15 - “V” comme Visitée, Vaincre son démon et Vers l’Amour - par Eliane G

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Le 12 janvier 2018

 

Cette fois c’est carrément un roman que je vous partage ! Je fais au mieux pour résumer et rester la plus claire possible.

 

 

Prémices (= firstfruit = les premiers fruits) d’un combat d’épée

 

Tout début décembre, chassée par les lézardes et les souris, je quitte ma chambre pour la pièce voisine. Il se fait qu’il y a 3 miroirs dans cette pièce et qu’ils m’encerclent. Ont-ils joué un rôle dans cette histoire ? Je dirais que oui ! (voir diag 42 et explication sur le psychomanteum)

 

A cette époque aussi, j’entame la rédaction du témoignage “Petit rat-trapage sur les attachements en tous genres”. Puis “Décide et décède”.

Même si mon intention de départ est d’y aller step by step dans le détachement, je n’y vais pas vraiment avec le dos de la cuillère. Mon prédateur me pousse à acter ici et maintenant ! Genre “vite vite vite”. 

 

Cela se traduit comme je l’ai raconté dans l’enquête précédente, par décrocher les photos des murs, annoncer que je ne viendrai pas au réveillon de Noël, et ne plus accorder de prises énergétiques sur ma personne. 

Dans l’invisible, je sens que les prédateurs des uns et des unes ne sont pas contents du tout. Je vais m’en prendre plein la tronche..

“Attendez-vous à des attaques” “Apprenez à les reconnaître”

“Parez les attaques” L’Onde 3 p 257

 

Et bien, il m’a fallu des semaines pour mettre le mot “attaques” sur les phénomènes que je vivais !! Il en faut du temps pour que ça monte au cerveau ! 

 

Donc je continue : dès ma première nuit dans ma nouvelle chambre, je suis perturbée dans mon sommeil par des bruits, ceux d’une balle en verre qui rebondit, accompagnés de vent fort.

Je trouve ça bizarre mais sans plus. “Ca doit être le voisin !” me dis-je.

 

Les jours passent, je suis radicale, me plonge dans la Connaissance et vis-à-vis de mes proches, garde le silence. Je suis décidée à tenir tête à la prédation ! Et pour moi, mes proches = la prédation.

 

Malgré tous mes efforts, à l’intérieur de moi, les dialogues imaginaires avec ma mère tournent en boucle. Consciente d’être “em-prise”, je persiste dans l’idée de rester à l’écart de ma famille. 

 

 

18 décembre 

 

Je fais un rêve éloquent : je branche la batterie de ma voiture sur celle de quelqu’un d’autre, ma mère ou ma marraine. 

Ce matin-là, je sens clairement que ma tête est assiégée. Je n’arrive pas bien à marcher, fonctionner. J’ai des bugs.

Finalement, je démarre, j’ai rdv avec un ami Place du Jeu de Balle (!)

Là-bas une fois garée : succession de trucs bizarres (des rencontres un peu louches) et sensations étranges (genre distorsion du temps) pour finalement perdre un objet, et pas n’importe lequel : la pochette de protection de mon téléphone. Pour moi, l’objet est clairement parti dans une autre dimension. C’est la seule explication possible, n’en déplaise à certains..

 

« Une fois qu’on a éliminé l’impossible, ce qui reste, aussi improbable que cela soit, doit être la vérité. » Sherlock Holmes 

 

Donc au-delà du message métaphorique : perdre ma protection, cette disparition me raconte l’ouverture évidente de portes transdimensionnelles permettant des interférences. Quelques semaines auparavant j’avais d’ailleurs retrouvé mes clés à un endroit improbable où je suis sûre de ne pas les avoir mises !

 

Mon miroir, cet ami avec qui je prends un café, me raconte qu’il va bosser en tant que décorateur, sur la reproduction pour un musée du film E.T ! Le message est très clair, il confirme ce que je pressens : interférence avec des êtres hyperdimensionnels. 

 

Bien que mon enje m’ait fait comprendre par divers signes que ce qui a l’air d’être un monstre n’en est pas un, un sentiment d’insécurité ne fait que grandir en moi, et j’ignore pourquoi.

 

 

24 décembre 

 

Le soir, grosses grosses angoisses, comme jamais. Je dirais que j’ai clairement eu l’impression de devenir folle. C’était un peu comme lors d’un bad trip après avoir fumé une herbe trop forte.

 

J’ai eu besoin d’aller à la fenêtre car je manquais d’air, et la sensation de quitter cette réalité 3D me faisait “perdre pied”. Comme si psychiquement je n’étais pas encore prête ! J’avais besoin de regarder la télé et de me dire que “tout allait bien”, de me raccrocher à des choses concrètes, “des choses 3D”, besoin de me persuader que tout ce que je sais n’être que des illusions était quand même vrai, sinon, j’allais sombrer.

C’est difficile de mettre des mots sur ce que j’ai ressenti ce soir-là.

 

Ces terreurs étaient celles du prédateur, littéralement mort de trouille puisque toutes ses “protections” tombent les unes après les autres.

Me sentant seule et désorientée, je vais chercher tout au fond de moi pour me connecter à mon enje, je respire bien profondément et me rappelle que : ces pensées ne sont pas les miennes et que la folie n’existe pas.

 

Plus tard, dans le dialogue 38, je trouve ce qui m’est arrivé : 

« (..) Ce genre de déconnexion psychique provient de la dissolution effective des programmes vous liant à la matrice. Il s'agit d'une déprogrammation brutale de la plupart des schémas conscients et inconscients qui conditionnaient l'individu dans le monde de 3ème densité. Se retrouvant subitement livré à lui-même, il se retrouve déstabilisé, angoissé et se rend compte que ne sachant plus réagir "comme avant", il se retrouve perdu face à des situations vides de sens. Ce néant existentiel est le passage obligatoire pour vous préparer à la Transition en 4ème densité d'existence.

