7. Un cadavre dans le placard - par Eli et Frans

 

Les LEO avaient écrit "Qui cherche la vérité, trouve la liberté !" ; alors, aussi douloureuse soit-elle, je préfèrerai toujours la vérité au déni.

Dans ce nouveau jeu de piste, le système d'indices des prénoms joua un rôle particulièrement essentiel, pour ne pas dire, déterminant. C'est en suivant ces balises et en faisant des liens entre les informations aussi bien intérieures qu'extérieures auxquelles j'avais accès, que mon enquête révélatrice de mémoires transgénérationnelles non résolues, put être bouclée.

Alors, avant tout chose, voici les prénoms que je porte : Eliane-Gakobwa Sophie Marie Ghislaine.

 

Au travers d'un jeu de rôle qui se mit en place dans notre maisonnée, la mémoire d'un(e) enfant victime d'abus sexuel(s) remonta à ma conscience. À ce moment-là, vivre et surtout dormir aux côtés de Frans m'était devenu insupportable, car dans cette problématique que nous rejouions, celui-ci avait endossé le costume du bourreau ; précisément pour que je puisse conscientiser mon alter victime.

Dès lors, sur le chantier de l'ÉCOLEO, impossible pour moi de travailler et encore moins avec lui ! En larmes, ne tenant plus sur mes jambes, le tsunami émotionnel fut tel que je dus rentrer me coucher. Pourquoi la douleur ressentie était-elle si vive et la colère aussi violente ? Avais-je été abusée dans ma petite enfance et aurais-je refoulé ce traumatisme ? Intuitivement, ma réponse fut "non, dans cette incarnation-ci, je n’ai pas subi d’abus sexuels" ; sous-entendu, il doit probablement s'agir d'un alter sur une ligne temporelle parallèle.

 

Environ six mois plus tard, alors que cette mémoire d'abus sexuel(s) m'était complètement sortie de la tête, je remarquai que ma petite lèvre génitale gauche était enflée. Qu’avait-elle à me dire ?

La localisation de l'inflammation m’indiquait une problématique de l’ordre de la sexualité et de la communication (en langage des oisons, communiquer = niquer en commun) ; et le côté gauche représentait le côté maternel. À noter aussi que "des problèmes situés au niveau de la vulve expriment bien souvent de la colère par rapport à son partenaire sexuel".

https://www.estelledaves.com/pages/symbolique-du-corps/v-1/vulve.html

 

Assez rapidement, serrer les jambes m'était devenu impossible. Déambulant tantôt comme une femme enceinte, tantôt comme un véritable bonhomme, les remontées de mémoires allaient bon train ! Sans surprise, elles concernaient majoritairement des problématiques liées à la sexualité ; mon travail consistait alors à laisser émerger la honte, la culpabilité ou le rejet que mes alter, par exemple homo ou bisexuel, avaient engrammé. Puis, en faisant circuler l'information dans le groupe, ce dernier de par ses retours, me permettait de progresser dans mes compréhensions, et ainsi de suite.

 

Cependant, malgré toutes mes prises de conscience et les libérations qui en découlèrent, l'inflammation continuait d’empirer, devenant au fil des jours non seulement très impressionnante, mais extrêmement douloureuse. J'avais besoin de plus d'informations !

Vint donc le jour de dépasser ma honte en osant montrer ma lèvre à la personne la plus compétente pour identifier ce dont il s’agissait, Jenaël, l'ex-infirmier. Ceci vint révéler le tabou dans lequel j'étais inconsciemment enfermée, car de toute évidence, si ma blessure avait touché n'importe quelle autre partie du corps, je lui aurais montré depuis belle lurette !

 

Ainsi, le diagnostic tomba et son décodage biologique s'ensuivit : j'avais une hémorroïde ou une varice vulvaire. "Des varices ! Évidemment, ma mère en souffre depuis fort longtemps, ça me parle !". Un caillot de sang obstruait une veine empêchant le sang de remonter au cœur ; il y avait donc un problème de circulation de l’énergie-information, de l’amour.

