par une phase de ”mon dieu, ce n’est pas possible qu’ils n'aient rien vu, je vais me faire rejeter....” (ego en panique totale), je me suis posée et j’ai au final accepté ce clin d’œil de mon prédateur.
 
M'est alors revenu cette pensée qui m'a traversée plus d’une fois où je me suis dite qu’à choisir, je préférerais être reptilienne que gris car il valait encore mieux être doté d'émotions, même ” négatives ” que de  n'être plus qu’une coquille vide type robot. Et qu’intuitivement je me reconnaissais plus dans le portrait reptilien que gris, le vide émotionnel de ce dernier étant ce qui me faisait le plus peur.
Alors bon, comme rien n'arrive par hasard, ces écrits sont sortis comme ils devaient sortir pour mon plus grand bien...
Merci pour toutes ces compréhensions offertes et à bientôt j’espère 

Pascale G (38)

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