 

En psycho-sociologie, ce sentiment de vide – la déréalisation – est décrit comme une aliénation de l'individu, autrement dit un état de psychose générant de l'angoisse. (..) »

 

 

25 décembre

 

Lors d’une ballade dans le bois, un homme vient me raconter toute sa vie ! Et c’est dingue car son récit est un espèce de condensé de ma famille ! Il a un lien avec le Burundi, ses enfants font la même chose que mes frères et soeurs etc. Bref, vraiment surprenant. Après avoir marché ensemble un moment, il me dit : “Bon moi je continue par là” et il se fait que pour ma part, je devais aller dans la direction totalement opposée à la sienne. J’ai ri, et le message m’est bien parvenu.

 

 

Le franc tombe ? disons UN franc tombe ..

 

Je suis donc dans une insécurité et fais un rêve qui me dit que “l’information est dans mon passé”. Je comprends : mes origines reptiliennes.

Direction le résumé d’Anton Parks posté sur le site du réseau Leo. 

https://www.reseauleo.com/2016/03/20/anton-parks-les-chroniques-du-ğirkù-chroniques-de-la-sainte-épée-résumé/

 

Dans l’avant dernier paragraphe, au sujet des abductions : 

« Des interférences de type reptiliennes (Anunnaki) sont rapportées lors d’abductions, et des interférences de type Kingú Babbar, bien que plus rares, sont également rapportées (exemple des entités Uzungu de Credo Mutwa). »

 

Ah ! Une clé ! Je connais ce mot “uzungu” ! Ca ressemble beaucoup à “muzungu” et c’est comme cela que les enfants à Bujumbura m’appelaient tout le temps. Ca veut dire “la blanche”, en swahili. Au Burundi, j’étais “la blanche”.

 

Et chaque nuit ça continue, j’entends cette balle rebondir. Et à chaque fois, juste au moment où je suis sur le point de m’endormir comme pour bien me faire chier ! Non seulement c’est trèèèès agaçant mais surtout je commence à flipper quand, après avoir demandé à mon voisin de venir checker mon toit, on ne trouve rien ! Pas la moindre trace de balle !! C’est in com pré hen sible ! 

Chaque matin au réveil j’ai d’horribles maux de ventre ! Mais j’ai toujours l’espoir que “nooooon, il n’y a rien de transdimensionnel là-dedans Eli”.

Haha déni mon dieu quel déni…!

 

Pas d’autre choix que de continuer à chercher.

Je lis à présent le pdf de l’interview de Credo Mutwa et là, bim, l’information tombe sous mon nez ! Il décrit les MUZUNGU : 

 

« Ces créatures extra-terrestres sont grandes. Certaines d’entre elles sont plutôt bien bâties, comme des athlètes, et elles ont des yeux bleus légèrement inclinés et des pommettes hautes. Et ils ont des cheveux d’or, et ils ressemblent exactement aux Européens d’aujourd’hui, à une exception près : leurs doigts sont admirablement faits, longs et comme ceux des musiciens et des artistes. »

 

Credo ajoute qu’ils descendent d’engins (boomrang) qui tourbillonnent et visitent les humains avec “une sphère qu’ils s’amusent toujours à faire rebondir comme une balle dans leur main” p 40

https://www.reseauleo.com/2016/10/05/sur-les-enl%C3%A8vements-par-les-extra-terrestres-et-les-reptiliens-credo-mutwa-en-pdfen-pdf/

 

Quand je lis ça, à la seconde : mal de ventre, grosse bouffée de chaleur ! Je ne peux plus me mentir, c’est bien ça que j’entends chaque nuit !!

Visitée par des muzungu depuis 1 mois ? Vous êtes sérieux ? Je sais que je suis quelqu’un d’ouvert mais là……..

 

C’était déjà compliqué avant, mais à partir de ce 26 décembre : impossible de dormir ! 

Je “dors” quelques heures par nuit, la peur au ventre et dans le salon ! Car cette balle fait par moment tellement de bruit que je ne sais simplement plus m’endormir dans ma chambre ! Me voilà sur un canapé minuscule, pas confortable du tout..

En plus de ça, j’ai une douleur entre les omoplates qui devient vraiment pénible. Bref, dur dur ..!

 

Mais ! Je ne considère toujours pas ça comme des “attaques” lol tout va bien ! 

Terrorisée, j’écris même aux Leos en mode “help !” Puis me ravise “non, ne me dites rien, je dois aller chercher moi-même !” 

Je passe donc mes journées à chercher, c’est ma seule issue, ma seule protection !

 

« La métamorphose ne peut se faire que par la volonté, la force de caractère, le courage, la témérité, l'acharnement que possède l'individu à chercher, découvrir et expérimenter sa quête par lui-même.

Sa persévérance et sa patience à vouloir changer, à découvrir la vérité, le confortera peu à peu dans son apprentissage de la Connaissance. Même si les évidences qui se déploient au fur et à mesure de sa quête sont contraires à toutes ses valeurs, ses principes, son éducation, sa culture, sa religion, sa philosophie... il devra outrepasser tous ces conditionnements. » (Dialogue 42)

 

Ma question : COMMENT INTERPRETER CE PHENOMENE ?

Quelles sont les possibiltés :

- Non non et non, ça doit être une balle coincée sur la corniche ou c’est mon voisin ! Je suis même prête à aller sonner chez eux ! 

- Ce sont des entités qui viennent m’emmerder parce que je veux sortir de la matrice, des gardiens du seuil ? des genres d’ombres noires mais en version “blanche” haha

- Ce sont des alter et ils ont quelque chose à me dire ? c’est notamment ce que le doc sur les extranéens me laisse penser.

https://www.reseauleo.com/2016/10/17/extraterrestres-et-extranéens/

 

Dans le même sens, voici ce que je lis dans un texte sur la psychogénéalogie : “Quand une entité interpénètre, c’est qu’elle doit régler quelque chose. Elle s’en ira après !”

Voilà qui est quelque peu rassurant..

https://www.reseauleo.com/psychogénéalogie-imbrication-et-intrication-pierre-kerroch/

 

- C’est à cause des miroirs : ils ont permi à cette mémoire issue du fin fond de mon subconscient de “se projeter” ? (voir dialogue 42) 

Ok mais moi, mes aprioris stupides me disent que des “choses projetées” doivent être des images ! Ici j’ai affaire à des sons tout ce qu’il y a de plus réels !! 