"En psychosomatique, la cause des varices est le résultat d'émotions refoulées ou retenues, qui empêchent la libre circulation du sang dans les veines."

 

Quant aux hémorroïdes : "Elles sont en lien avec le fait de s’obliger, de se forcer, de se mettre la pression à faire quelque chose. Mais aussi lorsqu’on vit des situations avec lesquelles nous sommes en désaccords. On peut être conscient que cela ne nous convient pas et malgré tout ne voir aucune issue, on ne sait pas ce que l’on pourrait faire d’autre, on se sent comme pris au piège"

https://www.estelledaves.com/pages/maladies-et-symptomes/v/varices.html https://www.estelledaves.com/pages/maladies-et-symptomes/h/hemorroides.html

Elles renvoient également à une "culpabilité importante retenue et non exprimée" et au fait de "remettre en question son identité et son affiliation". https://santenatureetcie.com/hemorroides-symbolique/

 

Pour résumer, je devais faire la lumière sur un blocage concernant ma lignée maternelle, un événement traumatisant probablement tabou, en lien avec la sexualité, ayant généré beaucoup de colère, de honte et de culpabilité et qui aujourd'hui, demanderait à sortir !

Pensant à ma mère mais surtout à ma grand-mère dont je porte le prénom, je m'interrogeais : Qu’avais-je comme informations au sujet de sa vie ?

 

Voici ce qui me revint à l'esprit. Selon ses propres dires, Sophie dut se plier à la volonté d’un père foncièrement "tyran-nique". Elle s’en prenait souvent à moi lorsqu’elle me surprenait en train de me rebeller contre les injonctions de mon propre père, car pour elle, c'était inimaginable ! "On ne répond pas à son père !" disait-elle. J’en comprenais que, dans sa psyché, sous prétexte d’être mon père, cet homme avait tous les droits. Bien entendu, j’étais archi-contre ce raisonnement.

En recoupant avec les autres éléments dont je disposais, cette information était pour le moins interpellante : pourquoi aurait-il eu tous les droits ??

Je notai en outre qu'un abus se définit comme le "fait d'outrepasser certains droits, de sortir d'une norme, d'une règle". https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/abus/314

 

Et puis un soir, sans aucune raison apparente, je me rendis dans le salon, ouvris le tiroir contenant mes affaires personnelles et en sortis une enveloppe renfermant quelques photos de mes proches. À peine celle-ci entr’ouverte qu’un torrent de larmes m’emporta subitement ! J'ignorais totalement pourquoi je pleurais, mais ressentais clairement que cela n'avait rien à voir avec de l'attachement. Une fois calmée, je me mis à regarder les photos et tombai presque de suite sur celle de mes aïeux : Jules et Louise, les parents de Sophie.

 

C'est là que "la lumière fut" et que par conséquent, le puzzle prit forme dans mon esprit ! Je fis le rapprochement entre la mémoire d'abus sexuel remontée six mois auparavant, la varice vulvaire, Sophie et son père, Jules. Car ce prénom, tel un déclencheur, me renvoya aussitôt au témoignage 444 écrit par un dénommé "Jules", dans lequel il témoignait sans détour de la violence de son père et de l'inceste au sein de sa famille.

Témoignage 444 - Jules - De l'ombre à la lumière

À l'époque de sa parution, ce texte m'avait énormément fait pleurer, et bien que marquée, je manquais encore d'éléments pour en connaître la raison fondamentale. À présent, c'était clair ! Son contenu, donc, ses informations vibratoires, résonnant avec mon propre bagage génétique, était venu réveiller les codes d'un programme bien profondément enfoui dans mon inconscient. "De l'ombre à la lumière", un titre par conséquent tout à fait en adéquation avec mon propre jeu de piste !

 

Au moment où le voile se déchira, c'est-à-dire lorsqu'en moi-même s'opéra une "rupture entre l'ancien et le nouveau" puisque je retrouvai enfin la mémoire, une voix tentait de me raisonner : "ce n’est pas possible, ce n’est pas possible…", celle-là même qui voudrait me maintenir dans le déni ou dans la croyance que ce genre d’histoire n’arrive qu'aux autres.

