8. Résumé de “The Noah Syndrome” de Laura Knight-Jadczyk, ch.3 - 2eme partie

 

Comme Laura le relate dans les chapitres précédents, depuis les dernières décennies tout particulièrement, de nombreux savants et de technoscientifiques n'ont pas cessé de chercher des réponses cartésiennes et rationnelles au sujet de ce qui aurait probablement pu causer les grandes extinctions, dont celle des dinosaures. La plupart de ces recherches, imprégnées de prévisions, de projections et de spéculations, sont évidemment teintées de perspectives polarisées et limitées, quasiment constamment alimentées, financées et téléguidées par les pontes du corpus scientifique établi. Via la confusion et la désinformation, celui-ci aurait entre autres pour but de cacher à l’Homme sa véritable nature ainsi que celle de ‘ceux’ qui, à un niveau supérieur, contrôlent encore le flux des informations disponibles sur les ‘devants de la scène’, la psyché de l’être humain et la surface du globe depuis la nuit des temps.

 

Cependant, à l’image des bouleversements sociétaux et planétaires actuels, un changement bien plus grand se profilerait à l’horizon affectant graduellement ceux qui, par leur mal de vivre incoercible, auraient d’abord choisi d’acter leur propre changement. Ce changement initial, par les prises de conscience graduelles puis exponentielles de certains groupes de personnes ayant pour but de recueillir et de diffuser de l’information, actrices et initiatrices d’une transformation profonde, pourrait certainement impacter voire percuter de plus en plus la conscience planétaire. Elle-même, mue par le processus naturel de mutation de la vie, en quête d’un renouveau.

 

Au sujet des confins de l’Univers, Laura exprime :

Bien au-delà des frontières de notre système Solaire, il existe une ceinture de comètes qui tourne en rond comme toutes les ‘bonnes petites comètes’ le devraient. Celles-ci sont soi-disant des fragments de matière qui n’ont pas eu assez de dynamisme pour s’amasser et former une planète. Il pourrait aussi s’agir des vestiges d’une ou de plusieurs planètes ayant été détruites il y a des milliards d’années. Par ailleurs, quelque part au-delà des confins du système Solaire, une étoile sombre oscille à proximité de ce regroupement de comètes (nommé le Nuage d’Oort1). La force de gravité de ‘l’Étoile de la Mort’ (dans le texte original, ‘the force of the Death Star’s gravity’) envoie des milliards de comètes tournoyer à travers notre système Solaire et, évidemment, certaines d’entre elles rentrent en collision avec la Terre.

 

Vous remarquerez que cette explication a des impacts importants. Tout d’abord, elle entretient l’état immuable de notre système Solaire – le coupable est un étranger ! Deuxièmement, elle laisse à penser que le cours des évènements est assez aléatoire pour que nous puissions y échapper avec un peu de chance. En se basant sur la datation des espèces éteintes, il est admis que cet évènement cosmique se produit une fois tous les 26 millions d’années approximativement – à quelques jours près. Pendant que la science est à la recherche de l’Étoile de la Mort - qui, je le répète, n’est qu’une théorie - et attend qu’elle frôle le Nuage de Oort - qui n’est qu’une théorie également -, j’aimerais faire plusieurs remarques pertinentes.

 

En dépit de toutes les preuves disponibles dans le cosmos, pour quelles raisons est-ce que la Science continue à se cramponner avec une telle ténacité au lent processus évolutif, en cherchant à interpréter et à expliquer tous les phénomènes en ces termes ? Sommes-nous, en tant qu’espèce, en train de réprimer une expérience archétypale collective de catastrophe mondiale de la même façon qu’un individu réprime et oublie les souvenirs douloureux de son enfance ? Cherchons-nous, dans chaque expression de notre culture, à nier les bouleversements cataclysmiques mondiaux ? Puis aussi, ne projetons-nous pas ces pénibles éléments réprimés sur un obscur évènement religieux-spirituel appelé le ‘Jugement Dernier’ ? Ou pire encore, la répression ne s’exprime-t-elle pas à travers la maladie sociétale, des prophéties auto-réalisatrices du jugement dernier, traduites par l’autodestruction en tout genre ?