« Lorsqu'une fenêtre dimensionnelle s'ouvre dans notre réalité, celle-ci provient uniquement de notre subconscient individuel ou collectif, qui se décale légèrement de notre temps présent et qui projette, densifie et manifeste sa réalité dans notre présent, par un nouvel agencement gravitationnel qui devient aussi dense, réel et tangible qu'une vache broutant dans un pré. » (Dialogue 42)

 

Un matin je me lève avec une chanson en tête : “King Kunte”, de Kendrick Lamar. Il parle de Kunta Kinte, héros du roman “Racines”, l’histoire d’un africain enlevé et vendu comme esclave.

 

 

Du coup je me dis oui, ça a du sens, les hommes blancs, les muzungu, les prédateurs-bourreaux, sont “moi” sur un autre plan. A la fois, le personnage de l’esclave-victime résonne aussi très fort. Les deux polarités sont “représentées”, placées devant moi pour que je les voie.

 

A part le fait d’en prendre conscience et d’accueillir ces alter victime et bourreau, que puis-je faire de plus ??

 

Une fois la journée de recherche passée, les bruits et les angoisses reprennent et sont de plus en plus forts ! Presqu’un mois que ça dure et je commence à être épuisée de vivre avec cette entité..ça ne doit pas être une question d’alter, je suis à côté de la plaque ?

 

… Ou pas ?

 

Un truc me vient et c’est une clé pour mon enquête : l’histoire de Kunta est une histoire en lien avec la généalogie. L’auteur de cette histoire est soi-disant le descendant de Kunta Kinte. C’est donc une histoire de lignée.

 

A un souper chez des potes, je suis impressionnée par le nombre d’indices me parlant de visite de voyageurs du temps

Ok ! Au cas où je serais encore tentée par la case “déni”, ma Guidance insiste : “oui Eli, des voyageurs du temps et en l’occurence DE TON PASSE, je ne vois pas ce que ça a de bizarre !?”

 

 

30 décembre

 

Message de mon opticien : “Vos lunettes sont prêtes”. Je vais donc chercher ma nouvelle paire de lunettes !

“L’optique” est une manière d’observer une situation. Héhé.

 

Je décide donc de récapituler et de CHANGER D’OPTIQUE :

 

L’origine de tout ça : mon déménagement suite aux fissures dans le plafond de ma chambre. Chambre dans laquelle j’avais également découvert une souris. J’avais également compris le lien entre ces fissures, la prédation et l’émotionnel, l’attachement.

 

Les fissures dans le plafond sont des fuites. Comme le verbe “fuir” ? Non, en fait ce sont plutôt des fuites au sens de “passages”, de “portes ouvertes” !

Ca explique pourquoi comme je l’ai écrit : “mon espace est envahi d’indésirables”. 

Il m’apparaît enfin clairement que j’ai ouvert la porte à ces voyageurs du temps.

Encore une fois : l’attachement est en cause. 

 

Le changement d’optique le voici : moi qui pensais être “radicale” et parvenir à me détacher, en fait je réalise que je fuiyais !! 

 

Et oui, magnifique tour de passe-passe de mon prédateur : Je suis sûre d’acter la Connaissance et de faire ce qu’il “faut” pour garder mon énergie en coupant les ponts avec la famille. En fait ce que je fais à ce moment là c’est FUIR. 

 

En fuyant je me refuse l’accès à l’enseignement que ma famille et leurs prédateurs respectifs ont à m’offrir ! Encore un parfait exemple de la ruse du prédateur !

Leçon : Fuir ne mène pas au détachement !! 

Mais, à ce moment-là, je n’ai pas le recul pour le comprendre. Je n’arrive pas encore à discerner. 

 

 

Pas UNE sorte d’attaque mais DEUX ?!

 

Comme pour me confirmer que j’ai laissé une porte graaaand’ouverte, et comme je n’en ai pas assez avec cette satanée balle qui rebondit, une petite attaque d’ombre noire se profile. (voir Dialogue 37)

 

Voyez comme ma Guidance m’y a gentiment préparée :

Je reçois un message d’une copine qui dit : “la soirée “olympe” aura bien lieu ! Welcome !” Qu’est-ce que ça veut dire ? et bien, l’Olympe était considérée comme une frontière. Et qui dit frontière dit seuil.

Mais Olympe c’est aussi : couper, faucher, tailler. “situé en position tranchante” https://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Olympe

“Wel-come” se décode comme suit : “Jouis bien !” to come = jouir

 

Puis, on sonne à la porte, ce sont de faux éboueurs qui viennent chercher des étrennes. Ils tentent par la ruse de me voler en clair. Cette tradition, dit un article, permet de “rappeler aux bruxellois que les éboueurs existent”. Ils ont un besoin de reconnaissance. 

 

De fil en aiguille, j’en viens au témoignage de Nita et Loris : ils ont donné 5 euros aux gardiens du seuil.. https://www.reseauleo.com/et-les-gardiens-du-seuil-réclamèrent-leur-dû...-par-nita-et-loris/

 

Leur vécu et celui de Sand dans le dialogue 37 m’aident à comprendre : il est temps de parler d’offrande ! Mais franchement, l’idée de me masturber pour offrir mon énergie sexuelle en conscience à un être transdimensionnel me paraît être bien au-dessus de mes forces !!!

Et pourtant d’autres indices viennent s’ajouter et m’indiquent très clairement que là est la solution : accueillir et offrir.

 

 

1er janvier

 

Je rêve que Charlotte est à la Ramée ! Alors ça ! C’est fort !

Charlotte est mon alter-prédatrice et la Ramée est un établissement que je connais où sont soigné les personnes anorexiques !! 

Donc, traduction : mon prédateur personnel est a-ffa-mé !

 

Oui mais moi à ce moment là, j’ai envie de dire : je t’emmerde mec !!!!

Parce que je suis à bout de nerfs ! La violence des maux de ventre est insupportable, et cette fichue balle va me rendre folle !!!!!

