Témoignage 617 - La forêt naturelle - Stop aux pensées du monde connu

 

Commentaire laissé suite à l'article Le Cœur du Sujet - Parallèles gnostiques dans l’Œuvre de Carlos Castaneda

 

 

Merci pour ce partage.

 

Il s'agit d'un bel exercice de rapprochement, tout à fait dans l'esprit de clarification.

J'observe ce parallèle entre Castaneda, Qi Qong et Supramentale (Bernard de Montréal, Daniel Kemp, Iso V Sinclair), dont les précurseurs (ci-nommés) revendiquent leur continuité dans la Gnose.

Il s'agit d’amener la pensée à se taire, d'abord par un relâchement (penser à rien), pour ensuite ne plus penser, ce qui par redéploiement de l'énergie amène à stopper le monde (connu).

 

Ce "saut dans l'inconnu" en supramental se traduit en mots non-pensés (non-faire). Le locuteur peut ainsi s'exprimer sur n'importe quel sujet car il ne fait plus référence à des mémoires terrestres (astrales = mondes akashiques = l’implantation étrangère, celle qui joue sur nos émotions par le rappel continu des mémoires traumatiques ou sécuritaires, les pensées envahissantes).

Son anégoïsation lui permet de se laissé connecter par des « mémoires » dites cosmiques (sont-ce des mémoires puisqu’elles ne sont pas de son passé et donc non-morte ? Mémoires vives alors ? = Vie réelle, instantanée).

 

L'énergie descend naturellement par la fontanelle, contrairement aux efforts fournis par l'être qui veut évoluer (piège de l'orgueil d'évolution) et entraîne par des exercices sa Kundalini à monter alors qu'il n'est par encore prêt (trop d’égo).

La fusion arrive d'elle même lorsque l'on a réaligné l'être originel (celui d'avant la rencontre Archontique).

Ainsi le voyage reprend son cours. Lentement l'égo (la personnalité, forte ou faible = l'implantation) à laissé place à la personne (= personne).

 

Transparent, le cœur du guerrier de nouveau arpente le chemin du retour.

 

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