14 - Cas de possession — L’illusioniste et sa marionnette - par Eliane G

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Le 6 Décembre 2017

 

Depuis l’histoire des souris et des lézardes (voir enquête “Petit rat-trapage sur l’attachement”), mon voisin et moi, nous nous voyons beaucoup. Il est comme qui dirait “mon héros”, un sauveur. Je n’arrête pas de m’entendre dire : “merci pour ci merci pour ça merci merci…..!!”

 

Et, autre observation, je réagis en levant les yeux au ciel quand je lis les témoignages sur le Réseau Leo : “merci merci merci waw waw waw merci …” ça m’énerve au plus au point. Bizarre ! Qui dit bizarrerie dit enquête.

 

Mon alter-frère m’appelle, il me demande si j’ai encore la clé de son appartement.

Bon. Moi dès que je vois une clé apparaître, il y a une lumière qui s’allume dans mon cerveau comme dans les dessins animés !

Mon frère s’appelle Denis autrement dit : déni = clé. Ok.

 

Par ailleurs, “Denis” vient de Dionysos alias Bacchus. Et comme par hasard, je suis en train de lire les descriptions du culte à Mystères de Bacchus dans MK Ultra. Ces “fêtes” étaient des orgies de prédateurs sexuels aux intentions macabres pour faire très court. Voir MK Ultra p 70-73.

 

J’ai sorti un vinyle dont je veux me débarrasser. En écrivant ce témoignage je prends conscience qu’il est planté en face de moi, comme un miroir. Il s’agit du portrait d’une femme apparemment hypnotisée OU d’une femme qui tente de m’hypnotiser. Les deux me semblent possible.

Le voici :

 

L’hypnotiseur est lui-même hypnotisé, c’est bien cela “servir de canal” pour la prédation qui ne cherche qu’une chose : s’étendre au maximum.

 

Donc il semble qu’il soit ici question de sauveur, de déni, de prédateur sexuel, et d’hypnose. 

 

Voici l’aventure qui m’est arrivée pour que j’apprenne.

Mon pote Tom me propose d’aller prendre un café, ma guidance SDS/SDA me suggère de lui donner rdv au Pantin.

J’entre et choisis de m’asseoir sous l’escalier. Alors que Tom passe commande au bar, un homme vient vers moi et me dit en m’indiquant deux photos : “C’est moi là et là aussi !”

Au-dessus de ma tête : la photo d’un bébé.

En face de moi, un adulte, mis en scène comme un pantin, des ficelles accrochées à ses poignets et à ses chevilles.

J’en conclus que cet homme donc, est le patron du bar, càd le patron du Pantin ou encore “celui qui tire les ficelles”. Mais à la fois, la photo m’indique qu’il est lui-même le pantin !

D’entrée de jeu : c’est clair !

 

Tom revient. Objet de la conversation : Ses tentatives pour aider les personnes qui l’entourent et la difficulté qu’il a de dealer avec le fait que ça ne fonctionne pas. 

Est-ce qu’il cherche l’information de manière sincère ?

Sur le moment je n’en sais rien. Ce n’est pas que je veuille à tout prix l’enseigner mais je prends sa démarche pour une demande d’aide.

Je lui dis d’arrêter de vouloir sauver les gens si ces derniers ne lui ont rien demandé du tout !

Aux toilettes, je constate que je transpire beaucoup (aisselles, aine), c’est bizarre car il fait froid, j’ai comme des sueurs froides.

Tom me dit que c’est peut-être l’effet du café.. ou que je couve peut-être quelque chose ? Je n’y prête pas trop attention et on poursuit notre conversation. 

Tom ne semble pas m’entendre car je dois me répéter plusieurs fois en trouvant d’autres manières d’expliquer pourquoi ne pas faire d’ingérence (un comble !!).. et en augmentant sans m’en rendre compte le volume en plus !