 

Je lis p 288 de l’Onde 3 : Laura cite Don Juan : 

“Pour un sorcier, la discipline est d’affronter sereinement les difficultés imprévues. (..) L’art de faire face à l’infini sans broncher (…) pour lui témoigner son admiration et son respect”

hahahhahahhaahhaahahahah

 

Là je me dis : “il est sérieux Don Juan ???” j’en ai juste ras-le–bol…je ne suis peut-être pas une sorcière finalement !

 

Bon, mais Don Juan avait aussi dit je ne sais plus où que le sorcier doit avoir des nerfs d’acier ! Alors, après ce petit apitoiement passager, je me remets en quête !

 

Dans le dialogue 44, je lis que la force du Niama a pour symbole l’épée mais aussi le Girku, et ce dernier “rappelle” la balle que laisse rebondir le Kingu. Ces deux outils servant à la fois le “positif” et le “négatif”.

Puis je tape “muzungu” dans google et je vois que ça veut aussi dire “wanderer” càd le candidat SDA que je suis !! (Onde 2 p 358)

 

Alors ce muzungu vient peut-être m’enseigner sur l’équilibre ? 

D’un côté le muzungu : le wanderer-voyageur SDA 

De l’autre, le muzungu : le Kingu Babbar, patriarcat prédateur SDS. 

Les deux polarités, les deux côtés d’une même pièce ? 

Mes deux côtés ?

 

 

2 janvier

 

L’initiation ! 

Dans un demi sommeil, je sens la “fameuse” ombre sur moi. On dirait presque qu’un corps s’allonge sur le mien, je sens un poids énorme et on dirait que son but est de m’étouffer. Je m’entends crier intérieurement Non non non non ! Puis j’ai ouvert les yeux et elle a relâché son emprise. 

Je suis restée là 2 min à me demander quoi faire en fixant le plafond.

 

Il n’y avait qu’une seule chose à faire et je n’avais plus AUCUNE PEUR, parce que je reconnaissais parfaitement ce que Sand avait décrit !!! (voir dialogue 37)

J’ai donc offert l’énergie sexuelle au gardien du seuil en conscience avant de plonger dans un profond sommeil.

 

 

Discerner et accepter le message de la prédation 

 

Un, deux jours passent et l’entité est toujours là, j’entends qu’elle joue avec sa balle et donc, avec mes nerfs !

Et j’ai toujours mal au ventre du coup, toujours peur, toujours pas compris ce qu’il y avait à comprendre. C’est désespérant !

 

Les messages de la famille fusent. Normal, c’est le nouvel an et je ne me suis toujours pas manifestée.

P., une de mes soeurs (ma mère sur une autre plan) provoque un déclic, elle s’offusque de mon silence et m’envoie un message dont les trois derniers mots sont : “Je veux comprendre !”. 

 

Là, tilt ! Il est temps d’arrêter de fuir ! La ruse de mon prédateur a assez duré.

Je propose une rencontre à mes deux soeurs, ma mère et ma marraine. Une forte intuition me dit d’aller leur communiquer qui je suis, ce que je fais, pourquoi je ne viens plus etc. Je ressens tout d’un coup comme une urgence, je pressens que là est la clé de mon apprentissage, que tout va s’éclairer. 

Je n’ai pas du tout envie de partager avec ma plus grande soeur F. et je me demande bien pourquoi…

 

Des informations vont enfin m’aider à comprendre :

Deux amis me parlent de leur “bête noire” : pour l’un, elle s’appelle Stephan, le “serveur du Roi”, pour l’autre Thierry, un politicien

Je les connais un peu tous les deux. 

Quand mes amis m’expliquent leur situation respective, je suis interpelée par le fait que leurs “ennemis” et eux étaient pourtant très proches pendant très longtemps mais des différents ont fait qu’aujourd’hui “c’est la guerre”. 

 

Là où ça devient hallucinant, c’est que ces deux “prédateurs” apparaissent comme par magie dans ma bulle de perception !! Ce n’est pas anodin !

J’arrive ainsi à la conclusion que moi et le Kingu muzungu on a était pote avant. Ce qui me rappelle mes origines reptiliennes et mon dard. 

 

Apparemment, le fait que je change de camps provoque la colère ?

 

Mais, me dis-je : “quel lien avec l’attachement ??”

Les Kingu muzungu seraient-ils liés aux prédateurs de ma famille ?

Je sens que je chauffe…

 

En tous cas plus le temps passe plus l’idée d’aller rencontrer la famille me fout la trouille. Mais dans la logique de “contacter mes peurs”, il est hors de question que je me défile !!

 

Mon prédateur a peur d’êre jugée, rejetée, mais surtour peur de voir en face des choses qu’il préfère fuir, des miroirs..

 

Je réalise que ma famille est vraiment le noeud de l’affaire. 

J’ai fini par arrêter de vouloir les contrôler en leur disant que ceci ou cela serait mieux pour eux, mais au lieu de dire, j’arrête de vous contrôler parce que je vous accepte comme vous êtes, j’ai dit : “j’arrête et allez vous faire F***” voilà, je caricature mais c’est à peu près ça.

 

Du rejet ! Alors que font-ils ? ils insistent ! C’est logique ! Si je contrôle ou que je rejette, je renforce la polarité SDS.. en plus rejeter tient de l’affect me semble-t-il, le lien affectif est donc toujours bien présent.

 

Comme je disais plus haut : rejet et fuite n’ont rien à voir avec détachement. Avec le détachement il y a le respect, l’acceptation et le véritable Amour.

Cette vérité m’est apparue très clairement en vivant cette expérience et en lisant ce que dit Laura Knight sur la Nature dans l’Onde 3 p 300 à 317. 

Ou encore ici : 

« Celui qui est véritablement dans l'Amour, accepte le monde tel qu'il est. Il n'y a aucune raison de vouloir le changer ou l'améliorer. Cela est absolument impossible. Les choses sont ainsi faites car elles ont leur raison d'être. » Dialogue 37

 

 

3 janvier

 

Une pote me dit qu’elle est victime de STALKING càd de traque, harcèlement (rien de grave hein, juste sur Instagram !) 

Quand je me vois tenter de trouver le sommeil sur mon canapé, je me dis que oui, c’est bien du harcèlement que je vis !!!

