Témoignage 616 - Orsula - Rappelle-toi que tu as une âme !

 

Témoignage laissé suite à la Capsule n°12 :

 

Salut,

 

Après avoir visualisé la capsule 12, j’ai fait le rêve suivant en résonance avec le thème abordé :

« Sans projection corporelle, je survole une réalité. Je vois qu’elle est peuplée de zombies. Il y en a dans les maisons, dans les bureaux, dehors… Je me manifeste alors dans l’une des bâtisses et j’y rencontre un homme, humain, mais qui me paraît au premier abord fou. Il avait survécu dans ce monde de zombies sans en devenir un à son tour.

 

Le rêve évolue et nous sommes un groupe. À un moment, une zombie réussit à entrer. Le fait qu’elle soit une mort-vivante la rend prédatrice. Je me lance vers elle prête à me battre et à la mettre dehors, en faisant très attention pour qu’elle ne me contamine pas, mais là une chose inédite se produit. Une sœur apparaît à mes côtés et elle lui dit : rappelle-toi que tu as une âme, grâce à elle, tu peux revenir à toi, tu peux reprendre le contrôle de ton corps… Là, la zombie se transforme et redevient humaine. Elle rejoint et renforce notre groupe.

 

Un autre zombie apparaît, et cette fois, je fais de même, je lui dis la même chose, et il redevient humain à son tour. Et puis un autre… etc. Soudainement, tout un groupe de zombies arrive. Je sens une pensée qui traverse une partie de mon ventre, elle a peur qu’on se fasse submerger et qu’on devienne comme eux. Je n’écoute pas sa peur et m’avance. Je ne suis pas seule, mes sœurs sont là aussi, et nous toutes commençons à leur parler, les mêmes mots : rappelle-toi que tu as une âme… »

 

L’information que j’en retire est que même si notre monde est peuplé de zombies, qui par leur absence deviennent des outils de la prédation, « la progression de la conscience de l’homme » fait que quelques-uns trouvent le chemin des groupes des hommes vrais, et la mission de ces derniers est de sortir de leur ego qui rejette, et les aider à se rappeler qui ils sont, tout en restant vigilants (dans le rêve, nous étions tout le temps sur nos gardes pour ne pas les laisser nous mordre). En plus, à aucun moment, nous ne sommes parties réveiller ceux qui étaient dehors, seulement ceux qui arrivaient jusqu’à nous.

 

Orsula (Maroc)

 

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