 

Bref, je m’enfonce ! Le piège de mon prédateur s’est refermé sur lui et sur moi. Je deviens intrusive et impose mon “modèle”.

Je me blesse, va savoir comment, et commence à saigner à l’index droit (le doigt de l’ego, celui qui indique et montre le chemin).

Lui est littéralement suspendu à mes lèvres, et moi je transpire de plus en plus, ça en devient même gênant, alors que mes mains sont gelées ! 

 

D’autres protagonistes ou alter entrent en scène de manière surprenante :

Un mec descend et se jète quasiment sur moi : “Tu connais Franck Lopvet ?” Moi : “euuuh oui enfin j’en ai entendu parler…”

Puis il me demande de quoi nous parlons car il m’entend crier depuis là-haut ! Je lui dis que nous parlons du “sauveur” et de la “victime”. Il y a un blanc puis il part en nous lançant que “de toute façon, tout est parfait !”

Mon voisin de droite ajoute : “Oui, enfin si on en a conscience !”

 

Ce voisin de droite donc, travaille sur son ordi, il écoute tout ce qu’on dit d’une oreille vue la proximité. Ce gars représente mon coté droit, mon cerveau reptilien ! Cet alter fait du référencement càd qu’il “veille à améliorer mon rayonnement !” Il veille à ce que j’apparaisse en position favorable ! Voilà la définition du référencement. http://aide.meabilis.fr/glossaire/r/definition-referencement.html

 

En effet, la situation est parfaite pour faire exploser mon ego, Tom a l’air subjugué par mon savoir !

Tellement subjugué qu’il repoussera plusieurs fois son rdv suivant. Je l’ai hypnotisé, il n’arrive tout simplement pas à partir !! Moi non plus d’ailleurs.

 

A un moment donné, littéralement “comme si quelqu’un venait d’appuyer sur un bouton”, je sens monter des pulsions sexuelles dingues auxquelles je résiste, certes, mais non sans difficulté ! Sur le moment, je mets ça sur le compte du verre de vin blanc que je viens de boire (qui par ailleurs me fait l’effet d’au moins 3 verres !!), et puis, Tom étant un beau mec charismatique à la voix suave, logique qu’il me fasse de l’effet ! 

 

Tout d’un coup, il est 19h ! Et nous étions arrivés à 14h ! Nous avons complètement perdu la notion du temps, ce qui est aussi une marque de l’état hypnotique et/ou d’une ballade dans un autre espace-temps. (voir Cahier 2.1)

 

Le voisin de droite finira par me dire et à raison : “A la fin vous “tourniez en rond !!”” 

 

Sans blague ! On était complètement assiégés, pris dans une spirale sans fin, un peu comme le serpent avec Moogli, quoi que j’ignore si le serpent est “assiégé”. Moi, je l’étais et j’en avais un peu conscience sans pour autant pouvoir y faire quelque chose. 

 

 

Heureusement, Tom a un autre rdv qui l’attend sinon je ne donne pas cher de sa/notre peau, ça aurait pu continuer longtemps et aller jusqu’à la prise d’énergie sexuelle.

 

Quand je rentre me coucher, je commence à avoir les symptômes d’un début d’infection virale : mon corps est complètement courbaturé. Impossible de bouger mes bras et surtout mes jambes : ils sont engourdis, lourds, et la douleur pénètre jusque dans mes os. J’ai mal aux yeux et à la tête, je ne parviens pas à m’endormir. 

Fin de l’histoire.

 

 

Récapitulons et essayons d’y voir clair

 

Donc, je me suis assise 5 heures face à Tom, face à mon miroir. 

Je lui fais la leçon = je me fais la leçon à moi-même. 

Et vu ce que je traverse en ce moment avec l’attachement à ma mère en particulier, c’est normal que mon Enje m’envoie cette expérience afin que je sorte de mon déni. “Arrête de vouloir la sauver ! Sors de ce jeu de rôle”

 

Ces mémoires de sauveuse, que j’aurais plutôt envie de nommer “mémoires de prédatrice intrusive” au regard de l’expérience vécue, m’explosent en plein visage. Merci.