Harcelée par des alter venus du tréfond de mon subconscient, des entités qui sont là, à côté de moi dans une dimension voisine.

 

Et l’agent immobilier (je fais une visite avec mon amie C. qui cherche un appart) qui me dit : “Les blacks et les arabes de Molenbeek (symbolisant ici les prédateurs), travailler avec eux ça va, c’est VIVRE avec eux qui est très difficile !” A qui le dis-tu !?!

 

 

4 janvier

 

Rêve : A cause d’un prédateur (qui “travaille contre nous”, c’est son taf), un peu d’eau s’est introduite dans mon ordinateur : il a réussi son coup, mais je ne suis pas affolée, c’est de bonne guerre, je ne lui en veux pas. Je vais vers cet homme en lui demandant : “Grrr pourquoi tu fais ça ?” il me répond par un sourire et par télépathie me dit : “Tout ça n’est qu’un jeu en fait !”

Mon enje me dit : Oui, il y a des “traques”, puis il me dit qu’elles sont permises et que je ne crains rien puisque je sais qu’elles existent.

 

    → Ce qui nous ramène au bon vieux dicton “La Connaissance protège !”

 

Petits non GROS clins d’oeil de mon enje pour m’aider :

- D’abord au sujet des dates de péremption : la Guidance me fait comprendre que je deviens “périmée”, de moins en moins consommable comme nourriture pour la prédation ! 

 

- Dans un message une amie me dit qu’elle va faire les soldes. Cest-à-dire qu’elle va solder, clôturer quelque chose. Et quand ça ? Le jour où moi j’ai rdv avec la famille.

 

- Le message d’un mail dit : “Trouvez des réponses ! Où ? Dans la communauté en ligne.” Qui dit “communauté” dit “famille”, “en ligne” càd la lignée à laquelle j’appartiens.

 

- Et le plus fort : un mail du Théâtre de la Vie pour une pièce intitulée : “La compatibilité du caméléon.” 

“Compatibilité” vient de “compatir”, “souffrir avec” et le caméléon est un lézard qui change de couleur….

et je vois ce message juste quand j’arrive au rdv ! 

 

Alors je garde en tête : avoir de la compassion pour les autres (lézards) et pour moi (lézard aussi)… 

 

 

Un face à face des plus enrichissant 

 

5 janvier : jour J

 

Le matin je suis au plus mal. J’ai du mal à respirer, la douleur dans le haut du dos s’étend, ça me lance dans le plexus solaire.

Le rdv a lieu chez P., càd dans l’ancienne maison de ma grand-mère dont je porte le nom : Sophie. Donc, les trois générations de femmes de ma lignée sont réunies.

 

Si la rencontre avec le prédateur de mon frère avait été “quelque chose”, un “choc”, que dire de celle avec l’entité transdimensionnelle qui pilote F., ma grande soeur !!!!!

 

Provocatrice, manipulatrice, vindicative, arrogante, méprisante, elle a tout fait pour empêcher que la moindre information ne passe, et a réussi avec succès !! Faisant sans cesse diversion en tournant en ridicule et en dérision tout ce que je disais et prétextant que je n’avais aucun second degrè si je lui demandais d’arrêter. N’ayant à la bouche que les mots “je sais je sais je sais”, me demandant de manière hautaine “est ce que tu fais de la méditation Eli ?” genre j’en aurais bien besoin parce que là apparemment je pète les plombs ! Préconisant à tout le monde le jeûne et la méditation car ils “ouvrent la conscience”.  

 

Impuissante devant le sensationnel manège de son prédateur, je fus contrainte de partir après 60 minutes. Ma tête me faisait tellement mal, on aurait dit qu’elle allait exploser. 

Ma soeur F. me salua en me remerciant d’être venue, elle avait l’air ravie “d’avoir gagné”. Je ne comprendrai que plus tard ce que ses mots signifiaient..

 

Sur le pas de la porte, j’ai éclaté en sanglots. Mon autre soeur P. et ma mère m’ont soutenue comme elles pouvaient, me souhaitant bonne chance et s’excusant presque de ne rien pouvoir faire pour moi. 

 

Dans ma voiture, les larmes encore et encore. Ma soeur, ma grande soeur … comment c’est possible ?? 

 

Puis le flash de conscience : la muzungu ! En effet, ma soeur F. se fait appeler “Blanche” depuis plus de 20 ans… et en face de moi, là, ce soir, se dévoilait la Kingu muzungu… incroyable….

 

Je me rappelle alors des indices qui étaient sous mon nez dans ma bulle de perception :

Les “bêtes noires” de mes alter : le “serveur du Roi”, ça vous fait pas penser à “Kingu” ?

 

Et l’autre, le politicien : ma soeur a bossé au cabinet du ministre de la santé, au service du Roi donc ! Tout devient clair ! 

 

Entre elle et moi en 4D, c’est la guerre !! Et pourtant dans le passé on a été amis, on a dû être très liées, peut-être déjà soeurs ! 

Résolution de karma transdimensionnel ?

 

Alors est-ce que c’est à travers elle que le Kingu Babbar me harcèle chaque nuit ? oui !

Est-ce que c’est grâce à elle que je prends conscience qu’il fait partie de ma lignée ? oui !

La merveilleuse Guidance voulait que je vois son prédateur ! Que je vois à quel genre d’entité j’ai affaire. Elle voulait que je vois qu’il m’était nécessaire pour survivre de me servir de mon épée et de couper le lien affectif avec cette personne, soeur ou pas soeur, qui de toute évidence n’est pas prête à se remettre en question et à cheminer au Service d’Autrui !

 

Mais surtout, il fallait que je me rappelle !

 

« Celui qui rejette son karma, ne pourra pas se rappeler de son passé, ni de son futur, ni de qui il est véritablement ! » (Dialogue 37)

 

Cette dernière partie (soulignée) est très importante, mais je ne suis pas encore au stade où je vois, j’accepte le miroir.