 

Je voudrais suggérer que les registres médiumniques dont nous disposons (canalisations - channelings, témoignages d’évènements de type paranormal ou OVNI, etc.) soutiennent l’idée des ‘Grandes Extinctions’ et, en réalité, ils étaient les premiers à le faire. La principale différence à ce stade est le facteur ‘temps’. La Science a tout repoussé au-delà des limites concevables du temps dans les deux directions. Selon eux, non seulement les cataclysmes du passé se sont produits il y a tellement longtemps qu’aucun être humain n’aurait pu en être témoin mais tous les évènements futurs, quant à eux, se manifesteront dans un avenir trop distant pour que nous en subissions les conséquences.

 

Puisque la science commence seulement à accepter l’idée dans son aspect le plus élémentaire, alors que les anciens et les mystiques savent cela depuis la nuit des temps, je suppose que nous devons être patients avec eux jusqu’à ce qu’ils aient la preuve concrète – puisqu’il n’y a que cela qui est valable à leurs yeux – qu’ils ont vraiment besoin de revoir leurs méthodes de datation.

 

Et en parlant des anciens et des mystiques, la plupart des lecteurs de la Bible et d’autres littératures anciennes croient que ces récits ne font seulement référence qu’à un seul grand cataclysme – le ‘Déluge de Noé’. Cependant, je pense que des analyses approfondies démontreront que d’autres évènements étaient en réalité des cataclysmes qui, chacun, au fur et à mesure, ont amené la Terre d’un état d’existence – quantiquement parlant – à son état actuel.

 

La ‘Chute’ d’Adam et Eve pourrait représenter un tel incident puisqu’elle évoque un ‘ange’ avec une épée de feu, montant la garde pour interdire l’accès au Jardin d’Eden. Velikovksy suggère que ‘l’Ange de Passage’, représenté pour les hébreux par un pilier de fumée et de feu, était en réalité une comète. Se pourrait-il que la lune soit ‘l’ange’ montant la garde à l’entrée du jardin, une recrue à l’époque du premier grand cataclysme lorsque la matière est devenue plus dense ? Un objet nécessaire pour maintenir la densité quantique de la matière ?

 

Enfin, la Tour de Babel : ne serait-ce pas l’histoire de la dissolution d’une masse terrestre et la séparation de multiples habitants autochtones qui en a résulté ? Ignatus Donnely a écrit à ce sujet au cours du dernier siècle, comme étant une allégorie sur la destruction de l’Atlantide.

 

Si nous reprenons l’histoire du ‘Déluge de Noé’, représentatif de migrations trans-densitaires, celui-ci pourrait symboliquement expliquer les extinctions de masse d’un certain point de vue et notamment, la raison pour laquelle de grandes quantités d’eau sous différents états sont aujourd’hui présentes sur Mars, par exemple, ainsi que sur d’autres planètes de l’Univers. En effet, ces empreintes aqueuses pourraient indiquer les traces de certaines formes de vie conscientes qui avaient, ou qui auront, déjà vécues sur ces systèmes planétaires, dans des dimensions de notre passé ou dans un autre espace-temps futur.

 

Carl Sagan, scientifique et astronome américain, créateur du projet SETI lancé depuis le début des années 60 (Search for Extra-Terrestrial Intelligence – Recherche d’Intelligence Extraterrestre – son objectif principal étant de détecter la présence de civilisations extraterrestres avancées présentes dans d’autres systèmes solaires de l’Univers), a élaboré une autre théorie. Il suppose que la couche de permafrost présente sur la Terre n’existait pas il y a des millions d’années ; elle proviendrait peut-être d’un transfert d’eau, en corrélation avec un évènement cosmique.

