Très récemment, une locataire habitant dans un deux pièces dont j’avais fait l’acquisition au début de ma retraite professionnelle, me signala une fuite au niveau du plafond des toilettes. Je pris ce problème comme tout un chacun, je conseillais à ma locataire de voir son homologue de l’étage supérieur afin qu’elle consente à rédiger un constat amiable, ce qui fut fait, puis je chargeais l’organisme qui gère la location de trouver un artisan qui réglerait les conséquences de la fuite, c’est à dire au final, juste quelques auréoles au plafond.. L’affaire fut vite résolue... enfin le croyais-je !
En effet deux semaines plus tard la locataire qui avait le projet de s’installer avec son ami prés de Toulouse, déménagea, j’en profitais pour me rendre à l’appartement afin d’y rafraîchir quelques peintures, aussitôt arrivé sur place, je me rendis compte que le plafond de la kitchenette lui aussi avait hérité d’une belle auréole que j’attribuais à la précédente infiltration venant de l’étage supérieur, et comme le problème avait été résolu j’entrepris de repeindre le plafond, cette fois il ne s’agissait pas des deux mètres carré des toilettes, mais il fallait repeindre la totalité de la pièce ouverte sur la pièce à vivre...
Ce fut donc un jeune étudiant qui emménagea ensuite rapidement... Quelques jours plus tard le gestionnaire m’appela pour me dire que le nouveau locataire avait constaté que de l’eau émanait du plafond de la kitchenette fraîchement repeinte ! Le gestionnaire passa la « patate chaude » au responsable du syndic afin qu’il identifie l’origine de cette fuite qui selon ses dires ne provenait pas de l’appartement supérieur puisqu’il été allé sur place et avait constaté que le logement du dessus ne présentait aucune fuite...
C’est à ce moment que je reçu un autre appel de la société de gestion de Arras ou se trouve un studio que je loue depuis quelques années à des étudiants, celle-ci me fit part de la requête de l’étudiante qui l’occupe et selon laquelle une fuite était apparue au niveau de la baignoire, pourtant changée par un professionnel quelques semaines auparavant.
Cette fois s’en était trop ! Le message insistant que je recevais était clair , il s’adressait à ma conscience avec insistance... Fuite d’eau... je pensais immédiatement à un problème de fuite « d’énergie » liée à des émotions, puisque l’eau corporelle en est le « vecteur »... l’eau élément Yin en rapport avec le Nord, le froid, la nuit hum... après une introspection minutieuse, je ne voyais pas très bien quelle émotion j’avais eu l’outrecuidance de ne pas reconnaître, accepter, transmuter ...
Songeur, j’avais ouvert une boite de pâtée pour Isis et Kenya mes deux chattes affamées, comme souvent ; et soulevant le couvercle maladroitement je me coupais le pouce qui aussitôt laissa s’écouler généreusement du sang ! Bon sang ! Mais oui ! m’interpella ma petite voix, je devais consulter le livre du décodage biologique pour tenter d’obtenir un indice plus précis, car cette fois il ne s’agissait plus d’eau mais de sang ! Doigts... Pouce ! Je « jette l’éponge » pensais-je... Pas tout à fait...
Le Pouce représente la protection et la sécurité (un enfant suce son pouce lorsqu’il est inquiet...) Une blessure au pouce est reliée à un trop-plein (!) d’effort mental, une accumulation excessives d’idées et de soucis souvent face à un enfant... C’est vrai que mon dernier fils aujourd’hui adulte, vivant chez sa mère, vient d’abandonner ses études et est en quête d’un travail... Nous avons de bons mais rares rapports... pas de nouvelles de lui depuis son voyage au Maroc l’été dernier... je lui avais pourtant demandé de m’appeler plus souvent, peut être craint-il de me décevoir du fait d’avoir quitté l’université finalement sans « vrai » diplôme ?
Entre mon désir de lui voir trouver sa voie d’un côté, de l’autre mon désir d’aller vers le détachement, suis-je perturbé sans savoir le reconnaitre ?
Je crois en effet que je me cache cette « anxiété » de savoir s’il va « y arriver » et cela plaît à mon prédateur... Je dois être plus attentif à mes émotions « refoulées » ou « déniées » peut être même.
J’étais bien décidé à agir dans ce sens !
La « fuite d’eau » cependant était encore présente sous la forme d’une rhinite sinusite empoisonnant mes nuits, la journée mon nez coulait telle une fontaine alors que je n’avais pas connu de sinusite depuis plus d’une quinzaine d’années !
Le décodage biologique m’orientais, une fois encore vers mon lien filial : « J’ai un enfant (largement adulte) mais je voudrais me sentir proche de lui , uni à lui , mais quelque chose ne sent pas bon ! Ais-je l’impression qu'on agi à mon insu ? » Eh oui ! J’avais mal supporté au moment de ma séparation d’avec sa mère, que celle-ci lui fasse quitter l’enseignement privé sans m’en avertir ! Bien qu’ayant exercé mon « pardon » ; aurai-je mal digéré cet épisode ? Mon statut de père était-il bafoué ? Je l’ai vécu comme tel en son temps , je pensais l’avoir accepté (vraiment ?) Je dois me reposer la question , semblerait-il...