 

Je roule vers chez moi et je suis ébahie, stupéfaite, abasourdie, médusée…

 

Et je prends conscience des agissements de mon neveu agé de 12 ans, le fils de Blanche. Les dernières fois où je l’ai vu, il a toujours fait en sorte de m’empêcher de parler à ses frères et soeurs, pareil quand j’avais ma mère au téléphone et qu’il était dans la pièce avec elle. 

C’est un enfant hyper sensible diagnostiqué HP (haut potentiel), son prédateur est une teigne exactement comme celui de sa mère lol 

Lors de la rencontre, ma soeur me dira d’ailleurs : “A. (son fils) ne veut plus te voir.” “Je sais” lui répondis-je, “il ne supporte pas ma fréquence” (voir à propos de la fréquence : l’Onde 3 p 424 à 430 environ)

 

Je répète en boucle “waw, je n’en reviens pas, je n’en reviens pas” et lorsque j’arrive à dédramatiser un instant, je ressens de l’admiration pour l’extraordinaire démonstration d’intelligence de son prédateur ! A ne vraiment pas sous-estimer !!

 

Quand je dis “je n’en reviens pas” c’est que j’étais à mille lieux d’imaginer quel prédateur se cachait derrière elle ! Pourtant, bon sang Eli, elle se fait appeler BLANCHE !!!!

 

Voyez-vous, ma grande soeur est quelqu’un de très brillant, mèdecin sur-diplômée, mère de 5 enfants, une “tête” comme on dit. 

 

Et à ce propos, petite parenthèse, voyez ce qu’écrit Parks au sujet des Kingu : 

« Dans les Chroniques, nous voyons bien que les Kingu (le patriarcat dominateur/prédateur) n’ont qu’un seul objectif : la connaissance (dans le sens du savoir), le développement technologique (le marché du travail) et le pouvoir (par la domination et la peur) ». (Voir dialogue 44)

 

Donc je disais : Petit à petit, F. s’est “ouverte” à d’autres pratiques thérapeutiques que la médecine occidentale et s’est disons spécialisée dans le bien-être. 

Etant donné que moi aussi, je suis passée par la “case New-Age”, mes préjugés et moi nous étions sûrs qu’elle allait pouvoir entendre l’information contrairement aux trois autres femmes de ma lignée. 

 

Et ce fut tout le contraire !!

Ma mère m’envoya un message le lendemain me disant qu’elle me soutenait dans mes recherches, qu’elle comprenait que je ne pouvais pas “faire autrement que de suivre ma voie” même si tout cela la dépassait..

 

Le truc maintenant c’est arriver à ne pas rejeter, ne pas juger F. ou son prédateur ni même fuir ! Comme j’ai dit à ma mère le lendemain de la rencontre : “La prédation fait son taf, je l’accepte, c’est ainsi !” 

L’épée sert “juste” à couper le lien pas à poignarder qui que ce soit avec ! et une fois le lien coupé, par définition, je suis détachée.

 

Comme disait le message : Couper le lien avec compassion pour le lézard et conviction..

Quelle claque ! En fait je viens de comprendre que “couper le lien” ne veut pas du tout dire “arrêter de voir la personne”

 

“Couper les liens” signifie accepter ce qu’est l’autre sans vouloir le changer, rejeter, juger. Et par là même, parvenir à être émotionnellement détachée, à AIMER.

 

Combien de fois ai-je entendu cela ? des centaines de fois, sauf qu’aujourd’hui c’est par le vécu que me parvient le sens de ces paroles, donc ça change tout ! 

Aujourd’hui je peux affirmer : tout ce qui est, a sa raison d’être. Point. 

Et si pour Blanche, la voie choisie est celle du SDS, qu’il en soit ainsi. Ni bien, ni mal.

 

Quand je rentre me coucher ce soir-là, j’entends encore la balle rebondir mais de loin et très peu. J’entame alors en dialogue intérieur une conversation avec le Kingu muzungu pour lui dire “ok, je te vois, je comprends, je t’accepte et me rappelle de toi !” 

 

Puis, fini, plus de bruit ! Le silence règne dans ma chambre pour la première fois depuis un bon mois.

 

Je ne trouve pas le sommeil pour autant car ce que je viens de vivre est juste incroyable et je suis là, à sourire dans mon lit, en remerciant ma Guidance pour l’incroyable “périple” riche d’attaques ô combien enseignantes ! 

Je me dis que je deviens chaque jour plus “lionne” à l’image de la veste que je viens d’acheter (une doudoune genre fourrure beige vraiment comme la robe d’un lion !) J’alterne entre cette fourrure et mon ancienne veste..verte évidemment ;-)

 

Je n’ai plus peur, je n’ai plus mal au ventre. Par contre j’ai encore mal dans le haut du dos. Le dico des maladies dit : 

“Le haut du dos correspond à la région du coeur et au centre énergétique cardiaque (..) Les vertèbres cervicales se rapportent à la communication (..) si j’ai l’impression qu’on veut me juger, me critiquer ou me blesser, j’aurais tendance à me refermer comme une huître (..).” p190-191

 

 

Fin d’un épisode ?

 

7 janvier

 

A la télé : le dessin animé “Rebelle”. Voici ce qui résonne quand je le vois :

Un homme ayant pêché par orgeuil se retrouve emprisonné dans le corps d’un ours terrifiant (= Roi de la forêt). Rebelle est guidée par son enje jusqu’à lui, elle est amenée à le reconnaître et après un combat, le délivre. Le prédateur retrouve la paix. Rebelotte : Je pleure comme une madeleine ! 

 

Il me reste à accepter le miroir. “Je suis aussi ce Kingu.”

Il s’agit ni plus ni moins d’une partie de moi. Ce Kingu auquel je suis liée sur un autre plan et qui me traque tant que je ne le reconnais pas totalement, que je ne l’accepte pas pour ce qu’il est, un allié, un frère. 

 

Voilà pourquoi les derniers mots de ma soeur furent : “Merci d’être venue Eli”, sous-entendu : merci d’être venue me Voir ! Et merci d’être venue “te reconnaître dans le miroir que je te tends”. Il s’agissait d’un réél “MERCI”. 

