Un passé d'esclave ? par Denis C

 

Voilà plusieurs jours que je remets en mémoire ma vie. Aussi loin que je puisse me rappeler, c'est-à-dire depuis l'âge de 3 ans, moment où je suis rentré en maternelle.

 

Il m'est venu l'info que j'ai vécu un passé d'esclave dans d'autres vies et que dans celle-ci je suis venu régler ce karma.

 

18 mois on m'a dit que j'avais eu des convulsions qui ont durées un peu moins d'une heure. Peut-être voulais-je déjà fuir ce monde ? Je ne sais pas je n'ai aucune mémoire de ce moment.

 

3 ans je rentre en maternelle. J'ai la sensation d'être enfermé comme un animal. On veut nous dresser ? Ben oui ça sert à ça l'école, nous programmer à la république. Certes je n'ai pas réellement conscience de ça à cet âge, mais je me sens pas libre.

 

À 4 ans première tentative de révolte. Je me souviens remontant mes chaussettes des dizaines de fois pour perdre du temps et louper le bus. Je réussis. Tout content je rentre chez moi. Ma mère m'engueule grave. Je dis, c'est pas ma faute c'est les chaussettes.

Ce jour là ma mère doit faire des courses. On passe devant la gendarmerie, un véhicule en sort. Ma mère me dit : tu vois ils te cherchent, si ils te trouvent ils vont te mettre en prison. J'ai eu tellement peur que je n'ai plus jamais loupé l'école.

 

Je me souviens aussi que je voulais fuir de chez moi. Non pas que j'étais pas bien, je ne me sentais pas vraiment à ma place. D'ailleurs j'ai eu une enfance assez sympa et relativement tranquille. Mais j'avais toujours cette sensation d'enfermement. Dans plusieurs rêves je me voyais m'enfuir en volant. Je reviendrai dans un autre écrit sur le fait de voler.

 

22 ans, deuxième tentative de révolte. Je pars faire le service militaire. J'ai de la "chance" je vais à Baden Baden dans une caserne qui est l'état major des FFA en Allemagne. Je dis de la chance car dans cette caserne on ne fait pas d'exercices de terrain, on ne joue pas à la guerre. Il y a même un cinéma, un mini golf et une piscine.

Un soir je suis seul dans la chambrée, je lis papillon (pour ceux qui connaissent ce livre ou le film, c'est un sacré signe). Il y a un malade à la garde, il faut le remplacer. Heuuuu !!! non non je la ferai pas cette garde. Le gars de semaine me dit : t as pas le choix c'est comme ça. Je suis amené au poste de garde. Je ne veux pas faire cette garde. Je sais déjà que je ne la ferai pas. Je ne sais pas comment ça va se passer mais je ne la ferai pas cette garde. Arrive le moment où je dois prendre mon tour. Je m'assois sur un tabouret dont les pieds sont en fer, peints en vert, pour faire mes lacets. Et là, sans réfléchir, Je prends ce tabouret dans les mains, je me dirige vers le chef de poste qui regarde dehors à travers de grandes vitres. Je lui claque le tabouret aussi fort que je peux sur le dos. Le mec bouge à peine, c'est une armoire à glace. Il se retourne me saisi et me plaque au sol. Un autre appel l'infirmerie. Piqûre de valium pour me calmer, on m'amène à l'infirmerie.

Le lendemain on m'amène à l'hôpital militaire. Je vois un psy qui me donne de la convalescence jusqu'à la fin de ce service militaire (presque 6 mois). Merci mon Ange, je risquais gros je crois.

 

Ensuite arrive le moment où il faut "gagner sa vie" comme on dit. Il faut aller travailler. Je connaissais l'étymologie de ce mot. Je n'ai jamais eu envie de travailler à la sauce esclavagiste capitaliste. C'est ma troisième tentative de révolte. Je ne vais pas détailler ici mon parcours d'esclave à la recherche d'argent. Je dis esclave car depuis que j'ai 15, 16 ans, je sais que l'argent fait de nous des esclaves. Je me souviens de longues discussions avec un cousin. On imaginait un monde sans argent. On arrivait toujours à la même conclusion à savoir. Il faut changer la nature humaine.

 

J'ai fait des études de comptabilité jusqu'en BTS. Pas mal ce paradoxe alors que je sais que l'argent nous rend complètement débile. Bref. Sortie de l'école j'ai failli travailler au Luxembourg pour la banque nationale de Belgique. Un détail à fait que je n'y ai pas travaillé, je ne maîtrisais pas un outil d'écriture électronique, à savoir une machine à écrire. J'avais appris sur une mécanique. Tant mieux.