Je n’en ai pas encore fini avec l’eau ! Cette fois après quinze années passées sans pathologie notable , ma santé « coule » ! Me voici confronté à une glande parotide ,dont l’écoulement est bloqué par de mini cristaux ! C’est très douloureux ! Quelques patientes manœuvres de massage-drainage manuelle et quelques huiles essentielles suffisent à résoudre momentanément le problème . Mais que m’indique ,cette fois mon Être Supérieur ?
Retour vers le décodage biologique : « Les glandes exocrines (celles qui secrètent leurs produits ailleurs que dans le sang) et les glandes en général sont le miroir du MOI et chacune de celles ci est reliée à un chakra ( le chakra thyroïdien dans le cas présent) et le fait de devenir plus conscient et de créer moi même ma vie au lieu de la vivre comme un automate assure un bon fonctionnement de mon système glandulaire. »
« Les glandes salivaires, dont les parotides sont les plus volumineuses, sont le symbole de l’amour et de la douceur ! - rien que ça ! -
Celle-ci m’indique que je vis de l’insécurité ou la crainte de ne pas trouver à me nourrir comme je le souhaite ! » - Vrai ! - Je n’avais pas vraiment conscientisé ce fait, mais le régime Cétogène crée parfois un sentiment de frustration , d’autant plus que ma compagne se nourrit toujours comme auparavant, mais aussi plus insidieusement j’ai la crainte d’avoir à consommer des produits « empoisonnés » moi qui me nourrissais exclusivement de produits bio, surtout de fruits et légumes , me voici contraint mais décidé à poursuivre cette grande détoxification glucidique , toutefois la nourriture cétogène me contraint assez souvent à transgresser mon désir de ne consommer que bio, faute de trouver les produits adaptés !
Là encore je réalise que cet aspect des choses me chagrine vraiment... Participer aux filières de produits carnés chargés d’hormones de synthèse ou d’antibiotiques ne me convient pas éthiquement parlant... J’avais bien trouvé un éleveur de bovins bio mais celui ci a cessé son activité pour cause de santé ... Encore un mauvais coup de la prédation !
Je me promets d’accepter cette situation en prenant soin de me mettre en quête d’un autre producteur...
Retour au studio habité par l’étudiante à la baignoire qui fuit !
Une nouvelle fuite est apparue, cette fois, dans les WC au niveau du plafond !!
Le studio est sous le toit qui vient juste d’être refait ! C’est fou non ? Je n’avais jamais eu de souci depuis l’achat de ce studio en 2010... Je prends bonne note du message... il est urgent d’agir !
Je reviens donc au décodage... « Le saignement peut être comparé à des larmes, à une perte de joie. Je me sens acculé au pied du mur, en général et aussi dans ma vie sexuelle » Précise le décodage biologique... Cette allusion aux glandes attira mon attention sur les glandes sexuelles qui ont une fonction endocrine (testostérone) et exocrine (sperme) ainsi que sur mon désir de détachement envers la sexualité comme préconisé en filigrane dans le Cahier de l’Ange 7.3 (Sexualité et Karma)
En effet, ma compagne affirme son besoin de pratique sexuelle, (le prédateur encore lui !) ce qui me place entre le marteau et l’enclume ! (Bon, o.k , j’exagère !) Toutefois j’éprouve une réelle difficulté à concilier ces deux aspects , à trouver une « voie du milieu » qui préserverait notre couple...
Dans le Cahier 7 il est précisé : « Au fur et à mesure de notre transition vers la quatrième dimension , les relations sexuelles seront remplacées par des besoins d’échanger de l’énergie/information et alimenteront nos centres supérieurs de créativité ... »
La solution tantrique à laquelle je pensais semble bien être une « fausse » solution ...C’est un peu comme un Brexit qui , à défaut d’accord , se dirige vers un « No deal » !
11h11 : A l’heure ou j’écris ces lignes, mon nez a cessé de couler, les fuites sont en cours de recherches des causes par des professionnels... en attendant, reste à réaliser, encore et encore un intense travail chamanique intérieur !
Au moment ou je cherche une conclusion « provisoire » à cette chronique des fuites, un mail reçu de Réseau Léo m’apporte une réponse concernant les problèmes (d’actualité), de douleurs physiques ou psychiques, et de retour d’anciennes pathologies (Cahier 19 du 8/02/2019 Les Codes de la quatrième dimension).
En effet, retour de pathologie ancienne, sinusite, douleurs sévères liées à « l’installation de nouveaux programmes » etc... malgré l’utilisation quotidienne d’iode et d’huiles essentielles comme adjuvant, rien n’y fait, cela fait quatre semaines que je me lève chaque nuit toutes les deux heures en moyenne pour soulager par accu-pressing la douleur intense au niveau de l’ensemble de l’hémi-crâne droit.
J’ai constaté, ce jour, que l’inhalation d’huile essentielle (Ravintsara) suscitait une reprise d’un écoulement continu émanant de la narine droite, et ce, durant de nombreuses heures (???) mon En-je cherche t-il à m’indiquer que les H.E ne sont pas « ma » solution ? En effet si le remue ménage dans le génome en est la cause... cela semble bien inutile d’utiliser les méthodes « anciennes » !
A suivre (?)
Gérard B (pseudo Nemeton - cénacle dépt. 19)
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