 

Voici ce que Sand écrit dans le dialogue 44 à la suite de sa rencontre avec le prédateur de C. et qui résonne parfaitement :

« Subitement face à moi, surgit un énorme mâle reptilien du genre "Dracos". Et moi-même, retrouvais mes écailles d'Amasutum. Cet Être, le patriarche prédateur, le mâle, le masculin, me reprochait exactement ce que je lui reprochais : la déchirure de la séparation ! »

« Ma Supraconscience me montra alors que le prédateur et moi étions telle une seule et même feuille de papier, qui lors de la chute pour expérimenter les mondes duels, avait dû être déchirée en deux – deux polarités mâle/femelle, masculin/féminin – pour que nous puissions expérimenter LA SEPARATION ! »

« Ce prédateur, mon allié, mon frère, mon enseignant, mon masculin..., se manifestait dans ma vie sous toutes les formes possibles pour que je puisse enfin le reconnaître et que je cesse de le rejeter ! Je pouvais enfin l'accueillir en moi sans crainte car ce dernier au travers du rôle qu'il jouait dans mon Univers – dans ma bulle de perception – ne recherchait que ma reconnaissance. Il appelait à la rédemption de son Âme ! »

 

A l’instant T où je pige la profondeur de l’initiation, je reçois un sms de la part de C. mon amie-alter-bourreau qui vivait dans l’angoisse et l’insécurité sans pouvoir se poser. Elle cherchait un appart depuis des semaines. Le message dit :

“Ca y est ! C. et moi irons vivre au 70, avenue du Roi ! On vise un déménagement samedi si on a les clés. On vous tient au jus ! Merci pour vos soutiens ! Je reprends mon souffle enfin !”

 

Traduction : mon alter Kingu muzungu, dont je me sentais à tort, la victime, va enfin pouvoir se poser et moi aussi (L’emploi du futur est important.)

 

Et samedi 13 janvier, il se fait que je suis invitée à un souper, tenez-vous bien, au 13, rue du Vert Lion ! Ca ne s’invente pas un truc pareil !

 

Après cette aventure initiatique que je pense achevée, je suis tellement épuisée que je n’arrive quasi plus à marcher, si je ne trouve pas le moyen de me ressourcer, “je vais crever”. J’appelle Douniazad et prends rdv. 

 

Deux heures plus tard je suis dans les mains de Fatima, au hammam traditionnel, elle me lave au savon noir, me gomme des pieds à la tête puis m’enrobe d’argile. “Fatima” est associée à Marie ou Meri. Voir à ce sujet la question 15. https://www.reseauleo.com/2016/05/24/question-15-jésus-yeshua-le-christ/ 

“Fatima” peut aussi être traduit par “l’enfant qui vient d’être sevré”. https://www.prenoms.com/prenom/signification-prenom-FATIMA.html

 

Et bien sûr, je pleure, mais je n’arrive pas à pleurer “comme un bébé”. Elle me dit de me laisser aller, de lâcher tout ce dont je n’ai plus besoin, mais quelque chose bloque tandis qu’elle me masse au niveau du plexus solaire…

 

 

THE initiation

 

Deux petits jours plus tard, 9 janvier, j’ai rdv avec deux amis.

Avec le premier, je me retrouve en train de lui dire de transcender ses peurs, d’aller rencontrer son dragon.

Le second me dit qu’après avoir travaillé chez les franc maçons, il a maintenant trouvé un job dans un restaurant situé au 666, avenue…

Il me dit qu’il y voit une invitation à visiter davantage son ombre.

 

Quand je rentre à la maison, je trouve dans ma boîte aux lettres une facture de ma mutuelle : SYMBIO 

La symbiose est “une association intime durable entre deux organismes hétérospécifiques”.  https://fr.wikipedia.org/wiki/Symbiose

Puis, surprise : je vois un message de A. : il accepte qu’on aille prendre un café.

 

C’est là qu’il faut que je vous explique qui est A.

Il y a 4 ans environ, nous nous sommes rencontrés et nous avons eu une mini histoire, vraiment mini. A. est métisse, danseur de talent, plutôt calme et réservé, connu pour faire preuve d’humilité, ce qui est assez rare chez les danseurs.

 

La connexion fut évidente pour lui comme pour moi mais voilà, après avoir passé une nuit plutôt étrange ensemble, il s’était évaporé ! J’avais eu du mal à encaisser, pour moi c’était encore un rejet. Lui, prétendit plus tard qu’il était à cette époque en plein burn out et que c’était la raison de sa “disparition”. Par ailleurs, A. est 10 ans plus jeune que moi donc je ne me suis pas tellement “attardée” sur son cas. Préjugés oblige.

 

Il y a quelques semaines, je le recroise dans le milieu de la danse et je sens bien qu’il y a quelque chose entre nous mais il refuse de me parler, il dit qu’il est comme ça, un taiseux qui n’exprime pas ses émotions. 

Bon ok.

 

Mi novembre, je m’aperçois qu’un nombre important d’indices me mènent à lui, et cette prise de conscience me donne mal au ventre. Je me dis que ça a peut-être à voir avec cette blessure de rejet qui ne s’est pas totalement refermée ? 

 

En décembre, en parallèle à ma rencontre avec mon alter Kingu muzungu, je suis de nouveau “face à ce mec” en terme d’indices. Et cette fois, le lien avec mes origines reptiliennes est clair. Nous aurions un passé commun ?

Le déclic se fait quand je découvre son nom de famille et que je vois qu’il a pour anagramme : ENKI

 

Alors là, je suis “forcée” de lui envoyer un message. 

Je dis “forcée” parce que je n’ai nullement envie de reprendre contact avec lui : il a genre 23 ans, il est danseur international, nous n’avons rien en commun à part peut-être la danse. On s’est quittés plutôt en froid et je trouve humiliant de le recontacter.

 

Mais bon, tout ça ce sont les pensées de mon prédateur, je décide de suivre le système d’indices et mets mon ego de côté. 

Je lui dis juste que j’aimerais le rencontrer autour d’un verre. Nous sommes alors le 26 décembre, date précise à laquelle je réalise que je suis visitée par l’alter Kingu. A. ne répondra à ce message que 15 jours plus tard, une fois les prises de conscience racontées plus haut, faites.