Néanmoins, malgré les tentatives désespérées de mon mental - ce menteur -, je sus avec certitude que je venais de découvrir le secret de ma grand-mère, s'exprimant au travers de cette énorme varice ultra douloureuse. Varice apparue sur ma lèvre et nulle part ailleurs, puisque ce traumatisme engendré par un ou plusieurs abus sexuel(s) n’avait jusqu'ici, jamais été révélé. Sophie s'était "tue". D'une certaine manière, serait-elle morte de honte !?

 

Car effectivement, en visionnant une émission au sujet de l'inceste, ce qui ressortait en premier lieu était la honte dans laquelle était enfermées les victimes, vu le tabou ultime que représente l'acte incestueux ; "incestueux" dont l'étymologie renverrait au sacrilège et à la souillure. https://www.youtube.com/watch?v=DLi3LX_41RQ

https://www.youtube.com/watch?v=RUk1m7ArV1k

Loin de vouloir dénoncer quoi que ce soit – car cela ne servirait finalement qu'à me détourner de mon véritable travail intérieur – m'exprimer, non pas "mourir de honte" mais "mourir à la honte" en dévoilant que l'inceste fait partie de mon histoire, me permet de mener à bien ma déprogrammation ; d'abord et avant tout pour ma propre transformation mais également, par la "magie de l'épigenèse", pour celle d'autrui. (Voir à ce sujet la Chronique 10)

 

"Pour réveiller la partie soi-disant non-codante, ce "trésor" qui contient la particule Christique, le gène éthique ou KIRISTOS en sumérien (autrement dit la génétique des "fils - et filles - ardents de la vie"), nous devions également accepter de voir un autre aspect du Service d'Autrui, celui de pouvoir offrir à nos alter/ancêtres désincarnés, la possibilité qu'eux aussi puissent changer de densité ! N'ayant pas de corps physique, ce n'est qu'à travers nos recherches et notre ouverture d'esprit à leur existence et présence, qu'ils pouvaient bénéficier des informations pour changer eux aussi de plan de conscience et de réalité". Chronique n°10

 

Ainsi, par mon engagement sur la voie du Service d'autrui, il m'a été offert de lever le secret de Sophie et Jules - mes alter et aïeux (aïeeeeee !) - sachant que dire leur/ma vérité changerait la donne pour mon âme, mais aussi potentiellement pour les leurs !

 

Alors évidemment, changer la donne en accomplissant mon travail ne fut pas une mince affaire !

Après avoir été traversée par la souffrance émotionnelle de Sophie, il y eut la souffrance physique et psychique : la fameuse lèvre anormalement volumineuse et douloureuse fit émerger une multitude de peurs. La nuit, de (très) nombreux alter toquaient à ma porte, m'implorant de trouver un remède, une pommade, des gélules bio, d'aller voir un médecin, bref de recourir à une solution extérieure pour mettre fin à ce calvaire, alors que je savais pertinemment et depuis bien longtemps, que le "soi-niant" ni aucun autre "panse-ment" n'étaient la solution !

 

Dans ce qui fut une véritable épreuve initiatique, ma conscience supérieure m'invitait donc à aller visiter mes peurs, dont la plus grande : celle de mourir ! Ainsi, à de nombreuses reprises, je pleurais comme une madeleine puis tâchais de rassurer tous mes alter en leur donnant l’information, insistant sur le fait de s'en remettre entièrement au Soi supérieur, d'avoir foi en sa protection et en sa guidance. "Non, je n'allais pas mourir et cette souffrance n'était pas immuable "!

 

"Vous est-il jamais arrivé de penser qu'il y a des parties de vous qui sont dans les ténèbres et qui ne savent pas comment trouver la Lumière excepté à travers vous ? Elles veulent la Lumière tout autant que vous. Elles veulent des solutions et des réponses. Ce que vous pouvez parfois ressentir n'est pas nécessairement l'intention de la force obscure mais bien la nature émotionnelle de cette force -- la peur qui vibre par manque d'information. Les parties de vous-même qui ne sont pas informées vont venir à vous pour être informées."