 

Par ailleurs, dans la Bible, avant le récit du ‘Déluge de Noé’ il est noté : “Car, encore sept jours, et je ferai pleuvoir sur la Terre quarante jours et quarante nuits, et j’exterminerai de la face de la Terre tous les êtres que j’ai faits.”, puis : “Mais une vapeur s’éleva de la Terre, et arrosa toute la surface du sol.”, et enfin, lors du cataclysme cosmique : “La pluie tomba sur la Terre quarante jour et quarante nuits.”.

 

Ainsi, au sujet de divers passages de la Bible, Laura développe :

Se pourrait-il que ces extraits décrivent un voile de vapeur d’eau ou d’une atmosphère épaisse et dense qui protégea la Terre des radiations nocives du Soleil ? Comme nous l’avons vu précédemment, une telle condition, couplée à différentes orientations axiales, vitesses rotationnelles et positions orbitales, aurait pu contribuer à la grande taille des dinosaures. Elle aurait également pu être un facteur de l’incroyable longévité que les ‘anciens’ affirmaient atteindre.

 

S’il y avait eu une atmosphère plus dense – un voile de vapeur d’eau : “Et Dieu fit l’étendue, et il sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue d’avec les eaux qui sont au-dessus de l’étendue. Et cela fut ainsi.”, on n’aurait pas pu remarquer un autre corps du système solaire s’approcher. Cependant, l’agitation de la planète Terre aurait provoqué le jaillissement “des sources du grand abîme”. La tension superficielle entre les deux planètes, rompue par la décharge électrique, aurait pu engendrer l’évaporation de l’eau présente sur Mars, surchargeant ainsi l’atmosphère terrestre, probablement avec des combinaisons moléculaires dans des proportions différentes de ce qui avait jusque-là existé, entraînant alors un déluge de quarante jours et 40 nuits.

 

De plus, la Bible indique que le ‘Seigneur’ fût à l’origine d’un vent violent qui assécha toutes les eaux sur Terre. Ce passage est rédigé comme si le vent était un évènement inhabituel. Une orientation axiale perpendiculaire antérieure combinée à un voile de vapeur d’eau aurait équilibré les températures atmosphériques au point où la Terre n’aurait pas souffert des systèmes à hautes et basses pressions courants de nos jours ; ces derniers étant le moteur de flux d’air massifs d’un endroit à un autre. Ainsi, une perturbation soudaine dans cette stabilité aurait pu causer des vents violents.

 

La Bible souligne également l’apparition d’arcs-en-ciel. Cela aurait été un phénomène inédit si les cieux avaient été tout d’un coup dégagés d’une atmosphère épaisse et dense.

 

Il est important de souligner que la Bible désigne la période suivant le Déluge de Noé comme le moment auquel il fut alloué à l’humanité une durée de vie de soixante-dix ans. Si l’humanité avait subitement été exposée à un nouveau niveau de rayonnement ultraviolet2, une des conséquences de cet évènement aurait été un raccourcissement soudain de la durée de vie de l’être humain.

 

Les nombreux ‘Jours du Seigneur’, mentionnés dans les parties ultérieures de la Bible auraient pu être, comme le suggère Velikovksy, représentatifs des interactions de la Terre avec une Vénus indomptable – une ‘Reine du Ciel’ encline à la destruction.

 

Avec un point de vue empreint de multidimensionnalité, voici ce qu’Egar Cayce racontait :

 

Edgar Cayce (1877 – 1945), un des plus grands médiums américains, a souvent fait référence à trois bouleversements de l’époque atlante et en a mentionné d’autres concernant des civilisations encore plus lointaines.

 

Les trois bouleversements atlantes ont été décrits comme des tremblements de terre massifs, au cours desquels des continents entiers furent morcelés et disparurent sous la mer pendant que d’autres masses terrestres émergèrent ou grandirent en taille. Cayce mentionna que ces désastres tenaient en partie à la mauvaise utilisation des énergies – probablement atomiques – tout comme la libération de forces par un cristal géant qui fonctionnait sur le même principe que les lasers d’aujourd’hui.

 

Au sujet des cataclysmes en provenance d’un futur, Cayce les abordait sur un ton plutôt grave ; cependant, lorsqu’on lui demandait ‘pourquoi’ ou ‘comment’ précisément ces évènements se dérouleraient, il devenait farouchement réticent.