 

Le discours de mon alter-intrusive n’était pas inintéressant et même plutôt SDA mais c’est sans appel : je me suis comportée en prédateur SDS. La prédation s’est faufilée au moment où j’ai cru que Tom cherchait l’information. Alors que : comment aurais-je pu l’enseigner quand je n’avais pas intégré moi-même l’information, à savoir “qu’est-ce que l’ingérence” ! (voir cahier 7)

C’était un coup d’esbrouffe. 

J’ai été complètement instrumentalisée par la prédation et une fois de plus cela me sert de leçon.

“C’est un cas classique d’hypnose hyperdimensionnelle mademoiselle” aurait dit le médecin ! Avec manipulation des hormones et tutti quanti.

 

Oui ! Les hormones ! 

Depuis plusieurs jours déjà j’avais développé plusieurs symptômes du dérèglement hormonal : Insomnie, envie de sucre, perte de cheveux, vertiges, perte de libido. Je conclus que j’étais en proie à la prédation, bien sûr puisqu’elle est de toute façon toujours là !

Question : Comment savoir si je l’affame et trouver un équilibre …? 

 

Alors je regarde la situation avec du recul toujours : Pourquoi ces courbatures le soir dans mon lit ?

Les faits : J’ai fortement résisté au système de contrôle, càd que je n’ai pas cédé aux pulsions sexuelles induites en moi par la prédation.

Selon le dico de Martel : La courbature est reliée à la douleur ressentie lorsqu’un besoin n’a pas été satisfait. C’est l’énergie qui reste calée dans les muscles au lieu d’être expulsée (p162).

 

Je pense donc que “j’ai joué et j’ai en quelque sorte perdu !” Comme le disent les Leo : il ne sert à rien de lutter contre le système de contrôle ! La clé réside dans l’apprentissage qui se cache derrière. Voir question 99.

Aussi ces courbatures sont là car j’ai retenue l’énergie que la prédation, à “je ne sais quel niveau”, avait besoin de me soutirer, et que je lui ai refusée.

 

Je poursuis mon raisonnement, avant les courbatures, il y avait eu les pulsions sexuelles.

La prédation est toujours là, c’est un fait. Mais à quel niveau ?

Je m’explique : “je” ressens subitement des pulsions sexuelles quand je suis face à Tom. Elles sont induites par la prédation qui littéralement “se joue de moi chimiquement”. Ok. Qui est ce “je” ? moi ou l’alter ?

Suis-je manipulée (3D) ou est-ce l’alter qui est manipulé (4D ou autre) ?

Comme j’ai remarqué que la lecture de MK Ultra provoquait aussi chez moi de l’excitation, et comme j’ai déjà contacté l’alter victime d’abus, je sais parfaitement que j’ai un alter prédatrice sexuelle, un alter en proie avec son prédateur et c’est cet alter qui s’est manifesté ici.

D’autre part, je me souviens de la clé : Dionysos et ses rituels orgiaques, ce qui confirme intuitivement mon analyse.

 

Je continue de “remonter le temps” :

Avant les pulsions sexuelles, je me suis bel et bien “transe-formée en Franck Lopvet” ! Dingue !

Quand je suis allée visionner l’exercice de discernement le concernant, j’ai eu comme réaction les mots suivants : quel connard, il est dangereux !!

Avec cette montée de température que je ne sentais pas à cause de la température extérieure très basse mais dont je pouvais voir le résultat càd la sueur, il y a eu interpénétration des lignes temporelles et un alter s’est assise en face de Tom. 

L’alter s’est alors constitué en canal, réceptacle pour un “démon” comme dans les cas de possession.

Ce démon impose son savoir avec arrogance et intrusion, se met à boire de l’alcool et se dit qu’il “croquerait bien dans ce beau jeune homme !” 