Extrait des Messagers de l'aube p. 65

 

Frans et les autres membres de la tribu me soutinrent autant qu'ils y étaient autorisés, car c'était évidemment à moi de faire ce travail avec mes parts dissociées et surtout, de persévérer c’est-à-dire de soutenir mes propres efforts pour faire grandir la force de l'Esprit, ma force intérieure.

 

Au bout de trois semaines pour le moins laborieuses, prête pour une nouvelle étape, je suivis le conseil du groupe en demandant son assistance au travers d'un soin énergétique. Celui-ci permit au caillot de se dissoudre et ainsi, à l'énergie de se remettre à circuler. Résultat, l'état de ma lèvre s'améliora de manière significative, quelques heures seulement après avoir reçu le soin !

Et bien que je ne fusse pas en proie au doute concernant la puissance des thérapies quantiques et énergétiques, en faire l'expérience fut tout simplement extraordinaire ! Un véritable cadeau puisque seule l'expérimentation participe au renforcement de ma foi et à l'expansion de ma conscience au-delà de ma réalité linéaire et étriquée.

 

En achevant la rédaction de ce texte, alors que nous rediscutions de son contenu, Frans laissa s'exprimer un alter. Il prétendit tout d'un coup ne pas comprendre ; il voulait savoir si parler de viol était juste ou pas, etc. Selon ma perception, c'était comme s'il défendait le bourreau, alors, toujours empreinte de l'émotionnel de la victime, je me mis dans une colère noire et à partir de là, cessai de lui adresser la parole !

 

En réalité, cette colère me signifiait que mon ego s'opposait à une information provenant de ma conscience supérieure. Car à ce moment-là, par les propriétés du miroir quantique, Frans me révélait mon propre alter, celui avec lequel il était temps que je rentre en contact : Ghislaine ! Cette part de moi représentait ma part bourreau, porteuse des codes de prédateur sexuel de mon aïeul, Jules ; je l'ai compris en me remémorant l'affaire Epstein.

 

Car ce milliardaire pédophile inculpé de trafic sexuel en bande organisée de mineures, avait eu pour complice et ex-compagne une femme prénommée Ghislaine ! Ma mère m'ayant "comme par hasard" transmis ce prénom, cela me donna, à l'époque déjà, un indice clair sur l'alter bourreau/pédophile logé dans mon inconscient.

 

Dans l'esprit de ma mère, "Ghislain" renvoyait au "saint patron des femmes enceintes et de la petite enfance" ; les saints patrons - dérivés du mot "pater", le père - étant connus pour être des protecteurs.

"Dans notre diocèse, le village de Flaumont-Waudrechies (...) est confié à saint Ghislain. Ce sera pour nous une occasion de mieux connaître ce personnage qui a toujours beaucoup aimé les enfants, ce que les familles lui reconnaissent très largement en l’invoquant pour guérir et protéger les petits enfants". https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1993/Saint-Ghislain.html

Cette trouvaille me laissa bouche bée...

 

Ainsi, comme j'étais incapable de conscientiser ma part "qui a toujours beaucoup aimé les enfants", celle-ci se manifesta à travers Frans ! Après m'avoir profondément outrée, il me formula clairement qu'il voulait comprendre et qu'il manquait d'informations. En sortant de la linéarité, je pus entendre mon alter bourreau, lequel victime de sa propre programmation, ne saisissait pas "où était le mal" dans son comportement.

 

"Il existe de multiples moyens d'exercer un pouvoir de contrôle sur le mental d'une entité ignorante (tel l'humain ordinaire), de la même façon que les prédateurs SDS humains de 3e densité, l'exercent dans votre société actuelle. Le cas de l'esclavage ou de la pédocriminalité révélée ces derniers temps, en sont "malheureusement" les modèles parfaits. Car ce conditionnement par des intelligences prédatrices, remonte au temps de la création artificielle de l'homme par des tiers et, biologiquement parlant, il est le résultat d'informations génétiques parfois corrompues ou défaillantes, transmises de génération en génération".