 

Donc je reviens à mon interminable récit

 

Il répond à mon message et je me dis :

“Waw voilà donc mon masculin qui se pointe dans ma bulle de perception !”

Les 5 premières secondes je suis contente puis je me mets à paniquer comme c’est pas permis. Prise entre rire nerveux et mal de ventre. J’appelle l’ami que j’ai quitté quelques heures plus tôt pour lui faire part de ma détresse : Comment vais-je parvenir à parler à A. ?

Que lui dire ? “salut A. Ca va ? Ecoute, il se fait que je fais des enquêtes et tu apparais dedans, je pense qu’on a un truc à faire ensemble !”

Lol non, ça va pas du tout ! Au secours !!

 

Pas moyen de me calmer, je marche, j’allume la télé, je prends un livre, je ne sais plus quoi faire de moi ! Je finis par aller me coucher en sachant que je ne trouverai pas le sommeil mais soit, et là : l’entité est de retour !! Waaaaa noooooooon !

 

Je n’arrive pas à y croire ! et pourtant, c’est logique ! Je ne suis pas au bout de l’apprentissage !

Je me revois parler à mes deux amis l’après-midi même et il est évident que JE SUIS CELLE A QUI J ADRESSAIS TOUS LES CONSEILS !

 

Encore une fois, une impressionnante pluie d’indices s’abat sur moi, des messages qui disent “Partagez votre expérience”, ou “transcendance” ou encore la chanson de Manu Chao que j’ai en tête et qui dit : “I’m the King of Bongo Bong, hear me when I come”. 

 

L ENTITE, SOUS LA HOULETTE DE MON ENJE, EXIGE QUE JE CONTACTE MON MASCULIN.

 

A travers mon corps, les messages de mon âme sont également très clairs : la douleur dans le dos lance dans toute la poitrine, il y a comme une flèche qui me transperce, rentrant dans le dos et ressortant au niveau du plexus solaire. Le doc dit “C’est le coeur mademoiselle !” 

 

Bref. Voilà. La voilà ma plus grande frayeur : l’HOMME ! mesdames et messieurs ! 

 

Le lendemain matin, je regarde de plus près les indices : c’est sans appel, je dois agir. Alors je réponds à A. et lui propose un rdv le jour-même. Je pense que je n’ai jamais été aussi stressée de ma vie ! Les toilettes peuvent en témoigner ..

 

J’ai conscience que je peux paraîre complètement puérile mais, au cours de cette vie, TOUTES mes expériences “amoureuses” n’ont été que douleur, humiliation, maltraitance, rejet. 

En conséquence, je n’ai laissé aucun homme m’approcher depuis 2 ans, j’en avais trop marre de souffrir ! Manipulée par la prédation, toute rencontre était un piège, une lovebite avec un psychopathe. 

 

Sans être encore au fait avec la réalité hyperdimensionnelle, je comprenais néanmoins que quelque chose devait être changé en moi et me refusais donc toute relation avant d’avoir compris ce qui se cachait dans mon subconscient.

 

J’arrive au rdv (le bar s’appelle le Roi des Belges et c’est lui qui l’a choisi), j’ai peur, je ressens un mélange d’attraction et de “barre-toi vite en courant”, je me rappelle du message : “Partagez vos expériences”. 

 

OK. C’est parti et c’est ce que je fais, je lui explique mon vécu, mes journées, le réseau leo etc, je lui dis qu’en quelque sorte et sans que je ne puisse lui prouver : “on” m’a demandé de le contacter.

 

Il se montre d’une incroyable ouverture. Son prédateur ne dit pas un mot, ne m’interrompt pas une seule fois.

Quand je m’arrête il me dit : “Et ben, c’est du lourd ton histoire !” Il me dit que juger n’est pas son truc, que chacun fait ce qu’il veut et croit en ce qu’il veut et que lui croit en Jésus Christ et que ça ne changera pas car dit-il “il a la foi”. 

La conversation se poursuit et je suis bizarrement de plus en plus à l’aise. Je n’ai ni mal à la tête ni au ventre et j’ai vraiment la sensation de connaître ce mec !

 

Je vois devant moi un chaton d’une douceur incroyable qui a le choix de réveiller son potentiel et devenir un lion, Lion King ! ou de continuer à dormir en ronronnant paisiblement. 

 

Je rentre chez moi après l’avoir vu s’engouffrer dans la station de métro “ANN-EESSENS”. C’est pas gagné ..

Des larmes coulent sur mes joues sans que je sache quelle partie de moi pleure. Je sais que je ne peux rien faire de plus, je devais le contacter, c’est fait. J’ai semé la graine et maintenant je dois lâcher.

 

Je prends mon bus et mets 1h de plus que d’habitude pour rentrer chez moi, car il y a eu un accident donc nous sommes déviés. Très intéressant comme symbolique, le fait de voir son trajet reconsidéré, chamboulé pour quand même finir à la maison mais “plus tard”

En plus, j’aurais pu prendre ma voiture et “rester maître de mon destin” mais non, j’avais choisi le bus comme pour accepter de lâcher le contrôle, accepter de m’en remettre à beaucoup plus grand que moi.

 

A la maison je me mets devant “Ma saison préférée”. Quelle surprise de découvrir que ce film met en scène un frère et une soeur (Antoine et Emilie) liés par un amour presque incestueux. Comme Osiris et Isis, Enki et Se’et, à la fois frère et soeur, et époux.

“L’épreuve” de la nuit arrive et plus de Kingu, l’entité a l’air d’être rentrée à la maison elle-aussi !

Mais persiste la douleur dans le haut du dos. 

Alors, toujours problème de communication ? Comme décrit par Sand et Jenaël dans leur cahier 7.3, communiquer = niquer ensemble. Avoir des rapports sexuels, s’entendre… Ceci est un bout du puzzle ! Nul doute !

 

Ce matin, je reçois un sms de mon amie C. qui confirme avoir reçu les clés : le déménagement aura donc bien lieu le samedi 13. 

Jour où de mon côté, suivant inlassablement les indices de mon enje, j’irai souper au 13, rue du Vert Lion..

 

 

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V comme Visitée, Vaincre son démon et
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