Bon. 

 

Donc ce “démon” n’est autre que le prédateur d’un de mes alter ! Alors je ferais mieux de le regarder en face ! 

Je le sens bien “qu’il m’appartient”, qu’il ne m’est absolument pas étranger comme je préfèrerais le croire.

Je sais que mon âme veut récupérer toutes ses parties même celles que moi je juge “connard et dangereux” et que j’ai donc tendance à rejeter sans même avoir conscience de ce rejet.

 

Donc : 

On me montre que non seulement j’étais dans le déni par rapport aux programmes “prédatrice sexuelle” et “sauveuse” mais surtout, ma Conscience me permet de réaliser “jusqu’où” je rejète le mal/mâle !!!

 

Ce qui me rappelle le témoignage “Initiation à la plongée”, j’enquêtais déjà sur l’intégration de la prédation en moi, en Eliane sur cette ligne (en 3D). 

Aujourd’hui, à un niveau hyperdimensionnel donc, il s’agit de faire le même travail d’acceptation avec les prédateurs de tous mes autres “moi”. 

Voilà ce que m’enseigne ce tête-à-tête avec cet alter prédatrice sexuelle SDS mi sauveuse-mi hypnotiseuse-hyper-intrusive-démoniaque. 

 

« L'humain du futur est donc celui qui dans ce monde d'illusion, notre monde actuel, a fêté ses noces avec "ses Anges/En-Je", ses différentes fractales d'âmes éparpillées à travers les densités. Qu'elles soient du bas, moyen ou haut astral, reptiliens, gris ou angéliques, qu'elles proviennent des dimensions humaines parallèles, des plans inférieurs de 2-3-4ème densité ou plus élevée de 5-6-7ème densité de réalité..., l'humain ascensionné est celui qui réussit à rassembler ses mémoires de vies en "provenance" d'autres plans, dans son existence actuelle. » Cahier 7.2

 

Autres questions que je me pose au regard de ces expériences avec mes alter 

Pourquoi y-a-t-il des cas où je prends “simplement conscience” d’un alter et d’autres cas où je me retrouve projetée “comme dans un autre esprit mais pas vraiment” ? Je lis :

 

« Quelques uns de ces "alter" sont donc des entités de conscience, souvent non-incarnées, des esprits autonomes et souverains qui ont la possibilité de pénétrer nos consciences individuelles. Ces entités peuvent êtres prédatrices, bénéfiques ou alors inoffensives pour l'évolution de notre âme. Elles ne sont donc pas des voix qui nous dictent un texte comme pour un simple channeling "amour et lumière", mais des formes-pensées, des concepts ou parfois même des images qui peuvent pénétrer notre subconscient et surgir dans notre conscience, pour nous amener à réfléchir, mais dont nous savons qu'elles n'appartiennent pas à notre présent. » Cahier 7.5

 

ET : Si je me remémore l’existence d’un alter, est-ce que j’intègre d’office son ADN au mien, est-il réintégré dans ma propre conscience par ce simple fait ?

 

Je ne suis pas certaine mais pense que oui car j’observe par exemple que je suis capable de lire un article scientifique, chose qui jusqu’ici m’était totalement impossible. J’aurais donc reçu les codes de mes alter masculins sur d’autres plans et aussi sur celui-ci (je pense à vous tous les Leo). Autrement dit j’intègre petit à petit le masculin dans la génétique “de tous mes moi”, ou encore : J’APPRENDS :

 

« Apprendre n'est donc pas uniquement un processus intellectuel, loin de là. Apprendre c'est "prendre" pour faire soi. C'est acquérir la Connaissance "cellulaire" ou épigénétique (donc parfois karmique), pour renaître avec son "don". C'est accepter de recevoir de nouveaux brins d'ADN pour entre autres, arriver à élever notre point de vue. » Cahier 7.1

 

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