Chronique n° 4

 

Bien que comprenant ce qu'il m'était demandé de faire, je me débattais. La lutte avec Frans reflétait ma propre lutte intérieure, puisque je jugeais et rejetais cette part de moi ! Ce n'est qu'une fois ce jugement dépassé, en faisant preuve de compassion envers elle, que dialoguer et la reconnaître en moi, devint possible.

 

En parallèle, Frans, d'abord en colère à cause de mon refus de communiquer, finit par lâcher prise et pleurer, lui aussi. Les larmes et l'acceptation du miroir que nous nous renvoyions mutuellement, mirent fin aux conflits intérieurs, ramenant cette mémoire à zéro, à la neutralité.

 

***

 

"Suppose que Sophie et Jules soient amants sur une autre ligne temporelle" me dis-je.

Prendre connaissance de la multidimensionnalité de l'Être, de la nature hyperdimensionnelle de notre réalité, de nos origines et de la programmation de notre génétique et de tellement d'autres informations encore, m'apparut à nouveau vital. C'est le mot !

Sans que cela ne minimise quoi que ce soit, cette connaissance, en offrant un autre point de vue, plus large, peut amener à découvrir et à conscientiser les jeux karmiques qui se déroulent malgré nous. Ici par exemple, ceux concernant deux âmes qui, se connaissant probablement d'ailleurs, se seraient retrouvées à ce moment de leurs parcours dans le corps d'un père avec sa fille, pour continuer d'apprendre, se rappeler leur passé et ainsi, comprendre leur présent ! Mais qui, par manque d'information, auraient de facto rejoué à des "je" qui dans ce "nouveau contexte" les auront profondément blessées.

 

Ainsi, cette enquête et son lot d'enseignements sollicitèrent mon émotionnel de façon particulièrement intense. Toutefois, un autre élément rentrait en ligne de compte : mon ego.

De son point de vue, cette expérience devait s'écourter, être différente, moins pénible, il fallait que la souffrance s'arrête, que je comprenne tout et que l'inconfort disparaisse (= contrôle, lutte, jugement). Incontestablement, une de mes leçons portait sur l'acceptation, "prendre ce qui est offert ou ce qui se présente" ! Apprendre à saisir les opportunités de rapatrier mes alter, en donnant le moins d'énergie psychique possible à toutes ces conceptions égotiques.

 

C'est par ailleurs en les observant que je pus réaliser à quel point mon ego, ce "champ magnétique qui se dilate ou se contracte en fonction de sa résistance" (voir à ce sujet le Dialogue n°29), me formate au travers de croyances et de peurs tenaces, sur lesquelles ma réalité est alors fondée ! Celles-ci, en freinant mon processus de libération et en faisant barrage aux informations provenant de mon Soi supérieur, piègent ma conscience dans la dualité et l'illusion.

Il me fallait donc identifier le mécanisme de manipulation hyperdimensionnelle opérée au travers de mon ego et apprendre à développer le discernement nécessaire pour le déjouer. En effet, en en prenant conscience et en réaffirmant ma confiance dans le processus en cours, la résistance de l'ego se brise, son ampleur diminue, pour progressivement laisser l'information-lumière atteindre mon Soi.

 

Eli & Frans

 

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Commentaires: 1
  • #1

    Orsoula (vendredi, 17 septembre 2021 01:27)

    Merci à la tribu pour son aide.
    Je viens de recevoir la Léo News à un moment où je me répétais de faire confiance, alors qu'un poids me comprimait le ventre.
    À travers ce texte, j'ai compris l'expérience que je traverse. Bien qu'elle n'ait rien à voir avec celle d'Eli et Frans, les informations véhiculées ont déverrouillé les blocages, et l'évidence a jaillit, entraînant la libération.
    Un grand merci à vous :)