 

Pour revenir au sujet des impacts cométaires, Immanuel Velikovsky, Walter et Luis Alvarez, Edgar Cayce et nombre d’autres scientifiques ouverts à des grilles de lecture beaucoup plus vastes (la multidimensionnalité de l’être, le multivers, le fait que la conscience et la vie sont des notions intrinsèquement corrélées, etc.) que celle de la linéarité-dualité commune, ont amplement fait la risée et ont été rarement, voire jamais, pris au sérieux par les instances du corpus scientifique établi.

 

Pourquoi ? Parce qu’ils étaient des pionniers dans le fait de changer la façon de visualiser et d’observer le monde ainsi que le cosmos. Peu à peu, au travers de leurs recherches, ils ont commencé à soulever des points sensibles, intimement en rapport avec une multitude de sujets houleux, permettant alors progressivement de détruire certains remparts de l’inconscience humaine. Tous ces acteurs ont longtemps été considérés, et ce jusqu’à leur mort, comme des étrangers ou des intrus.

 

Il a donc fallu attendre que d’autres scientifiques courageux décident ensuite de pousser leurs recherches pour que de nouvelles données représentatives d’un certain changement de conscience puissent circuler. Réceptionnées à une échelle globale, ces nouvelles informations pourraient éclairer l’occulte et ainsi, transmettre des connaissances venues d’ailleurs. “À ce jour, il n’existe quasiment aucune référence sérieuse au sujet du matériel de Velikovsky ou d’autres chercheurs qui dépassent les normes établies de par leurs idées nouvelles car ils sont mus par la profonde impulsion de changer les pensées sclérosées du domaine de la science. […] Est-ce que Velikovksy a tiré des conclusions de ses recherches que nous pouvons examiner et projeter dans le futur ? Oui.”

 

Enfin, Laura conclue :

Lorsque les physiciens en sont venus à penser que l’atome est construit comme un système solaire, - les atomes de différents éléments chimiques se distinguant par la masse de leurs soleils (les noyaux) et le nombre de planètes (électrons) - cette hypothèse fut alors accueillie très favorablement. Cependant, on fit remarquer “qu’un atome diffère du système solaire parce que ce n’est pas la gravitation qui fait tourner les électrons autour du noyau, mais l’attraction électrique”. (H.N Russell).

 

Une seconde différence fut aussi notée : en absorbant l’énergie d’un photon (lumière), un électron dans un atome “saute” à une autre orbite, puis à une autre encore, lorsqu’il émet de la lumière et libère l’énergie d’un photon. En raison de ce phénomène, la comparaison avec le système solaire semblait alors ne plus être fondée. “Nous ne lisons pas dans les journaux quotidiens que Mars a sauté dans l’orbite de Saturne, ou Saturne dans l’orbite de Mars”, écrivit un critique. Il est vrai que nous ne lisons pas cela dans les journaux quotidiens ; néanmoins, un grand nombre de documents anciens ont décrit en détails des évènements semblables, et nous avons tenté de reconstituer les faits en comparant de nombreux documents anciens. Le système solaire est en réalité construit comme un atome. Seulement, en fonction de la petitesse de l’atome, les électrons, lorsqu’ils sont touchés par l’énergie d’un photon, sautent d’une orbite à une autre plusieurs fois par seconde ; tandis qu’en raison de l’immensité du système solaire, à cette échelle, le même phénomène ne se produit qu’une fois toutes les centaines ou milliers d’années…

 

[Au milieu du second millénaire avant notre ère, le globe terrestre a subi deux déplacements, et aux VIIIème VIIème siècles, il en a subi trois ou quatre nouveaux ; dans la période intermédiaire, Mars, Vénus, et la Lune furent également déplacées.