 

J'ai donc survécu en occupant plein de boulots différents en alternance avec des périodes de chômage. J'ai travaillé dans des bureaux, dans des banques, à la cour des comptes européenne, dans le commercial, dans des usines à la chaînes (ça oui c'est être avec des chaînes les usines, mais ailleurs aussi, y a que le costume qui change), dans une commune où je nettoyais la ville et les plages, j'ai fait de l'aide à domicile, et depuis 5 ans en maison d'accueil spécialisée pour handicapés. Je n'ai jamais voulu me faire embaucher. Ce qui a entraîné la séparation avec la mère de mes enfants, des embrouilles avec la famille. J'étais le vilain petit canard qui ne voulait pas rentrer dans le moule.

 

51 ans, ce mois de février 2020 marquera ma 4ème révolte. Je ne dis plus tentative ici. Car j'ai décidé d'arrêter de jouer l'esclave. J'ai donné ma démission alors que je venais de signer un contrat d'un an et envisageais une VAE.

STOP STOP STOP !!! Je ne suis pas une victime...

 

Pourquoi je pense avoir été esclave dans d'autres vies et pourquoi je pense que je suis venu régler ce karma?

 

Premièrement du fait que j'ai toujours eu cette sensation de n'être pas à ma place dans ce monde, d'être dans une prison où l'esclavagisme est roi. Esclavagisme physique par le travail, l'argent et le sexe, mental par les programmations forcées et subies pour rentrer dans un moule. J'ai souvent résisté. J'habite actuellement rue Jean Moulin.

 

Deuxièmement, mes grand parents, du côté paternel et maternel, sont venus d'Italie travailler dans les mines. J'aurai aussi sûrement travailler dans les mines si celles-ci ne n'avaient pas fermées.

 

Dernièrement j'ai eu un flash. J'ai habité dans un bâtiment qui était une ancienne cantine de la mine. Ce flash c'était : tu as travaillé dans une mine, tu es le père de ton père. Ce grand-père est mort à la mine suite à un éboulement en 1941, artère fémorale sectionnée. Ces dernières années je souffrais de mes hanches le matin au réveil. J'ai compris le lien voilà peu, et puis ce flash qui semble confirmer ce fait. Je n'ai plus mal aux hanches depuis la fin de l'année dernière.

Pour la première fois de ma vie je viens de pleurer la mort de ce grand-père à l'instant.

 

De plus les mineurs sont appelés les gueules noires. J'écoute beaucoup de blues. J'ai appris l'harmonica parce que j'apprécie cette musique. Cet instrument existe en tant que tel depuis que les afro-américains ont posé leurs lèvres dessus. Sinon le blanc faisait "pouet-pouet" avec. Alors je me pose la question si je n'ai pas été dans des champs de coton dans une autre vie (ou peut-être étais-je bourreau ?). Je regarde peu de films, mais le peu de films que j'ai vu dont le sujet était l'esclavagisme subi par ces hommes me bouleversaient. D'autres remontées du passé me parviendront peut-être plus tard.

 

J'ai aussi lu sur votre site les manipulations génétiques faites par des entités 4D pour créer des hommes travaillant à l'extraction de matières. Ok ça explique cette sensation d'être esclave et ce lien avec la mine.

 

Troisièmement, ma guidance m'a amené à prendre conscience de ce karma d'esclave. Au départ elle m'a fait apprendre plein de choses sur des sujets très variés. Elle m'a amené à votre site en ce début d'année pour aller plus dans les détails. Il me manquait de fouiller plus en profondeur pour lever plus le voile doucement mais sûrement. Les cahiers et les écrits des membres du réseau sont, hihi, une MINE d'informations. Cette guidance sait comment faire avec moi, elle me connaît par cœur, plus que moi-même. Elle me montre le chemin, maintenant à moi d'être attentif. Là je dis, ok je ne suis pas assez attentif encore, message reçu.

 

Aujourd'hui je ne me MINE plus 😊, le puzzle se forme petit à petit. C'est fini de jouer, maintenant c'est moi qui vais "jouer". Il en coûtera ce qu'il doit en coûter dans cette vie. Je reprends ma souveraineté, que ces entités soient d'accord ou pas, elles devront respecter ce choix et ma foi qui va avec.

 

Denis C

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