 

Les contacts entre les corps célestes ne sont pas limités au domaine du système solaire. De temps en temps, on voit dans le ciel une nova, étoile fixe et éclatante qui, jusqu’alors, avait été “modeste”, sinon invisible. Elle brille pendant des semaines ou des mois puis, son intensité décroît. On explique le phénomène en observant la collision de deux étoiles (selon la théorie des marées, c’est ce qui serait arrivé au Soleil ou à son hypothétique compagnon).] Des comètes venues d’autres systèmes solaires ont également pu naître de ces collisions. Si les lois qui régissent l’activité atomique s’appliquent également au macrocosme, les évènements décrits dans ce livre n’étaient pas seulement des accidents de la circulation céleste, mais bien des phénomènes normaux comme celui de la naissance ou de la mort. Les décharges entre les planètes, ou les grands photons, émis lors de ces contacts, ont provoqué des métamorphoses dans le monde organique et inorganique. […]

 

Comme le Dr. Velikovksy le souligne, nous avons des traces écrites de ce genre d’évènements dans le passé. Nous avons également des prophéties pour le futur, formulées en des termes identiques. Selon la théorie de l’impact cométaire formulée par Alvarez senior et junior, la dernière Grande Extinction se produisit il y a approximativement 13 millions d’années, et la prochaine devrait se produire dans approximativement 13 millions d’années. Si nous considérons que les interprétations de Velikovksy sont justes, tout comme de nombreuses références médiumniques issues de sources ayant fait leurs preuves, alors nous avons un réel problème pour réconcilier l’élément ‘temps’. La clé de cette discordance pourrait résider dans le concept de la métamorphose. Si, au moment de n’importe quelle interaction interplanétaire, des changements atomiques fondamentaux ont lieu, cela invaliderait évidemment toute méthode de datation atomique en place.

 

S’il y a eu des métamorphoses à répétition, et si nous sommes véritablement dans le noir scientifiquement parlant en ce qui concerne le temps et la perception, alors il est tout à fait possible qu’une autre Grande Extinction se profile pour nous dans un avenir proche, et que cela est le véritable indice, ou vision des prophètes de malheur tout comme la configuration religieuse du ‘jour du Seigneur’. […]

 

Et si cela est vrai, comme semblent le prouver les récents travaux en physique quantique, c’est-à-dire que nos réalités les plus profondes ne peuvent être perçues que dans un état altéré de conscience, ne devrions-nous pas nous tourner vers des personnes qui ont fait preuve d’une capacité à atteindre cet état pour obtenir des explications quant à l’ordre de l’univers ? Par ailleurs, ne devrions-nous pas suivre le dicton de Jésus et chercher en nous notre royaume3 – un royaume censé se matérialiser à un niveau planétaire, mais dont on pourrait faire l’expérience à un niveau limité en tant que voyage intérieur de l’âme : “Que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel...”

 

Nombreux aspects de ces idées sont à examiner afin de parvenir à une compréhension plus complète des évènements qui se produisent dans notre monde et qui s’annoncent pour notre futur, et je pense que nous pouvons leur trouver un dénominateur commun, qui pointe vers une autre Grande Extinction – ainsi que la cause.

 

Je compte démontrer que nous faisons face à une catastrophe planétaire d’origine extra-terrestre qui initiera la métamorphose, un Nouveau Paradis et une Nouvelle Terre.

 

 

1 Voir à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nuage_de_Oort ainsi que la Transcription Cassiopéenne du 3 août 1996

 

2 Voir la Transcription Cassiopéenne du 31 mai 1995 à ce sujet. Dans cette dernière, il est notamment question des couleurs de l’arc-en-ciel qui, pour certaines, sont seulement devenues visibles à l’œil de l’humain en fonction de son évolution de conscience.

 

3 Dans sa définition, le ‘roi’ est celui qui accède au pouvoir à vie. En langage des Oisons, le terme ‘royaume’ peut être décodé ‘roi-home’, ‘home’ signifiant ‘maison’ en langue anglaise. Ainsi, symboliquement, le ‘royaume’ représenterait la ‘maison du roi’, endroit dans lequel l’individu serait parvenu à faire grandir sa véritable autorité intérieure.

 

 

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